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Boudet, le livre de pierre - Rennes-le-Château Archive

L'abbé Boudet                 3/3

et son petit livre de pierre

Rennes‑Le‑Château ou l'histoire d'un grand secret

 

 

 

Jean‑Jacques Henri Boudet
 

Né le 16 novembre 1837 à Quillan
Mort le 30 mars 1915 à Axat

 

 

   Son existence fut tout aussi mystérieuse que celle de Bérenger Saunière, mais sa discrétion l'a rendu insaisissable.

 

   Voici l'histoire du second curé du Razès, complice dans l'ombre de Saunière.
Son empreinte est partout et nulle part,
mais une chose est certaine :
il nous a laissé un message que l’on commence tout juste à découvrir et dont la subtilité et l'intelligence rivalisent avec sa complexité...  


Henri Boudet
(photo présumée)

 

Une inscription ambiguë

Le petit livre de pierre

 

   Il existe sur la pierre tombale des frères Boudet à Axat une curiosité très remarquée, la présence d'un petit livre fermé sculpté dans la dalle et situé dans le coin inférieur droit. Surtout, une abréviation très curieuse gravée sur le dessus ne ressemble à rien de connu à moins d'y corriger une erreur. Mais est‑ce vraiment une erreur ?

 

   De nombreux chercheurs, Gérard de Sède le premier, essayèrent d'interpréter cette petite abréviation. Malheureusement l'inscription fut dès le départ mal recopiée, multipliant ainsi les mauvaises analyses et les études incomplètes.

   C'est en 2004 que mes soupçons se concrétisèrent en effleurant de mes doigts ces quelques caractères figées dans  la pierre. Aucun doute possible, la 4ème lettre qui semble être un I, est nettement moins haute que les autres...

 

Gérard de Sède fut le premier auteur à révéler cette inscription et qu'il reproduira sous la forme :

 

I.X.O.I.Σ.

 


La pierre tombale des frères Boudet


Le petit livre de pierre

 

    L'inscription ne ressemble à rien de connu et l'imagination s'enflamme. Gérard de Sède, romancier génial, nous proposa alors de lire l'inscription à l'envers. Une suite de chiffres romains apparaît alors pouvant être interprétée comme suit :
(il faut tout de même admettre que le sigma
Σ inversé se transforme en un 3 latin...)

 

 3 I 0 X I    (trois cent dix,  onze)

 

    Mais surtout une coïncidence décisive va appuyer sa thèse. Le livre de Boudet "La vraie langue celtique" comporte 310 pages. Il suffit alors de considérer que l'inscription nous montre une page précise que  Boudet voulait mettre en relief : la page 11...

 

Or cette page est la première à évoquer le mot "blé".

 

[...] La pellicule du blé moulu et passé au blutoir se nomme, en dialecte languedocien, brén; en breton bren; en gallois bran; en irlandais et écossais bran. La bruyère, si commune dans les Landes de la Gaule, s'appelle, en languedocien brugo; en breton bruk et brug; [...]

 

"La Vraie Langue Celtique"   Extrait page 11

 

   Il faut rappeler que ce mot est très important pour Boudet puisqu'on le retrouve cité 32 fois dans son livre. Le passage lié à la Kaïrolo, allusion à la petite maison du berger Paris, est d'ailleurs très clair. Le mot "blé" est utilisé dans un autre sens puisqu'il l'associe à une valeur monétaire ou précieuse. Il nommera d'ailleurs le blé "La précieuse céréale". D'ailleurs nous retrouvons aussi le mot blé dans le petit parchemin marquant ainsi un lien fort entre ce parchemin et Boudet.

 

   Autre coïncidence, Boudet continue avec le mot "bruyère". Or d'après la carte Rennes celtique. plusieurs croix gravées se trouveraient au "Pla de las Brugos" (le plateau des bruyères). C'est à cet endroit que fut décapité un menhir "Le Cap de l'Hom" qui représente pour Boudet "La tête du Sauveur".

