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Ou l'histoire d'un grand Secret...

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Léo Bourbon le retour - Rennes-le-Château Archive

Léo Bourbon, le retour...    2/4

   Rennes‑Le‑Château ou l'histoire d'un grand secret

 

 

 

Léo Bourbon

alias Jean‑Marie Villette

 

est un chercheur à part.
Mêlant Rennes à la mythologie
et au jeu des nombres,
son discours est toujours
pertinent et ne laisse jamais indifférent. Ses exposés peuvent perturber, contrarier,
voire même agacer certains.... Normal, la construction d'un édifice ne se fait pas sans heurt. Comme pour Boudet,
il faut lire et relire
pour savourer...

 

 

Peu importe les critiques...

Après tout, n'est‑ce pas là,
la vrai raison
d'être du chercheur ?

   Je me rappelle encore notre première rencontre  improbable, il y a quelques années, à l'ombre d'un arbre planté au pied du petit bassin circulaire, en face de la Villa Béthanie. C'était l'été, et sans nous donner rendez‑vous, nos chemins s'étaient croisés au cœur du village qui nous est cher. Chacun à tour de rôle, nous nous sommes mis à échanger, l'un sur ses dernières trouvailles, l'autre sur une piste inédite et surprenante. Bien sûr, chaque chercheur a ses obsessions, ses convictions, ses motivations qui peuvent être très différentes, mais il est toujours surprenant qu'au final, après plusieurs années, des convergences apparaissent...

 

   Au fil de nos recherches non concertées, des parallèles existent ; c'est indéniable, et elles deviennent de plus en plus remarquables. C'est un fait,  la  Géométrie sacrée associée à la mythologie revisitée, et à l'étude numérologique de la Vraie Langue Celtique signée Boudet, permet à Léo Bourbon d'apporter un nouvel éclairage. Cerise sur le gâteau, le Saint Antoine de ND de Marceille est de la partie...

 

   Certains dirons que son exposé est trop technique, trop pointu, que les démonstrations sont à la limite du raisonnable, voire romanesques... Mais l'affaire de Rennes est‑elle vraiment raisonnable ? Chaque avancée dans l'énigme, chaque découverte, pousse encore plus loin l'impossible, l'improbable. Année après année, des réponses sont apportées, alors que d'autres questions naissent, plus embarrassantes, plus difficiles à combler. Il suffit d'observer comment certains détracteurs évacuent les sujets difficiles ou se réfugient derrière l'Histoire officielle et bien pensante. Certes, il est bien plus simple de discourir sur la vie insolite de Bérenger Saunière, sur son trafic de messe, ou de dénoncer quelques erreurs d'analyse, plutôt que de poser la question du pourquoi le Domaine, qui et comment ?  Pourquoi sa géométrie ? Pourquoi des peintures décalées dans l'église Marie Madeleine ? Pourquoi Boudet écrivit‑il un livre absurde qu'il distribua aux notables et aux érudits ? Pourquoi tant de coïncidences historiques, et pourquoi les plus hautes instances royales du XVIIe siècle fut‑elles si proches du Haut Razès ?

 

  C'est donc avec un grand plaisir que je publie ici la suite des études inédites de Léo Bourbon, alias Jean‑Marie Villette.... Nul doute que tout ceci me permettra de rebondir encore plus facilement... Je me tais maintenant... à toi Jean‑Marie...

 

Jean‑Pierre Garcia     

 

 

Ce récit est inédit et a été confié à RLC Archive

Toute copie totale ou partielle est interdite sans autorisation de son auteur
Copyright © RLC Archive

 

 

La fontaine de
Notre Dame de Marceille

 

Chapitre II

Premiers points de repères

Comment  M. Leblanc et A. Lupin
entrent en scène avec

 

« Huit ôtés de neuf, reste un »

 

« Le Graal de l’Archiduc » AEIOU, les 21 »

 

Lions et sphinx des Hautes Corbières

 

Avec D. Téniers le Jeune et N. Poussin
les Archiducs Habsbourg et le roi de France,
gardiens des mêmes secrets ?

 

The Boudetian tape 

 

 Osons ressortir la lame GASQ !

 

   Il est notable, et remarqué par maints observateurs, que l’abbé Henri Boudet aura curieusement fait la part belle à la basilique de Notre‑Dame de Marceille et plus précisément à sa source miraculeuse, laquelle, selon une croyance populaire et religieuse, soignerait plusieurs maux, dont les yeux gâtés. (Intéressant détail, en aurions nous besoin ?)

 

   Voici donc un saint lieu, parfois aux effets miraculeux de par sa mini source jamais tarie et gouttant toute l’année selon le rythme immuable de la seconde temps, durant les quatre saisons, égrenant l’éternité alternativement sèche (les intervalles) et humide (les gouttes d’eau), devant la Voie Sacrée (… de quoi rendre perplexes pas mal de poètes, de mystiques … et d’alchimistes ?)

 

   Toutefois, ne me sachant pas alchimiste et mauvais mystique, je préfèrerais m’engager en une voie plus conventionnellement réaliste, capable de nous offrir quelques résultats tangibles, car faire de l’ésotérisme pour le seul plaisir du jeu, est un de ces divertissements de l’esprit qui nous grisent, nous bercent en trois petits tours … et puis s’en vont, ne nous abandonnant au creux des mains qu’une demi once de cendres douçâtres vite égaillées au premier hoquet d’air … mais il n’est cependant pas convenable d’ignorer les signes de l’Alchimie quand ils existent, sciemment installés, ou biens, pourquoi pas, seulement hasardeux … puisqu’il n’y a pas de pur hasard … mais seulement de l’inexpliqué.

   Voici N.D.d.M., un sanctuaire assez éloigné du faux Cromleck de l’abbé Boudet ! … Mais nous savons que l’abbé entretenait une affection certaine autant que force liens avec quelques frères lazaristes demeurant à N.D.d.M. (Lire à ce sujet les fructueuses recherches de F. D.).

 

   Alors me vint à l’esprit l’hypothèse suivante qui pourrait paraître un tantinet audacieuse aux yeux de certains, et surtout à ceux des courageux obstinés en leurs préjugés infondés … et en l’ignorance systématique de L.V.L.C. (lol) :

 

   Et si, par bonheur, monsieur l’abbé Boudet, ou un de ses amis, avait en ce chapitre, crypté quelques unes des vérités du tableau d’Antoine, comme il l’auront fait avec plusieurs vérités directement puisées dans le vivier des Bergers d’Arcadie … ?

 

   Ah, ah ? Hypothèse qui laisserait supposer que cette affaire de tableau de Marceille serait déterminante au point que Boudet (est ses amis) s’en soient mêlés et qu’ils s’y intéressèrent jusqu’à crypter et coder substantiellement un ou plusieurs indices sérieux … est‑ce bien crédible, n’est ce pas trop présomptueux ? Plongeons, ainsi saurons nous ?    

 

D’où l’axiome Lapalissien du jour :

 

   Qui ne posera pas les bonnes questions à Boudet, n’entendra jamais ses réponses pertinentes!

 

  Suffit‑il d’être assez fin pour trouver les bonnes questions ? … Me souffle mon  petit neveu Florentin qui s’intéresse beaucoup à nos affaires de tableaux…

 

Voici une hypothèse pour les Boudétiens (rares mais valeureux !). D’autant, que pour ne rien vous cacher, étant moi‑même un de ces individus insupportables de tendance Boudétienne, j’avais depuis pas mal d’années repéré un superbe codage en ce fameux sous‑chapitre n° 7 intitulé : « La fontaine de Notre‑Dame de Marceille», que nous évoquerons très en détail plus loin dans notre chapitre n° 3.

 

   Le St Antoine Ermite, qui fut jadis un somptueux tableau, est appendu aujourd’hui sur le mur Sud de la basilique Notre‑Dame de Marceille à Limoux.


Emplacement originel du tableau, mur Nord Gravure de messieurs Certain et Régné

 

Emplacement actuel du tableau de Saint‑Antoine, mur Sud (photo J.M.V.)

 

    Il se retrouve aujourd’hui coincé entre la chair magnifique et la chapelle abritant le buste (reliquaire ?) de Saint Loup, donc sur le mur Sud, face au mur Nord, sur lequel il était placé originellement sous ce curieux médaillon n°26 représentant une noire maison d’or reconnue par plusieurs spécialistes de la science alchimique, et symbole que l’on retrouve en bonne place avec également la Vierge Marie dans le chœur de Notre‑Dame du Cros, ex haut lieux Boudétien et magnifique sanctuaire marial, dont l’abbé Boudet fait allusion en fin de ce même sous chapitre. Il se passe parfois de curieuses (et bien belles) choses aux couleurs bleues dans la cœur de ce sanctuaire, devant le vitrail de l’Apocalypse (Comment ? … Vous ne connaissez pas encore le vitrail de l’Apocalypse à N.D du Cros, courrez y ?!) , et tout cela vers le 15 Août, jour de la Sainte Marie !!! Mais pour avoir une chance de les observer, il faudrait suivre à la lettre mes indications suggérées en une de mes nouvelles décrivant à mon impertinente manière, une messe du 15 Août, phénomène se produisant à condition que le soleil soit au rendez vous et que vous sachiez vous placer très exactement comme je le décris ! Et si vous n’arrivez pas tout de même à voir, contactez moi en privé. Je vous aiderai à mieux ouvrir les yeux … et à photographier le prodige !

 


Domus Aurea à la Vierge à N.D. du Cros

 


Domus Aurea médaillon n° 26  à ND de Marceille

 

   Mais qu’on le veuille ou non, alchimie ou pas, ce fut là, à Notre Dame de Marceille, un agencement décoratif et symbolique (et peut‑être un indice clef !), probablement organisé par l’inévitable chanoine Henri Gasc lors de la restauration du sanctuaire ! … Car je vous informe à l’avance que ce n° 26, choisi probablement par Gasc, l’aura été tout autant (et comme par hasard)par l’abbé Henri Boudet afin de nous guider en un cryptage un peu compliqué, mais très gratifiant, au tout début de notre quête, au sujet du problème du tableau d’Antoine Ermite. Une clef numérique, le 26, qui va nous accompagner sur L.V.L.C. pendant un bon bout de chemin !

 

Le tableau à l’origine était donc placé sur le mur Nord, jusqu’après la tourmente médiatique (une tempête en un verre d’eau acide !) de la première décennie 2000, dont le grand mérite fut de nous faire découvrir ce sacré tableau, et de là nous donner envie de le comprendre, sereinement, hors de toutes les (parfois pittoresques, oui, mais piquantes) polémiques entre quelques ego prématurément surchauffés au rouge, puis au blanc, avant de décliner peu à peu vers le noir corbeau (Alchimie, toujours … Hum … ?).

 

   Depuis nombre d’années, j’étais en effet préoccupé par un probable jeu de lumières statiques que je pensais avoir été établi par le peintre sur le tableau de St Antoine, et que je nommais « le trigone (ou triangle) des Trois Lumières » en référence à la Trinité Sainte et Universelle, un ardent thème Boudétien.

 

   Et d’autant plus attaché à ce concept trinitaire que je m’attaquais alors à une série de décodages numériques, pratiqués lors des dernières années 90, puis au cours des premières années 2000 (et dont je n’avais pas tout compris au début, soit des problèmes techniques du décodage, puis des résultats obtenus … soit disant en clair ? …lol …), au point que je les rancardais au risque de les égarer en attendant les progrès espérés me permettant de dominer lucidement les problèmes et de contourner les écueils en travaillant et me cultivant.

 

   A partir d’ici, et en ce chapitre, je vais donc observer un recule certain avec le tableau de Marceille… mais en réalité, nous réaliserons vite que ce dont je vais vous entretenir, sans doute un scoop, conservera un rapport plus que probable avec le tableau de N.D.d.M. … comme deux parallèles qui, vues en perspective, vont finalement se raccrocher à celles de notre tableau !

 

   Je vous parlerai donc d’un des décodages parmi les plus clairs et que je pense avoir été parfaitement abouti, et que j’oserais qualifier maintenant avec le recul, d’exercice pratiqué à un niveau supérieur, résolu grâce à une clef numérique inspirée d’une locution de Maurice Leblanc (voir le Cabochon de Cristal (le seul nom authentique, puisque titre original  du livre !), chapitre 2 (donc, aujourd’hui nommé le Bouchon de Cristal) :

 

Huit ôtés de neuf, reste un

(21 lettres, le nombre Boudétien du Graal !)

 

   Une formule est d’une simplicité désarmante, mais finalement contient, comme je le présumais intuitivement dés la relecture, une clef numérique basique applicable en un chiffrement de code … simple hypothèse de ma part au tout début … mais hypothèse qui perdura jusqu’au beau jour ou elle se transmuta en réalité constatée … mais non sans peine !

 

   Voici l’opération posée, affichée, répétée, mais qui croirait à une réelle formule de chiffre de code ? Nul ne saurait en être spontanément certain, je le reconnais.

Pour tout vous dire, idem moi‑même j’hésitais, en doutais, je l’avoue, et je n’ai commencé à percuter qu’à retardement, après 2003, mon année de rupture avec le monde du travail, mais ce qui d’un autre côté me prêta l’avantage du temps libre pour me consacrer uniquement à mes recherches ! … Car si la formule est irréprochable, pour ma part, je demeure parfois lent (et surtout prudent) … sur la détente !

 

   Mais, si je supposais posséder la bonne formule, par quel bout fallait‑il la prendre, comment la comprendre, et quels gisements de lettres traiter ? Vaste inconnue ! Le trouverai‑je dans Leblanc, ou dans le Boudet, ou ailleurs ? Je n’avançais pas, pataugeais, m’embourbais, et enfin me décourageais.

 

   Six ans après cette innocente intuition (cela passe vite mais c’est très long, six ans), j’avais fini par découvrir (par hasard ? … non, puisque je testais méthodiquement chaque page et que l’inconscient, avec ses automatismes, demeure constamment éveillé, même en situation de sommeil paradoxal …!), quelques pages du Boudet en lesquelles mon chiffre fonctionnait en recréant un texte équilibré, clair et surtout analysable, donc compréhensible

 

    J’en étais donc à la page 279, une page appartenant au sous‑chapitre intitulé « Fontaine de Notre‑Dame de Marceille ». C’était comme par hasard, la page d’une clef géométrique majeure du triangle des Trois Lumières, et que j’avais identifié comme une entité probable depuis quelques années ! (Voir le développement sur ce sujet capital au prochain chapitre).

