Des premiers indices de preuves ?
Quelques semaines
après le dernier calcul de Juillet,
exposé en chapitre n°3, je redescendais en Razès, à Notre Dame
de Marceille, afin d’observer une nouvelle fois le tableau, en quête secrète du nouveau miracle ou du coup de chance
à la Sherlock
Holmes permettant de découvrir l’indice minuscule (improbable ?) qui allait nous aider à vérifier ce beau résultat !!! Rêveur
obstiné, pensez vous ? Ou tout bonnement vieux bonhomme intuitif, puisque je découvrais avec un certain plaisir
(Hé … ! Un détail
gros comme un troupeau d’éléphants et qui n'avait pas échappé à quelques uns, et je l’avais pourtant observé cent fois sans percuter,
car je n'étais point encore concerné, et que par conséquent, je n’en avais nul besoin…),
que le murs de la basilique
étaient comme ceux de l’église de Saunière, très nettement et régulièrement quadrillés avec ses rectangles absolus, paraissant
horizontalement autant que verticalement tirés à la perfection ! (Testés grâce à mon indispensable niveau de poche). Pensez bien que
je ne n’entre plus en une église sans prévoir une musette digne d'un ouvrier spécialisé, ni sans jumelles de théâtre, sans non plus ma
lampe, mes calculettes, mes mesures longues ou courtes etc. C’est plus prudent et parfois indispensable !
Petit détail
compliquant (si peu !), les rectangles sont séparés par une petite marge de largeur constante (idem vérifié) !
J’avais maintenant
devant les yeux, avec le tableau, l’image d’un rectangle posé sur une page quadrillée de cahier d’écolier dont il était facile de
repérer la valeur des quadrillages, donc des mesures globales du tableau ! Faute de finesse, j’aurai à coup sûr quelques cm près, la
vérité !
Suspens, encore … ? Quitte … ou double !
Dans la foulée, j’observais que tous les
grands tableaux devaient être de taille copie conforme, sauf peut être le nouveau qui prit la place de celui d’Antoine qui est
présenté à l’inverse ! Son thème étant le grand
incendie de Limoux !
Mon premier
résultat relativement exact ?
J’en doutais encore, car je doute
constamment … le doute et la méthode, avec le café (rarement consommé mais à doses concentrées !), sont les meilleurs carburants de
mes moteurs (diesel) cervicaux (faut les chauffer préalablement).
À ce propos,
voici une note que me passe Flo, mon horripilant petit neveu : « Ne travailler qu’avec ses propres convictions nuit gravement à
l’objectivité du chercheur … (et dans les cas extrêmes peut nuire gravement à sa santé mentale !...)»
On devrait
écrire cette évidence en grosses lettres au dos de tous les livres traitant de RLC, et même sur les meilleurs !
Ceci dit, vite j’eus vite cette autre
conviction, que grâce aux repères muraux j'avais un indice fiable ! Par acquit de conscience, je
recommençais mes calculs de repères quatre fois, testant trois autres tableaux identiques. Le surlendemain, je revins et revérifiais
tout !
Les calculs pourtant n’étaient que jeux
d’enfant, assis au frais sur un des bancs en bois, tapant gentiment sur ma calculette (qui est aussi mon livre de prières !), laquelle
aimablement me fournit quatre fois le même obstiné résultat :
Environ :
2, 20 m x 3 m !
Ceci estimé à
plus ou moins quelques cm près … forcément. Mais là au moins une erreur conséquente aurait été déjà
démasquée ! Plutôt
encourageant !?
Le principal, étant bien la découverte (qui restait idem à prouver) du codage des mesures du
triangle interne … ce qui était le but essentiel de notre démarche ! …
96 128 160.
Et en ce domaine j’ai la faiblesse de vouer une confiance indéfectible à Boudet (ou à
ses conseillers ?). Mais
voila… Quelque chose me gênait.
Je
n’étais pas encore satisfait pour autant ! Je suis un individu pénible, compliqué, jamais content ! Le genre de type champion des faux
départs …qui a toujours oublié l’essentiel, et qui revient toujours en arrière le rechercher en perdant un temps fou et horripilant
tout le monde !