 

   Cette inscription intrigua de nombreux auteurs et malheureusement d'étude en étude, elle eut des représentations différentes. C'est ainsi qu'on la vit même sous la forme : 

I.X:O.I.Σ.

 

   Sans doute, fallait‑il confirmer ce 310 et ce 11 en les séparant d'un "2 points". Cette imprécision dans le relevé m'obligea à vérifier par moi‑même. Pourquoi existait‑il autant de versions différentes ? La gravure n'était‑elle pas suffisamment claire ?

 

   Cette page 11 offre pour un chercheur curieux, un début de piste réellement intriguant. La volonté de Henri Boudet était‑elle de nous faire commencer la lecture par cette page clé ? Pourquoi pas, mais il faut bien reconnaître qu'il existe d'autres pages beaucoup plus étonnantes. Ce raisonnement serait toutefois parfait s'il n'y avait pas un détail gênant dans la calligraphie des caractères, car la vérification sur place devait m'apporter une conviction toute différente...

 


Photo prise en 2004

 

   Il faut se rendre à l'évidence. Si caractères sur ne comportent aucune ambiguïté, il en va tout autrement du 4ème caractère que l'on confond habituellement avec un I majuscule identique au premier. Or, la hauteur du caractère que j'ai pu observer en 2004 semble plus courte et son analyse sur place est indiscutable. Si sa partie basse est très nettement dessinée, la partie haute est soit absente, soit effacée avec le temps. L'ouvrage dans la pierre a été réalisé avec un pointeau très fin et le tracé est précis. Toutes les lettres sont parfaitement alignées. Les points sont également tirés à la règle. Pourquoi alors ce I plus court ? S'agit‑il d'un I minuscule ?

 

   Si l'on admet que tous les caractères sont des lettres grecques, la lettre ambiguë ne laisse que deux possibilités :

 

  Soit il s'agit d'un Upsilon Y inachevé ou usé avec le temps et donc ressemblant à un i minuscule

  Soit il s'agit effectivement d'un  i minuscule

 

On aurait donc le choix entre deux formes :

 

I.X.O.Y.Σ.

ou

I.X.O.I.Σ.

 


Photo prise en 2004 ‑ Le 4ème caractère ne respecte pas l'alignement
des autres lettres gravées

 

I.X.O.Y.Σ.  l'Upsilon est confirmé

   Une première version de cette étude était en partie basée  sur la possibilité d'un "i" minuscule en 4ème position. Néanmoins, ceci devait me réserver encore une petite surprise que je livre ici. Car cette piste osée et volontairement provocatrice eut le mérite de faire réagir un internaute passionné que je tiens à remercier.

 

   Mes observations se sont fondées jusqu'à présent sur l'état de la gravure en 2004.  Or, voici un cliché effectué en 1979 montrant l'inscription plus clairement. Avant que le temps n'use la pierre, le "i" mystérieux était plus haut, mais surtout il se finissait en V. Nous avons donc à faire ici à un Upsilon grec majuscule...


Photo prise en 1979 ‑ Merci à son propriétaire pour sa contribution au site
Copyright © www.rennes‑le‑chateau‑archive.com

 

   Les traces noires sont encore visibles sur chaque branche supérieure du caractère. Ceci confirme les deux creux symétriques dans la pierre que l'on peux encore sentir avec ses doigts aux extrémités de la lettre.


La lettre Ypsilon apparaît nettement

 

   En retouchant la photo, voici comment devait se présenter cette inscription qui fit couler tant d'encre... Le Upsilon est discret, mais bien réel. Constatation étonnante quand on sait que Gérard de Sède publia ses études 10 ans avant ce cliché...