   Intéressante coïncidence … mais je n’avais pas encore conscience du rapport des deux concepts. En fait toutes les vraies découvertes importantes ou futiles nous paraissent semblablement suivre des itinéraires cérébraux incontrôlables  … car même si vous n’êtes pas fringant, votre cerveau tournera tout de même à une vitesse phénoménale et indépendamment de votre volonté et de votre bonne ou mauvaise conscience, et vous passez votre temps à lui courir après ! Bref … et parfois même, j’ose le dire (pas assez souvent, et je le regrette) !), il arrive que par le véhicule de rêves, même cauchemardesques et obsédants, on est parfois prévenu d’une trouvaille ou d’une clef indiquant la marche à suivre vers la solution du problème du jour, en vous éveillant (dans les deux sens du terme !), ce qui permet d’en conserver le souvenir intacte.

 

   Pour mon cas (car le phénomène est bien connu des chercheurs et beaucoup pourraient aussi nous raconter leurs expériences), la toute première fois, il y a bien des années, ce fut la révélation des couples mixtes (chiraux et non chiraux), de la locution ET IN ARCADIA EGO des Bergers de Poussin ! Je rêvais que je plaquais des lettres majuscules théoriquement autocollantes doubles faces en latex sur le pan vertical d’un rocher (hé, hé !), devoir périlleux qui n’avait rien d’agréable car les lettres collaient mal, ou bien ne savais‑je m’y prendre, puisqu’elles chutaient sans cesse dans le vide. Alors m’agaçant et m’épuisant à redescendre les récupérer et à remonter les recoller, je m’aperçus alors qu’il fallait de nouveau  recommencer car si pour une fois elles semblaient tenir, dans ma précipitation je les avais finalement inversées sans le faire exprès, comme vues au miroir ! Mais que de révélations en découlaient ! C’est à cet instant qu’éveillé en sursaut, j’eu l’idée d’analyser immédiatement la locution latine des Bergers d’Arcadie comme celle du Titre de la Croix inversé à St Sulpice de Paris, tableau du crucifiement d’Emile Signole (véritable titre d’origine !), … afin d’observer tous les phénomènes de chiralité ! C’était cela la clef !…

  

    Je vous en parlerai aussi un jour de mon analyse personnelle du Titre de la Croix (en latin) à Saint Sulpice de Paris, entre lettres chirales et lettres non chirales symétriques, donc, entre lettres formellement fixées, dont l’effet demeure invariable sous l’effet du reflet du miroir, et les lettres évolutives, dont les codeurs, naturellement se sont servis … et procédé qui nous ramènera encore une fois au cœur du Razès … et ô divine surprise, à un résultat présentant une analogie frappante avec mon décodage de la formule latine (un latin de cuisine … ou de curé !) du tableau en relief de Marie Madeleine, celui en dessous de l’autel de Bérenger Saunière, et que j’avais décodé depuis quelques années à l’aide d’un procédé différent … enfin, cerise sur le gâteau, voila deux décodages citant l’un et l’autre le même nom de lieu précis, en lequel, d’après un certain chercheur il se serait passé un évènement majeur en l’affaire qui nous passionne, et plus particulièrement concernant la saga de Marie Madeleine ; toutes choses indépendantes les unes des autres, car ni moi, ni personne, ne furent influencés par de quelconques publications ni par d’éventuelles indiscrétions ! Plus tard, arriva idem par le rêve, la formule de l’égalité selon la condition a + b = c :

(c / a) + (c / b) = (c / a) x (c / b) en m’endormant (vrai …) après un difficile décodage d’ Henri Boudet. Je pourrais en citer beaucoup plus.

 

    Il arrive que j’ai eu récemment  la chance d’entrer en relation médiumnique automatiquement avec un individu étonnant, passionné par Rennes‑le‑Château, au sujet de connaissances, sans doute occultées concernant la recherche sur R.L.C., et cela sans que nous ne nous soyons concertés, car j’ignorais que cette chose put se déclencher brusquement entre individus qui ne se connaissent pas du tout, au point que cela nous sembla à tout deux, d’un côté comme de l’autre, nous tomber comme du ciel, des infos brutes de décoffrages, sans qu’aucun des deux n’en eut exprimé le moindre désir, ni formulé consciemment la demande, ni qu’il n’y ait (à notre connaissance !), aucun intercesseur évident ! Et croyez bien que les choses se déroulèrent avec une précision parfois à tomber par terre, aucun couac, aucune erreur de transmission en ce mystérieux ping‑pong, par lequel, l’un, rêvait instantanément les visions ou les subites obsessions de l’autre ! Il s’agissait d’images dessinées, équations, opérations d’ordre arithmétique, parfois de simples chiffres, de symboles, de lettres, de mots, de tableaux, etc., selon le tempérament et la culture de chacun … et en ces défilés réguliers, après profondes vérifications, point de déchets car tout nous semble vraiment  bon pour nos recherches réciproques (et pourtant de nature différentes !) ! Je tairai donc son nom, son pseudo, selon sa volonté et la mienne.

 

   Quoiqu’il en soit, et par ailleurs, mais non par le rêve, hélas, mais avec seulement beaucoup de travail, la page 279 m’offrit ce sidérant message de 56 lettres, 56, un des grands nombres clefs du Boudet, qui me furent justement révélés dans la locution latine ET IN ARCADIA EGO des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin, ce que je compris après le rêve dont je vous ai parlé et l’analyse rationnelle et méthodique qui s’en suivit, ce qui, par ailleurs, tendrait (s’il y en avait encore besoin ?!), à renforcer la certitude qu’une chaîne codée : Poussin, Boudet, Maurice Leblanc, fonctionnât particulièrement bien, quoique certains esprits systématiquement fermés, toujours en médisent sans vouloir connaître du tout de quoi il en retourne ! Cela en est même parfois risible car ridicule ! (Voir le flash back au sujet du 56, au chapitre suivant !).

 

En attendant, voici le texte qui me laissa plusieurs années perplexe et sceptique quant à sa valeur et à son (ses) sens occulté(s) :

 

ATTRAPE  TRIANGLE  TROIS  LUMIÈRES, 

LION  DUIT  ACCÉS  AU  GRAAL  ARCHIDUC.

 

   Il y a d’abord le sens global qui ne manque sûrement pas de nous interpeller, c’est le moins qu’on puisse en dire, un vrai boulevard, même si on n’a au départ aucune idée précise du sens abouti, ni conscience des nouvelles clefs contenues en son intérieur ! 

 

   Mon tout premier réflexe ? Ne pas y croire (trop beau, n’est ce pas ?). Ensuite de l’oublier des années en un classeur que je faillis perdre dix fois en des déménagements ou de le brûler sous des coups de destructions massives de papiers encombrants. Récemment, je l’exhumais et pensais qu’il était grand temps que je le propose dans le domaine public, quitte à essuyer les sarcasmes ou le mépris des courageux négationnistes de l’affaire de Rennes‑le‑Château, ou comme de l’autre côté, de quelques inévitables « dérangés par mes découvertes » qui ne manqueront pas de me coiffer, m’accusant de tricherie due à ma soit disant irrationalité … le train‑train, quoi, comme s’ils étaient eux‑mêmes rationnels ! … ? … Comme si Poussin avait toujours été si rationnel que ça, idem Boudet ! … comme si l’affaire des deux Rennes tenait ne serait‑ce qu’à soixante pour cent de la rationalité pure, quant à Plantard, De Sède, Henri Lincoln et ses amis (et Leblanc ?), n’en parlons pas … !! … Bref, nous entendons toujours les mêmes stupides et lassantes rengaines en guise de commentaires. Remarquez qu’à mon âge on n’est plus impressionné par le passage des grandes et dignes caravanes que par la présence de braves chiens qui manifestent par automatismes ou par réflexe de Pavlov, question gamelle ! Seulement on peut penser aussi qu’une caravane sans chiens qui jappent, ça nous fait une carte postale bien tristounette et pour le coup trop silencieuse, voire désertique … ? (Ça c’est Flo qui me le souffle … il est vraiment sympa, ce petit, trouvez pas … il tient de son oncle …) Donc statut quo…

 

   Mais au départ, je ne me doutais pas encore que le triangle des Trois Lumières en question, puisse être un triangle aux deux tiers occultés dans le tableau d’Antoine, ni que ce probable trigone possédait son alter ego évident dans un site naturel, crypté par Boudet : Lion ! Aucune influence ni auto manipulation ! Clair comme du béton nu. Toutes les correspondances me semblant aujourd’hui évidentes puisque prouvées, m’échappaient encore totalement.

 

   Ceci dit, il est certain qu’on nommait archiduc ou archi duchesse, les princes et princesses de la famille impériale  des Habsbourg … Il en vécut un sacré nombre (et que du beau monde, comme on dit), et il en vit et vivra encore pour longtemps qui conserveront leur titre sans régner !

 

   Il faut noter qu’une lecture au premier degré de la seconde ligne ne pose à priori que peu de problèmes, puisqu’il est facile de vérifier sur place ou de se renseigner, que deux  célèbres statues des LION dits du Hofburg, coiffés de la couronne royale et impériale, vous accueille au parvit du palais de Vienne, conduisant au musée du trésor des Habsbourg.

 


     

A gauche : Le lion royal devant le palais Hofburg …
A droite : Le lion impérial devant le Hofburg

 

   D’accord, mais fallait il encore le savoir ?! Je n’ai pas honte d’avouer que je j’avais zappé ce détail. Et il fallait aussi connaître ceci, que dans ce musée est exposé ce l’on surnommera longtemps le « GRAAL » du Christ, la précieuse coupe d’agate que la tradition nomma longtemps le Graal de Jésus, vérité que je n’appris que par hasard bien des années après avoir mis en clair ce message, et ce dont nous allons évidemment reparler … Oui, j’ignorais tout du trésor de la Vienne impériale et de ses légendes, quand je décodais ce message (oh, le nul !) … et je n’avais pas encore conscience de la lourde prégnance culturelle de la quête du Graal chez les Archiducs et les souverains Habsbourg du Saint Empire depuis Maximilien 1er

 

   (Voir à Innsbruck en la HOFKIRCHE les 28 impressionnantes statues des ducs, archi ducs, des rois, des reines, et ancêtres des Habsbourg, tous gardiens du cénotaphe de Maximilien, dont le Roi Arthus, de la légende de la quête du Graal, mis comme un chef de file des gardiens de la lignée royale et impériale des Habsbourg, gardienne du Graal … avec, cerise sur le gâteau, mais en retrait, le cortège discret des Antonins … mais oui …  !) 

 


Statue du roi Artus à la Hofkirche à Innsbruck

 

   Voici à ce sujet une citation de notre ami Guy Tarade à propos de la Hofkirche, en son ouvrage : Les chapelles alchimiques du Sud‑est : le grand secret Antonin. 

 

   « Derrière son heaume relevé, les yeux du roi Arthur brillent comme des feux éternels. Dans l’ombre profonde, veillent les Antonins. » (Sommes nous donc si éloignés de notre sujet : le tableau de St Antoine ermite ? … en aucun cas, et nous ne le perdrons jamais de vue, rassurez vous, lecteurs impatients, les Antonins veillent en retrait des porteurs de lumières (des énormes bougies qu’ils sont sensés tenir et qu’on allume parfois) Habsbourg de la Hofkirche …quant à nous, nous n’en recherchons que trois … de lumières !)

 

   Donc en vérité, je ne rêvais pas (!), mais nageais inconsciemment et en toute innocence en plein réel, d’autant plus que le LION est bien le plus ancien symbole héraldique de la famille à la longue saga historique, puisqu’il remonte aux fondateurs même de la dynastie heptacentenaire, les premiers comtes de Habitchtburg Traduction : Le château des autours … oiseaux de proie qui se métamorphoseront plus tard en aigles impériaux à deux têtes (… mais qui toujours cohabitèrent avec le lion).

 

En abrégé Habitchtburg devint rapidement : Habsbourg.

   Le fondateur, dit on, de la prestigieuse dynastie fut un certain Radbot (première moitié du 11ème siècle, constructeur du château féodal en 1020 dont il nous reste aujourd’hui de beaux restes), un (modeste ?) seigneur alsacien fort ambitieux qui n’avait pourtant strictement rien à voir avec les Mérovingiens comme auraient prétendu certaines légendes concoctées à la Renaissance (D’où la statue de Clovis roi des Francs à la Hofkirche à Innsbruck !), afin de redorer un coup de plus le blason des Habsbourg … ! … d’accord … d’accord … mais le lion en héraldique, ne fut pas seulement l’apanage des comptes de Habitchtburg, loin s’en faut !!! …

Armoirie primitive des Habsbourg


Reichskrone (couronne du Saint Empire)

 

   Puis  après, de me demander avec anxiété, ce que venait faire, suite à cet impérial et intimidant décore viennois que je découvrais avec émerveillement, notre modeste trigone des Trois Lumières Antoniennes ?
de Notre Dame de Marceille, ha, ha, ha ?

 

  Découvrir ce message, c’est bien, c’est inespéré même, mais quand de surcroît, on sait ce qu’est en vérité le LION, le Lion du Nord et le Lion du Sud marquant les limites nord et sud des Hautes Corbières (deux points rayonnant de conserve sur un point névralgique de Rennes‑le‑Château, et plus exactement sur ce que fut le rocher sur lequel Bérenger Saunière construisit sa tour bibliothèque Magdala, roc autrefois fiché d’une croix, prétend la légende Plantardienne), et codés par Jean Jacques Henri Boudet de plusieurs manières, toutes remarquables. 

 

   Quand on a repéré et visité depuis de nombreuses années sur le terrain et en détails les deux sites concernés, car il existe bien un LION du Sud dont la situation par rapport à celui du Nord, tient franchement du miracle géométrique (je n’exagère pas) avec le point que je viens de préciser à R.L.C., en construisant sur environ 20 km de hauteur de triangle un triangle dit Lumineux d’une exactitude qu’il est impossible de prendre en défaut …

 

   Puis qu’on devine en quoi consiste le triangle des trois Lumières sur le tableau de N.D.d.M., et qu’enfin on a déjà sa petite idée, comme j’ai eu la chance de m’en assurer, de la parfaite et révélatrice correspondance de ce triangle des Trois Lumières , in situ, sur le terrain (pléonasme ?), en un des sites du Lion, celui du Nord, c’est probablement déjà plus beau encore … et je ne vous dis pas tout … Je n’aurais déjà pas si mal travaillé (Méthode Couhé)

 

   Mais alors, maintenant, découvrir en ce message d’une très haute densité potentielle, qu’un second code s’insinue en son intérieur, ce dont je ne m’étais pas aperçu spontanément (sans doute ébloui par ma découverte … car c’est ce qu’on a devant le nez qu’on découvre en dernier… !), placé là, comme la signature authentifiant le message … car cela (confidence pour confidence), je ne l’ai réalisé que peu de temps avant de décider de publier le message, alors on se dit, où s’arrêteront les découvertes, car cela nous a l’air de fonctionner comme des boites gigognes russes ! A vous aussi de constater et de juger car je vais les décrire et analyser.

