Ou l'histoire d'un grand Secret...

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Léo Bourbon le retour - Rennes-le-Château Archive

Léo Bourbon, le retour...    4/4

   Rennes‑Le‑Château ou l'histoire d'un grand secret

 

 

 

Léo Bourbon

alias Jean‑Marie Villette

 

est un chercheur à part.
Mêlant Rennes à la mythologie
et au jeu des nombres,
son discours est toujours
pertinent et ne laisse jamais indifférent. Ses exposés peuvent perturber, contrarier,
voire même agacer certains.... Normal, la construction d'un édifice ne se fait pas sans heurt. Comme pour Boudet,
il faut lire et relire
pour savourer...

 

 

Peu importe les critiques...

Après tout, n'est‑ce pas là,
la vrai raison
d'être du chercheur ?

   Je me rappelle encore notre première rencontre  improbable, il y a quelques années, à l'ombre d'un arbre planté au pied du petit bassin circulaire, en face de la Villa Béthanie. C'était l'été, et sans nous donner rendez‑vous, nos chemins s'étaient croisés au cœur du village qui nous est cher. Chacun à tour de rôle, nous nous sommes mis à échanger, l'un sur ses dernières trouvailles, l'autre sur une piste inédite et surprenante. Bien sûr, chaque chercheur a ses obsessions, ses convictions, ses motivations qui peuvent être très différentes, mais il est toujours surprenant qu'au final, après plusieurs années, des convergences apparaissent...

 

   Au fil de nos recherches non concertées, des parallèles existent ; c'est indéniable, et elles deviennent de plus en plus remarquables. C'est un fait,  la  Géométrie sacrée associée à la mythologie revisitée, et à l'étude numérologique de la Vraie Langue Celtique signée Boudet, permet à Léo Bourbon d'apporter un nouvel éclairage. Cerise sur le gâteau, le Saint Antoine de ND de Marceille est de la partie...

 

   Certains dirons que son exposé est trop technique, trop pointu, que les démonstrations sont à la limite du raisonnable, voire romanesques... Mais l'affaire de Rennes est‑elle vraiment raisonnable ? Chaque avancée dans l'énigme, chaque découverte, pousse encore plus loin l'impossible, l'improbable. Année après année, des réponses sont apportées, alors que d'autres questions naissent, plus embarrassantes, plus difficiles à combler. Il suffit d'observer comment certains détracteurs évacuent les sujets difficiles ou se réfugient derrière l'Histoire officielle et bien pensante. Certes, il est bien plus simple de discourir sur la vie insolite de Bérenger Saunière, sur son trafic de messe, ou de dénoncer quelques erreurs d'analyse, plutôt que de poser la question du pourquoi le Domaine, qui et comment ?  Pourquoi sa géométrie ? Pourquoi des peintures décalées dans l'église Marie Madeleine ? Pourquoi Boudet écrivit‑il un livre absurde qu'il distribua aux notables et aux érudits ? Pourquoi tant de coïncidences historiques, et pourquoi les plus hautes instances royales du XVIIe siècle fut‑elles si proches du Haut Razès ?

 

    C'est donc avec un grand plaisir que je publie ici la suite des études inédites de Léo Bourbon, alias Jean‑Marie Villette.... Nul doute que tout ceci me permettra de rebondir encore plus facilement... Je me tais maintenant... à toi Jean‑Marie...

 

Jean‑Pierre Garcia     

 

 

Ce récit est inédit et a été confié à RLC Archive

Toute copie totale ou partielle est interdite sans autorisation de son auteur
Copyright © RLC Archive

 

 

Le cahier d'écolier

 

Chapitre IV

 

Montrez votre jeu ?

De bons atouts en main !

 

Bingo ! Une formule réduite !

Pour le fun : (e = mc² ?)

 

Le témoignage !

Des preuves.

 

La clef inversée !

 

Les surprises du Carrachi

 

NOTA : Un récapitulatif final existe pour les distraits qui n’auraient  pas tout suivi de l’enchaînement théorique de ma démonstration truffée de diversions nombreuses mais à mon sens, nécessaires, toutefois compliquant d’autant le plan du cheminement … tout en créant, naturellement, de nouvelles ouvertures.

 

Des premiers indices de preuves ?

 

   Quelques semaines après le dernier calcul de Juillet, exposé en chapitre n°3, je redescendais en Razès, à Notre Dame de Marceille, afin d’observer une nouvelle fois le tableau, en quête secrète du nouveau miracle ou du coup de chance à la Sherlock Holmes permettant de découvrir l’indice minuscule (improbable ?) qui allait nous aider à vérifier ce beau résultat !!! Rêveur obstiné, pensez vous ? Ou tout bonnement vieux bonhomme intuitif, puisque je découvrais avec un certain plaisir (Hé … ! Un détail gros comme un troupeau d’éléphants et qui n'avait pas échappé à quelques uns, et je l’avais pourtant observé cent fois sans percuter, car je n'étais point encore concerné, et que par conséquent, je n’en avais nul besoin…), que le murs de la basilique étaient comme ceux de l’église de Saunière, très nettement et régulièrement quadrillés avec ses rectangles absolus, paraissant horizontalement autant que  verticalement tirés à la perfection ! (Testés grâce à mon indispensable niveau de poche). Pensez bien que je ne n’entre plus en une église sans prévoir une musette digne d'un ouvrier spécialisé, ni sans jumelles de théâtre, sans non plus ma lampe, mes calculettes, mes mesures longues ou courtes etc. C’est plus prudent et parfois indispensable !

 

   Petit détail compliquant (si peu !), les rectangles sont séparés par une petite marge de largeur constante (idem vérifié) !

 

   J’avais maintenant devant les yeux, avec le tableau, l’image d’un rectangle posé sur une page quadrillée de cahier d’écolier dont il était facile de repérer la valeur des quadrillages, donc des mesures globales du tableau ! Faute de finesse, j’aurai à coup sûr quelques cm près, la vérité !

 

Suspens, encore … ?   Quitte … ou double !

 

   Dans la foulée, j’observais que tous les grands tableaux devaient être de taille copie conforme, sauf peut être le nouveau qui prit la place de celui d’Antoine qui est présenté à l’inverse ! Son thème étant le grand incendie de Limoux !

 

 

Mon premier résultat relativement exact ? 

 

   J’en doutais encore, car je doute constamment … le doute et la méthode, avec le café (rarement consommé mais à doses concentrées !), sont les meilleurs carburants de mes moteurs (diesel) cervicaux (faut les chauffer préalablement).

 

   À ce propos, voici une note que me passe Flo, mon horripilant petit neveu : « Ne travailler qu’avec ses propres convictions nuit gravement à l’objectivité du chercheur … (et dans les cas extrêmes peut nuire gravement à sa santé mentale !...)»

