Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum


    Ou l'histoire d'un grand secret ... 

 

 

Avertissement : Ce forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs. Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires, provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer la discorde.  Les membres qui ne respecteront pas ces règles minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur récidive, leurs messages seront supprimés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Messages du Web master

 

   J'ai conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut dorénavant faire avec...

 

   L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.

      J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...

 

       Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...  

Jean-Pierre Garcia               

 

        "Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret"   est de nouveau disponible

Commandez-le ...

   Ce livre de 424 pages couleurs est composé de nombreuses illustrations, photos et synoptiques qui accompagnent l'aventure... L'ouvrage comblera les initiés mais aussi ceux qui souhaitent découvrir l'affaire simplement en découvrant les plus belles surprises de ces dernières années. Pour commander, rien de plus simple. Remplissez le bon et envoyez-le à l'adresse indiquée. Paiement possible par Paypal ou par chèque français...   L'ouvrage est également disponible à la boutique  Aux Portes de Rennes

  Patrick Pourtal, Webmaster du site  "Rennes-Le-Château - Le dossier" me proposa en juillet 2008 de répondre à ses questions suite à la sortie du livre "Le Secret dans l'Art". C'est avec un grand plaisir que je me suis mis à ma plume. Vous trouverez mes réponses ici : http://www.rennes-le-chateau.org/rlctoday/int-jpg.asp

Je remercie également André Douzet pour avoir publier une page critique sur "Le Secret dans l'Art"
Vous pouvez la découvrir ici :
http://www.societe-perillos.com/som_garcia.html

 

Site partenaire

   Les Editions ARQA éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art, aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …

 
Nouveautés à lire ...          

Pour voir le clip d'annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=qItG4rZc8KQ

 

 

Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :

BON DE SOUSCRIPTION

 

Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.

TEMPLIERS - Recherches d’authenticité

par George H. Kiess

 

    1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.  Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir ses conquêtes. Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres. Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.

   Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie. Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère. Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort… Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades. Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?

 

               10 ans déjà... 

           C’est avec un immense plaisir que je souhaite longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien… car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
      Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…

 

La suite est ici...  10 ans déjà et plus d'1 million de visiteurs

Jean-Pierre Garcia       

 

        Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...

   du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....

 

Les interviews de Franck Daffos sont ici :

http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904

 



Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA



Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA



Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA

Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
 

Par George H. Kiess
Editions ARQA

Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA

Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA

 
 

Un peu de rêve...

    Par ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ?

 
La Sainte Baume... Un reliquaire bien gênant...
 
   Nous ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...

   Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.

   Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... 


Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013

Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles...

 

Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès...

 
Dernières parutions sur le site...
 

 
Et In Arc A Dia Ego . . .

 
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Askalah



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MessagePosté le: Mer Jan 25, 2012 11:19 am    Sujet du message: Et In Arc A Dia Ego . . . Répondre en citant



Mort et R?surrection, les vraies origines de la l?gende catholique romaine :

L'histoire de la vie de Mardouk/R?, fils d'Enki/Ptah - relat?e aussi bien par les tablettes m?sopotamiennes que plusieurs textes hi?roglyphiques ?gyptiens - est une succession ininterrompue de d?convenues et de souffrances, de disparitions et d'exils, de r?apparitions soudaines et de retours, de mort apparente et de r?surrection inattendue. Au tournant du si?cle dernier, les premiers textes le concernant ayant ?t? traduits, les ?rudits d?battirent s?rieusement de la question de savoir si son histoire n'?tait pas ? l'origine de la l?gende du J?sus romain. Cette id?e fut d'ailleurs confort?e par la mise en ?vidence d'une sorte de Trinit? masculine constitu?e de Mardouk lui m?me, de son p?re Enki, et de son fils Nabou.

La cons?quence des ?preuves difficiles qu'eut ? subir Mardouk, et la morale ? en tirer pour l'humanit?, furent mises en ?vidence dans un Myst?re o? sa mort apparente et son retour miraculeux du s?jour des morts parmi les vivants furent jou?s par des acteurs de l'Antiquit?.

? Babylone, ce Myst?re ?tait int?gr? aux c?r?monies du Nouvel An, les ennemis et les juges responsables de la mort de Mardouk ?tant point?s du doigt, leur identit? respective changeant au fil du temps afin de s'accomoder avec une sc?ne politico-religieuse mouvante.