 

(Pour info : Message de 56 lettres. Sa section d’Or inversée « à la Henri Boudet »  =  – 21,4   et    – 34,6

 

   Par curiosité, et autant par l’automatisme de la routine, j’avais donc marqué (en rouge I de duit et en jaune U de lumières ) les lettres d’or désignées par la section d’or appliquée au nombre des lettres (56), en partant à la manière Boudétienne qui consiste à inverser le décompte de la section d’or à savoir ici : le I de DUIT correspondant au – 21,4 et le U de LUMIERE correspondant au – 34,6 … et sans me rendre compte sur le coup de cette autre merveille cryptée à même les lettres du fruit d’un difficile décodage (sans doute parce qu’il fut le tout premier de la série ?!). Voici :

ATTRAPE  TRIANGLE  TROIS  LUMIÈRES,

LION,  DUIT  ACCÉS  AU  GRAAL  ARCHIDUC.

 

   Le U (la première lettre d’or vue dans le sens normal de lecture !) dans le mot LUMIERE (un joli choix) se retrouve être telle la clef de voûte de la boucle symétrique, comme les motifs de certaines couronnes, du monogramme des Habsbourg : A.E.I.O.U., tel le schémas suivant :

 

A  E  I  O  U  O  I  E  A

 

Austria Erit In Orbe Ultima Orbe In Erit Austria

 

Austria Erit In Orbe Ultima

 

Première traduction : « L’Autriche sera l’ultime nation du monde». Seconde traduction : « L’Autriche subsistera jusqu’à la fin du monde ».

 

Austria Erit In ORbe Ultima = 23 lettres. Charnière d’or sur 14 // 9 soit O et : voila la belle surprise OR en charnière d’OR ! 

 

Le 23, pour Boudet est le symbole numérique du sang de Jésus versé sur la croix.  A  E  I  O  U,  sans commentaires … ?

 


A E I O U   gravé à Vienne

 

   Oh, mais si ! Tout d’abord je préciserai que cette version en latin dont nous venons de débuter l’analyse, était celle qu’on dit avoir été  préférée par l’empereur François Joseph, avant dernier Habsbourg empereur (et celui qui régna le plus longtemps), car la formule formant ce monogramme n’est pas unique. Il existe aussi une version plus musclée en langue Allemande :

 

ALLES  ERDREICH  IST  ÖSTERREICH  UBTERTAN  (34 lettres)

 

Traduction : Toute la terre est sujette à l’Autriche. Ici un très lourd détail, retenez bien : 34 / Phi = 21 = le Graal (Section d’or 21 // 13 tombant sur la charnière d’or des deux R de Österreich), et nous allons vite revenir au 21 concernant la première formule latine !

 

   Ensuite il y a la formule qui aurait pu être la préférée de l’abbé Henri Boudet puisqu’elle existe en anglais, selon H. Boudet, la langue celtique, mère de toutes les langues occidentales et moyen orientales :

 

AUSTRIA’S  EMPIRE  I OU UNIVERSE. (27 lettres)

 

Traduction : L’empire Autrichien est notre univers.

Ici la section d’or fait 17 … // 10 ! … charnière d’or sur le O et le U de our (notre)

 

Enfin il existe une seconde version en latin et qui ne mâche pas ses mots ! :

 

AUSTRIAE  EST  IMPERARE ORBI  UNIVERSO (31 lettres)

 

Traduction : La destinée de l’Autriche est de diriger le monde entier.

Section d’or en 19 // 12 sur E O.

 

   Cette dernière locution portant en Latin le monogramme AEIOU est contemporaine de Frédéric III qui l’adoptera, né le 21 Sept. 1415 et mort le 19 Août 1493. On ne connaît pas d’autres versions adaptées en d’autres langues.

Je pense qu’en Français il serait difficile d’adopter le même schéma A E I O U !

 

   Locutions toutes intéressantes mais sur les quatre, une seul contient les paramètres numériques s’accordant avec les nombres Boudétiens et d’autre part avec le texte décodé page 279 de la fontaine de Notre‑Dame de Marceille, et ainsi se prêtant à notre décodage de l’affaire, comme nous allons continuer à le constater et à le prouver. D’autre part, cette dernière me parait la plus sympathique car dépourvue de d’agressivité impérialiste, d’accent totalitaire et même de la prétention universaliste, communes aux autres !

 

   AUSTRIA ERIT IN ORBE ULTIMA est la plus douce version (certains diront la plus molle … non, c’est la plus diplomatique et par conséquent la plus codée), et la seule portant là où il le faut, la charnière d’or avec 23 lettres, le nombre Boudétien du mythe celto chrétien du sang du saint Graal de jésus … (détail très important !).

   

   Celle ci fut selon les historiens le seul slogan nationaliste de François Joseph, dont le règne fut le record de longévité (86 ans !) et dont le souvenir semble être encore proche historiquement des anciens, tel que votre serviteur, qui fut en son enfance bercé par les pathétiques récits du père et de la grand‑mère, hérités de l’aïeul sous officier de réserve, dans le Train et le Sanitaire et qui fut témoin actif de l’horrible enfer de la guerre de 14‑18 en toute sa durée et en ses consistances historiques et politiques !

 


François Joseph Charles de Habsbourg Lorraine ()  Empereur d’Autriche (1848‑1916) et roi apostolique de Hongrie (1867‑1916) issu de la maison de Habsbourg Lorraine sous le nom de François‑Joseph Ier

Sissi Elisabeth II

 

   François Joseph Charles de Habsbourg Lorraine, né à Vienne le 18 Août 1830, décédé à Vienne le 21 Novembre 1916, n’eut pas le cruel privilège de constater la défaite et la chute de son Empire en 1918 !

 

   Il fut paradoxalement un ennemi à la fois admiré et redouté par les Français dans la Grande Guerre ! N’oublions pas non plus le rôle joué de surcroît par la belle, romanesque et romantique impératrice « SISSI », l’amour de sa vie et qui fit tant rêver sous nos chaumières … et le fait encore !

 

   Voila qui est remarquable, un empereur qui régna presque un siècle pour finalement se retrouver face à la plus méchante guerre que l’Europe n’ait jusque là connue.


Portrait de Léopold Guillaume de Habsbourg (1614‑1662)  ami de Téniers le Jeune

   Un souverain relativement populaire, conservateur, très travailleur, qui aura vécu de manière spartiate, s’infligeant toute sa vie une autodiscipline quasi militaire, qui aura subit 5 gros drames familiaux, le dernier empereur de la vieille école, comme il se plaisait à confier aux journalistes étrangers, enfin, contemporain absolu des abbés Bérenger Saunière et Henri Boudet !    Henri Boudet mourra un peu plus d’un an avant F.J. et quant à Bérenger Saunière, il mourra quelques mois après F.J.

   Un début de première piste ? … Pas si simple ! … Très partiellement, peut être, puisque l’abbé Boudet nous a crypté deux fois ce nom : Léopold, afin de nous rappeler au bon souvenir de Léopold Guillaume de Habsbourg gouverneur des Pays Bas, ami très proche de David Téniers le jeune, et de Léopold Premier empereur du saint Empire, héritier du trésor de Léopold Guillaume, et que nous allons l’un et l’autre, bientôt croiser !

 

   Poursuivons notre analyse du texte du décodage car nous sommes bien loin d’en avoir dit seulement la plus petite partie de l’essentiel !

 

   Donc, autre chose, à propos de la première et sans doute la seule formule en latin servant valablement notre décodage et demeurant en symbiose avec les précédentes constatations la concernant, c’est, comme certains l’ont peut‑être remarqué :

 

A (+1) TTRAPE  TRIANGLE  TROIS  L (+ 21) UMIERES

LION  DUI (– 21)T  ACCES  AU  GRAAL  ARCHIDUC( –1)

 

   Il y a aussi que l’on compte 21 lettres (21 symbole du Graal) depuis le A jusqu’au L précédant le U la lettre d’or, dans LUMIÈRE, et en symétrie nous comptons également à l’inverse 21 lettres (idem le graal) du C jusqu’au T précédant le I de DUIT, marquant la lettre d’or inversée dans le verbe DUIRE … tout un programme !

 

Serait‑ce la perfection qui nous tomberait toute rôtie du ciel ?

Mais retenons ceci : le Graal est ainsi crypté deux fois par le nombre symbole 21.

 

Et aussi, beaucoup plus subtil encore, et révélateur, voici :

 

T L  = 32 qui est la racine du triangle de Pythagore (3 4 5 ) de notre certifiée future découverte (et que nous allons prouver, patience, SVP !), le triangle ou trigone des Trois Lumières et comme vous le constaterez, ce sont de surcroît ses initiales :

 

                   32 x 3 = 96       32 x 4 = 128       32 x 5 = 160

 

DUIT, du très ancien verbe DUIRE, que l’on retrouve nombreuses fois dans les verbes en … duire, (voir le Grand Littré édition originale), tel conduire, par exemple … conduire et induire étant les synonymes aujourd’hui usités de duire.

 

Pas fini ! Encore et encore, voici un autre double symbole !

Il y a aussi que le U la lettre d’or, vaut en alpha 21.

 

Donc nous avons affaire en cette seule lettre au double symbole (Boudétien !) du Graal, la lettre : le U (le vase, le récipient), accompagné de son nombre Alphabétique : le 21 !

GRAAL = 7   18   1   1   12  soit :

 

7 + 1 + 8 + 1 + 1 + 1 + 2  =  21

 

Et, le U est la clef de voûte du double monogramme des Habsbourg :

 

A E I O U O I E A

 

Mais nous n’avons pas encore notre compte, vous le pensez bien ! Tout semble coller à merveille ! (Trop bien, même ?) … Pourquoi dis‑je cela ? Serait‑ce l’effet de mon petit fond de scepticisme (augmentant avec l’age) qui me fait douter du beau temps sous la canicule et du froid sous le gel ? … Jamais content, votre dissipé serviteur ! On ne se refait pas. Mais le coup de grâce nous tombe de soi même. Numéros d’ordre alpha des voyelles du monogramme fonctionnant en boucle :

 

A = 1   E = 5  I = 9  O = 15   U : 21   O = 15   I = 9   E = 5  A = 1

 

Le pivot central inamovible, vous l’avez compris, le joyau de la couronne, étant U : 21

 

Nous posons donc en ne conservant que les chiffres à gauche et à droite du pivot immuable :  1 + 5 + 9 + 1 + 5     21     1 + 5 + 9 + 5 + 1

 

Nous concluons évidemment par :

 

21     21     21   soit : (3  3  3)

 

   Hé bien, mon petit fond de scepticisme, dont je me félicite, et que je remercie d’exister, car il m’a sauvé en cette quête de bien des périls, me poussant sans cesse vers la recherches de preuves indéboulonnables, se rassurait un tantinet, quand, poursuivant mon analyse, je me rendais compte de dernier cryptage : résultat 3 fois 21, la trinité du 21 nous est imposée !

La trinité du GRAAL   (21 x 3 = 63).

 

   Que devrons nous en conclure ? Deux « Graals » c’est du lourd à gérer, mais alors trois, est‑ce bien raisonnable ? Un « Graal » par personnes de la Trinité Sainte … et universelle, pour complaire à l’abbé Henri Boudet ??

Alors nous essaierons de traiter ce gros problème unité par unité. Le premier « Graal », celui que nous connaissons conservé à Vienne, nous le considérerons comme trouvé. (Mais non comme une affaire classée !)

 

Trop fort, comme dit Flo, mon petit neveu ! …

 

Et d’ajouter ceci : Il y a 26 lettres symétriques et 30 chirales en ce court texte décodé :

 

   16 fois (30 / 26) =  18, 46 ce qui représente tout simplement le périmètre en Km du fameux Cercle Boudet !!! … directement déduit du Cercle Poussin sur son tableau des Bergersbientôt je vous raconterai tout (Patience) !

Mais nous tombe ici même la super clef 16 laquelle, avec la 26 jamais au grand jamais ne nous quitteront en nos démonstrations concernant cette affaire !

 

   Pardon … vous vous demandez, où aurais‑je trouvé ce 16 ? Hé bien, cette clef numérique essentielle, vous le constaterez, se trouve dissimulée en maints endroits, dont celui‑ci : Total réduit des initiales du message du Graal des Archiducs Habsbourg : A T T L L D A A G A = 79 = 16.

 

   Avez vous remarqué qu’il se trouve en les initiales, 3 séries de doubles lettres : double T, double L et double A.   T + L + A = 33 le symbole Boudétien du sang de Jésus mort sur la croix et répandu sur la Terre, comme par hasard …

 

   Maintenant, suivez toujours, si vous le pouvez (On pourrait analyser tous les prodiges numériques du message durant plus  de 100 jours !), si nous considérons la valeur Alpha totale des lettres du message, nous obtenons 613 (6 + 1 + 3 = 10 = 1 = Dieu ?), qui est l’inverse Boudétien du 316. (613 est le nombre sympathique du 316, selon Papus comme nous le verrons en détail chapitre 5, et qui aura sans doute influencé Henri Boudet et ses amis). 316 étant le total maximum, toutes pages considérées, écrites de la main d’Henri Boudet. (Vérifiez !)

 

   Passons … voila l’essentiel : 613 / Phi = 378, 862 soit en arrondit logique 379.

 

   Où tombe la valeur abstraite 379 en valeur Alpha en partant du 1 qui est le A (= 1 … coïncidence ?) de ATTRAPE etc. … Vous l’avez déjà deviné, elle tombe entre le I et le O de LI  // ON, c'est‑à‑dire vers le milieu du mot Lion.

 

Et si on calcule fin, on reconnais sur ce calcule exactement la section d’or inversée (à la H. Boudet) du mot LION !!!

 

   C’est précis, c’est chirurgical, et je ne fais pas les choses à moitié : Lion = 50 et 50 / Phi = 30,9 soit 31, soit encore section d’or = 31 et 19. (Vérifiez !). Cryptage subtil, tel que je les aime ! … et passant tout à fait inaperçu aux yeux impuissants des néophytes et surtout des négationnistes qui n’ouvrent jamais le livre ni ne font le moindre effort … à propos qui aurait vu, à part moi (faut bien que je me cire les pompes …pas un luxe en ces temps bourbeux en tous les sens du terme !), que le rapport de section d’or sur 31 et 19 est équivalent sur 310 et 190 :  310, l’ultime page numérotée en chiffes arabes en la VLC et page 190 en laquelle tout est citation de César et de Louis Figuier, et où n’existent que 50 (le nombre du Lion !) mots de la main (et de l’esprit) de l’auteur Henri Boudet ! Bref, ce genre de rassurants petits clins d’oeils existent plusieurs fois chez notre bon auteur Henri Boudet.