 

   On devrait écrire cette évidence en grosses lettres au dos de tous les livres traitant de RLC, et même sur les meilleurs !

 

   Ceci dit, vite j’eus vite cette autre conviction, que grâce aux repères muraux j'avais un indice fiable ! Par acquit de conscience, je recommençais mes calculs de repères quatre fois, testant trois autres tableaux identiques. Le surlendemain, je revins et revérifiais tout !

 

   Les calculs pourtant n’étaient que jeux d’enfant, assis au frais sur un des bancs en bois, tapant gentiment sur ma calculette (qui est aussi mon livre de prières !), laquelle aimablement me fournit quatre fois le même obstiné résultat :

 

Environ : 2, 20 m  x  3 m !

 

   Ceci estimé à plus ou moins quelques cm près … forcément. Mais là au moins une erreur conséquente aurait été déjà démasquée ! Plutôt encourageant !?

 

   Le principal, étant bien la découverte (qui restait idem à prouver) du codage des mesures du triangle interne … ce qui était le but essentiel de notre démarche ! …

 

96   128   160. Et en ce domaine j’ai la faiblesse de vouer une confiance indéfectible à Boudet (ou à ses conseillers ?). Mais voila… Quelque chose me gênait.

 

   Je n’étais pas encore satisfait pour autant ! Je suis un individu pénible, compliqué, jamais content ! Le genre de type champion des faux départs …qui a toujours oublié l’essentiel, et qui revient toujours en arrière le rechercher en perdant un temps fou et horripilant tout le monde !

 

   J’avais rêvé de découvrir la formule abstraite, indiscutable, le raccourci permettant de vite calculer les mesures vraies du tableau, que Boudet, ou bien un comparse plus avancé, qui, en homme pratique, n’aurait pas manqué (faute de nous décevoir gravement), de nous coder, sans le secours de la moindre approximation visuelle, quoique l’œil, je l’ai plutôt fiable, puisque dans ma vie j’avais tâté du dessin industriel, item subi plus que suivi des études techniques rébarbatives en ateliers de mécanique, mais formant radicalement l’œil et le jugement des formes, apprenant à repérer des différences de mesures infimes au seul coup d’œil, puis ce furent les arts décoratifs, puis en dilettante et somptueuse paresse  pagailleuse, les Beaux Arts, où naturellement j’avais pratiqué la peinture, et plus tard, pas mal la photo à l’époque où la photographie (traduction du grec : écrire avec la lumière !!!), ne rendait pas l’œil passif, mais par nécessité, le formait et l'éduquait ! … Tout ceci passe obligatoirement par l’œil, comme la musique par l’oreille … sans « l’œil juste », point de réussite technique ni artistique, pas de recherches abouties, non plus !

 

   De plus, un repérage sur photo est toujours sujet à cautions puisqu’un tantinet empirique étant donné la fiabilité affaiblie par la prise de vue si elle n’est pas effectuée juste pile poil  dans le bon axe.

 

   La reproduction sur l’écran d’un PC est également sujette à quelques déformations fâcheuses, tout dépend de la qualité et du bon réglage de votre écran.

 

   Alors ? Alors, alors ? Évidemment, je ne m’appelle pas Einstein, ça se saurait … mais il y a‑t‑il besoin d’être génial à ce point pour découvrir le très modeste « e = mc² » du tableau réadapté au tableau de Marceille ? Chiche ! (LOL !) … Un genre de  formule radicale, réduite à l’extrême, revisitée et relativisée … ???

 

   Mais encore un effort, mon vieux, me tarabustais‑je ! Secoue toi, montre que tu es encore bon à quelque chose ! (J’adore me tarabuster … quand ce n’est pas Flo qui m’agresse, mon taquin, mais indispensable, de petit neveu.)

 

   Hé bien, dés que je me relisais, je réalisais en effet, que je n’étais qu’une bête inattentive. Un imbécile. (C’est dit.)

 

Car nous avions en main plus d’atouts qu’il n’en fallait, et certains d’entre vous, j’ose l’espérer, l’auront déjà compris ?

 

Mais oui, c’est bien sûr ! Où avais‑je la tête ? Bref, faisons confiance en Boudet et à ses chiffres, puis à ses hommes ! Que nous ne l’avions pas fait plus tôt !? (La solution était trop simple …comme d’habitude ?)

 

Hypothèses : Allons toujours au plus simple. La largeur ? … Et si elle était le produit de la première clef numérique imposée par Boudet, le 1,38 avec la dernière clef numérique imposée par Boudet, le 1,6 !? Simple intuition provoquée par l'expérience. Peut‑on faire plus simple et mieux (dans la logique Boudétienne) ? Je ne pense pas. Souvenons nous de précédents, où la solution était le rapport de deux nombres généreusement offerts par Boudet !

 

   Sous le soleil  de Boudet, la vérité se trouve toujours tapie à l’ombre de ses évidences. Et si cela était encore le cas ? Voyons :

 

1, 38 (la toute première clef formulée) x 1,6 (L’ultime clef numérique) = 2, 208 m

 

Et serai‑ce la longueur ? :  1, 38² x 1,6 = 3, 047 m.

 

   Hé bien, voici les deux formules déduites en ce début de suite arithmétique, et que je préfère nettement, car magnifiques en leur simple nudité :

 

         

   La largeur    =    1, 6  x  1, 38   =~   2, 21 m

   La longueur    =    1, 6  x  1, 38²   =~   3, 05 m

 

 

Enfantin, mon cher Wilson, aurait écrit Leblanc !

 

Serait‑ce tombé en notre escarcelle le probable raccourci (tant espéré) ?

Et si c’était la bien venue formule arithmétique des clefs Boudétiennes du tableau de Marceille ? Tenons le pari, jusqu'à preuve du contraire ?.

Nous arrondirons à 2, 2 m et 3 m. (Au fait ? Seraient elles les mesures du tableau entier, ou bien celles de la partie visible ?) …..

 

Récré : Einstein et le tableau d’Antoine

 

   Uniquement pour « le fun » et destiné aux gens qui ont le sens des chiffes, de la relativité des choses, le goût de l’insolite et pourquoi pas de l’auto dérision, cette dernière qualité étant trop rare sur la Colline où tout le monde aurait propension à se prendre beaucoup trop au sérieux … ? Reprenons nos derniers nombres :

 

Soit e (l’inconnue) = La longueur du tableau

 

Soit (les deux clefs)   m = 1,6 ,  et soit c = 1, 38

avec sa déclinaison au carré : = 1,38²

 

On peut alors écrire cette jolie formule hyper célèbre et relativement très juste (et drôle) : e = mc2

 

e = mc²  soit   1, 6 x 1,38² = 3, 047

Et   mc = 1, 6 x 1, 38 = 2, 208

 

   Finalement, tonton Einstein et sa bébête formule de la relativité n’était relativement, pas si loin de notre petit problème du jour ?Hé, hé ! Ben, ça alors

Bien …fini de rigoler (« ha, bon … me fait mon petit neveu Florentin, un peu déçu, dommage, cela devenait enfin intéressant !) …Jamais content, ce gosse ! Pense qu'à s'amuser !