J’avais rêvé de
découvrir
la formule abstraite, indiscutable, le
raccourci permettant de vite calculer les mesures vraies du tableau,
que Boudet, ou bien un comparse plus avancé, qui, en homme pratique, n’aurait pas
manqué (faute de nous décevoir gravement),
de nous coder, sans le secours de la moindre approximation visuelle, quoique l’œil,
je l’ai plutôt fiable, puisque dans ma vie j’avais tâté du dessin industriel, item subi plus que suivi des études techniques
rébarbatives en ateliers de mécanique, mais formant radicalement l’œil et le jugement des formes, apprenant à repérer des différences
de mesures infimes au seul coup d’œil, puis ce furent les arts décoratifs, puis en dilettante et somptueuse paresse
pagailleuse,
les Beaux Arts, où naturellement j’avais pratiqué la peinture, et plus tard, pas mal la photo à l’époque où la photographie
(traduction du grec : écrire avec la lumière !!!), ne rendait pas l’œil passif, mais par nécessité, le formait et
l'éduquait ! … Tout ceci passe obligatoirement par l’œil, comme la musique par l’oreille … sans « l’œil juste », point de réussite
technique ni artistique, pas de recherches abouties, non plus !
De plus, un
repérage sur photo est toujours sujet à cautions
puisqu’un tantinet
empirique étant donné la fiabilité affaiblie par la prise de vue si elle n’est pas effectuée juste pile poil dans le bon
axe.
La reproduction
sur l’écran d’un PC
est également
sujette à quelques déformations fâcheuses, tout dépend de la qualité et du bon réglage de votre écran.
Alors ? Alors, alors ? Évidemment, je ne m’appelle pas
Einstein,
ça se saurait … mais il y a‑t‑il besoin d’être génial à ce point pour découvrir le très modeste « e
= mc² » du tableau réadapté au tableau de Marceille ? Chiche ! (LOL !)
… Un genre de formule radicale, réduite à l’extrême, revisitée et
relativisée … ???
Mais encore un effort, mon vieux, me
tarabustais‑je ! Secoue toi, montre que tu es encore bon à quelque chose ! (J’adore me tarabuster … quand ce n’est pas Flo qui
m’agresse, mon taquin, mais indispensable, de petit neveu.)
Hé bien, dés que je
me relisais, je réalisais en effet, que je n’étais qu’une bête inattentive. Un imbécile.
(C’est dit.)
Car nous avions en main plus d’atouts qu’il n’en fallait, et certains d’entre vous, j’ose l’espérer, l’auront déjà compris ?
Mais oui, c’est
bien sûr ! Où avais‑je la
tête ? Bref, faisons
confiance en Boudet et à ses chiffres, puis à ses hommes ! Que nous ne l’avions pas fait plus tôt !? (La solution était trop simple
…comme d’habitude ?)
Hypothèses :
Allons
toujours au plus simple. La
largeur ? … Et si elle était le produit de la
première
clef numérique imposée par Boudet, le
1,38
avec la
dernière clef
numérique
imposée par Boudet,
le
1,6 !?
Simple intuition provoquée par l'expérience. Peut‑on faire plus
simple et mieux (dans la logique Boudétienne) ? Je ne pense pas. Souvenons nous de
précédents, où la solution était le rapport de deux nombres généreusement offerts par Boudet !
Sous le soleil de
Boudet, la vérité se trouve toujours tapie
à l’ombre
de ses évidences. Et si cela était encore le cas ? Voyons :
1, 38
(la toute première clef formulée) x
1,6 (L’ultime clef numérique) =
2, 208 m
Et
serai‑ce la longueur ? :
1, 38² x
1,6
=
3, 047 m.
Hé bien, voici les deux formules
déduites en ce début de suite arithmétique, et que je préfère nettement, car magnifiques en leur simple nudité :
La largeur =
1, 6 x
1, 38
=~
2, 21 m
La longueur =
1, 6 x
1, 38²
=~
3, 05 m
Enfantin, mon cher Wilson, aurait écrit Leblanc !
Serait‑ce tombé en notre escarcelle
le probable raccourci (tant espéré) ?
Et si c’était la bien venue formule
arithmétique des clefs Boudétiennes du tableau de Marceille ? Tenons le pari, jusqu'à preuve du contraire ?.
Nous arrondirons à 2, 2 m et 3 m.
(Au fait ? Seraient elles les mesures du tableau
entier, ou bien
celles de la partie visible ?) …..