 

   Que signifie tout cela ? (Car il me resterait une foule de choses très surprenantes et plus convaincantes encore à vous dire sur l’analyse numérique du message !) … Sans doute, que le fameux Graal annoncé, quelque soit sa nature, se trouverait théoriquement à un endroit précis et que nous devons deviner ou comprendre en analysant le message (et tout le Boudet ?), donc trouver ?

 

   D’où l’hypothèse logique, symbolique, et géométrique, fidèle à l’esprit de cette section d’or du mot LION :

 

   Hypothèse : Serait‑ce sur la section d’or d’une ligne d’assise géométrique, du LION, donc probablement une base, la base d’un triangle de Pythagore probablement inscrit en celui dit du LION du Nord ?

 


 

Croquis des deux triangles Pythagore du Lion du Nord

 

   En effet, le triangle de Pythagore du Lion du Nord, soit dit le majeur, mesure 3 km, 4 km, 5 km (la définition même du triangle de Pythagore, sacré clin d’œil kilométrique !), en lequel s’inscrit de manière évidente et légitime un autre triangle de Pythagore de 2,4 km   3,2 km  et  4 km, dit le mineur ; 2,4 km représentant naturellement sa base marquée par le passage d’une méridienne (au chiffre très particulier), non pas n’importe quelle ligne improbable, mais une ligne scientifiquement imposée par l’Institut National géographique … argument à ajouter à une pléthore d’indices factuels du même ordre, tendant à indiquer que ces codages ne sont pas très anciens ??? Voyez encore ce que je veux dire ? … Non ? … Mais aussi qu’ils ont été conçus par des cerveaux d’avant‑garde, branchés avec les milieux scientifiques les plus avancés de leur époque … tel que Poussin le fut lui aussi en son temps, au carrefour des savoirs en la lumière Italienne de la post Renaissance qui avait anticipé tellement de connaissances modernes !

 

   Ce n’était pas le bon abbé, qui seul aurait su pondre de tels codes (topographiques, cryptographiques où mathématiques), ni savoir à lui seul les intégrer au texte, dont on prit soin de détruire, comme par hasard, jusqu’au dernier cm² des brouillons !

 

   Sur cette base est un point naturellement et légitimement défini par la géométrie des deux triangles figurés, coïncidant très exactement avec la section d’or de cette base près définie et qui n’est que le fameux point G codé par Boudet (ou par quelqu’un de son excellente équipe …)

 

Sur IGN, le triangle Pythagore mineur mesure 96 mm  128 mm  et  160 mm.

 

Voici donc, ce qu’on peut appeler un triangle de Pythagore, dit Isiaque en racine 32, telle est la valeur du demi échiquier.  (96 + 128 + 160) / 12 = 32). Nous l’avons déjà rencontré et le rencontrerons encore. C’est la vedette !

 

   Souvenez vous de ces derniers nombres 96  128  160 caractérisant les 3 valeurs exprimées en mm des côtés de ce triangle de Pythagore dit « mineur du Lion » sur carte IGN à l’échelle de 1/25000ème, échelle, qui sur la carte Boudet correspond à l’échelle facilement prouvable et prouvée de la section de la méridienne utile sur le terrain du cœur du Razès, dite méridienne Arcadie, sur laquelle Boudet a fait coïncider, afin que nous la reconnaissions, trois points essentiels dont  les distances les séparant sont bien à échelle réelle 1/25000, et dont je crois bien, malgré mes bavardages et recodages, malgré itou que d’autres chercheurs non négligeables aient de puis pas mal d’année indiqué la bonne méridienne, que personne ne semple n’avoir encore réellement repris en compte tellement les esprits demeurent encore fixés, figés, coincés pour des raisons qui m’échappent (Plantardiennes, sans doutes ?), sur le Méridien de Paris, soit sur la méridienne de St Sulpice de Paris, ou enfin sur la méridienne de l’église de Serres (passant sur la double croix), certes toutes lignes très considérables, mais ne jouant aucun rôle précis en cette affaire d’échelle à  1/25000ème ni ne sont  pas topographiquement d’une utilité déterminante ou primordiale … exception faite, peut‑être, la méridienne de l’église de Serres (je sais qu’en disant cela, je fais ricaner, ou que je choque carrément  beaucoup de chercheurs ! … alors comprenez ma prudence !).

 

   Il y a aussi qu’il n’est pas évident de comprendre le sens de mon propos lorsque j’évoque l’échelle (virtuelle) d’une méridienne !? C’est en effet une image clef, mais attachée à une réalité incontournable et d’une grande précision sur carte Boudet comme sur carte IGN, inspirée directement du Poussin … et copiant rigoureusement la clef géométrique et topographique des Bergers d’Arcadie, tableau montrant sans le moindre codage, donc au premier degré, le schémas conducteur avec toutes ses vraies mesures ! Trop évident, personne ne l’a vu, ou alors personne n’a su l’utiliser en allant plus loin et en en maîtrisant la preuve mathématique et géographique dans les correspondances. Manque de travail et surtout de discernement … et ça continue ... je n’ai aucune indulgence envers les chercheurs manquant de méthode et ne s’attachant qu’à tenter de nous imposer leurs obsessions culturelles et mythologiques personnelles, plutôt que la vérité tangible et objective.

 

   De fâcheuses méprises durent depuis que notre bon Henry Lincoln, guidé par un plus que douteux professeur Conford, s’est énormément trompé en son analyse des Bergers d’Arcadie et des méridiennes utiles, sur lesquelles erreurs il a tout de même fondé toute sa bonne fortune et carrière sur la généreuse Colline ! D’une façon générale, la génération Plantard n’a jamais rien découvert d’autre que l’opportunité d’exploiter confortablement à fond une pseudo mythologie préfabriquée et prés digérée par Plantard, l’imposteur génial, qui aura beaucoup fantasmé, provoqué bien de nouvelles impostures, nous aura fait perdre un temps précieux, et aura su exploiter et savourer jusqu’aux plus méchants pépins les fruits illusoires … et vous pensez bien que la relève est prête pour une active et juteuse re‑plantardisation du mythe, que certains espèrent, et devant laquelle je me permets de sérieusement douter d’un prochain aboutissement positif, car ils ne vont pas manquer de se ridiculiser une nouvelle fois en passant à côté du seul coté utile, pragmatique, exploitable et au demeurant fort sympathique, de Plantard ! Qui vivra, verra … (ce qui ne leur empêchera pas de vendre force papier, ni de créer mille conférences propagandistes et blablateusement répétitives.) Enfin, soit, et qu’un grand bien leur fasse ! ... En tous les cas, je maintiens en confiance les paris.

 

Bref, en attendant, c’est dit !

 

   Je vous ferai signe au passage pour vous rappeler encore ces nombres (96  128  160 … j’insiste afin que vous les connaissiez par cœur), car ils seront essentiels pour cibler le but que j’ai choisi : découvrir par Boudet qui coda le triangle avec ses mesures, les valeurs des côtés du tableau de Notre Dame de Marceille, le Saint Antoine !

 

   En effet, nous démontrerons que nous possédons par ces trois nombres, la réplique à échelle 1/10ème du triangle des Trois Lumières, donc sa représentation en mm ! C'est‑à‑dire que les nombres sont semblables en valeurs absolues. De surcroît, les triangles de référence cryptés sur le texte Boudet, annonçant les bonne page à consulter, sont repérés à échelle 1/16ème du triangle des Trois Lumières.

 

   Ce n’est pas rien et nous en prendrons conscience quand nous constaterons à quel point le nombre 16 avec l’échelle 1/16ème, seront des valeurs clefs déterminantes tout au long de nos dernières démonstrations !  

Patience donc, nous allons peu à peu tout analyser.

 

Voyons. Quel pourrait être alors ce second « Graal » en question ?

 

À quel(s) Archiduc(s) d’Autriche, Boudet fait‑il, au bout de son codage, spécialement allusion ? Nous avons déjà l’embarras du choix.

 

   Troublante réalité, l’objet exposé dans le musée du trésor impérial, est un chef d’œuvre absolu, une pièce unique au monde, dont l’origine demeure obscurément légendaire, voire surnaturelle … ??? En tous cas, un objet qui impressionna bien des générations !

 

 


La coupe d’agate dite le Graal de Vienne

Une couronne des souverains
de Habsbourg

 

   Voici la « légende ? » : Elle aurait été « trouvée ? » lors de la conquête de Constantinople en 1204, passa soit disant dans le trésor de Charles le Téméraire de Bourgogne (un des grands Habsbourg !), puis devint la propriété inaliénable de la dynastie impériale des Habsbourg de Vienne.

 

   Elle fut longtemps nommée, le « Graal du Christ », propriété incessible des Habsbourg, donc pour toujours et sans partage appartenant à la dynastie, enfin demeurera  exposée en bonne place au musée du Trésor Impérial de Vienne.

 

   Cette célèbre, mystérieuse, énigmatique, superbe, étrange (divine ? … que dire devant un tel chef d’oeuvre ?), et vaste coupe d’agate 76 cm d’envergure, et non 75 comme reporté par un auteur peu soucieux des chiffres, mesure officielle et bien réelle, et selon un auteur du 19ème siècle, de 26 pouces (tiens, voila encore le 26 que nous allons bientôt retrouver ?), ce qui ferait le pouce de 2, 923 cm =~ le pouce dit métrique Suédois de 3 cm … pourquoi pas, 1mètre = 33, 3333333 pouces ? Nous verrons plus bas quel rapport existe entre le chiffre 3 et le nombre 10 du système métrique décimal, intéressant, car encore un détail qui n’échappa pas aux codeurs de L.V.L.C.

 

   Cela ne vous surprendra pas, si je vous affirme que le nombre 76 (cm) n’aura pas manqué de très finement (et concrètement) inspirer nos codeurs sur les bonnes pages du Boudet, et voila une très belle et confortable nouvelle dont je me félicite, avant de vous en parler en détail.

 

   Pour le moment retenons que 76 est au rang n° 9 de la série d’or de Lucas et que 76 = Phi puissance 9, enfin que 76 / Phi = ~47 le diamètre en valeur absolue du cercle Poussin sur le tableau des Bergers et d’un autre diamètre en valeur absolue, celui d’un cercle remarquable sur le domaine de Bérenger Saunière (mis en lumière par P. Merle et J.P. Garcia qui ont heureusement corrigé la version d’Alain Féral qui avait l’inconvénient d’être truffée de grosses et petites erreurs … (plus ou moins volontaires ?), chez cet adorable et immensément talentueux artiste, mais qui n’était pas à une farce ni à un canular près !), correspondant à l’espace entre les fameux points rouges et théoriquement blanc. Erreurs singulièrement flagrantes qui d’ailleurs n’empêchent pas certains chercheurs de le citer encore en référence absolue … Eternel folklore Castel rhedaen (orthographe perso) !

 

Quant au 9, apothéose du 3, nous verrons chapitre 5 pourquoi ce chiffre est si remarquable chez Boudet !

 

Revenons une nouvelle fois sur cette coupe de Vienne …

 

   On ne comprend toujours pas, dit on, comment un chef d’œuvre d’une telle finesse, ciselé dans bien plus dur que l’acier a pu être aussi souplement travaillée sur une telle ampleur, cela dépasse l’entendement, et ce n’est qu’une, parmi les fascinantes énigmes qui l’entourent … autant d’arguments auréolant le précieux objet. Il n’existe aucun objet comparable sur la planète et sans doutes que nous ne saurions plus aujourd’hui le fabriquer manuellement tel qu’il fut jadis conçu.

Elle était marquée des lettres suivantes :  B.XRISTO.RI.XXP.P.

 

   Certains y auront lu une allusion au Christ Jésus, d’autres y auront plutôt lu la signature de l’artiste peu commun qui la réalisa … ?

Pour le moment j’y vois plutôt une mine de codages tout ce qu’il y a de plus éclairant quant aux nombreux rapports de celle affaire de « Graal » et R.L.C. … mais patience !

 

   Je dois signaler au passage cet intéressant détail, c’est Ferdinand Premier du Saint Empire, né en 1503 à Alcala en Castille, décédé le 25 Juillet 1564 à Vienne, frère cadet de Charles Quint, et Archiduc d’Autriche, qui classa le « Graal de Vienne », la coupe d’agate comme bien incessible du Trésor des Habsbourg. (Donc un Habsbourg « d’Espagne » !)

 

   Il est vrai que le LION du Sud se trouve exactement placé sur l’ex frontière des Fenouillèdes Espagnoles ; mais il est aussi cependant vrai que les Fenouillèdes cessèrent d’être Espagnoles 401 ans avant  l’ensemble du Roussillon : Traité de Corbeil en 1258 pour les Fenouillèdes contre Traité des Pyrénées en 1659 pour le Roussillon ! Donc le Lion du Sud ne pouvait avoir été directement contrôlé par les Habsbourg d’Espagne… ??? … mais le sommet du Lion du sud demeurait tellement proche, parfaitement observable, soit à l’œil nu, ou alors avec un bon instrument d’optique, depuis la frontière Espagnole Roussillonnaise du nord et donc facilement à la portée de n’importe quel cavalier aller et retour en seulement quelques heures… Mais ceci n’est qu’une hypothèse romanesque !

 

   Souvenons nous tout de même qu’au siècle de la splendeur de Charles Quint, le royaume de France était comme une île prise en étau entre les deux parties de l’Empire Européen des Habsbourg, lesquels, il faut bien le reconnaître jamais ne pensèrent sérieusement à annexer la France … !

 

 

Ancienne carte du Roussillon Espagnol.  La partie Nord : les Fenouillèdes déjà annexées par la France

 

   Alors ? Que serait cet (ces ?) autre(s) « Graal » perdu(s) quelque part dans un maquis venté des Hautes Corbières, et éventuellement un autre situé sur le point vertigineux du Sud, à en croire Boudet, revendiqué(s) par une branche des Habsbourg et prétendument occultés pour l’un comme pour l’autre « sous une simple dalle » comme un décodage me l’annoncerait, sans dire si la dalle est visible en surface ou bien enterrée ? … sans tellement plus de précisions, à part deux ou trois gros détails que je tiens à garder provisoirement secrets !