 

   Ecoutez plutôt : Je suis prêt à parier ceci : (quitte à me ridiculiser … (ou bien d’entrer dans la légende sur un coup de poker ?), que 2, 208 et 3, 047 sont bien au mm près les vraies mesures du tableau face apparente en son cadre. Pourquoi ? D’abord parce que l’expérience me dit qu’il n’y a aucune raison que je me sois égaré, et que si j’avais un doute à ce sujet il s’estomperait, car :

 

2, 208 font 2 + 2 + 0 + 8 = 12 et que 3, 047 font 3 + 0 + 4 + 7 = 14

et que 14 / 12 = 1, 1666666666 qui est le magnifique (mais top secret) rapport du LION, le phare absolu qu’il ne faut jamais perdre de vue !  ( … et puisque c'est bien sur le site (repaire et repère) du LION, comme nous le verrons rétrospectivement, que cette histoire finalement devait aboutir ! ...

 

   En attendant, nos dimensions du trigone des trois lumières, déjà découvertes par un raccourci analogue sont je le pense fortement, itou, mais sous réserves, justes).

 

0, 6 x 1, 6 = 0, 96 base

0, 8 x 1, 6 = 1, 28 hauteur

1     x 1, 6 = 1, 60 hypoténuse

 

                   0, 96 m    1, 28 m    1, 60 m

 

   Euréka ? Le rapport arithmétique des valeurs des côtés 3, 05 avec 2, 21 est bien 1, 38 la première clef indiquée dés le départ, page 138 !

 

Remarques : Périmètre arrondi du tableau = (2, 2 m + 3) x 2 = 10, 40 m

Périmètre du triangle 3 lumières = 0, 96 + 1, 28 + 1, 6 = 3, 84 m

Leur rapport arithmétique = 10, 40 / 3, 84 = 2, 7083333333

 

116 (clef pythagoricienne modulable de Boudet) x 2, 7083333333 = 314,16

= 100 Pi !!!

 

D’où : 1,16 x 2, 7083333333 = 3, 1416 = Pi

 

A l’inverse : Pi / 1,16 = 2, 7083    et     Pi / 2, 7083 = 1,16

 

   Et 100 Pi / 2, 7083 = 116 la page de la signature Boudet : A.B. H. BOUDET, comme 116 est bien la clef lui servant de signature pythagoricienne numérique avec le 121 et le 11.

 

   Donc nous constatons (comme par hasard) que la clef Pythagoricienne de Boudet, modulable par multiplication ou par division par 10, est consubstantielle de Pi et du rapport des périmètres de la face visible du tableau d’Antoine, avec celui du triangle de Pythagore des Trois lumières ! Voila que je reconnais en ces enchaînements comme un petit parfum style Bergers d’Arcadie lorsque qu’il y a 25 ans, je débutais ma première analyse de laquelle ont  découlé jusqu’ici tous mes paramètres utiles … et dont je n’ai encore pas dévoilé publiquement la teneur … émotion … !

 

Mon intuition est‑elle juste ?

Hum, hum, racine carrée de : (2, 20 ² + 3, 04²) =~ 3, 75 m

Et    3, 75 m x Pi = un cercle de ~ 11, 78 m de périmètre

 

   Comprendra qui voudra, l’intérêt absolu de ce nombre décimal car nous avons déjà rencontré plusieurs fois ce nombre et ses avatars … Je m’expliquerai plus complètement un jour avec le fameux Pi (11, 78 x 4) = 148 approximation de 147, 87 (cela vous rappelle quelque chose ?) Mais, si vous avez été attentifs, ce dont je ne doute pas, j’ai déjà, il me semble, évoqué deux fois cette valeur, à propos de Poussin, du tableau des Bergers d’Arcadie, et sa diagonale … etc. !

 

Mesures présumées de la face visible en Coudées Royales :

 

4,2 coudées royales.

5,8 coudées royales

Périmètre face visible = 20 coudées royales soit

Surface = 24,36 coudée royales carrées.

Périmètre en mètres = 10, 472 m (arrondi : 10, 48)

Surface en m² =~ 6, 66 m² soit ~ 666 dm²

  

20 coudées royales = 0, 5236 m x 20 = 10, 472 m.

 

10, 472 m / (10 toises d’or = 19, 416 m) = 0, 53934899 m

 

   Mais à partir des lignes précédentes, retenons bien ce qui va suivre à partir de ce périmètre de la face visible du tableau d’Antoine exprimé en Coudées Royales (Coudée codée sur les Bergers d’Arcadie) et traitées par la Toise d’Or, puis par 3, le chiffre symbolique de la trinité Universelle d’après Boudet, et qui est plus que jamais à l’honneur en cet article avec le triangle des trois lumières :

 

0, 53934899 m x 3 (trinité universelle) = 1, 618 m = Phi mètre soit 1,618 m

 

    C’est évident, si non, dites moi où se cache le lézard ? Soit, en toute logique arithmétique, je vous propose trois petites remarques … qui sont trois définitions du mètre mesure issues de la Coudée Royale, de la toise d’or, de Phi, de Pi, du rapport d’Osiris (= 1, 2), toutes valeurs dont nous connaissons depuis belle lurette, et pour cause, l’invariable parité en mètres, par les absolus invariables de l’univers, trois définitions reconnues au siècle de Poussin par toutes les sociétés secrètes bien informées depuis le début de la Renaissance Italienne. 

 

   Selon nos derniers paramètres (le mot est de circonstance !), et comme nous venons de le démontrer, 0,53934899 mètres x 3 = Phi mètre, il en découle automatiquement  trois remarques d’une importance extrême mettant définitivement hors circuit l’abominable absurde et faussement scientifique définition du mètre mesure par la dix millionième partie du quart du méridien de Paris, le grand canular scientifique du second millénaire :

 

Rappel : si nous considérons comme nous l’avons démontré, le terme Phi représentant Phi mètre, soit 1, 618 m :

Première stupéfiante remarque : 1 mètre = (1,2 x Phi ²) / Pi.

 

Deuxième stupéfiante remarque :

1 mètre = (1/Phi)  /  1,2 (rapport d’Osiris) x 1, 9416 (la toise d’or).

 

Troisième stupéfiante remarque :

1 mètre = 1, 9416 (la toise d’or) / 1, 618 (le nombre d’or) / 1, 2 (le rapport d’Osiris).