Photo retouchée à partir de l'original ci‑dessus

 

   Le Upsilon est la 20ème lettre en grec ancien et correspond en numération à la valeur 400. Ce caractère est aussi à l'origine dans l'alphabet latin de 4 dérivés : U, V, W et Y (i grec)

 

   La calligraphie du Upsilon grec est aussi très variée. Elle peut se rapprocher aussi bien de notre Y latin que d'un R minuscule d'imprimerie. Nous pouvons donc être certain qu'il y a ici une volonté de représenter la lettre grecque et non son équivalente latine. L'exagération de son graphisme empêche en effet qu'on puisse la confondre avec un Y.

 

I.X.O.Y.Σ.  est un acrostiche

   Ce constat du Upsilon grec a aussi une conséquence : il devient maintenant difficile d'imaginer que le O est un thêta Θ victime d'une erreur de gravure. L'inscription a été réalisé avec une grande précision. C'est évident. Mais lorsque Boudet commet une erreur dans son livre codé, c'est pour attirer notre attention. L'inscription I.X.Θ.Υ.Σ. respecte cette règle...

 

En effet, on peut rapprocher l'inscription vers une forme connue :

 

I.X.Θ.Υ.Σ.

 

   Cette représentation a été utilisée depuis très longtemps dans l'histoire chrétienne et sa traduction est :   « Jésus Christ  Fils de Dieu Sauveur »

 

   Pour répondre à la question "Qui est ce Jésus de Nazareth ?", les premiers chrétiens utilisèrent comme symbole le poisson. On le retrouve d'ailleurs dans les Catacombes de Rome où se cachaient les chrétiens persécutés. Le poisson était donc un signe de reconnaissance, mais pourquoi ce symbole ?  Tout simplement parce que "poisson" se dit ICHTYS (ichtùs) en grec et qu'il forme un acrostiche. Les lettres disposées verticalement sont la première lettre d'un mot, le tout formant une phrase. On obtient donc :

 

  Mot grec

alphabet latin

  Mot grec

alphabet grec

Traduction

 

  Iesus

  Іησους

  = Jésus

I

  CHristos

  Χριστος

  = Christ

X

  Theou

  Θεου

  = de Dieu

Θ

  Yios

  Υίος

  = Fils

Υ

  Soter

  Σωτηρ

  = Sauveur

Σ

 

Chaque lettre latine trouve sa correspondance en lettre grecque.
Attention, le
CH est le Khi grec et qui correspond à la lettre grecque X

En résumé :

Poisson = ICHTYS (poisson en grec alphabet latin)

= IXΘΥΣ (poisson en grec alphabet grec)

= Jésus Christ fils de Dieu Sauveur

 

   La gravure I.X.Θ.Υ.Σ. deviendrait donc plausible si l'on admet que la 3ème lettre "O" est la lettre thêta "Θ". On peut bien sûr supposer qu'il s'agît d'une négligence du graveur, mais il faut reconnaître que c'est peu probable. Soit il n'y a aucun code et cette erreur est sans gravité, soit un code a été introduit et il est certain que Boudet aura tout fait pour obtenir une sépulture fidèle à sa volonté. En clair, s'il y a code il faut lire I.X.O.Υ.Σ. et non I.X.Θ.Υ.Σ.

 

La stèle de Licinia Amias

   La stèle de Licinia Amias offre pour les historiens de précieuses informations. Elle fut retrouvée dans les environs de la nécropole du Vatican à Rome et elle est constituée d'un marbre datant du début du IIIe siècle après J.‑C.

 

 

   Son écriture est précieuse puisque l'on y découvre l'une des plus anciennes inscriptions chrétiennes connues à ce jour.


Stèle funéraire de Licinia Amias

 

   En haut, on trouve une dédicace classique : DIS Manibus

Les stèles comportaient le plus souvent une épitaphe gravée, accompagnée ou non de motifs sculptés. La formule initiale Dis Manibus, souvent abrégé par D M, consacrait la tombe aux Dieux Mânes du défunt, les âmes des morts.