 

   Ce n’est sans doute qu’une appréhension, une illusion, mais à la belle saison, quand je me pointe sur le terrain du Lion du Nord, et cela depuis des lustres, il arrive que j’y rencontre quelques  germanophones, boussole en main et GPS, attentifs aux rocs, aux pierres des cairns, à la topographie, à l’horizon, à la végétation, en somme, comme moi, mais en mieux équipés ! Sont‑ils en quête du mystérieux « Graal » ? Aucune idée. Par contre, ce qui me rassure (?), c’est que sur le point G du Nord, je n’y aurais jamais remarqué personne, et pas même mon ombre ! Ceci est dû à ce que le point G (du moins mon estimation personnelle du point) est protégé par un vaste et quasiment impénétrable massif d’épineux, d’une telle densité en déchirantes variétés du genre, que sa traversée n’y serait possible que vêtu d’un équipement spécial et que nous soyons  armés de machettes, ou bien d’y arriver aux commandes d’une débroussailleuse diesel sur chenilles, ce qui manquerait de discrétion, et surtout serait en soi, une faute de goût (lol !). Et puis, pouvons nous disposer de la végétation de ce terrain appartenant soit à un propriétaire privé ou à une commune ? L’endroit est quasiment à découvert, fréquenté par quelques randonneurs, à pied, à cheval, et de rares bergers … Mais celui qui s’amuserait à débroussailler serait vite repéré !

 

   Quant au Sud, je n’ai jamais vu quiconque rôder sur la vertigineuse crinière du Lion sur laquelle les bourrasques de tramontane peuvent à elles seules vous déséquilibrer et vous abîmer dans le vide, trois cent mètres plus bas. A visiter de préférence par temps calme … !

 

Un des très nombreux aperçus différents de la colline sphinx
dite du Lion du Nord (photo J.M.V.)

 

Le Lion des Habsbourg, gravure ancienne

 


Détail de la magnifique tête du Lion du Sud (J.M.V.)

 

Le Canigou vu depuis le haut de la crinière de la tête du Lion du Sud (J.M.V.)

 

 


Les doigts tronqués de la patte du Lion du Sud, analogie avec ceux de la piéta de R.L.B. Une autre patte aux doigts tronqués existe aussi au lion dit du Sud (J.M.V.)

 

Le Christ au lièvre ‑ Eglise de Rennes‑les‑Bains
(détail patte de lion tronquées)

 

   Les deux sites dits du LION, (tous deux annoncés « LION » par Boudet), sont distants de 15 km, à vol d’oiseau. Pour le Lion du sud, il s’agit d’un sommet dont l’altitude est chiffrée par IGN, un beau rocher léontocéphale, telle celle d’un gros mâle couché. Par contre, pour le nord, le site ressemble plutôt (plus ou moins selon le point d’observation), à un classique mais géant sphinx d’Egypte, lui aussi couché et non éloigné d’un détail non négligeable observable du même point idéal : de « sa pyramide », et présentant en les deux cas de sérieuses analogies avec les « collines sphinx » montrées sur les fresques du musée le Hiéron du val d’Or + pour le « sphinx » la proximité d’un lieu consacré au culte, en rase campagne, marqué d’une croix, une authentique chapelle de bergers dont l’origine est sans contestes moyenâgeuse, avec jadis autour, un cimetière, mais aucune habitation !

 

Au dernier plan : collines sphinx, au musée Hiéron du val d’Or à Paray le Monial

 

(Notons au passage que deux sphinx en compagnie de plusieurs magnifiques lions sont statufiés au centre de la ville de Vienne, ex capitale de l’empire autrichien).

 

   En Hautes corbières, les deux sites Lion sont respectivement repérables par temps clair depuis le sommet de la tête de son pendant, et à l’inverse, quoique une importante différence d’altitude de 1 à ½ de proportion les caractérise en faveur du Sud.

 

   La surface, comme la découpe de l’espace Lion du Nord est exactement définissable par la géométrie, tandis que celui du Sud, juché à presque deux fois l’altitude du premier, se résume à un point impressionnant sur son pic dominant noblement son environnement, et curieusement présente une frappante analogie d’ordre environnementale, historique, et stratégique, avec celui du Nord.

 

   Il n’en est pas de même avec Bugarach (la troisième montagne au Lion ?), montagne grandement visible depuis les deux lions Boudétiens, eux‑mêmes repérables depuis le sommet de Bugarach. Mais le joli lion (enneigé) du Bugarach, mis en lumière récemment par Ch. Doumergue, n’est pas, je le pense, facilement observable du dehors de la montagne et pour cette raison n’a put être reconnu par Boudet comme un point de repère directement appréhendable à l’oeil, et par ailleurs il ne dessine aucune géométrie régulière ni même le moindre triangle révélateur d’une quelconque manière avec les deux autres. Donc je l’exclue. Mais cela ne veut pas dire non plus qu’il ne fût jamais utilisé par les codeurs pour des repères précis, et cela, pourquoi pas, à usages internes au massif ce serait même, à mon avis (partagé ?) plus que probable …

 

Le Lion du Bugarach ‑ photo Christian Doumergue

 

   Donc, voici seulement un sphinx et un lion en points de repères (et hauts lieux des repaires), inter repérables et reliés à RLC par une sublime géométrie d’une précision absolue. Enfin un lion occulté dans le Bugarach. Puis en entités repérables à relativement faibles distances, la Berque, comme l’écrit Boudet en son livre … mais tout le monde a compris de quel lieu il s’agit sous ce clin d’œil Boudétien (qui d’ailleurs est très pertinent et cela se prouve : une merveille !), mais sur lequel il y a déjà suffisamment de mal de fait … faudrait ne jamais prostituer les sites trop sensibles … et certains voudraient tellement que je révèle la position exacte des points sensibles des deux Lions, du Nord et Sud ? Ce serait de l’inconscience ! Cette affaire précise ne regarde que quelques happy few ! Débrouillez vous avec les indices éparses que je sème assez largement et faites donc un effort intellectuel !

 

   Sans oublier, les points de repères secondaires, comme le Jésus d’Antugnac, le reposoir de Montazel calant une méridienne importante pour nos calculs, R.L.C, idem avec sa croix de mission située également sur une méridienne IGN, item la double croix de voûte de l’église de Serres, évoquant deux autres méridiennes importantes, très, très proches (et naturellement parallèles !), dont celle de droite représentant la méridienne de l’église, la n° 599 de l’IGN  marquée ici, et, bien entendu, là ou tout commence, la genèse, le centre du vrai cercle proche de Rennes‑les‑Bains avec sa méridienne diamétrale clef, que la plupart des chercheurs font semblant d’ignorer, ou de mépriser. Faut pas oublier non plus les bons parallèles. Tous points de repères utiles, indispensables à découvrir et à gérer, si l’on veut espérer localiser les points de probables dépôts qui selon les décodages, existent (ou en tous cas existèrent), tel celui du fameux Graal (Que veut dire graal ? Boudet ne s’en explique pas vraiment), plein de mystères et d’histoire et peut être (tout aussi probablement ?) accompagné de reliques et de documents … ?

 

   Pour en revenir à la nature de ce (ou ces) Graal si joliment annoncé(s), il faut remarquer les deux pages du Boudet, 172 et (+) 173 = 345 : 3.  4.  5.  la définition même du programme du triangle de Pythagore, et 1 + 7 + 2 + 1 + 7 + 3 = 21, le Graal,  en lesquelles pages est lourdement codé le prénom « Léopold », un prénom souvent porté par nos archiducs, puis pas très loin encore, nous découvrons probablement crypté « Autriche », comme plusieurs autres détail percutants qui nous laisseraient à penser que c’est en ces pages que notre affaire serait codée, avec notamment Lion, idem codé, puis (et surtout !) les initiales

l g d h soit Léopold Guillaume de Habsbourg le grand collectionneur d’œuvres d’arts, l’ami et le complice de Téniers le Jeune (tenant la clef avec Poussin) ?

 

   En effet, Léopold Guillaume de Habsbourg (1614‑1662) fut gouverneur des Pays Bas et grand maître de l’ordre Teutonique etc.

 

   C’est aux Pays Bas que Téniers le Jeune fut le gérant des prolifiques collections d’art, peintures, sculptures, objets d’art rares (hé, hé ?) appartenant à Léopold Guillaume, hors ça un redoutable chef de guerre. Léopold Guillaume revint à Vienne avec ses trésors et léga ses collections à son neveu Léopold Premier de Habsbourg, amateur d’art, lui aussi, idem amateur de musique, né à Vienne en 1640, archiduc d’Autriche finalement élu empereur du Saint Empire Romain à l’âge de 18 ans en 1658.

 

David Téniers le Jeune en compagnie de Léopold Guillaume
Gouverneur des Pays bas, en sa collection

 

    Léopold Premier avec l’armée de la ligue du Rhin, fort de  l’éphémère alliance avec un (sérieux) ennemi potentiel de la maison de Habsbourg en la personne du roi de France Louis XIV (dont 6000 hommes sous le commandement du comte de Coligny), terminera prématurément, dit on, en Août 1664 sa première guerre contre l’empire Ottoman (Paix de Vasvàr).

 

   Voila que nous découvrons un inattendu protecteur de la ligue du Rhin, et, cerise sur le gâteau, qui précédemment faillit soi même proposer sa candidature à la succession de Ferdinand III empereur du saint Empire en place de Léopold, jugé trop jeune pour régner, le Roi Soleil ! Une telle alliance militaire Versailles Vienne en 1664, et de surcroît de tels projets pour le moins audacieux de « rapprochement » (le mot est faible) par Louis XIV avec le Gesamtöterreich, ne s’était jamais faite et malgré tous les efforts diplomatiques français, jamais d’ailleurs ne se revit et ne se reverra jamais !

 

Remarque : Voici donc un acte manqué suivi d’une exceptionnelle pseudo rencontre ! D’un côté, voici un empereur du Saint Empire qui est l’héritier d’une formidable collection d’art (jadis gérée par le peintre flamand David Téniers le Jeune), improbable mais effectif allié du  Roi Soleil, pour la victoire en 1664 contre « La Sublime Porte », Istanbul, l’empire Ottoman.

De l’autre, imaginez un Louis XIV, le Roi Soleil, l’autre grand monarque d’Occident, lequel de son côté conserve jalousement en son alcôve le mythique tableau de Nicolas Poussin, les Bergers d’Arcadie !

 

   Stupéfiante coïncidence, quand on sait que le nombre 1664 a été célébré un nombre incalculable (Pas d’exagération : in cal cu la ble!) de fois par l’abbé Béranger Saunière en ses constructions, et que ce nombre étrangement rémanent en notre affaire de Rennes est également attaché très intimement à la géométrie des Bergers d’Arcadie, celle que nous connaissons si bien, ou plutôt tellement mal, celle dont la surface fut curieusement « bidouillée » par ses conservateurs du Louvre sans raisons apparentes (voir l’étude de Patrick Merle).

 

   Les dimensions officielles du tableau du Louvre sont : 1, 21 m x 0, 85 m, et sans aucun doute ces mêmes dimensions étaient officiellement les mêmes sous la protection du roi Soleil (mais avec des valeurs indiquées en coudées, oui, mais fort curieusement en coudées Royales pourquoi ne pas avoir utilisé la coudées usuelle de Paris ou de Versailles, comme cela eut été naturel (bonne question toujours sans réponse claire des spécialistes de la question) ? 

 

   La coudée Royale, comme nous le verrons, est une des mesures quasi mythiques, comme une certaine valeur du stade de 185 m, mesures archi codées par Nicolas Poussin et Henri Boudet, et en particulier pour la Coudée Royale que Poussin nous démontre comme étant consubstantielle avec le mètre mesure (voir début de démonstration au chapitre prochain) … cela afin de nous permettre une découverte de taille ?! …

 

   Ce fut vrai en tous cas pour moi qui réalisa relativement vite que la Coudée Royale, comme le mètre mesure avec son système décimal (donc le kilomètre), était parmi les révélations prioritaires de Nicolas Poussin, ainsi que du nombre 1664, et pour commencer par cette simple opération :

                  

Surface des Bergers d’Arcadie = ( 1, 21 m x 0, 85 m )  x  Phi = 1,664 

 

   Nous retrouvons naturellement maintes fois le nombre 1664 en très bonnes places, toutes très signifiantes en la composition intérieure des Bergers d’Arcadie, au plein cœur de ce que j’appelle le Cercle Poussin, une des clefs majeure et grandiose du tableau, révélatrice des clefs territoriales du Razès et aussi, ce n’est pas rien, comme déjà annoncé, du mètre mesure bien avant son invention officielle !  … Naturellement tout cela se prouve et fut archi prouvé depuis bien des années. Enfin, nous retrouvons ce nombre 1, 664 ou 1664 régulièrement en nos décryptages numériques Boudétiens … mes lecteurs ont dû s’en apercevoir ??? Souvenez vous. Un exemple parmi tant d’autres, la triangulation TGO du chiffre 4  le chiffre de Papus :

 

4 / 3, 89 (la racine clef) = 1,028 (surface en m² du tableau des Bergers) x 1, 272 = 1,308 … et 1, 308 x 1, 272 = 1,664   (1, 272 = racine carrée de Phi)

 

   Naturellement, quand Nicolas Poussin créa ses Bergers d’Arcadie seconde mouture, vers 1650, il ne pouvait savoir ce qui se passerait avec certitude en Autriche sur le front Turc en 1664 (= 17) avec son roi Louis XIV ! Par contre, un qui devait être sensibilisé au point de pressentir la coïncidence possible et avoir conscience qu’il ne fallait pas rater l’occasion de marquer le coup d’un geste devant l’Histoire, symbolique autant qu’effectif, en donnant un net coup d’arrêt à la progression Turque sans cesse en progression impérialiste (et djihadiste ?) au détriment du Saint Empire Romain et Catholique en 1664, c’est bien le roi Louis XIV, avec ses intimes conseillers. Quant à Nicolas Poussin, il savait très bien, je le pense, ce que représentait ce nombre 1664 puisqu’il en aura garni la composition de son tableau culte, 14 ans auparavant … et bien plus tard, idem pour nos abbés des deux Rennes (Bien plus de mille fois nous pouvons compter de mesures 1,664 rien que dans Domaine … réfléchissez à cela et trouvez, ce n’est pas une blague !) ! Nous en reparlerons !

 

   Pour débuter j’espère bien vous parler dans l’avenir de ce que l’abbé Henri Boudet et ses collaborateurs, codèrent dans les deux pages fantastiques que sont la page n° 16 et la page n° 64 (1664) de la VLC !