 

Gardez bien cela en mémoire, c’est un très antique trésor (… mais avouable car inattaquable car reconnu par de doctes universités de Californie aux States) !!

Si non, je le répète, où est le lézard ?

 

   Je viens de résumer à propos de notre tableau de Notre‑dame de Marceille, un message scientifique

 

(d’avant‑garde ? Non pas ! … Puisque ces notions sur le mètre mesure en gestation étaient connues en Europe par le happy few depuis la Renaissance !!!), fait reconnu dans certaines universités américaines depuis quelques décennies, mais pas encore à ma connaissance en France, comme de bien entendu, puisque nous avions lors de la Révolution cru bon de faire croire au monde entier, ébahi, propagande nationaliste et révolutionnaire obligeant, que nous avions inventé le mètre mesure avec son système décimal (le dix millionième partie du quart du méridien, ce qui fut le canular scientifiques sans doute des plus cocasses car s’il était pour longtemps impossible d’en prouver la véracité, il en sera tout autant impensable de prouver scientifiquement son immense  fausseté avant la fin du 20ème siècle !!!), retransmis à Poussin en Italie au 17ème siècle et qu’il a génialement codé sur ses Bergers d’Arcadie en se servant lui aussi (ô ironie, et par intuitive anticipation ?), d’un méridien virtuel que certains nomment la Rose Ligne! Ce qui peut paraître fou à certains esprits embrumés chez nos clampins savants de R.L.C. et surtout d’ailleurs, mais qui n’est que la simple et ordinaire vérité.

 

    Et tout cela se démontre (les doigts dans le nez car le niveau est celui de la cinquième ou quatrième des collèges) sur le tableau des Bergers d’Arcadie sans ne rien ajouter ni retrancher car la composition géométrique telle qu’elle est conçue par Poussin, est l’épure même du schéma de la première démonstration ! La seule difficulté est de pouvoir travailler avec l’équivalent photographique grandeur nature du tableau original afin d’éviter les classiques petites erreurs, non pas tellement de mesures, mais de repérage des points de mesures ! Cette incontournable vérité fut intuitivement annoncée jadis  par quelques chercheurs intuitifs, hélas, et encore à ce jour, tout à fait incapables d’en prouver la véracité ! Petit détail, elle se fait en trois démonstrations différentes et particulières, pouvant ainsi satisfaire et convaincre les plus ricaneurs des sceptiques, ou des négationnistes distingués.

 

   Que nos très respectables savants, géomètres, astronomes, ont –il découvert de si extraordinaire à la fin de la monarchie et pendant la révolution ? Une façon de sauver la face devant le monde par trop inculte en inventant une définition para scientifique, propagande politique oblige, du mètre mesure et de ses décimales, qu’on aura d’ailleurs l’intelligence suprême d’imposer (presque) au monde entier. Pas si mal, c’est ça la politique, celle qu’on n’a plus les moyens de pratiquer en France, ni même en Europe décadente !

 

   Hé bien BRAVO ! Beau travail, messieurs les concepteurs des cryptages du tableau d’Antoine à N.D.d.M. ! Nous n’avons pas perdu notre temps en votre compagnie.

 

   Permettez moi de marquer le coup (et pour une fois d’être un minimum fier de moi, et tant pis si je me fais traiter de doux narcissique !), car à ma connaissance, ce serait bien une première, doublée d’une victoire !

 

   Oui, une première fois que dans le petit monde des deux Rennes, quelqu’un prouve de manière indiscutable et radicale, qu’avec Boudet, ou avec Poussin, nous pouvons grâce à ses petites clefs boy‑scout, qui n’ont l’air de rien, mais cependant passablement musclées, obtenir des résultat concrets, « appréhendables », mesurables et  mesurés, sans tricher, et que quiconque peut vérifier !… et les autres et définitives preuves sont en mes cartons que je publierai quelques temps avant de mourir.

 

   Mais dans le fond, je trouve réjouissant d’avoir affaire à quelques  irréductibles qui douteraient encore … j’espère qu’il m’en reste, car si non, je m’ennuierais beaucoup  trop, tel que moi, d’ailleurs, qui doute sans cesse de moi même ( Un comble, toujours par narcissisme …?), et qui doute aussi  devant les évidences, comme un malade … les évidences du tord contre les évidences de la raison, et l’inverse, croyez bien que je ne m’en sort pas !

 

   Alors, patience : Une réponse aux objections que quelques uns ne manqueraient pas de me formuler, arrive.

L’aventure commence à peine … !

 

Pour continuer, lisez bien ceci : Le témoignage ! (Enfin !)

 

   Lorsque je demandais, après mes tout premiers résultats, à tout hasard, et à seul titre indicatif (Et je vous avoue que je n’en menais pas large …) à Jean‑Pierre Garcia, chercheur n’ayant pas peur des chiffres et qui aura approché de très près ce tableau (et cette demande eut lieu à l’aveugle, sans le prévenir que j’avais déjà repéré le codage Boudet concernant le tableau de N.D.d.M.), s’il avait une notion des dimensions du St Antoine, car moi je n'en avais aucune d'indiscutable, que le pif, il me répondit presque instantanément par mail (…qu’à la louche …dixit J.P. ! …), ceci : il estimait qu’il pourrait faire environ :

 

 2, 2 m de large sur pratiquement 3 mètres de haut,

 

(… sans préciser s’il s’agissait des dimensions estimées de la toile, ou bien seulement de la partie visible …)

 

   Divine surprise !!! Estomaqué, j’étais … et le demeurais à l’époque, et le suis toujours et encore, toutefois fort satisfait par la parfaite concordance de nos estimations, et je lui ai répondu sans autre précision que son estimation me semblait crédible !!!

 

   Il me répondit qu’il en était ravi sans me demander comment je m’étais débrouillé ! La discrétion est une de ses qualités. Il peut témoigner de nouveau de ces faits. Je n’invente rien.

 

   J’étais vraiment heureux de connaître quelqu’un qui avait eu la curiosité de mesurer, ou estimer la largeur du tableau, et qui de surcroît m’aura toujours fait confiance … donc un téméraire ! 

 

   Cette stupéfiante mais rassurante info collait si bien avec la mienne, provenant à la fois du Boudet en lequel j’avais déjà engagé toute ma confiance, et de l’autre, un Jean Pierre Garcia, que je pensais être le seul capable, hors Boudet, de connaître au moins une des mesures du tableau… ! Banco !

 

   Je savais donc déjà que je ne m’étais pas trompé en mes intuitions, ni en mes calculs, et non plus dans le système des clefs que j’avais pas si mal géré !