? l'origine, l'une des accus?es fut Inanna/Ishtar, indign?e et d?sireuse de venger la mort de Dumuzi. Quelle ironie du sort alors qu'Elle-m?me eut ? vivre sa propre descente aux enfers suivie d'une mort et d'une r?surrection miraculeuse aux bons soins d'Enki !

Cependant, le Patriarcat sacerdotal misogyne de l'?poque se garda bien de c?l?brer toute comm?moration de Sa Passion dans le calendrier, alors que l'?tait pourtant la mort de son bien-aim? fianc? qui donna d'ailleurs son nom au mois de Tammouz...

Dans l'histoire sum?rienne o? sont distingu?s le SORT de la DESTIN?E, les questions de Vie, de Mort, et de R?surrection sont expos?es aussi bien pour les mortels et demi-dieux tel qu'en l'?pop?e de Gilgamesh, que pour les "dieux" eux-m?mes : dans la narration du "Sort contre la Destin?e", l'histoire m?lodramatique ? suspens de la mort d'Inanna suivie de sa r?surrection - une mort effective, r?elle, pas simplement une mise au tombeau symbolique - en cons?quence directe de ses actes, fait qu'Elle cr?a son propre Sort. Mais Sa Mort n'?tant pas sa Destin?e, Elle fut finalement ranim?e et connut la R?surrection.
Ce r?cit de la "Descente d'Inanna dans le Monde d'En-Bas" relatait pourtant le d?placement physique de la reine Ana (NIN.ANA/INANNA, "la Pr?f?r?e de AN"), de ses terres du Liban en la partie la plus m?ridionale de l'Afrique, domaine de sa soeur Ereshkigal et de Ner.Gal (sum?rien : "le Grand Veilleur"), non seulement son mari mais ?galement fr?re a?n? de Dumuzi/Tammuz, et pour ce, seul habilit? ? l'organisation des fun?railles de ce dernier.

Inanna n'avait pas ?t? autoris?e ? entreprendre ce voyage, mais Elle le fit non seulement pour assister aux rites fun?raires de son bien-aim? fianc? mais probablement aussi pour - conform?ment ? la coutume - demander ? Nergal de lui donner un fils de substitution, en sa qualit? de fr?re a?n? du d?funt n'ayant pas eu d'enfant m?le.

C'est ce dessein qui rendit Ereshkigal (sum?rien : "la Ma?tresse du Grand Pays") folle de jalousie, et qui, furieuse, la soumis aux "Yeux de la Mort", rayons mortels qui cadav?ris?rent imm?diatement Inanna.

Cependant, pr?voyante, Inanna avait charg? son chambellan Ninboushour de demander l'aide d'Enki, lequel effectivement pr?venu, fa?onna deux ?tres artificiels (golems) non affect?s par ces rayons mortels et les d?p?cha au secours d'Inanna, l'un des deux transportant la "Nourriture de Vie", l'autre le "Liquide de Vie".

Ainsi, les deux andro?des parvenus en la demeure d'Ereshkigal ramen?rent ? la vie la pauvre Inanna. Extrait du texte en question : << Sur le cadavre pendu au poteau, ils dirig?rent la Machine ? Impulsions et l'?metteur. Sur la chair qui avait ?t? frapp?e, soixante fois la Nourriture de Vie, soixante fois le Liquide de Vie, ils l'en asperg?rent; et Inanna se leva. >> Cette phrase "le cadavre pendu au poteau" est parfaitement ?vocatrice du supplice du tripalium dont les Romains se serviront des dizaines de si?cles plus tard ! En outre, l'on se rend compte une nouvelle fois comment d'un personnage F?MININ, et non le moindre puisqu'il s'agit de la "d?esse Anunnaki" INANNA/ISHTAR - la "Reine des Cieux" - ayant subit le martyre de la "Passion", morte sur un poteau, puis ressuscit?e, les l?gendes religieuses patriarcales bien ult?rieures en font le calvaire d'un HOMME devenu DIEU !