Récré :
Einstein et le tableau d’Antoine
Uniquement pour « le
fun » et destiné aux gens qui ont le sens des chiffes, de la
relativité
des choses, le goût de l’insolite et pourquoi pas de
l’auto dérision, cette dernière qualité étant trop rare sur la Colline où tout le monde aurait propension à se prendre beaucoup trop
au sérieux … ? Reprenons nos derniers
nombres :
Soit
e (l’inconnue)
= La
longueur du tableau
Soit
(les deux clefs)
m
= 1,6 , et soit
c
= 1, 38
avec sa déclinaison au carré :
c² =
1,38²
On peut alors écrire
cette jolie formule hyper célèbre et
relativement
très juste (et
drôle)
:
e =
mc2
e
= mc² soit
1, 6 x
1,38² =
3, 047
Et
mc =
1, 6 x
1, 38 = 2, 208
Finalement,
tonton
Einstein
et sa bébête formule
de la relativité
n’était relativement, pas si loin de notre petit problème du jour ?
… Hé, hé ! Ben, ça alors
Bien …fini de rigoler (« ha, bon …
me fait mon petit neveu Florentin, un peu déçu,
dommage, cela devenait enfin intéressant !) …Jamais content, ce gosse ! Pense
qu'à s'amuser !
Ecoutez plutôt :
Je suis prêt à
parier ceci : (quitte à me ridiculiser …
(ou bien d’entrer dans la légende sur un coup de poker ?), que
2, 208 et
3, 047 sont bien
au mm près les vraies
mesures du tableau face apparente en son cadre. Pourquoi ? D’abord parce que l’expérience me dit qu’il n’y a aucune raison que je me
sois égaré, et que si j’avais un doute à ce sujet il s’estomperait, car :
2, 208
font 2 + 2 + 0 + 8 = 12 et que 3, 047 font
3 + 0 + 4 + 7 =
14
et que
14 / 12 = 1, 1666666666
qui est le magnifique (mais top secret) rapport du LION,
le phare absolu qu’il ne faut jamais perdre de vue ! ( … et puisque c'est
bien sur le site (repaire et repère) du LION, comme nous le verrons rétrospectivement, que cette histoire finalement devait aboutir !
...
En attendant, nos dimensions du
trigone des trois lumières, déjà découvertes par un raccourci analogue sont je le pense fortement, itou, mais sous réserves,
justes).
0, 6 x
1, 6 =
0, 96 base
0, 8 x
1, 6 =
1, 28 hauteur
1 x
1, 6 =
1, 60
hypoténuse
0, 96 m 1, 28
m 1, 60 m
Euréka ? Le rapport
arithmétique des valeurs des côtés
3, 05 avec
2, 21 est bien
1, 38 la première clef indiquée dés le départ, page
138 !
Remarques
: Périmètre arrondi du tableau = (2, 2 m + 3) x 2 =
10, 40 m
Périmètre du
triangle 3 lumières = 0, 96 + 1, 28 + 1, 6 =
3, 84 m
Leur rapport
arithmétique =
10, 40 /
3, 84 =
2, 7083333333
116 (clef pythagoricienne modulable de Boudet) x
2, 7083333333 =
314,16
=
100 Pi !!!
D’où :
1,16 x
2, 7083333333
=
3,
1416 =
Pi
A
l’inverse :
Pi /
1,16 =
2,
7083 et
Pi
/
2, 7083 =
1,16
Et
100 Pi / 2, 7083 =
116
la page de la signature Boudet :
A.B. H. BOUDET, comme
116 est bien la clef lui servant de signature pythagoricienne
numérique avec le 121 et le 11.
Donc nous constatons (comme par hasard) que la clef Pythagoricienne de Boudet, modulable par multiplication ou par division par
10,
est consubstantielle de
Pi
et du rapport des périmètres de
la face visible du tableau d’Antoine, avec celui du triangle de Pythagore des Trois lumières ! Voila que je reconnais en ces
enchaînements comme un petit parfum style
Bergers d’Arcadie lorsque qu’il y a 25 ans, je débutais
ma première analyse de laquelle ont découlé jusqu’ici
tous mes paramètres utiles … et dont je n’ai encore pas dévoilé
publiquement la teneur … émotion … !
Mon intuition
est‑elle juste ?
Hum, hum, racine
carrée de : (2, 20 ² + 3, 04²) =~ 3, 75 m
Et 3, 75 m x Pi =
un cercle de ~ 11, 78 m de périmètre
Comprendra qui voudra, l’intérêt absolu
de ce nombre décimal car nous avons déjà rencontré plusieurs fois ce nombre et ses avatars … Je m’expliquerai plus complètement un
jour avec le fameux Pi (11, 78 x 4) = 148 approximation de
147, 87 (cela vous rappelle quelque chose ?) Mais, si vous
avez été attentifs, ce dont je ne doute pas, j’ai déjà, il me semble, évoqué deux fois cette valeur, à propos de Poussin, du tableau
des Bergers d’Arcadie, et sa diagonale … etc. !