 

Encore une fois, ce n'est pas tous les jours qu’on a l’occasion de se féliciter, alors j’en profite, (LOL) car demain quelqu’un ne manquera pas (j'espère …) de me dire : monsieur, vous vous êtes gravement planté ! …

  

   Ce qui promettrait de chaudes et viriles discutions car je ne suis pas de ceux qui se drapent en un silence ou une suffisance méprisante et insupportable, en se repliant dans leur cotonneuse tour d’ivoire, dés la première contrariété.

 

   Mais revenons à la chronologie. Après un de mes séjours en Razès, retournant chez moi, je le priais à nouveau par mail (puisque nous nous étions hélas ratés en Juin de moins de 24 petites heures en Razès), de préciser s’il s’agissait de la partie visible ou de la dimension de la toile. Il me répondit instantanément que c’était effectivement les dimensions qu’il avait repérées de la largeur de la partie visible, puis  qu’il en avait déduit la hauteur visible d’après de bonnes photos, estimant la feuillure du cadre à environ 5 cm (seulement).

Ayant confiance en son œil et connaissant sa juste appréciation  habituelle des chiffres, j’en concluais, que la toile en son intégrité ferait probablement : 

 

~2, 26 m x 3, 1 m soit une toile de 7 m², soit encore de ~25, 5 coudées royales carrées.

 

   Nous savons que ce dernier résultat n’est que probable. Quant à la partie visible, je pense qu’il n’y a plus d’ombre … ombres au tableau ? Voir ?! …Façon de parler ! Il y a sans aucun doute quelques autres mystères tapis sous la couche de bitume ! Nous les connaîtrons un jour. Petit détail, j’avais retardé au maximum le moment où j’aurais à avertir Jean‑Pierre Garcia que j’avais découvert la formule de la surface de l’étrange tableau, et les mesures du triangle Pythagoricien par le codage Boudet ! Qu’il me pardonne rétrospectivement. Je sais aussi qu’il partage avec moi la conviction que ce tableau serait d’une importance telle qu’il ne serait pas surprenant que Boudet, et peut être d’autres, tel Leblanc, aient codé ses mesures, ainsi que celles du Triangle d’Isis des Trois lumières.

 

   Quant aux dimensions officielles de la toile à la ligne près (12 lignes en un pouce) … ? Dieu les connaît sans doutes … ou alors le renseignement doit peut être dormir quelque part dans quelques archives oubliées.

 

   À moins que ce tableau soit comme le Jésus d’Antugnac, un objet dont l’histoire exacte et la signification aura été volontairement gommée ?… à cette différence près que ce tableau aura été classé historique en tant que mobilier ancien de l’église. Vraiment ? Tableau classé aveuglément historique? Sans en connaître ni les archives … ni l’histoire ? Ben oui, c’est banal.

 

   Ce n’est pas le cas du Jésus d’Antugnac qui pourrait être démoli n’importe quand sans que ce soit le moins du monde illégal ! C’est pour cela que la solution adoptée par les autorités est bien de le laisser pourrir debout et de ne surtout pas réparer le socle qui commence à s’effriter sérieusement, afin que le statue s’écroule net dés la prochaine tempête ou le premier coup de vandalisme comme il en a déjà connu. Alors : poubelle ! Ah, si seulement vous aviez conscience ce qu’il représente, vous vous réveilleriez vite pour reprendre sa défense ! …

 

Mais voici la question légitime du jour

 

… et que vous devez vous poser après la découverte du triangle Isiaque du tableau de N.D.d.M. et de ses mesures exactes, est bien de tenter de comprendre à quoi correspondent ces mesures là ?

 

   Alors, s’il vous plaît, sachez seulement que ce triangle me semble plus que troublant et révélateur, et s’il ne représente pas en soi  le fin du fin du sacré, cependant, il existe, et qu’il est indiscutablement défini et superbement calé en ses ligne et en ses points, indiquant sur le point d’or ascendant de sa hauteur, un fameux point G vers lequel je prospecte seul avec quelques résultats encourageants depuis quelques lustres … ! Ce n’est déjà pas si mal.

 

   J’ajoute que si je le connaissais déjà, ce trigone, sur le terrain comme sur la carte, et ce, depuis … ??? … puisque qu’il s’intègre de manière particulièrement intelligente au triangle de Pythagore de 3  4  5 km de périmètre, celui du LION, j’étais à mille lieues de penser, ni même me permettais‑je d’espérer, encore moins de rêver que ses chiffres abstraits, une fois découverts cryptés, correspondraient quelque part très exactement avec celui du tableau du supposé Mathieu Frédeau !

 

Maintenant souvenez vous du message que je publiais au chapitre n° 2 ! L’avez‑vous déjà oublié ?

 

« ATTRAPE  TRIANGLE  TROIS   LUMIERES     

LION   DUIT   ACCES  AU   GRAAL   ARCHIDUC. »

 

   Grâce à cette précieuse découverte, nous progressons à grande vitesse ! Le « Graal de l’Archiduc », voit son territoire se préciser, se « pointer » sur le Lion du nord, et l’atmosphère se purifie, permettant d’apercevoir, au loin, dans les Hautes Corbières, le splendide Lion du Sud.

 

C’est donc cela, la première et la divine surprise !

 

   Mais après la première surprise qui est toujours la plus belle, il y a la seconde, puis la troisième, comme aurait dit Monsieur de la Palisse, mon anti philosophe favori … ! … et on s’habitue, alors tout redevient austères banalités …

  

   Ce petit triangle représente un des deux aboutissements fondamentaux de notre quête, car cet article n’est qu’un très mince détail retranché d’une somme de recherches particulièrement denses et complexes, véhiculant des dizaines de scoops, qui, désolé de parler sans détours, aboutissent clairement quelque part de sérieux, ce que tout le monde pourra constater et vérifier, ça je suis en mesure de vous le promettre … (et soyez pourtant persuadés que je ne suis nulle part en campagne électorale et que je n’ai toujours rien à vendre, donc, pourquoi mentir et mentir toujours, ou imaginer comme font certains professionnels du mystère et de la soit disant recherche ?)

 

Autre remarque, et de taille ?

 

   Si l’on prend le livre avec le tape géant du titre Boudet traité à rebours du sens de lecture, en partant de la page 306, le pivot du tape du titre étant toujours nécessairement le K de la page 104, car il n’y a pas de K intermédiaires, on terminera à la page 91 sur le S de SENT du mot coupé en deux parties sur un retour à la ligne : CROI‑SENT. (Curieux croisement)

 

   Autre cryptage également tout à fait souriant, CROISANT justement le premier avec bonheur, car nous sommes page 91 avec les pommes d’or etc. (tape de 215 pages !).

 

  Nous ne développerons que très sommairement ce thème importantissime de l’envers du tape géant du titre, tout aussi formidable, décoiffant et révélateur que le premier, car je ne veux pas tout dire et nous n’avons déjà que trop flâné !