Une fois ressuscit?e, Inanna accompagn?e des deux golems retourna dans le Monde d'En-Haut, remerciant chaleureusement Ninshoubour dans un 1er temps, puis se rendant ? Eridou, ville d'Enki << Lui qui l'avait ramen?e ? la vie >>.

L'on peut donc s'interroger une fois de plus sur la partialit? d'une profonde misogynie des castes sacerdotales humaines successives quant ? la vraie origine de la Passion du Christ, car rappelons-le, la "mort" de Mardouk ne fut qu'une mise au tombeau temporaire suite ? une condamnation et sa r?surrection fut en r?alit? un sauvetage avant que la mort r?elle ne frappe, tandis qu'Inanna mourrut v?ritablement et sa r?surrection fut un v?ritable retour ? la vie en raison du g?nie scientifique d'Enki.

Mais si les traducteurs des tablettes sum?riennes n'avaient pas ?t? conditionn?s par leur ?ducation religieuse occidentale, ils auraient compris d?s les premi?res lignes que l'histoire d'Inanna se terminait bien car celui ? qui Ereshkigal avait demand? de mettre Inanna ? mort ?tait son chambellan Namtar : non pas NAM, la Destin?e immuable, mais NAM.TAR, le Sort, qui lui, peut ? tout moment ?tre modifi?.

La notion d'ENFER, bas-monde des morts d'o? il est pourtant possible de s'?chapper pour revenir parmi les vivants, a constitu? la base d'un texte assyrien traitant d'une NDA, l'exp?rience de mort imminente du prince Koumma qui, son ?tat de conscience alt?r?, se voit jug? par Nergal, assis sur un tr?ne majestueux, et porteur d'une couronne divine. La reine Ereshkigal survient alors et ordonne sa lib?ration et son retour dans le domaine de Shamash baign? de lumi?re solaire. Mais ce retour au Monde d'En-Haut n'est pas sans cons?quences : Nergal lui insuffle douleurs, peines, insomnies, et cauchemars...
Le cas de Dumuzi/Tammuz est bien diff?rent : Inanna n'obtient pas son retour ? la vie; Elle demande donc aux deux andro?des d'Enki de ramener son corps inerte ? Bad-Tibira dans l'Eden sum?rien, et l?, le corps est embaum? ? la requ?te de la reine Ana : << Quant ? Dumuzi, l'amant de ma jeunesse, lave-le ? l'eau pure, oins-le avec de l'huile douce, habille-le d'un v?tement rouge, couche-le sur une dalle de lapis-lazuli.>> Inanna ordonne ensuite que le corps pr?serv? soit gard? dans un mausol?e sp?cial, devant ?tre pr?serv? par-del? les mill?naires, pour qu'un jour, au Dernier Jour, Dumuzi puisse lui revenir; ce sera d?clara-t-Elle : << le jour o? le Mort se l?vera et sentira le doux encens.>> Ici est faite la premi?re r?f?rence ? un Jour Dernier o? UN MORT se l?vera ! C'est de cette croyance populaire que naquit au Proche-Orient la lamentation annuelle pour Tammouz, version s?mitique de Dumuzi qui se poursuivra jusqu'? l'?poque du Proph?te ?z?chiel.

La mort et la momification de Dumuzi fournissent des aper?us tr?s int?ressants : lorsque lui, du clan d'Enki et Inanna, du clan d'Enlil, tomb?rent amoureux l'un de l'autre au milieu des conflits opposant les deux clans divins, leurs fian?ailles re?urent la b?n?diction de leur parent?, mais Dumuzi n'eut pas la promesse formelle de vie ?ternelle... Sa Destin?e et son Sort ?tant l'affaire exclusive d'Anou et d'Enlil !