Mesures présumées de la
face visible en Coudées Royales :
4,2
coudées royales.
5,8
coudées royales
Périmètre face
visible = 20 coudées royales soit
Surface =
24,36
coudée royales carrées.
Périmètre en mètres
= 10, 472 m (arrondi : 10, 48)
Surface en m² =~
6, 66
m² soit ~ 666 dm²
20 coudées royales = 0, 5236 m x 20 =
10, 472 m.
10, 472 m /
(10 toises d’or =
19, 416 m)
=
0, 53934899
m
Mais à partir
des lignes précédentes, retenons bien ce qui va suivre à partir de ce périmètre de la face visible du tableau d’Antoine exprimé en
Coudées Royales
(Coudée codée sur les Bergers
d’Arcadie) et traitées par la
Toise d’Or, puis par
3, le chiffre symbolique de
la trinité Universelle d’après Boudet, et
qui est plus que jamais à l’honneur en cet article avec le triangle des trois lumières :
0,
53934899
m x 3 (trinité universelle)
= 1, 618
m =
Phi mètre
soit 1,618 m
C’est évident, si non, dites moi où se
cache le lézard ? Soit, en toute logique arithmétique, je vous propose trois petites remarques … qui sont
trois définitions du
mètre mesure issues de la Coudée Royale, de la toise d’or, de Phi, de Pi, du rapport d’Osiris (= 1, 2),
toutes valeurs dont nous connaissons depuis belle lurette, et pour cause,
l’invariable parité en mètres, par les absolus
invariables de l’univers, trois définitions reconnues au siècle de Poussin par toutes les sociétés secrètes bien informées depuis le
début de la Renaissance Italienne.
Selon nos derniers paramètres
(le mot est de circonstance !), et comme nous venons de le démontrer,
0,53934899 mètres x
3 =
Phi
mètre, il en découle automatiquement trois
remarques d’une importance extrême
mettant définitivement hors circuit
l’abominable absurde et faussement scientifique
définition du mètre mesure par la dix millionième partie du quart du méridien de Paris, le grand canular scientifique du second
millénaire :
Rappel : si nous considérons comme
nous l’avons démontré, le terme
Phi
représentant Phi
mètre, soit
1, 618 m :
Première
stupéfiante remarque : 1
mètre = (1,2 x Phi ²) /
Pi.
Deuxième
stupéfiante remarque :
1
mètre = (1/Phi) / 1,2 (rapport
d’Osiris) x 1, 9416
(la toise d’or).
Troisième
stupéfiante remarque :
1
mètre =
1, 9416 (la toise d’or) / 1, 618 (le nombre d’or) / 1, 2 (le rapport d’Osiris).
Gardez bien cela en mémoire,
c’est un très antique trésor (… mais avouable car inattaquable car reconnu par de doctes universités de Californie aux States)
!!
Si non, je le répète, où est
le lézard ?
Je viens de résumer à propos de notre
tableau de Notre‑dame de Marceille, un message scientifique
(d’avant‑garde ?
Non pas ! … Puisque ces notions sur le mètre mesure
en gestation étaient connues en Europe par le
happy
few depuis la Renaissance !!!), fait reconnu dans certaines
universités américaines depuis quelques décennies, mais pas encore à ma connaissance en France, comme de bien entendu, puisque nous
avions lors de la Révolution cru bon de faire croire au monde entier, ébahi, propagande nationaliste et révolutionnaire obligeant, que
nous avions inventé le mètre mesure avec son système décimal
(le dix millionième partie du quart du
méridien, ce qui fut le canular scientifiques sans doute des plus cocasses car s’il était pour longtemps impossible d’en prouver la
véracité, il en sera tout autant impensable de prouver scientifiquement son immense fausseté avant la fin du 20ème siècle
!!!), retransmis à Poussin en Italie au 17ème siècle et qu’il a génialement codé sur ses Bergers d’Arcadie en
se servant lui aussi (ô ironie, et par intuitive anticipation ?), d’un méridien virtuel que certains nomment la
Rose Ligne! Ce qui peut paraître fou à certains esprits embrumés chez nos clampins savants de R.L.C.
et surtout d’ailleurs, mais qui n’est que la simple et ordinaire vérité.