 

   Bref, cette piste qui m’est si familière depuis tant d’années semblerait rejoindre celle du « Graal de l’Archiduc », car un des liens essentiels qui nous manquait, était bien celui du roi Soleil Louis XIV, coincé (et à l’ombre) entre les mâchoires de l’étau, au Sud, l’Empire des Habsbourg (dits) d’Espagne et Italiens, de l’autre, à l’Est, le Saint Empire Romain des Habsbourg de Vienne.

   Sans parler au Nord, de l’Angleterre très grande puissance, avec Léopold Premier, empereur et incessant chef de guerre malgré lui, par nécessité, afin de sauver l’empire de mille dangers, dont ceux régulièrement entretenus par l’envahissant empire Ottoman, la Sublime Porte

 

 

   Mais ultime lien avec le Moyen Orient des receleurs de trésors (plus ou moins authentiques), mais cependant négociables (tel je le pense, négociables pour les musulmans pour qui ces objets n’étaient pas sacrés), datant des origines de la religion des éternels infidèles à l’islam, le Christianisme !


Portrait de Léopold Premier empereur
contemporain de louis XIV

 

   On se surprend à rêver d’un Louis XIV, de son côté le gardien exclusif (?) en son royaume, des secrets de Poussin, et de l’autre, un Léopold 1er lui aussi très catholique (dernier prétendant à la couronne impériale dans la lignée mâle de Charles Quint), héritier et farouche gardien des secrets qui lui furent transmis par ses aïeux Habsbourg … puis enseignés à Téniers le Jeune qui aura génialement résumé l’affaire en un tableau non décryptable si on ne possède pas les obligatoires références géométriques, les clefs numériques que tenaient Poussin et Téniers … seul tableau de Téniers résumant bien le site (donc on a intérêt à connaître son histoire géologique, car ce tableau témoigne directement d’un passé en lequel le site fut bouleversé par un phénomène tout à fait naturel), en outre, seul tableau à ma connaissance en lequel Téniers n’a fait confiance qu’en la géométrie pythagoricienne … ce qui n’était pas du tout  sa tasse de thé !

 

   Cette guerre autrichienne, avec un Louis XIV s’autoproclamant protecteur de la ligue du Rhin, permit aux deux souverains théoriquement grands rivaux héréditaires, de communiquer et de témoigner … et peut‑être d’agir ensemble  devant l’Histoire … mais, hum … mais voyons, cela allait il dans le sens de leurs intérêts respectifs, d’une part, et de leur intérêt commun, de l’autre ?

 

   Si oui, en quel but ? … Et pouvaient ils s’offrir les moyens du rêve si jamais il s’agissait de créer la grande idée utopique, le grand empire chrétien Européen à majorité écrasante catholique romaine ? Avaient‑ils en commun (Ou l’un ou l’autre, ou bien l’un et l’autre, des connaissances dispersées, ou encore complémentaires ?), la clef d’une légitimité suffisante à persuader le monde occidental qu’un tel projet, et quelle était‑elle, cette clef mirobolante, jadis tenue par Poussin et Téniers le Jeune ?  On rêve ? …

 

   L’Europe unifiée sous une couronne impériale était un fantasme tenace en marche depuis si longtemps, à commencer dit on, par Charlemagne … et bien avant, je pense ! Il existera d’ailleurs tout du long de l’empire expansionniste des Habsbourg qui rêvaient de refonder l’empire romain d’occident !

 

   Le rêve renaîtra chez nous sous les deux Napoléon, puis (hélas) en Allemagne chez un malade mental fou furieux prénommé Adolf, pour revenir enfin démocratiquement se refonder avec le Traité de Rome donnant naissance à l’Europe des nations, des marchands, des banquiers etc., accompagné des douze étoiles sur le fond bleu de la Vierge Marie, un sacré détail qu’on se garde bien d’apprendre à l’école de la République laïque …et pourtant … cela fait toute la symbolique du pavillon … Désolé, il n’en existe pas d’autre ! Noter bien aussi que le traité fondateur fut signé à Rome … hé, hé … par trop mal  joué, les démocrates chrétiens créateurs de l’Europe des nations !

 

   Ne quittons surtout pas le sujet sans avoir souligné que c’est bien en 1664 que le roi de France se donna peut‑être, quant à lui, les moyens de partager seul les secrets de Nicolas Poussin en liquidant un rival encombrant, un certain Nicolas FOUQUET.

En effet, la chute programmée de Nicolas Fouquet tomba le 21 / 12 / 1664

 

   (Ah les beaux nombres, ah les beaux chiffres !), quand la Chambre de justice reconnaît Fouquet coupable de péculat (le mot est également bien joli). Ce jour là, Louis, le scélérat toujours fauché, savait qu’il avait  beaucoup gagné, et de surcroît depuis 3 ou 4 mois pouvait s’enorgueillir d’avoir signé un contrat mirobolant  avec Léopold 1er du Saint Empire de Vienne  … C’est ce que j’appelle remettre (pardonnez moi l’expression) du jus dans le Trésor en s’assurant une certaine complicité politique avec le dernier descendant de la lignée de Charles Quint, et cela sur le dos de l’Espagne ! … Nos deux très grands monarques, tous deux bien mariés, car ils étaint les gendres de Philippe, roi d’Espagne, et seront relativement complices sous la guerre de Dévolution … et pour la longue suite des hostilités. Voila des ennemis ou rivaux héréditaires devenus bien pragmatiques et qui n’ont pas ménagé leurs échanges diplomatiques !

Sont toujours dures, les histoires de famille, pensez, dés qu’il existe un héritage phénoménal à la clef !

 

FOUQUET (Nicolas) : 3 (et 4 par extension) pages du Boudet concernées par le patronyme Fouquet en tape irrégulier, mais à chaque fois légitimé par Henri Boudet ! Cryptage tout en finesse !

 

Page 75, page de l’Arche de l’Alliance, de la Trame de laine, du Propitiatoire en or massif dont la surface en coudées royales carrées, retranscrite en m², est égale à la surface des Bergers d’Arcadie (= 1, 028 m²) … excusez du peu …  

 

Tape en désordre : lignes 8  15  3  17  =  43 et 25

43 / 25 = 1, 72 … Page 172 ? : Comme par hasard, c’est la page de l’Archiduc Léopold de Habsbourg !

 

Page 136, tape encore en désordre, en 11  18  4  25  10.  Ligne 10 : « To angle, pêcher à la ligne » (la phrase qui nous enseigne le concept même du tape !)

 

Page 168 : désordre toujours : Lignes  6  21  12  10.

 

Et 6  21  15  23  et  6  5  12  10  7  et  6  21  12  4  etc. Le festival !

Ensuite, sur la même page, un autre tape : LION    LI ligne n° 25  et ON  ligne n° 5.

25 – 5 = 20 

 

Il y a bien 20 lignes entre LI et ON !

25 + 5 + 20 = 50  précisément, le nombre du LION !!! …et 20 son nombre symbole !!!

 

Il n’existe aucune autre page contenant en tape, Fouquet ; mais constatons qu’Henri Boudet lui fait la part belle et digne d’un lion … mais abattu en sa superbe, dépossédé et contraint à la détention à perpétuité … et surtout au silence absolu. Henri Boudet ne pouvait donc pas coder FOUQUET droit et dans l’ordre … !

 

Fouquet conduirait‑il, selon Boudet, à Léopold Premier, à l’Arche, au Propitiatoire, à la figuration du Graal … ou autres grandes reliques ?

 

Et d’autre part, Henri Boudet nous rassure car il semble nous affirmer qu’il est légitime de trouver Fouquet en tape, même s’il nous arrive en désordre, qu’il faut remettre en ordre les parcelles, remettre en ordre les poissons (to angle, pêcher à la ligne !), et enfin, Nicolas Fouquet nous conduirait il au LION ? Alors ? … soit aboutirait au Lion ou passerait par le Lion, lequel, lesquels … ? Beaucoup d’interrogations, comme d’habitude !

 

(Lire et relire les articles passionnants sur le thème Fouquet sur ce site même et analyser les illustrations … les orientations, et les nombres sur les livres de pierre !!!) 

 

   Hum … au fait, non, zut, je refusais de vous sortir le fameux canular de la soit disant bataille de Cronenbourg (banlieue de Strasbourg) entre louis XIV et Léopold 1er en Juin 1664, mais voila que Flo, mon petit neveu, ce coquin, me l’a fait tout de même fait promettre en me décapsulant une canette … Ces gosses, on leur passe tout ! Bon, à votre santé ! (Hum … publicité clandestine ?)

 

   Revenons plus sérieusement à nos chiffres. Voici donc « 2 Léopold » dans notre collimateur … largement confirmés par Boudet, lequel nous crypte justement deux fois le nom de Léopold en deux pages, les 172 et 173 (petite remarque qui a son importance : Léo de Léo//pold = LION) ! Détail anodin ? Non, je ne pense pas ! Car voici :

 

LEO  POLD : LEO = 32    et     POLD = 47

 

32 est la racine du triangle Pythagore (3 4 5) de 96  128  160 qui sont les valeurs, comme nous le prouverons bientôt du triangle des Trois Lumières !

 

47 est ~ la valeur en chiffres abstraits du diamètre du cercle Poussin à échelle méridienne carte Boudet (pour les + que rares qui ont la chance de le connaître ???!!!), et de 11, 76 km sur le terrain !

 

32 + 47 = 79

 

79 / 47 = 1, 68 qui x 7 (Léopold = 7 lettes) = 11, 76  ce qui est parfait !

 

8 + 7 = 15 qui est une clef topographique essentielle depuis la tour Magdala, et 7 et 8 peuvent être le 78 qui est une grande classique parmi les clefs numériques  Boudétiennes. Pas mal, pas mal ! (Et je ne vous avoue pas tout !) La piste Habsbourg (par Antoine et Henri Boudet) s’affinerait‑elle … ?

 

Encore une petite introspection, pour la route :

 

Ne quittons pas les pages 172 et 173 chacune codées LEOPOLD en tape, mais de manière suggestive en variant les sens du tape.

 

Page 172. En tape ascendant est codé LEO (lion) : Ligne 9 = LE et ligne 1 = O.

En tape descendant est codé POLD : ligne 10 = P  Ligne 19 = O  Ligne 22 = L  Ligne 28 = D.

 

Total des n° de lignes : 9 + 1 + 10 + 19 + 22 + 28 = 89 (= 17)  Total des nombres réduits : 35 (= 8).

 

Page 173. J’abrège ! Total des lignes 25 + 14 + 1 + 4 + 5 = 49 (=13) et 40 (= 4)

 

   Première constatation : (40 / 35) x 7 (7 lettes en Léopold) = 8. En règle absolue, 40 / 35 multiplié par 7 ou par un multiple de 7 donnera toujours 8 ou un multiple de 8. Ainsi nous obtenons une série fort riche avec les numéros des pages du Boudet en calculant à partir des multiples de 7 ou à partir des multiples de 8. Que des surprises ! (7 et 8 … toujours la clef 78 présente en tous les points cruciaux de notre enquête … et à plus forte raison quand notre sujet central est ANTOINE = 78 !) Quant au 49, nous ne sommes pas à la veille de l’oublier … patience)

 

   Donc, page 172 : Léopold, page 173 : Léopold, page 174 (curieusement ?) nous trouvons le mot OATRICK ! Voir « Le K en tous ses états » au chapitre 3, en lequel passage j’observerai plus en profondeur la manie Boudétienne qui était celle d’inverser le H avec un K et vice et versa ! Donc OATRICK peut devenir théoriquement par la fantaisie d’Henri Boudet OATRICH prononciation, phonétique approximative : AUTRICHE. C’est monsieur Alain Sipra qui le premier avait judicieusement édité ce cryptage !

 

89 / 49 = 1, 816  32  653061  (désolé, en ce cas précis je préfère provisoirement me taire et ne pas me découvrir, vous comprendrez un jour pourquoi, c’est trop une super bombe. La prochaine fois … à part le cas du 32 que vous connaissez pour être la racine du triangle Pythagoricien des trois lumières… qui reste toujours à démontrer, mais chaque chose en son temps !)

 

   Autre bombe : 40 / 17 x 20 (20 étant le nombre symbole Boudétien du Cercle Poussin) = 47 (47 étant la valeur en cm du diamètre du Cercle Poussin sur tableau des Bergers) et naturellement 40 / 17 x 5 (= 20/4) = 11, 76 km qui est la valeur de la méridienne diamètre du grand cercle Poussin retranscrit sur le terrain. C’est encore cadeau pour ceux qui sont capables de percuter, et je les félicite) !!!

 

   Une petite curiosité avant de passer : 172 + 173 + 174 (nos trois pages) = 519.

Triangulation Pythagore du 519 : 129, 75 // 173 (mais oui !) // 216, 25.

 

Joli pirouette d’intellectuel ! Cela prouve que ces bonnes pages n’ont pas été choisies par hasard.

 

   Nous constatons que globalement en les deux cas, quoique nous ne manipulions pas les mêmes chiffres, nous tombons sur des nombres clefs analogues. Simple hasard, nous démontreront certain professionnels du genre, sans même en sourire. Faut avouer que depuis le début le hasard fait des miracles (pour paraphraser Maurice Leblanc, titre d’une nouvelle justement portant, et cela tombe bien, un énorme indice clef géométrique en accord parfait avec mon analyse géométrique du centre du Razès en osmose avec les Bergers d’Arcadie), et notre bon hasard d’amplifier son action ! Tout cela signifie que notre chien de hasard pousse un peu trop loin ses quilles au goût de certains !

 

… Et n’oublions toutefois jamais le prénom Guillaume rappelant l’archiduc Léopold GUILLAUME de Habsbourg, que nous retrouverons chez cet énigmatique personnage qui se fit nommer Monsieur Guillaume, soit disant un Archiduc (tombé « en déshérence » ?), venu consulter nos abbés du Razès pour de tellement curieuses et inavouables affaires que nous ne savons toujours rien de sérieux ni de certain sur le sujet !!! Autre noms parfois cités pour Monsieur Guillaume : Certains parlerait éventuellement d’un Jean Stéphane (de Meran de Lorraine) de Habsbourg, qui ne fut d’ailleurs jamais archiduc, mais comte ! … ou de l’archiduc Jean Népomucène, alias Archiduc Jean Salvatore, en rupture avec son milieu, idem connu sous son pseudonyme de Jean Orth qui disparut avec sa goélette, sa famille (et un mystérieux coffret en fer), quelque part vers la Patagonie et qui par cela inspira directement ou indirectement tant d’auteurs ?