Les r?cits canan?ens relatifs ? Baal, le "Seigneur", et ? Anat, sa soeur-amante sont ? l'identique : Baal, fils de EL, est tu? alors qu'il affronte courageusement la "Sainte Mot" (la Mort). Apprenant la tragique nouvelle, El descend de son tr?ne et, s'asseyant sur un tabouret (comme le veut la coutume juive jusqu'? nos jours), Il se verse des cendres de deuil sur la t?te et ceint le sac pour ensuite se balafrer avec un couteau de pierre et s'?crier << Baal est mort ! >> Anat, d?sol?e et pleurant ? chaudes larmes, demande ? sa soeur Shepesh de l'aider ? porter le corps sans vie de Baal ? la Forteresse de Zaphon pour l'y enterrer : << ?coutant, Shepesh, servante des dieux, ramasse Baal le Puissant, le place sur l'?paule d'Anat qui le porte jusqu'? la Forteresse de Zaphon, se lamente sur lui et l'enterre; Elle le couche dans une caverne, pour ?tre avec les fant?mes de la terre. >> S'acquittant de ses devoirs de deuil, Anat retourne ? la demeure de El et dit am?rement ? tous ceux assembl?s en ces lieux : << Maintenant, vous pouvez aller et vous r?jouir, car Baal est mort et son tr?ne est vacant ! >> ? ces mots, la d?esse Elath et ses parents, ignorant l'ironie d'Anat, s'affairent joyeusement ? discuter de la succession. L'un des autres fils d'El ?tant pressenti, El le refus en raison de sa mollesse. Un autre candidat est autoris? ? se rendre ? Zaphon pour essayer le tr?ne, mais "ses pieds ne touchent pas le tabouret" et il est ?limin?. ? ce stade, personne ne semble apte ? remplacer Baal, Anat esp?re ainsi ? sa r?surrection. Avec l'aide de Shemesh, Elle se rend chez Mot, s'approche de lui et le pourfend avec une ?p?e; suite ? quoi, elle br?le son corps et en disperse les cendres dans les champs. L'assassinat de la Mort qui avait tu? Baal d?clenche un miracle : Baal revient ? la vie ! << En effet, le puissant Baal mourrut. En effet, le Seigneur de la Terre p?rit. Mais voyez, voici que Baal le Puissant est vivant ! Voyez, le Seigneur princier de la Terre existe ! >> Apprenant la bonne nouvelle, El se r?jouit : << Maintenant je me redresserai et trouverai le repos, et mon coeur sera tranquille; car Baal le Puissant est vivant, le prince, le Seigneur de la Terre existe. >>

C'est assur?ment ainsi que la notion de R?surrection a vu le jour : ? la lumi?re de l'inacceptation de la mort d'un dieu ou d'un demi-dieu ! Le processus qu'Inanna a personnellement d?fini pour la pr?servation du corps de son bien-aim?, afin qu'au jour du Jugement Dernier, Dumuzi puisse se relever d'entre les morts et la rejoindre n'est autre que la pratique de momification dont b?n?fici?rent plus tard les rois d'?gypte. Tant pis pour les affirmations p?remptoires des ?gyptologues de l'officialit? qui, dans leur ignorance arrogante, clam?rent que les proc?d?s de momification ne d?but?rent qu'au temps de la III? Dynastie, aux environs de 2800 av. J.C. ! Un v?ritable Connaissant distingue en ffet ce que furent les vrais ROIS d'?gypte, bien avant qu'adviennent les usurpateurs que les faussaires de l'histoire nomment Pharaons.

Il existe en effet un texte SUM?RIEN documentant la momification des si?cles auparavant ! En ce texte, les d?tails - ?tape par ?tape - du processus original d?crivent ? l'identique la pratique ?gyptienne plus tardive. Rappelons donc que la reine ANA commanda que le corps pr?serv? de Dumuzi repos?t sur une dalle de lapis-lazuli et soit conserv? dans un mausol?e sp?cial. Elle nomma ce mausol?e E.MASH, c'est ? dire "'le Temple du Serpent", geste plus que symbolique que de placer le fils tr?pass? d'Enki dans la Demeure de son P?re, car Enki fut non seulement le NAHASH ou NACHASH (le Serpent, le Connaisseur des Secrets, Celui du Cuivre) mais aussi son symbole en ?gypte ?tait le serpent, et le hi?roglyphe de son nom PTAH repr?sentait la double h?lice de l'ADN, clef de tous les domaines touchant ? la vie et ? la mort...