 

Notons que l'abréviation DM rappelle également l'étrange message sous la gravure des Bergers de Shugborough

 

Viens ensuite une formule chrétienne lettres grecques :

 

ΙΧΘΥC   ΖωΝΤωΝ  (Ikhthus zôntôn)

 

qui se traduit par « Poisson des vivants » et qu'un dessin illustre puisque l'on y voit deux poissons autour d'une ancre.

 

Attention : le C est en fait ici un sigma Σ, mais sous sa forme onciale.


Deux poissons et une ancre
dans les catacombes de Domitilla à Rome

 


Le poisson, l'ancre et le Khi‑Ro dans les catacombes de
Saint Sebastian à Rome

 

   Que peut‑on conclure ? Cette stèle et ses traces romaines démontrent qu'avant l'acrostiche I.X.Θ.Υ.Σ. il existait un autre symbole chrétien : IXΘΥC signifiant probablement le Poisson‑Christ et qu'il fallait associer à une ancre. L'acrostiche aurait donc été trouvé ensuite par un habile jeu de mot.

 

Un autre exemple...

 

   L'inscription officielle I.X.Θ.Υ.Σ. a‑t‑elle évoluée dans le temps ?

 

   C'est fort possible. Nous retrouvons en tout cas l'inscription de Boudet dans la cathédrale de ND du pommier à Sisteron. Un poisson rappelle l'origine symbolique du sigle.

 

    Or, il faut remarquer qu'ici la lettre "Θ" est devenue un "O". On retrouve donc dans la cathédrale exactement le même acrostiche que sur la tombe de Boudet.  


Le I.X.O.Υ.Σ. de la cathédrale
du pommier à Sisteron

 

Faisons un peu de numérologie

 

   La numérologie est une science passionnante, surtout si on obtient quelques résultats particulièrement interressants. Voici un bel exemple appliqué au poisson de Boudet.

Prenons l'alphabet numérique grec et sa correspondance classique :

 

A=1, B=2, ...

 

puis considérons que Σ est la clé.

 

Attention : la numérotation des lettres de l'alphabet grec différe de l'alphabet latin.

I

X

O

Υ

Σ

9

22

15

20

18

 

On obtient :

 

9 + 22 + 15 + 20 = 66

66 x 18 (clé) = 1188

 

Le nombre 1188 et quelques correspondances

 

   Ce nombre rappelle avant tout une date mythique importante, celle de la coupure de l'orme de Gisors, un épisode qui marquerait le schisme entre l'Ordre des Templiers et le Prieuré de Sion moyenâgeux.

 

Mais il existe une autre piste, celle d'une mesure : l'aune de Paris = 1,188

 

   C'est François Ier qui essaya d'instaurer par un Édit royal cette unité de mesure dans toute l'Europe. Son but était de remplacer le pied romain, puisque 1 aune équivaut à 4 pieds romains. Or, du fait de l'imprécision de la longueur d'un pied romain qui se transforma pour prendre comme étalon le pied du Roi, cette unité fut progressivement abandonnée au profit du système décimal métrique au début du XVIIIe siècle. L'aune de Paris fut définitivement aboli en 1793, pour être remplacé par une unité universelle : le mètre.

 

1 aune = 3 pieds, 7 pouces, 8 lignes de pied du Roi = 118,84 cm

 

   Et Henri Boudet ? Parle‑t‑il de l'aune ? Curieusement oui... En trois endroits de son livre culte "La Vraie Langue Celtique", Boudet aborde l'aune discrètement, mais pas celui de Paris. Il nous parle de l'arbre... On trouve d'abord en page 11 :

   Le nom français de l'aune, essence d'arbres, se dit en languedocien bergné ; en breton et en gallois gwern ; en écossais et irlandais fearn.

 

Puis en page 18, parmi d'autres exemples et en tête de tableau :

Dialecte languedocien.

Langue Anglo‑saxonne (1)

Alader, arbre vert à feuilles
persistantes.

Alder, aune.

 

   Enfin en page 220, il explique où peut‑on le trouver. Admirer sa virtuosité linguistique puisque l'on passe de l'Aude à Alder qui désigne l'aune...