   Le flou règne sur cette ténébreuse affaire qu’on aura à tord ou à raison agglomérée à celle de R.L.C … mais il parait qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Il se pourrait alors que le mystérieux visiteur, si toutefois il existât, choisit comme pseudonyme Monsieur Guillaume à seule fin de rappeler pour les initiés l’Archiduc Léopold Guillaume de Habsbourg, le gouverneur des Pays Bas, collectionneur d’art, ami et confident de David Téniers le Jeune, probable  détenteur de secrets concernant le Razès et les Hautes Corbières … et sans doutes l’Europe entière? Hors donc, qu’une seule méthode, remonter la fumée jusqu’à la source ! … et faire en sorte que la source n’éteigne pas le feu !


Jean Orth

 

   Je vous annoncerai toutefois ceci, qu’Henri Boudet en cette page 172 que nous connaissons déjà bien, est, je vous le certifie, la seule page du livre contenant en tape toutes les lettres nécessaires (mais encore dans le désordre) pour écrire ceci, mais vous l’avez deviné, ARCHIDUC  LEOPOLD  DE  HABSBOURG. (26 lettres pour 28 lignes et fort peu sont bissées, voyez par vous‑même … encore une fois, le hasard aurait bon dos !) C’est un nouvel exploit Boudétien … cherchez une autre page avec une telle opportunité, vous ne trouverez absolument rien de comparable … sans commentaires … ? … encore un heureux, voire chanceux hasard très ordinaire, diront nos bons amis pleins de sagesses (au pluriel !) ???! … (Dire que pourtant je n’ai jamais rien gagné aux loteries, ni ailleurs?)

 

  Pour l’instant je m’interdirais d’aller plus loin sur ce thème touffus mais brûlant, malgré un dossier précis chaque jour évoluant en qualité, et volume … de peur de me faire traiter de faiseur de fumées ? … ou de poète … Nous aurons, je l’espère, l’occasion d’en reparler … à froid …

 

… Encore et encore … j’avais découvert en une page très, très sensible du Boudet, celle qui révèle le vrai centre du vrai cercle du faux Cromleck, page 292, un autre message portant ce même monogramme, AEIOU, avec idem un très curieux cryptage interne (et de deux !), très original, consistant en l’absence évidente de trois lettres dans le court texte, et comme par hasard les 3 lettres absentes que l’on déduit facilement sont R.L.C., message accompagné de surcroît, cerise sur le gâteau, d’une courte locution (deux mots) en langue Allemande mais aux rugueux accents pro nationalistes proche du slogan du monogramme en langue allemande : Heil Österreich ! … le tout semblant témoigner directement, et sans ambiguïté, des étroits rapports idéologiques et religieux (et pourquoi pas intérêts financiers ?) de nos curés du Razès, avec les derniers des Habsbourg régnants, à la veille de la Grande Guerre, et pendant la guerre, dont nous allons célébrer et longuement analyser pendant 4 ans, avec à la clef, la chute brutale de la plus ancienne et prestigieuse dynastie impériale d’Europe !!!

 

   Voici donc ce très curieux message décodé page 292 (Page du centre du vrai cercle du faux Cromleck) du Boudet selon la méthode 9 – 8 = 1 rappelée opportunément par Maurice Leblanc, en 31 lettres, dont 3 manquantes mais particulièrement facile à compléter, n’est ce pas ? Lisez cela comme je l’ai lu, telle une vive prière et un aveu :

 

M È R E  T E N E Z   F O I 

A. E. I. O. U.   « H E I L  Ö S T E R R E I C H » 

 

J’ai noté les lettres qui manquaient dans le décodage, en gris :

L + R + C (dans l’ordre sans doute : R. L. C. qui ne saurait alors n’être autre que Rennes‑le‑Château) = 33 !

 

33 est le nombre symbole Boudétien du sang du Christ versé sur la Croix.

 

Nota : Le total Alpha est de 313 sans les trois lettres R L C qui font quant à elles : 33

313  ®  7   et   33  ®  6

 

7 et 6 agglomérés font 76, la valeur du diamètre de la coupe d’agate ?!

Mais le total général est de 346 avec les trois dernières lettes.

 

346 ®  13 qui chez Boudet est le nombre symbole de Jésus vivant. On peut se demander en outre, étant donné que le W ne faisait pas encore partie officiellement de l’alphabet français, au contraire de l’alphabet allemand, si en ces conditions, Henri Boudet ne se serait pas amusé à imaginer deux totaux Alpha possibles, un total de 346 pour les Autrichiens, et un total de 346 – 1 = 345 pour les français, ce qui serait un cryptage subtile du triangle de Pythagore, adressé aux décodeurs français : 3 4 5 ... Allez savoir ?

 

    Non, vraiment, je n’ai aucune théorie consistante concernant la possible nature de ce, ou, ces Graal, dont les présences sont pourtant plusieurs fois certifiée par Boudet très bien secondé en ses divers codages …! Je ne connais aucun indice suffisamment solide pouvant me rassurer sur ce point crispant, mis à part que probablement ils seraient entourés de très saintes reliques ??? … ou peut‑être en contenant certaines, comme le sembleraient l’indiquer quelques décryptages ??? … ou encore, point de reliques, mais des documents afférents à certains personnages devenus mythiques ??? Tout n’est qu’interprétations, donc sujettes à force doutes.

 

   Et si Boudet voulait nous suggérer qu’il faille s’inspirer de la nature physique (et historique) de la coupe d’agate, le « Graal » connu, présent dans le trésor de Vienne, afin de pouvoir saisir des indices certainement codés en de bonnes pages au sujet du but final prévu. Hé, hé, jusqu’ici je puis dire que cette hypothèse à l’usage, me semblerait la plus excitante (sans plus pour le moment … et quant aux lettres présentes sur le chef d’œuvre, elles sont à mon avis trop amènes à indiquer qu’il s’agirait d’un chrisme partiel, et un peu trop compliquées pour faire croire à une ordinaire signature … je publierai ultérieurement une étude numérique de ces lettres. (Cela vaudra le déplacement !)

 

   En attendant, nous pouvons dire que Maurice Leblanc aura vendu (sous conditions très astreignantes, je vous l’assure !), un tout petit bout de la mèche en écrivant : Huit ôtés de neuf, reste un !

 

   Il y aurait bien d’autres commentaires à faire, mais, je n’ai pas spécialement envie de trop en parler, et puis, là n’est pas mon propos du jour, car nous avons d’autres chats à fouetter … urgemment, et qui s’impatientent.

 

   Rassurez vous, tout est à l’abri et je prévoirai la survie de mes notes … avec quand même un brin d’inquiétude, les héritiers vont avoir beaucoup de mal à me décrypter, car je fais référence à des valeurs insoupçonnées par beaucoup de chercheurs, et de plus est, ces nouveautés ne feront pas forcément, plaisir à tous, surtout chez les « dogmatiques ultra conservateurs » (mais ce sera tant mieux pour les autres à qui cela plaira et inspirera) !

 

   Encore cependant une petite remarque, me dit Flo, mon terrible petit neveu : les valeurs Alpha de l’ensemble des voyelles présentées par la boucle du monogramme crypté dans de décodage = 81 = .

 

Triangulation Pythagore = 20,25   27   33, 75. Trois nombres se réduisant à (9 // 9 // 9) …voyelles qui sont 9, alors que les mots sont au total 10, et que les deux monogrammes, s’ils avaient été complets, auraient fait 10 (voyelles).

Nous essaierons de nous en en souvenir, ce n’est peut‑être pas  une mauvaise remarque ! Car, disons nous bien que le chiffre obsédant Henri Boudet était pour commencer, le 3, c’est en effet un bon guide (et le 9, comme nous le verrons, est sa quintessence). Enfin, seul le 3 dans l’infinité des nombres est capable, sur soi même et sur lui seul d’ailleurs, d’aboutir à 10. En effet, connaissez vous un autre chiffre fonctionnant tel le 3 :

 

                    3 x 3, 33333333333 … = 10 

 

Ce qui n’est pas en soi un secret arithmétique, mais … Boudet se souvint de cette formule pour coder !

 

   Donc, désolé, je n’en dirai aujourd’hui pas aussi loin que certains le souhaiteraient au sujet de l’application technique du chiffrement et du déchiffrement de ce code à chiffres et que je ne révélerai pas dans l’immédiat, estimant très sincèrement que les esprits Castelrhedaen ne sont pas encore suffisamment préparés à vivre une telle révolution en leur approches de l’affaire ! Et moi‑même je ne suis pas non plus suffisamment psychologiquement prêt à subir les probables violentes répliques de l’opinion de certains groupes de pression cultivant un stérile conservatisme construit sur des dogmes que je juge douteux, si non parfois, inconsistants. (C’est dit … quitte à me faire traiter de sectaire et de vieux … ? …)

 

   Autrement formulé : je tiens à ma petite tranquillité de déjà vieux bonhomme et aussi à ce qui me reste de peau et de santé. J’espère que vous comprendrez cette décision (tout de même provisoire, je le souhaite). Mais rien en attendant, ne vous empêche de le redécouvrir à votre tour, puisque vous connaissez la formule et une des pages en question … avec du travail et de la chance, ce sera donc possible. Amusez vous. Mais sachez que lorsqu’on touche aux codages supérieurs du Boudet, on ne dort plus jamais tranquille, et que c’est le prix à payer.

 

   Pour les amateurs, je ne leur dirais qu’une chose (ou deux … Pourquoi pas trois, quatre cinq ou six …ou bien dix ?). Seul les très futés et conscients commenceront à percuter. Cela va sélectionner sec, et encore je n’en suis pas absolument convaincu que le plus futés découvrent rapidement les premiers indices positifs! Je m’en excuse, désolé. Je m’adresse aux joueurs ! Jouons !

 

   Je le répète, la bonne formule de décodage des lignes (to angle pêcher à la ligne) des bonnes lignes du Boudet se trouve donc dans le roman de Leblanc édité sous le nom de Le Cabochon de Cristal (1912), qui fut débaptisé un peu plus tard pour Le Bouchon de Cristal ! Etonnant, car le mot le plus juste était bien cabochon !

 

   L’œil gauche artificiel de Daubrecq en lequel il cachait le document secret, la pièce à conviction, la liste des 27 ! (27 fois citée dans le roman par le nombre (écrit) vingt‑sept), avait la forme des pierres plus ou moins précieuses, arrondies et polies, mais non taillées en facettes, nommées des cabochons. Pourquoi avoir changé le titre ? On ne porte pas un bouchon de carafe même de cristal en place d’un œil crevé ! Cela ne se dit que par dérision ! Passons …

 

   Au fait, en ce cas, serait‑ce le secret qui vous regarde ? Voyons, est‑ce vous qui devez détecter la vérité dans un oeil gauche qui vous regarde, ou bien vous faudrait‑il détecter la vérité dans l’œil situé à votre gauche, et que donc, vous regardez ? Bonne interrogation en un système inversant avec complaisance tous ses paramètres, chiralités ou pas. ? 

   Et cette affaire de cabochon, de bouchon et d’œil, devient bien croustillante, car Leblanc écrivit 18 ans plus tard, en 1930 une petite nouvelle passée presque inaperçue, de 14 pages environ, sans commune mesure avec l’extraordinaire roman à mille rebondissements et suspens infinis qu’est le Cabochon de Cristal, devenu Le Bouchon de Cristal, intitulée « Le Cabochon d’émeraude » faisant allusion à un geste dicté par l’inconscient d’une femme du monde et fausse énigme qui sera immédiatement élucidée par LUPIN  

 

Tiens, tiens … ah, ah ?

 

Sans blague, le docteur Sigmund Freud, serait il de loin mêlé à cette affaire ?  Docteur Freud ? Irons nous sonner à la porte de son ex  cabinet, à Vienne ?

La maison du docteur Freud à Vienne

 

    Freud, un grand Viennois auquel Leblanc envoie ainsi un joli clin d’œil, car à part cette minimaliste nouvelle, Leblanc n’aura jamais développé un autre thème approchant de près ou de loin un des problèmes psychiques de l’inconscient … Serait‑ce inconsciemment que Leblanc parla d’émeraude ? … car si c’eut été en l’histoire, un saphir, ou un diamant, que cela n’eut rien changé à l’affaire ! D’ailleurs Lupin qui aura deviné l’acte manqué, nous épargne son analyse Freudienne ! On comprend qu’il l’aura déjà faite avec sûreté pour lui même dés qu’il apprit la disparition du bijou, d’autant plus facilement qu’il connaissait bien le mental de la femme du monde concernée, et envers laquelle d’ailleurs il devait nourrir quelques espérances amicales, voire amoureuses ? Je pense aussi que Leblanc avait parfaitement conscience de ce détail : le substantif émeraude a pour valeur Alpha : 76 ! 

 

   Et 76 est la mesure officielle, en cm, de l’envergure du Graal en agate des archiducs de Vienne, exposé non loin de l’ex cabinet du docteur Freud, un des grands inventeurs de l’inconscient ! … surtout, reconnaissons le, qu’il travaillait pour la clientèle des riches femmes du monde, ou des grandes bourgeoises, ce qui est aussi le cas dans la nouvelle du Cabochon d’émeraude, avec la princesse Olga appelant Barnet (Lupin alias le baron d’Enneris) au secours, au sujet de la disparition inexplicable de son cabochon que Lupin lui retrouve sans aucune hésitation car elle l’avait inconsciemment introduit en son sac à main Lupin, alias Leblanc, qui de toute évidence avait connaissances des recherches Freudiennes … (l’acte manqué), mais qui (Lupin !) sut élégamment se payer plus tard sur la personne, sans toucher un sou de la princesse, seule différence avec notre docteur Freud …

 

   Curieuses rencontres, n’est‑ce pas, Louis XIV, Le Saint Empire des Habsbourg, Nicolas Fouquet, Lupin, Freud, l’inconscient, le Graal, les sphinx, les lions, les Archiducs, Vienne, Versailles … ? Cela devient pointu dans le pittoresque, comme me chante Flo en do majeur !

 

   C’est ce qui, entre autres détails, me mit la puce à l’oreille avec le chapitre 2, intitulé : « Huit ôtés de neuf, reste 1 ». Le 1 étant Lupin, comme chacun sait s’il a lu le livre, un as … un as de « pique » dans tous les sens du terme, et de « cœur » !

 

Maintenant, concentrez‑vous ! Cabochon vaut 61 en Alpha et bouchon vaut 78 (78, la clef accompagnant tous les nœuds d’énigmes Boudétiennes !!!). 7 x 8 = 56, il y a bien 56 lettres (autre clef !), dans le message. La page est de 28 lignes, donc deux lettres doivent être sélectionnées par ligne. OK ?

 

61 et 78 (la clef Boudétienne découverte par A. Goudonnet) = 139. Comme nous verrons, c’est la page 138 la page clef concernant le triangle des trois lumières …quel rapport ? A nous de voir … 139 + 138 = 277 qui est la page n° 2 du sous chapitre sur N.D.d.M. !!! Vous comprendrez mieux en poursuivant la lecture des chapitres.