Bien que v?n?r? ? Sumer et Akkad comme fianc? d'Inanna et pleur? en M?sopotamie et au-del? en tant que Tammouz, le disparu d'Ishtar, Dumuzi fut avant tout un dieu AFRICAIN. C'est ainsi que sa mort et son embaumement furent ensuite assimil?s ? l'histoire tragique du grand dieu ?gyptien Asar/Ousir/Osiris, Sa soeur-?pouse Aset/Isis, aid?e de Thot et de Nephtys, s'?vertuant ? le ressusciter, ? l'identique d'Inanna avant Elle - ? moins que la d?esse sum?rienne n'?tant autre que la d?esse ?gyptienne, il ne s'agisse que d'une seule et m?me personne !

Du coup, la R?surrection devint un pilier de la croyance pharaonique voulant qu'un roi humain pouvait aussi vivre la Transfiguration, et par l'imitation d'Osiris, atteindre l'immortalit? dans une apr?s-vie parmi les dieux. En cette optique, les principaux sanctuaires de Denderah et d'Abydos illustraient parfaitement les ?tapes de la r?surrection du Seigneur de la R?incarnation.

De grands ?rudits tels que Wallis Budge, pour n'en citer qu'un, auteur de "Osiris et la R?surrection ?gyptienne" ont ?t? persuad? que le mythe Osirien est issu d'un Myst?re ou Drame de la Passion, rituellement ex?cut? en M?sopotamie en l'honneur de Mardouk.

Les "Textes des Pyramides" et d'autres extraits fun?raires du "Livre des Morts" ?gyptien d?crivent comment le Roi d?c?d?, embaum? et momifi?, sort de sa tombe par une porte orient?e ? l'est pour commencer son Voyage dans l'Apr?s-Vie.
Dans l'oeuvre "L'Escalier C?leste", l'analyse de la g?ographie et de la topographie des anciens textes nous am?ne ? conclure qu'il est bien question de simuler un voyage vers les ?toiles ? partir de la p?ninsule du Sina?, lieu qui ne diff?re pas de la repr?sentation bien r?elle d'un site existant mentionn? dans la tombe de Hui, gouverneur du Pharaon pour la zone du Sina?.
La r?surrection d'Osiris allant de pair avec la naissance miraculeuse de son fils Horus, Thot met l? son grain de sel en jouant un r?le d?cisif car c'est Lui qui aide Isis ? rassembler les morceaux du corps d?membr? du dieu, puis ? ?tre fertilis? artificiellement apr?s extraction de "l'essence g?n?tique" (ADN) d'Osiris de son cadavre; ce faisant Isis r?ussit ? ?tre enceinte et ? donner naissance ? Horus.

De plus, la science bio-g?n?tique de Thot fut ? nouveau sollicit?e pour ramener ? la vie Horus, piqu? mortellement par un scorpion alors qu'il se dissimulait du regard de Seth dans un mar?cage : << Alors, Isis lan?a une supplication au ciel et adressa son appel au Vaisseau des Millions d'Ann?es... Et Thot descendit; Il ?tait pourvu de pouvoirs magiques et poss?dait la grande puissance qui faisait changer le mot en action... Et Il dit ? Isis : Je suis venu ce jour dans le Vaisseau du C?leste Disque, de l'endroit o? il se trouvait hier. Quand la nuit vient, cette Lumi?re (rayon) ?cartera le poison pour la gu?rison d'Horus.. Je suis venu des Cieux afin de sauver l'enfant pour sa m?re. >>

Ainsi r?ssuscit?, Horus devient NETCH ATEF, le Vengeur de Son P?re. Les pouvoirs biom?dicaux de Thot furent aussi rapport?s dans d'anciens textes ?gyptiens tels que les "Histoires des Magiciens"; et dans l'un d'eux, le Papyrus du Caire 30646, un long r?cit traite d'un couple de lign?e royale qui prit ill?galement possession du "Livre des Secrets de Thot"; pour punition, Thot les ensevelit dans une pi?ce souterraine dans un ?tat cataleptique, momifi?s comme les morts mais capables de voir, d'entendre et parler...

N'oublions pas enfin que Thot, fils de Ptah, n'est autre que Ningishzidda, fils de Enki, Seigneur de l'Arbre de Vie; Thot est donc gardien des Secrets Divins des sciences exactes dont la g?n?tique et la m?decine biologique.