   Dans les manuscrits du moyen‑âge, l'Aude porte le nom de flumen Aldoe. C'est bien là sa véritable dénomination ; Alda est le même terme que Alder, et dans le celtique, Alder désigne l'aune. Cette essence d'arbres croit naturellement sur les deux rives de l'Aude, sur un parcours de plus de quatre‑vingts kilomètres et quoique les propriétaires riverains aient abattu la majeure partie des aunes, il en reste encore assez pour prouver avec quelle vérité nos ancêtres avaient nommé cette rivière Alder.

   L'Aune (du latin alnus) que l'on nomme aussi "Aulne" ou "Verne" est un arbre saisonnier pouvant atteindre 20 m de haut, très résistant au froid, commun en Europe, en Sibérie, en Asie Mineur et en Afrique du Nord. En France on le trouve principalement le long des cours d'eau, dans les marais ou les fonds de vallées humides, dans les sols détrempés, dans milieux stagnants et même avec les racines immergées.

   Il pousse généralement dans les collines et en basse montagne sur des sols très mouillés périodiquement inondés, non calcaires.


L'aune ou aulne

 

   Voici donc que le petit livre de pierre nous amène à l'aune de Paris, que l'on appelle aussi Verne pour ce qui est de l'arbre... Quelle belle coïncidence avec l'écrivain initié Jules Verne (1828‑1905), mais aussi quel superbe clin d'œil à Ignace Paris...

 

Nous aurions alors une superbe allégorie avec l'aune de Paris, traduisez :
"L'arbre du berger Paris..."

 

On continue ?

 

   Il faut aussi savoir que "l'aune de Paris" se traduit dans la langue celtique chère à Boudet : "Ell of Paris". Or cette mesure celte  "Ell" est pour Boudet fondamentale. Elle est citée régulièrement comme par exemple à la page 230 :

   Après avoir contourné la base de la montagne de cardou, et avoir dépassé le petit ruisseau qui sépare Cardou de la colline de Bazel, le chemin commence à s'élever en pente douce. Il devait avoir une largeur bien déterminée, telle que les Gaulois savaient la donner à leurs routes. Ce n'était point, en effet, de simples sentiers étroits et dangereux, mais d'excellents chemins possédant une largeur exactement mesurée. Bazel ne veut pas dire autre chose. En rendant à ce terme la prononciation assez dure qu'il devait avoir autrefois, nous aurions à dire Passel. Or, pass signifie une route, et ell la mesure de longueur dont se servait les Celtes.

 

   Et pour montrer toute la subtilité de son livre codé, une faute d'orthographe révélatrice est glissée dans le nom M. William O'Farel en ajoutant un L supplémentaire au bas de la page 18.  Ce nom est répété deux fois sur la même ligne pour faire apparaître la faute.

 

   Et pour les septiques, Farell se trouve à la page 18, là où l'aune est présent en début du tableau. Boudet ne manque d'ailleurs pas d'humour en soulignant que ce O'Farel est l'auteur d'une grammaire exemplaire et ordonnée.

   (1) Les mots saxons sont empruntés au dictionnaire anglais‑français de Percy Sadler. Nous tenons ce dictionnaire de l'obligeance de M. William O'Farrel. M. William O'Farrell est auteur d'une grammaire anglaise, admirable d'ordre et de clarté.

 

Récapitulons :

 

I.X.O.Y.Σ.    1188    Aune de Paris    Arbre du berger Paris

  Ell de Paris    La mesure du berger...

 

L'aune auquel il faut ajouter un L (ell) pour qu'il deviennent l'arbre...
Superbe message...

 

   Le petit livre de pierre de Boudet garde encore tous ses secrets, mais une chose est certaine: son inscription est loin d'être naïve et ressemble fort à une clé fabriquée par un érudit qui cherche à nous emmener dans différentes lectures de son livre codé "La Vraie Langue Celtique"...