 

   Il légitimera définitivement la première analyse que vous venez de lire, en projetant infiniment plus loin et surtout plus précisément, en ce qui concerne les positions des dépôts … qui, je le répète, ne sont pas des trésors négociables, mais sont sans aucun doute, d’ordre archéologique, culturel, d’autres diraient spirituel, et concernant toutes les civilisations passées, présentes et à venir ! Que croyez vous que soit le Graal annoncé par Boudet via l’Empire Austro‑hongrois ?

 

   Vous pouvez d’ailleurs commencer à vous y mettre … tenter de décrypter le tape géant du titre générique du livre d’Henri Boudet, de 49 lettres, mais  inversé, et de faire la synthèse avec la première démonstration ! C’est géant ! Chiche … ? Non ?

Alors, je vous aide. Voici le départ :

 

   Cela commence comme cela : l’inverse du tape se termine page 91  qui est l’homologue traité à l’endroit, du 138. OK ?

 

 … quoique qu’apparemment, me diriez vous, ces termes n’aient aucunes raisons de s’accorder ente eux, car le second tape court sur une valeur de – 215 pages, contre + 138 pages pour le premier ! Hé …hé … En vérité, je vous le dis, si vous pensez cela, vous vous leurrez !

 

91 x 2 = 182, homologue du 279 ! (Voir la première démonstration)

 

   Hé bien oui, pourtant, la clef modulable par décimales 138 (soit 1, 38) reste bien la clef absolue donc universelle et le 279 utile au premier plan Boudétien, indiquant la page de l’esquisse du triangle recherché, reste toute aussi valable ! Vraiment ? Rien n’a changé ? Non, bof, à peine un ou 2 détails …

 

(138 / 91) x 2 = 3, 033        (279 / 182) x 2 = 3, 06

 

Moyenne arithmétique des 2 termes 3, 033 et 3, 06  = 3, 0465 soit l’arrondi à :

 

3, 047 … !    Et  3, 047 / 1, 38 = 2, 208 … !    Soit 3 m x 2, 20 m !!!

 

Et c’est ici que nous retombons sur nos pattes comme les chats !

 

   Quant au triangle 3  4  5, nous savons qu’il a pour hypoténuse la clef numérique 1,6 (1, 6 m) dont le produit avec l’autre grande clef numérique, la 1, 38 nous donne 2, 208 m la largeur de la partie visible du tableau …

 

   1,6 est aussi une des clefs numériques du triangle du Lion du nord de 3 km  4 km et 5 km sur terrain formé par la logique prolongation du triangle du tableau automatiquement et naturellement présente sur le même terrain :

2, 475 km     3, 2 km     4 km.

 

3 – 2, 475 = 0, 525        4 – 3, 2 = 0, 8         5 – 4 = 1        Total = 2, 325

 

   2, 325 x 12 (la clef de calcule du triangle de Pythagore) = 27, 9 une de nos clefs primordiales exprimée réduite à 1 / 10, la 279 n° page de la réduction cryptée par Boudet du triangle du tableau d’Antoine.

Triangulation Pythagoricienne du 279 :

279 / 12 x 3 = 69, 75   … x 4 = 93    et    x 5 = 116, 25, voir au tout début de la démonstration sur le premier tape en sens normal … Etc.

 

   Confirmations astucieuses de nos précédents résultats ?

Vous êtes surpris ? Bluffés ? Perplexes ? Normal, c’est du « Boudet » ! (pas du Léo Bourbon!)

 

   Figurez vous que je n’y suis que pour peu, voire rien, car il suffit de suivre docilement le maître (très efficacement assisté, nous en convenons), en ayant connaissance de ses réflexes de codeur virtuose (ce n’est pas en deux mois, ni deux ans qu’il faut y travailler, mais plutôt 20 ans, et cela tous les jours …).

 

   Depuis le temps que je vous serine que l’abbé était en son temps un génie, oui, mais un génie refoulé … avec bien entendu l’aide de ses amis très instruits qui l’ont plus qu’efficacement conseillé, voire dépassé, se sont chargé des conceptions des cryptages et des codages avec leurs difficiles insertions dans le texte très déconcertant de Boudet, un travail de bénédictins, comme on dit, et qui ont dû mettre à l’épreuve les nerfs et la patience des typographes (et de l’imprimeur éditeur) ! Les brouillons devaient être coton et surtout traîtreusement révélateurs des codes et cryptages employés ! Etonnez vous après cela qu’ils fussent tous détruits et que qu’aucune épreuve ne fut conservée par l’imprimeur éditeur en ses archives (pourtant conservation obligatoire pour un long temps) !!!

 

   Boudet remercie ses aides en cryptant le nom de certains amis (connus de nous) … mais c’est encore une autre histoire !

 

   Bref, revenons à nos moutons … avec cette autre découverte ! (S’il existe encore un lecteur non endormi par mes diversions et capable de témoigner de l’achèvement de mes démonstrations) ?

 

… laquelle par contre ne doit rien à une introspection d’ordre littéraire et que je place intentionnellement en fin de texte, afin de piéger les paresseux et les clampins qui ont toujours la flemme d’aller au bout des longs textes compliqués qui les dérangent ou les assomment, et qu’on ne « lit » en général qu’en diagonale en capitulant bien avant le troisième quart. C’est humain. Je fais pareil.

 

   Observez mieux ce tableau d’Annibale Carrachi, révélation que je dois en grande partie à l’excellent Christian Attard, et lequel, bien inspiré, fut un jour intrigué par ce tableau d’Annibale Carrachi, d’inspiration comparable à celui du supposé Mathieu Frédeau. Merci et bravo Christian ! Une Trouvaille d’une valeur inestimable !

 


 

Saint‑Antoine par Annibale Carrachi (1560‑1609)

 

   Le visage d’Antoine nous y apparaît quasiment identique à celui brossé par le supposé Mathieu Frédeau, même inclinaison du visage, même expression de surprise et d’espoir, les traits quasiment semblables, seulement marqués chez le second, par quelques longues années supplémentaires ! Cette ressemblance est capitale et les liens entre les deux tableaux vont dans le sens de mon analyse précédente.

Remarquons le regard d’Antoine fixé sur un point analogue à celui de son homologue de Marceille, en ce cas, le haut cercle lumineux de la tête de Jésus.

 

   Vous remarquerez facilement qu’Antoine nous présente une main grande ouverte, donc 5 doigts ouverts, la droite, comme chez le soit disant Frédeau, jusqu’ici, rien de transcendent, mais que penser de ce démon dont le corps est incontestablement humain, légèrement cornu et ailé à la diable, qui nous présente 5 doigts griffus, dont un nettement est en retrait sur un autre plan parce qu’au creux de la main, et qui nous met en évidence 4 doigts, puis voyez ce lion cornu. Observez la patte située à gauche (soit sa patte droite), elle présente une anomalie : 3 doigts bien visibles de la pattes avant du lion telle que justement elle ne doit pas se présenter dans la réalité, puisque nous aurions dû observer 4 doigts, le cinquième étant atrophié, porté plus haut et par côté tel un ergot et ne touchant jamais terre.