Et tout cela se démontre (les doigts dans le nez car
le niveau est celui de la cinquième ou quatrième des collèges) sur le tableau des Bergers d’Arcadie sans ne rien ajouter ni retrancher
car la composition géométrique
telle qu’elle est conçue par Poussin, est l’épure même du schéma de la première démonstration !
La seule difficulté est de pouvoir travailler avec l’équivalent photographique grandeur nature du tableau original afin d’éviter les
classiques petites erreurs, non pas tellement de mesures, mais de repérage des points de mesures ! Cette incontournable vérité fut
intuitivement annoncée jadis par quelques chercheurs intuitifs, hélas, et encore à ce jour, tout à fait incapables d’en prouver la
véracité ! Petit détail, elle se fait en
trois démonstrations différentes et particulières, pouvant ainsi satisfaire et
convaincre les plus ricaneurs des sceptiques, ou des négationnistes distingués.
Que nos très respectables savants,
géomètres, astronomes, ont –il découvert de si extraordinaire à la fin de la monarchie et pendant la révolution ? Une façon de sauver
la face devant le monde par trop inculte en inventant une définition para scientifique, propagande politique oblige,
du mètre
mesure et de ses décimales,
qu’on aura d’ailleurs l’intelligence suprême d’imposer (presque) au monde entier. Pas si mal, c’est
ça la politique, celle qu’on n’a plus les moyens de pratiquer en France, ni même en Europe décadente !
Hé bien BRAVO ! Beau travail, messieurs les concepteurs des cryptages du tableau d’Antoine à N.D.d.M. ! Nous n’avons pas perdu notre
temps en votre compagnie.
Permettez moi de marquer le coup (et pour
une fois d’être un minimum fier de moi, et tant pis si je me fais traiter de doux narcissique !), car à ma connaissance,
ce serait
bien une première, doublée d’une victoire !
Oui, une première
fois que dans le petit monde des deux Rennes, quelqu’un prouve de manière indiscutable et radicale,
qu’avec Boudet, ou avec Poussin, nous pouvons
grâce à ses petites clefs boy‑scout, qui n’ont l’air de rien, mais cependant passablement musclées, obtenir
des résultat
concrets,
« appréhendables », mesurables et mesurés, sans tricher, et que quiconque peut vérifier !…
et les autres et définitives preuves sont en mes cartons que je publierai quelques temps avant de mourir.
Mais dans le fond, je trouve réjouissant
d’avoir affaire à quelques irréductibles qui douteraient encore … j’espère qu’il m’en reste, car si non, je m’ennuierais beaucoup
trop, tel que moi, d’ailleurs, qui doute sans cesse de moi même ( Un comble, toujours par narcissisme …?), et … qui doute
aussi devant les évidences, comme un malade … les évidences du
tord contre les évidences de la
raison, et l’inverse,
croyez bien que je ne m’en sort pas !
Alors, patience : Une
réponse aux objections que quelques uns ne manqueraient pas de me formuler, arrive.
L’aventure commence à peine … !
Pour continuer,
lisez bien ceci :
Le témoignage ! (Enfin !)
Lorsque je demandais, après mes tout
premiers résultats, à tout hasard, et à seul titre indicatif
(Et je vous avoue que je n’en menais pas large
…) à
Jean‑Pierre Garcia, chercheur n’ayant pas peur des chiffres et qui aura approché de très près ce tableau
(et cette demande eut lieu
à l’aveugle, sans le prévenir que j’avais déjà repéré le codage Boudet
concernant le tableau de N.D.d.M.),
s’il avait une notion des dimensions du St Antoine,
car moi je n'en avais aucune d'indiscutable, que le pif, il me répondit presque instantanément par mail (…qu’à la louche …dixit J.P. !
…), ceci : il
estimait qu’il pourrait faire environ :
2, 2
m de large sur pratiquement 3 mètres de haut,
(… sans préciser
s’il s’agissait des dimensions estimées de la toile, ou bien seulement
de la partie visible …)
Divine
surprise !!!
Estomaqué, j’étais …
et le demeurais à l’époque, et le suis toujours et encore, toutefois fort satisfait par la parfaite
concordance de nos estimations, et je lui ai répondu sans autre précision
que son estimation me semblait
crédible !!!
Il me répondit qu’il en était ravi
sans me demander comment je m’étais débrouillé ! La discrétion est une de ses qualités. Il peut
témoigner de nouveau de ces faits. Je n’invente rien.