Les r?cits bibliques, bien que d?form?s, conservent bien l'id?e premi?re du secret de l'Arbre de Vie d'Enki : le double serpent de la Kundalini, ?nergie divine g?n?ratrice d'immortalit? : Mo?se fabriquant un serpent de cuivre sur les instructions du Seigneur (Nombres XXI, 8-10) en ?tant une parfaite all?gorie !


Dans l'affaire de Rennes le Ch?teau, au m?me titre que le P?re J?suite Athanase Kircher, personne ne s'est int?ress?, ou tout du moins n'a fait ?tat, de l'oeuvre de l'initi? que fut Albrecht D?rer : http://www.wittert.ulg.ac.be/fr/flori/opera/durer/ ...

Hors, ce grand homme consacra la majeure partie de son oeuvre ? rappeler aux m?moires d?faillantes l'importance du Ch?teau de l'Arche : http://www.albrecht-durer.org/View-of-Arco.html , ? savoir les gorges du B?zis, parfaitement reconnaissables en cette gravure, l'ancien village d'Arques ?tant lui-m?me marqu? !



Celles et ceux d'entre-vous ne se r?f?rant qu'aux ?vangiles de la catholicit? seront tr?s surpris de v?rifier que la source du myst?re remonte pourtant bien tout d'abord ? l'Ancienne ?gypte, mais encore plus loin dans le temps ? Sumer. D?s lors que l'on s'int?resse de plus pr?s aux tablettes cuni?formes sum?riennes, l'on tient le bon bout !

Hors donc, les gorges du B?ZIS - mot compos? de B?S : http://www.bubastis.be/religion/dieux/bes.html ... et d'IS tir? d'ISIS - sont bien le Lieu de l'Accouchement de la M?re, l? o? l'Enfant HOR va na?tre. D?s lors, nulle surprise ? noter le domaine du BAC en contre-bas (le Bac ou le QUAI des trois barques divines d'Asar/Osiris, d'Aset/Isis, et d'Horus); deux des sommets du B?zis se nommant d'ailleurs fort ? propos la Berco Grande (la Grande Barque) et la Berco Petito (la Petite Barque), et - ironie du sort ou message subliminal - aux Pontils, la pr?sence d'un atelier de poterie, le Dieu PTAH (alias ENKI) ayant fa?onn? le 1er humain ? partir de l'argile; n'oublions pas non plus la pr?sence de TERRES ROUGES d'aspect d?sertique, lieu privil?gi? de SETH, qui - selon la mythologie ?gyptienne - enferma Osiris dans un COFFRE (ARCHE ---> ARQUES) ! On pourrait d?velopper plus, mais restons-en l?...

Comme par hasard, photos ? l'appui, deux ?normes blocs rocheux se faisant face forment l'un - les Toustounes - un visage masculin au profil "maya", assur?ment travaill? par les Anciens, l'autre une t?te ant?diluvienne f?minine. Pour m'?tre rendu de nombreuses fois ? proximit? imm?diate, je ne manque gu?re de photos bizarres...

LE SANCTUAIRE :



Lors de l'?t? dernier (2011), alors que l'affairec du Pech d'En Couty battait son plein ? grand renfort m?diatique, furent re-d?couvertes en toute discr?tion DEUX GROTTES en une zone tr?s particuli?re du B?zis ce que je nommerai le Sanctuaire. J'affirme - preuves produites par certains membres de ma famille - les Desposyni - vivant ? l'?tranger - que la plus petite, en forme de d?me, a contenu en son temps le corps de Maria de Magdala tandis qu'en la plus grande, ? l'entr?e masculinis?e sous forme d'un triangle, avait ?t? d?pos? le corps du vrai Messie, YOHAN DE GOT (JEAN DE DIEU), connu de l'histoire conventionnelle sous le nom de Jean le Baptiste.