 

Pour moi, je consultais la page 139 et m’apercevais qu’elle est codée en tape (en acrostiche), tenez vous bien :

 

« LION  DE  VIENNE ».

 

Un sacré bel indice ! Que dis‑je, inespéré ! Un aveu ! Comme le cas de la page 76 qui n’est pas inintéressant non plus et vaudrait idem le détour ! Je vous en reparlerai.

 

   Le total des ordres de lignes fait 144 ? 144 est au rang n°12 de la série de Fibo !

A négliger ? Pas du tout ! Très important avec Henri Boudet, friand de séries d’or en ses codages … y compris les séries d’or dont on ne parle jamais et qu’il faut faire l’effort de découvrir ! Comment ? C’est compliqué ? Oui, sans doutes !

 

Page 144 vous avez Graal en tape (acrostiche) sur les 12 premières lignes. 12, l’inverse (nombre sympathique) Boudétien du 21 (Graal !), au 8ème rang de la série de Fibo.

 

C’est à partir d’ici que ça devient fou, accrochez vous à vos neurones :

 

Mesurez du p de plus jusqu’au L de « La passion du cheval » ligne 12, vous avez 50 mm, le nombre du Lion.

 

   Et le triangle TGO, dont pL est la base, coupe deux fois les deux mots du texte : chevaux … C’est un triangle de 50 // 63,5 // 89,9 (mm) lequel x 10 = 500 // 635 // 890, valeurs qui représentent le tout premier des TGO existant dans la série privilégiée des TGO aux 3 côtés exprimables en nombres entiers, nommés pour cela (au singulier), par Boudet : CHEVAL CHÂTRÉ en référence au « cheval à demi châtré » dont les valeurs ne sont pas des entiers (châtré ou coupé comme les deux mots chevaux sont coupés sur le texte … par l’hypoténuse (Hypo … !), tel ceux de la page 154 (hé oui,  « Le Cabochon d’émeraude » fait en Alpha : 154 !!!)

 

   C’est la grande page rayonnante ou Boudet nous crypte justement cette impossible histoire de cheval à demi châtré (Ah, voici la chaîne ininterrompue des cryptages !).

 

   Voir mon étude parue en mes anciens chapitres sur le thème des petits chevaux (triangles) pages 154 et 155 chez Boudet et sa propension a citer sans en avoir l’air les suites d’or.

 

154 / 144 x 11 = 11, 76, nombre de la longueur en km de la section méridienne utile nommée Arcadie, et que nous avons déjà rencontré (11, 76 km x 4 =~47, 069 cm sur IGN 1/25000ème), et qui n’est que la position archi évidente et prouvée depuis des décennies de la retranscription du diamètre du cercle Poussin = 11, 76 x 4 =~ 47, 069 cm sur carte IGN. ! Encore un rapport champion, une merveille arithmétique incluant curieusement le 11, première signature Boudet et le 76, la clef numérique du Graal de Vienne : 76 / Phi = 47 (comme par hasard), autre opération permettant de trouver la valeur sur carte de la même section utile de méridienne faisant office de diamètre du cercle Poussin !!!!!!!!!! (L’enchaînement continue !)

 

   Trop compliqué ? Cela va trop vite ? Ben, c’est du Boudet ! Et il vous manque la connaissance des bonnes références, et Boudet, mine de rien,  nous aligne les chiffres comme si vous les connaissiez … C’est ce que je disais, vous n’êtes pas encore prêts. On ne peu se douter de tout cela la première fois qu’on ouvre le livre … on ne se doute d’ailleurs strictement de rien, et sans doute beaucoup referment le livre sans en avoir soupçonné le plus simple des cryptages !

 

   Ensuite, quand vous avez digéré toutes ces petites infos, et que vous en avez déduit toutes leurs conséquences, sautez à : Huit ôté de neuf, reste un = Neuf moins huit, égale 1. Voir fin chapitre 5 : Les Pommes Bleues Boudétiennes … (cela n’a rien d’une plaisanterie, et je développe ce thème de géométrie sacrée au chapitre n° 5). Il s’agit en vérité d’un ancien article qui ne fut jamais édité … mais qui l’aurait dû l’être … acte manqué ! Sans doute que le web master ne voulut pas paraître ridicule aux yeux des indéracinables amateurs de compotes ou de calva de Pommes Bleues … (LOL !!!). Peu importe, puisque vous pourrez dans quelque temps le consulter en son intégralité (+ mise à jour) au chapitre 5.

 

   Autre chose. Si l’expression « to angle, pêcher à la ligne » est à prendre en considération en cette page 279, page du Graal de l’Archiduc, c’est bien le moment opportun pour obéir à ce conseil ! Côté pêcheur comme côté poisson.

 

   Quant à la grille (le filet ?) de déchiffrage servant à achalander les poissons sur les claies ajourées, elle est simple, mais ce n’est pas Daubrecq, mais Lupin qui nous la crypte au chapitre (….) du roman Le Cabochon de Cristal.*(voir l’annexe)

 

 Huit ôtés de neuf, reste un Qu’y a‑t‑il de formidablement occulté en cette formule arithmétique en apparence banale et futile ?

 

Avouez qu’on aurait pu écrire ceci 9 + 8 = 17 et ou bien tout bonnement : 9 8 = 1 !!! 

 

   Mais cela porte‑il le même sens que le vrai titre ? Je m’adresse aux littéraires encore à cette minute suffisamment éveillés, quoique je pense qu’il y a longtemps que je les ai tous largués ! Non ? … Chouette, il en reste un ! … Ainsi rédigé par Leblanc, qui savait, du moins je le pense, très consciemment ce qu’il faisait, et qui nous aura tout codé, cela semble vouloir dire qu’il faudrait saisir la valeur 9 avant d’ôter la valeur 8 et que pour cela il faudrait saisir le 8 tel que le 9 … cela parait bébête et confus, ce que je dis, mais … méditez … ! … Et qu’il se pourrait que le 1 soit effectif dans le cas du 9, comme le 1 soit idem effectif dans le cas du 8. Bref … ce qui nous ferait : deux as, d’un seul coup, un de pique, l’autre de cœur (Les deux dépeignant Lupin le chevalier de la pique et du coeur !)

 

Maintenant j’en appelle aux arithméticiens 9 – 8 = 1 se convertit en 9 = 1 + 8 ou en 1 + 8 = 9

 

   Mais attention, … 1 + 8 = 9, c’est le principe même de la fameuse formule clef de L.V.L.C. (qui l’avait reconnue ? … ?), soit la clef du concept de l’équivalence selon la condition : a + b = c, selon moi, faute de l’appeler autrement, et que j’ai découverte en décodant Boudet (merci à Henri Boudet car c’est une création arithmétique originale, donc inédite en son temps), une égalité démontrable selon la même condition a+b=c, selon monsieur Yves Lignon (professeur de maths, niveau universitaire), item pour messieurs Pierre Quinzou et Alain Chadelaud, (deux professeurs de maths de l’enseignement Secondaire), toutes personnes que j’avais consultées (à part moi‑même, lol !), afin d’en déterminer la démonstration mathématique (tout le monde étant d’accord car en fait, il n’y a pas deux sortes de démonstrations possibles !) ou encore, voici un pittoresque avis contrastant nettement avec celui des professeurs (et du mien d’avis) : « C’est une  tautologie, donc une faute mathématique » (?!), selon monsieur Alain Sipra (ingénieur, monsieur très aimable, mais que je trouve cependant bien sévère et abscond en ses jugements !) :

 

c/a   +   c/b   =   c / a   x   c/b

 

Soit en ce cas : 9/1 + 9/8 = 9/1 x 9/8

 

Et comme 1+8=9 (a+b=c) voici venir la Boudétienne « tautologie » et prouvant du coup qu’on a tout juste, donc la tautologie est bien en ce cas précis le contraire d’une faute.

 

Plus précisément : 10, 125 = 10, 125 … ah, ha … ? Et cela, le saviez vous, messieurs les grands savants ?

 

Qu’est‑ce 10, 125 ?

C’est le rapport du comma supérieur du Nombre d’Or, mais x 10 !

Calcul du  comma supérieur : 81 / 80 = 1, 0125 et 1, 618 (=Phi) x 1, 0125 = 1, 638

 

Calcul du comma inférieur :   80 / 81 =

0, 98765432 (quel joli nombre !), et 1, 618 (=Phi) x 0, 98765432 = 1, 593.

 

Remarque : Pages 80 et 81, Boudet nous code justement le comma du nombre d’or, cela vous épate ? Pas moi ! Normal, c’est du Boudet !

 

Voici donc avec 1, 593 et 1, 638, les extrêmes théoriques (et pratiques) de tolérance matérialisée (tel en architecture) de la perception et de l’estimation (à l’œil humain, œil très imparfait !), de la justesse ou non de la section d’or

(1, 593  1, 618  1, 638).

 

   Boudet nous le code pages 80 et 81, ce qui est toute une autre histoire tout en étant exactement la même ! Ben, oui ! (Pages des PhiListins, pensez donc, encore un très joli clin d’œil à la Henri Boudet !)

 

Rapport des 2 valeurs : 1, 638 / 1, 593 = 1, 028   !!!

 

   Qui s’en souvient ? 1, 028 est une des grandes clefs pérennes logée en tous les grands carrefours et correspondances des codes de L.V.LC.

1, 028 est la surface en m² de la toile des Bergers d’Arcadie et la surface en m² du propitiatoire en or (massif, selon Boudet … et certaines bonnes traductions de la Bible), de l’Arche de l’alliance calculée en coudées d’or retranscrites en mètre mesure … L’importance du mètre mesure est capitale en nos décodages, depuis les Bergers d’Arcadie !!!

Enfin, et c’est aussi important, 1,028 est la base le la Triangulation Géométrique d’Or du 4, item le chiffre de Papus et de ses pairs, que nous allons retrouver, bien entendu, au chapitre 5.

 

Hé oui, 1, 028 + 1, 308 + 1, 664 = 4 … qui se souvient parmi mes (rares mais valeureux) lecteurs, de cette formule, que j’ai déjà développée et largement expliquée en de précédents articles, en déposant par la même occasion des théorèmes inédits, mais qui, détail historique, ne servent strictement à rien d’autre qu’à aider à décoder le livre d’Henri Boudet !!

 

   Mais ce « Huit ôté de neuf, reste un » non seulement enferme la clef du code Boudet révélée par Leblanc, mais il  anticipe largement sur la découverte du triangle des Trois Lumières alter ego du triangle de Pythagore (dit) mineur du site du LION NORD. Mais de cela je ne pouvais m’en apercevoir qu’après avoir décodé les valeurs de ce triangle du tableau d’Antoine à N.D.d.M !

 

   L’analyse de ces 6 mots (Huit … un) est tout à fait admirable (comme par hasard …). En effet, 21 lettres, valant en ordre alpha 274 et 112 en ordre alpha réduit (112 est la valeur alpha du mythique : ET IN ARCADIA EGO) et le n° d’une page pesant des tonnes de révélations chez l’abbé. Toutes deux sont des pages non banales et grandioses du Boudet !!!

 

274 est la page en laquelle Boudet ose enfin citer le nom de Madeleine (par ailleurs page très codée !) et le 112 (= 56 x 2) est un sommet de révélation topographique, car elle supporte l’extraordinaire cryptage des deux sites du LION. Comment ? Il est trop tôt pour que j’en parle (c’est frustrant) car je ne vous ai pas encore livré les bonnes références nécessaires à l’analyse !

Mais, petits détails excitant la curiosité : la section d’or de 21 est ~13. Celle de 274 est 169, 34 et celle de 112 est ~ 69,22. Voir les trois lettres concernées sur la progression du total alpha :

 

HUIT  ÔTES  DE  NEUF,  RESTE UN

 

Les 3 lettres se suivent : U F R c'est‑à‑dire en alpha =

21  6  18. Vous l’avez compris 21 (Graal) et 618 (= 1000/Phi). En fait nous verrons un jour comment ces simples chiffres guident et résument à eux seuls un pas de géant dans l’affaire du repérage des deux LIONS … et du point G.

 

2 + 7 + 4 + 1 + 1 + 2 = 17

 

Mais voici le plus beau : 274 + 112 = 386

Triangulation Pythagore du 386 = 96, 5   128, 66666   160, 83333 96  128   160

 

vous connaissez déjà par cœur, nous le retrouverons partout où il le faut et surtout dans le triangle des Trois lumières après la fameuse démonstration codée par Boudet qui sera l’objet des deux chapitres suivants, car seule la démonstration compte, et les 3 valeurs décimales 0, 5 + 0, 666666 + 0, 833333 = 2 représentent la triangulation Pythagore du 2. Nous retrouverons, vous le pensez bien, le 2 en notre démonstration ! Magnifique de chez superbe !

 

   Conclusion : Huit ôtés de neuf, reste un, est une des clefs bombes ayant un rapport direct avec les codages arithmétiques de nos énigmes du Razès conceptualisés par Boudet et ses complices favoris.

 

   S’il y en a, parmi les lecteurs, qui connaissent une autre clef universelle fonctionnant aussi efficacement que celle là, qu’il me le disent sans qu’ils se croient obligés de me fournir le mode d’emploie. Je serai assez grand pour me faire le plaisir de le découvrir de moi‑même, s’il existe. Surtout ne me privez pas de cette joie ! Merci d’avance. Et si je me plante, je n’en voudrai qu’à moi.

 

Des bombes ? Sans doute ! Il en est d’autres que je vous réserve dans les chapitres suivants, « pour la route future ».

 

   Décoder Henri Boudet et Maurice Leblanc, n’est pas un passe temps ordinaire, c’est une aventure intellectuelle à plein temps qui vous engage à vos risques et périls, convenez en ! Cela sélectionne sec, comme sur la face Nord du Mont Blanc en hiver et qui n’est donc pas sans dangers ! Franchement, cela n’a rien de très commercial … et ne tient pas non plus du roman de gare, ni de l’ambiance d’une thèse universitaire, ni d’un genre tant prisé du public : l’ésotérique fiction !

 

   Mais vous finirez par constater et admettre que ma méthode fonctionne pas si mal, pour ne pas dire excellemment, voila la future bonne surprise … même si l’on est en quête d’un GRAAL d’ordre spirituel, ce qui est une noble ascèse, voire d’un Graal matériel, l’un pouvant fort bien s’accommoder avec l’autre sans qu’ils ne se portent mutuellement ombre ni ne se concurrencent  … bien au contraire ! Alors, pourquoi se gêner ?

 

 

Fin du chapitre II