J’étais vraiment
heureux de connaître quelqu’un qui avait eu la curiosité de mesurer, ou estimer la largeur du tableau, et qui de surcroît m’aura
toujours fait confiance … donc un téméraire !
Cette stupéfiante mais rassurante
info collait si bien avec la mienne,
provenant à la fois du Boudet en lequel j’avais déjà engagé toute ma
confiance, et de l’autre, un Jean Pierre Garcia, que je pensais être le seul capable, hors Boudet, de connaître au moins une des
mesures du tableau… ! Banco !
Je savais donc
déjà que je ne m’étais pas trompé en mes intuitions, ni en mes calculs, et non plus dans le système des clefs que j’avais pas si mal
géré !
Encore une fois, ce
n'est pas tous les jours qu’on a l’occasion de se féliciter, alors j’en profite, (LOL) car demain quelqu’un ne manquera pas (j'espère
…) de me dire : monsieur, vous vous êtes gravement planté ! …
Ce qui promettrait de chaudes et
viriles discutions car je ne suis pas de ceux qui se drapent en un silence ou une suffisance méprisante et insupportable, en se
repliant dans leur cotonneuse tour d’ivoire, dés la première contrariété.
Mais revenons à la
chronologie. Après un de mes séjours en Razès, retournant chez moi, je le priais à nouveau par mail (puisque nous nous étions hélas
ratés en Juin de moins de 24 petites heures en Razès), de préciser s’il s’agissait de la partie visible ou de la dimension de la
toile. Il me répondit instantanément que c’était effectivement les dimensions qu’il avait repérées de la largeur de la partie
visible, puis qu’il en avait déduit la hauteur visible d’après de bonnes photos, estimant la feuillure du cadre à environ 5 cm
(seulement).
Ayant confiance
en son œil et connaissant sa juste appréciation habituelle des chiffres, j’en concluais, que la toile en son intégrité ferait
probablement :
~2, 26
m x 3, 1 m soit une toile de 7 m², soit encore de ~25, 5 coudées royales carrées.
Nous savons que ce
dernier résultat n’est que probable. Quant à
la
partie visible, je pense qu’il n’y a plus d’ombre … ombres au tableau ? Voir ?! …Façon de parler ! Il y a sans aucun doute
quelques autres mystères tapis sous la couche de bitume ! Nous les connaîtrons un jour. Petit détail, j’avais retardé au maximum
le moment où j’aurais à avertir
Jean‑Pierre Garcia que j’avais découvert
la formule de la surface de l’étrange tableau,
et les
mesures du triangle Pythagoricien par le codage Boudet !
Qu’il me pardonne rétrospectivement. Je sais aussi qu’il partage avec moi
la conviction que ce tableau serait d’une importance telle qu’il ne serait pas surprenant que Boudet, et peut être d’autres, tel
Leblanc, aient codé ses mesures, ainsi que celles du Triangle d’Isis des Trois lumières.
Quant aux
dimensions officielles de la toile
à la ligne près (12 lignes en un pouce) … ? Dieu les connaît sans doutes … ou alors le
renseignement doit peut être dormir quelque part dans quelques archives oubliées.
À moins que ce
tableau soit comme le Jésus d’Antugnac, un objet dont l’histoire exacte et la signification aura été volontairement gommée ?… à
cette différence près que ce tableau aura été classé
historique en tant que mobilier ancien de l’église. Vraiment ? Tableau
classé aveuglément historique? Sans en connaître ni les archives … ni l’histoire ? Ben oui, c’est banal.
Ce n’est pas le cas du Jésus d’Antugnac qui pourrait être démoli n’importe quand sans que ce soit le moins du monde illégal ! C’est
pour cela que la solution adoptée par les autorités est bien de le laisser pourrir debout
et de ne surtout pas réparer le socle qui
commence à s’effriter sérieusement, afin que le statue s’écroule net dés la prochaine tempête ou le premier coup de vandalisme
comme il en a déjà connu. Alors : poubelle ! Ah, si seulement vous aviez conscience ce qu’il représente, vous vous réveilleriez vite
pour reprendre sa défense ! …
Mais
voici la question légitime du jour
…
… et que vous devez
vous poser après la découverte du triangle Isiaque du tableau de N.D.d.M. et de ses mesures exactes, est bien de tenter de
comprendre à quoi correspondent ces mesures là ?