 

   5  4  3  voici les proportions du triangle de Pythagore. Si nous regardons plus soigneusement encore, nous rendons compte de la réalité du triangle de Pythagore pointé sur ces trois signaux numériques des doigts 3  4  5 avec son angle droit et ses mesures impeccables. Le triangle des 12 doigts, dont 3 d’entre eux sont bien ceux représentés (le 4ème en retrait) sur le rocher du Lion du Sud dont nous parlerons un jour.

(Remarque : 12 doigts ? Sont‑ce signifiés 12 pouces = 1 pied d’or … pied de lion, ou main de lion ?...réfléchir aux possibles correspondances …)

 

 Récapitulons. Repérage d’un triangle Pythagoricien (… et du LION ? …)

en tous cas de type analogue à celui du tableau de Marceille …

et sur la carte à celui dit du LION !

 

   Le tableau d’Antoine abbé, de A. Carrachi est un tableau de taille modeste et mesure selon le catalogue : 49, 5 cm x 34, 4 cm, surface = 0, 17 m² (= 17 dm²)

Rapport longueur / largeur =~ 1, 439 soit 1 + 4 + 3 + 9 = 17.

 

   Il est délicat (mais possible !) de définir avec mes seuls moyens le triangle pythagoricien suscrit au tableau !

 

   D’après les estimations les plus affinées sur une photo grandeur nature fort modeste de ce tableau, la base serait de 128 mm ce qui donnerait pour toutes mesures : 128 mm   170, 7 mm   213, 3 mm et donc de périmètre 512 mm soit 51, 2 cm. (Triangulation Pythagoricienne du 512) : 

 

De là, grâce au 128 mm mon hypothèse : 

 

… qui a l’avantage de placer ce nouveau triangle Pythagoricien en accord absolu avec le trigone des Trois Lumières de N.D.d.M., mesurant  96  128  160 qui n’est que la partie Ouest du triangle Pythagoricien dit du LION, bien réel sur le terrain en 3  4  5  km. Donc, la hauteur du premier (soit 128), deviendrait la base du second !  (Observable sur la carte, puisque ces mesures y apparaissent en mm !)

 

   Les sceptiques, les lecteurs critiques, ou seulement attentifs me demanderont comment cela se fait que la correspondance se fasse si simplement et hors remise à échelle sur la carte IGN … auquel cas, je répondrais : réfléchissez plutôt à ce fait tout à fait stupéfiant, j’en conviens, mais particulièrement révélateur, dont je ne veux pas aujourd’hui vous déflorer les clefs quasiment évidentes (trop tôt …et trop long, cela nécessiterait 30 pages bien serrées !), mais sachez bien qu’ici demeure pour les très perspicaces analystes et détectives, le dénouement de la solution de tous les gros problèmes de transcriptions sur carte, solutions d’ordre mathématique allègrement résolus depuis 20 ans après l’étude des Bergers d’Arcadie de Poussin par mes soins … et heureusement qu’il en fut ainsi, car sans cette découverte fondamentale qui m’avait tellement bouleversé quand elle vint à moi comme une vérité démontrable et démontrée, sans le moindre lézard, et que je m’en retrouvais toit hébété, tombais en un malaise profond et ne voulu plus rouvrir mes brouillons pendant six longs mois en lesquels était couchée ma découverte, de peur d’avoir seulement rêvé ou de m’être abusé … j’avais peur, très peur de ce que je venais de comprendre, bien trop fort et inattendu pour mon petit mental embrumé, et pensais‑je : « Sûrement, je me suis trompé quelque part », et tournais et retournais mentalement dans tous les sens possibles ma démonstration … Où m’étais‑je trompé ? En fait, une fois calmé, je réalisais tranquillement et froidement qu’il en était  tout autrement, et qu’aucun vice ni erreur ne s’était glissés en mes relevés et démonstrations ! Assurément, sans cette découverte accouchée dans la douleur et le doute, je me tairais et raserais les murs car j’aurais été bien incapable de mener à bien toutes mes découvertes à venir, pensez le …

 

   Ainsi non seulement le nouveau triangle retranscrit sur carte IGN s’accorde au système général, mais il vient désigner la longitude d’un second point « chaud » présumé et découvert  par un groupe d’excellents chercheurs et avec lequel, sur ce point précis du moins, nous serions en accord parfait en nous rejoignant par des voies différentes, du côté de la Berke (pour parler Boudétien !), mais de toute évidence convergentes … et super convaincantes, pour parler comme mon petit neveu !

 

   J’en connais un capable de reconstruire tout ce que je ne montre pas, uniquement par les chiffres que je lui propose ! Seulement voilà, que fera‑il du beau croquis sur la carte sans avoir connues, comprises ni assimilées mes clefs essentielles de départ ? Des décennies de boulot sont le moteur de cet article avec en supplément une patiente expérience qui, comme toutes les expériences, ne se partage pas (et vice et versa) !

 

Maintenant, parlerons nous encore de preuves ? Pourquoi pas ?

 

   Je constate par ailleurs que 51, 2 (Rappel : en cm, 51, 2 cm est le périmètre du triangle pythagoricien du Carrachi) + 1,16 chiffres de la grande clef pythagoricienne d’Henri Boudet  = 51, 2 + 1, 16 = 52, 36, la valeur exacte de la Coudée Royale en cm ! … Encore un croustillant détail dont la valeur symbolique autant que mathématique est réelle. Encore un heureux hasard ? Ou plutôt, encore une haute signifiance ?

 

   D’autres part, existerait‑il donc un raccourci codé dans le tableau de Carrachi permettant de calculer au rasoir les côtés du trigone de ce dernier tableau ? …et … aurais‑je déjà la dessus (à votre avis ?) ma petite idée …? Hé bien, oui !

 

Considérez de votre côté, ceci, le périmètre du tableau =

2 x (49, 5 + 34, 4) = 167, 8

 

Soit 167,8 / 52, 36 (la Coudée royale) =  3,2 

Le ½  périmètre du tableau = 83, 9

83, 9 / 52, 36 = 1,6

 

   Voyez vous venir la formule ? Voilà qu’apparaît avec le 3,2 le 1,6 l’ultime clef du triangle de Pythagore des trois lumières d’Antoine à Notre‑Dame de Marceille, grâce à la Coudée Royale, la première des clefs numériques des Bergers d’Arcadie de Poussin !