Alors, s’il vous
plaît, sachez seulement que ce triangle me semble plus que troublant et révélateur, et s’il ne représente pas en soi
le fin du fin du
sacré,
cependant,
il existe,
et qu’il est
indiscutablement
défini et superbement calé en ses ligne et en ses points, indiquant sur le point d’or ascendant de sa hauteur, un fameux point
G
vers lequel je prospecte seul avec quelques résultats encourageants depuis quelques lustres … !
Ce n’est déjà pas si mal.
J’ajoute que si je le
connaissais déjà, ce trigone, sur le terrain comme sur la carte, et ce, depuis … ??? … puisque qu’il s’intègre de manière
particulièrement intelligente au triangle de Pythagore de 3 4 5 km de périmètre, celui du LION, j’étais à mille lieues de penser, ni
même me permettais‑je d’espérer, encore moins de rêver que ses chiffres abstraits, une fois découverts cryptés, correspondraient
quelque part très exactement avec celui du tableau du supposé Mathieu Frédeau !
Maintenant souvenez vous du message que je publiais au chapitre n° 2 ! L’avez‑vous déjà oublié ?
« ATTRAPE TRIANGLE TROIS LUMIERES
LION
DUIT ACCES AU GRAAL ARCHIDUC. »
Grâce à cette précieuse découverte, nous progressons à grande vitesse ! Le « Graal de l’Archiduc », voit son territoire se
préciser, se « pointer » sur le
Lion du nord, et l’atmosphère se purifie, permettant d’apercevoir, au loin, dans les Hautes
Corbières, le splendide Lion du Sud.
C’est donc cela, la
première et la divine surprise !
Mais après la première surprise qui est toujours la plus belle, il y a la seconde, puis la troisième, comme aurait dit Monsieur de la
Palisse,
mon anti philosophe favori … ! … et on s’habitue, alors tout redevient austères banalités …
Ce petit triangle
représente un des deux aboutissements fondamentaux de notre quête, car cet article n’est qu’un très mince détail retranché d’une somme
de recherches particulièrement denses et complexes, véhiculant des dizaines de scoops, qui, désolé de parler sans détours, aboutissent
clairement quelque part de sérieux, ce que tout le monde pourra constater et vérifier, ça je suis en mesure de vous le promettre …
(et soyez pourtant persuadés que je ne suis nulle part en campagne électorale et que je n’ai toujours rien à vendre, donc, pourquoi
mentir et mentir toujours, ou imaginer comme font certains professionnels du mystère et de la soit disant recherche ?)
Autre remarque, et de taille ?
Si l’on prend le
livre avec le tape géant du titre Boudet traité à rebours du sens de lecture, en partant de la page 306, le pivot du tape du titre
étant toujours nécessairement le
K de la page
104, car il n’y a
pas de K intermédiaires, on terminera à la page
91 sur le
S
de SENT du mot coupé en deux parties sur un retour à la ligne : CROI‑SENT.
(Curieux croisement)
Autre cryptage également tout à fait
souriant, CROISANT justement le premier avec bonheur, car nous sommes page
91
avec les pommes d’or etc. (tape de
215 pages !).
Nous ne
développerons
que très sommairement ce thème
importantissime de l’envers du tape géant du
titre, tout aussi formidable, décoiffant et révélateur que le premier, car je ne veux pas tout dire et nous n’avons déjà que trop
flâné !
Il légitimera définitivement la
première analyse que vous venez de lire, en projetant infiniment plus loin et surtout plus précisément, en ce qui concerne les
positions des dépôts … qui, je le répète, ne sont pas des trésors négociables, mais sont sans aucun doute, d’ordre archéologique,
culturel, d’autres diraient spirituel, et concernant toutes les civilisations passées, présentes et à venir ! Que croyez vous que soit
le Graal annoncé par Boudet via l’Empire Austro‑hongrois ?
Vous pouvez d’ailleurs commencer à
vous y mettre … tenter de décrypter le tape géant du titre générique du livre d’Henri Boudet, de 49 lettres, mais inversé, et de
faire la synthèse avec la première démonstration ! C’est géant ! Chiche … ? Non ?
Alors, je vous
aide. Voici le départ :
Cela commence
comme cela : l’inverse du tape se termine page
91
qui est
l’homologue traité à l’endroit, du
138.
OK ?
… quoique
qu’apparemment, me diriez vous, ces termes n’aient aucunes raisons de s’accorder ente eux, car le second tape court sur une valeur
de – 215 pages, contre
+ 138 pages
pour le premier ! Hé …hé … En vérité, je vous le dis, si vous pensez cela, vous vous leurrez !