 

   Superbe découverte : Les côtés du triangle Pythagoricien suscrit dans le tableau de Carrachi seraient respectivement égaux à la triangulation Pythagoricienne des 3 produits de la triangulation du 32 (3,2 x 10) qui seront chacun multipliés par 1,6 (Ultime clef universelle de l’hypothétique Mathieu Frédeau).

 

   Mais, pour ceux qui n’auraient pas encore percuté, 32 et 20 (équivalents à 3,2 et 2 tel dividende et diviseur) sont deux nombres légitimes et indispensables pour nos calculs présents. Pourquoi ? 

 

Réponse : ce rapport 32 / 20 est aussi la clef finale 1,6 :

32 / 20 (= 16 /10 = 8 / 5 = 3,2 / 2)1,6 !!!

 

Capito ? Dont acte : Soit la triangulation du 32 8   10, 666  et  13, 333 :

 

8 x 1,6 = 12,8            10, 666 x 1,6 = 17,0666           13, 333 x 1,6 = 21,3333

Total = 52 (= 2 x 26)

 

   Savourons … ! 26, toute première clef numérique guidant le décryptage de GASC et Gaskins sur la page 138 de LVLC de Boudet, la toute première clef !!! …souvenez vous, avec Boudet, une bonne clef jamais ne tombe en panne et toujours vous mènera au but …

 

   Nous venons de boucler la boucle en découvrant le raccourci du calcul du trigone Pythagoricien dit des douze doigts utiles du Carrachi avec 1,6 une des clefs universelles, et depuis notre début, clef indispensable !

 

   Je gardais (la toute dernière ?) allusion à une autre révélation, pour la bonne bouche, pour la route. La voici :

 

   Question subsidiaire : où se trouve le triangle pythagoricien de 8,00   10, 666  et  13, 333 (en cm) ? A votre avis ?... Hé bien, c’est une autre histoire que nous développerons  peut‑être bientôt … Je le souhaite.

 

   Une affaire à manier avec hautes précautions tellement les conséquences de sa découverte sont expansives ! Ne m’en demandez pas trop. J’ai déjà beaucoup trop parlé. Il est grand temps que je me taise. Un secret n’est pas fait pour être trahi, mais pour être partagé en privé, avec des individus soigneusement choisis, mais jamais livré sur le domaine public … autrement que codé !

 

 .

RECAPITULATIF :

  

Résumé des 13 opérations arithmétiques successives (importantes et réussies !), nous ayant mené à la solution réduite en une formule minimaliste et radicalement efficace :

 

1) Découverte du nombre 138 : terme du tape du titre Boudet page 138. Découverte du triangle Pythagoricien 6  8  10.

 

2) Hypothèse de 138 x 2 = 276 : chapitre de La fontaine de Notre Dame de Marceille. Le chapitre du Boudet est le seul à contenir 116 lignes, le nombre de la clef pythagoricienne de Boudet.

 

3) Mise en évidence de la page 279 (= 276 + 3 …la Trinité !) du triangle Pythagore, jumeau de celui de la page 138, et hypothétique réduction du triangle des 3 lumières du tableau, symbolisant la Trinité Sainte et Universelle. 

 

4) Triangulation Pythagoricienne du numéro 279 de la page en question contenant l’esquisse présumée du triangle recherché sur le tableau.

 

5) Obtention des produits du 6  8  10  par la clef Pythagoricienne de Boudet, le 116 que nous constatons égaux (un nouveau miracle à N.D.d.M. ?) à ceux de la triangulation du nombre 279 contenant le 6  8  10.

 

6) Découverte du rapport clef 210 / 152 = 1, 38. Donc la confirmation de la piste du départ page 138. La clef est aussi ce numéro réduit à 1, 38.

 

7) Traitement par la clef 1, 38 des nombres déjà recueillis par les produits de du 6  8  10 avec la clef Boudet pythagoricienne 116.

 

8) Obtentions des valeurs supposées, parce que vraisemblables, des côtés du triangle du tableau, notre but de départ.

 

9) Découverte de l’échelle réduite 1, 6 à partir du 1 pour 16 et provenue de la nécessité de traduire les valeurs en unités mètre. 1, 6 m est aussi l’hypoténuse du triangle Pythagore (Trois Lumières) du tableau et 16 est une clef du triangle Pythagore du Lion !

 

10) Vérifications boy scout réussies par les repères des quadrillages réguliers des murs de N.D.d.M !

 

11) Découverte de la formule minimaliste arithmétique directement opérationnelle par seulement l’échelle réduite 1, 6 et la clef de départ 1, 38. (= la victoire !). De là, confirmation éclatante des valeurs découvertes du TRIANGLE DES TROIS LUMIÈRES, en partie OCCULTÉ sur le tableau de Mathieu Frédeau de NOTRE DAME DE MARCEILLE.

 

12) Découverte et divine surprise, ce triangle possède les chiffres exacts du triangle désignant le point supposé de dépôts sur la section d’or de sa base : 0, 96  1, 28 et  1, 60 … (0, 96 / 1,618 =  0, 5933)

Quels dépôts ?

 

   Sur ce plan là, Boudet est aussi assez prolixe ! Lisez le. Mais permettez moi de penser que ce n’est pas encore le propos du jour et que de toutes manière un autre point assez lointain du premier est aussi bien défini … et de surcroît,  je ne suis pas seul à en connaître l’importance ! Je ne voudrais pas gêner les travaux de mes meilleurs collègues.

 

13) Découverte d’un résultat analogue concernant les mesures du tableau, donc du triangle, par le traitement du tape de 49 lettres en son ordre originel mais en prenant le livre à l’inverse, partant de la page 306.

 

 

Fin du Chapitre IV

                                    

   Le chapitre n° 5 verra l’émergence du jeune Papus et de ses pairs, lesquels influencèrent les codeurs de L.V.L.C., au point que je suis convaincu qu’un des inspirateurs de Papus, collabora de près à L.V.L.C. !

 

   On reparlera aussi des Pommes Bleues trinitaires, un concept important, plus arithmétique, symbolique et spectaculaire, que littéraire, opportunément récupéré par un certain abbé Boudet (et son équipe) !

 

   Car, pour les amateurs, j'annonce que je livrerai quelques signatures de collaborateurs actifs à la rédaction du texte de L.V.L.C. Je rassure tout de suite certains chercheurs que vous devinez aisément, car j'arrive globalement aux mêmes résultats sans n'avoir jamais copié sur eux (et pour causes, ce travail personnel date déjà de 10 ans et plus !) et de surcroît, en suivant des pistes aux techniques de décryptage très différentes ! Ce qui tendrait à signifier qu'il existerait plusieurs voies justes et praticables, concernant les grands décodages de L.V.L.C. et des mystères des deux Rennes en général.

 

 

Fin