91
x 2 = 182, homologue du
279 ! (Voir la première
démonstration)
Hé bien oui,
pourtant, la clef modulable par décimales
138 (soit
1, 38) reste bien la
clef absolue donc universelle et le
279 utile au premier plan Boudétien, indiquant la page de
l’esquisse du triangle recherché, reste toute aussi valable ! Vraiment ? Rien n’a changé ? Non, bof, à peine un ou 2 détails …
(138
/ 91) x 2 = 3, 033 (279
/ 182) x 2 = 3, 06
Moyenne
arithmétique des 2 termes 3, 033 et 3, 06 = 3, 0465 soit l’arrondi à :
3,
047 … ! Et 3, 047 /
1, 38 =
2,
208 … ! Soit 3 m x 2, 20
m !!!
Et
c’est ici que nous retombons sur nos pattes comme les chats !
Quant au
triangle 3 4 5, nous savons qu’il a pour
hypoténuse
la clef numérique
1,6 (1, 6 m)
dont le produit avec l’autre grande clef numérique, la 1, 38 nous donne
2, 208 m la largeur de la
partie visible du tableau …
1,6 est aussi une des clefs
numériques du
triangle du Lion du nord de
3 km 4 km et 5 km
sur terrain formé par la logique prolongation du
triangle du tableau automatiquement et
naturellement présente sur le même terrain :
2, 475 km
3, 2 km
4 km.
3 –
2, 475 =
0, 525
4 –
3, 2 =
0, 8
5 –
4 =
1
Total =
2, 325
2, 325 x
12 (la clef de calcule du triangle
de Pythagore) =
27, 9 une de nos clefs primordiales exprimée réduite à 1 / 10, la
279 n° page de la réduction cryptée par Boudet du triangle du tableau d’Antoine.
Triangulation
Pythagoricienne du
279 :
279 / 12 x 3 =
69, 75 … x 4 = 93 et x 5 = 116, 25, voir au tout début de la démonstration sur le premier tape en sens normal … Etc.
Confirmations
astucieuses de nos précédents résultats ?
Vous êtes surpris ?
Bluffés ? Perplexes ? Normal,
c’est du « Boudet » ! (pas du Léo Bourbon!)
Figurez vous que je n’y suis que pour
peu, voire rien, car il suffit de suivre docilement le maître (très efficacement assisté, nous en convenons), en ayant connaissance de
ses réflexes de codeur virtuose (ce n’est pas en deux mois, ni deux ans qu’il faut y travailler, mais plutôt 20 ans, et cela tous les
jours …).
Depuis le temps que
je vous serine que l’abbé était en son temps un génie, oui, mais
un génie refoulé … avec
bien entendu l’aide de ses amis très instruits qui l’ont plus qu’efficacement conseillé, voire dépassé, se sont chargé des conceptions
des cryptages et des codages avec leurs difficiles insertions dans le texte très déconcertant de Boudet, un travail de
bénédictins,
comme on dit, et qui ont dû mettre à l’épreuve les nerfs et la patience des typographes (et de l’imprimeur éditeur) ! Les brouillons
devaient être coton et surtout traîtreusement révélateurs des codes et cryptages employés !
Etonnez vous après cela qu’ils fussent
tous détruits et que qu’aucune épreuve ne fut conservée par l’imprimeur éditeur en ses archives (pourtant conservation obligatoire
pour un long temps) !!!
Boudet remercie ses
aides en cryptant le nom de certains amis (connus de nous) … mais c’est encore une autre histoire !
Bref, revenons à nos
moutons … avec cette autre découverte ! (S’il existe encore un lecteur non endormi par
mes diversions et capable de témoigner de l’achèvement de mes démonstrations) ?
… laquelle par
contre ne doit rien à une introspection d’ordre littéraire et que je place intentionnellement en fin de texte,
afin de piéger les
paresseux et les clampins qui ont toujours la flemme d’aller au bout des longs textes compliqués qui les dérangent ou les assomment,
et qu’on ne « lit » en général qu’en diagonale en capitulant bien avant le troisième quart. C’est humain. Je fais pareil.
Observez mieux ce tableau
d’Annibale Carrachi, révélation que
je dois en grande partie à
l’excellent Christian Attard,
et lequel, bien inspiré, fut un jour intrigué par ce tableau
d’Annibale Carrachi,
d’inspiration comparable à celui du supposé
Mathieu Frédeau. Merci et bravo Christian ! Une
Trouvaille d’une valeur inestimable ! |