La d?couverte du site ne tient pas au hasard : le plan du domaine de Rennes le Ch?teau y m?ne pour peu que l'on ait compris comment il fonctionne et surtout quelle en est l'?chelle ? appliquer sur le terrain. Il y a bien 5 ans, je me rendis compte qu'un triangle de type Pythagore reliait la tour Magdala, la tour de verre, et le calvaire; ces trois extr?mit?s du triangle correspondant respectivement - sans erreur possible - ? la tour de FA, ? une tour "cach?e" ? Alet les Bains, et au ch?teau d'Arques. Ayant confi? ces informations pr?liminaires ? Patrick Merle, il se mit ? en v?rifier la v?racit?. Trois longues ann?es furent n?cessaires car il s'av?ra que les plans du domaine Sauni?re sur lesquels nous travaill?mes ?taient erron?s ! Ceux et celles qui connaissent Patrick lui reconnaitront la pr?cision m?ticuleuse de ses trac?s g?om?triques, ils ne seront donc pas surpris d'apprendre qu'avec Jean-Pierre Garcia, il parvint ? reconstituer les v?ritables mesures du plan du domaine Bravo et un grand merci ? tous deux !

D?s l'instant o? vous avez les bonnes mesures, vous savez o? aller. Il fallut donc v?rifier ce qui pour nous n'?tait encore qu'une piste hypoth?tique. Ce qui fut fait l'?t? dernier avec succ?s, les grottes ?tant situ?e ? la distance requise par le plan.

Sur les lieux en question, nous f?mes agr?ablement surpris de constater les importants points suivants :

- la pr?sence d'une piste foresti?re faite ? l'image du parcours du Nil en ?gypte; son seul coude correspondant ? l'emplacement des n?cropoles royales !

- la localisation topographique d'une CAUNA (petite grotte) sur la portion de carte IGN de la zone en question.

- la pr?sence d'un ruisseau au doux nom de LA DOUS (les amateurs de VLC appr?cieront...)

- la pr?sence d'un pont construit ? l'?poque par les Compagnons du Devoir.

- la pr?sence d'un belv?d?re en fer forg? plac? exactement en face du Sanctuaire; j'imagine bien les abb?s Sauni?re et Boudet venir y honorer un certain couple !

- la pr?sence de cupules monumentales, marquant comme on le sait (ou pas), l'emplacement de tombeaux sacr?s.

- pas moins d'une trentaine d'alignements pr?cis menant au Sanctuaire, au nombre desquels l'orientation de l'entr?e du ch?teau d'Arques, l'orientation ? l'est de la tour de Fa, les mont Bugarach et St Barth?l?my, etc...

- la totalit? des ?l?ments graphiques du d?sormais c?l?bre tableau "la Pi?ta" ou "Christ au Li?vre" en r?el sur le terrain : les 2 grottes, le fauteuil, la pierre-poing, le plat, un clou : TOUT Y EST !

Du temps de Saumi?re, un certain ordre religieux, constitu? par un pr?tre-alchimiste ayant r?ussi le Grand Oeuvre, et ayant ? voir avec les myst?res de la R?surrection, s'est charg? de gardienner et de d?placer le corps de Jean le Baptiste en un lieu plus s?r... Le moment approche o? de nouvelles r?v?lations seront faites publiquement ici-m?me...
_________________
Il n'est rien de cach? qui ne sera r?v?l?, rien de dissimul? qui ne sera publi?.

No hay nada escondido que no ser? revelado, nada encubierto que no ser? publicado.
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DANBIS59



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MessagePosté le: Sam Nov 17, 2012 11:54 am    Sujet du message: No? et le chiffre 17 Répondre en citant

Bonjour ? tous;
amis(e) chercheurs,

Etant donn? que l' auteur nous parle de NOE. je voudrais apporter une petite pr?cision au sujet du chiffre 17 dans la G?n?se 7 et 8.
aurait-il un lien entre No? et toute cette histoire ???
Par contre j'ai toujours ete surpris en lisant la bible. Vivre aussi longtemps il y a de quoi a ce poser des questions

Dans notre bible G?n?se 7 (pour info la bible en ligne : http://www.info-bible.org/lsg/INDEX.html )


Gen?se 7

7.1
L'?ternel dit ? No?: Entre dans l'arche, toi et toute ta maison; car je t'ai vu juste devant moi parmi cette g?n?ration.
7.2
Tu prendras aupr?s de toi sept couples de tous les animaux purs, le m?le et sa femelle; une paire des animaux qui ne sont pas purs, le m?le et sa femelle;
7.3
sept couples aussi des oiseaux du ciel, m?le et femelle, afin de conserver leur race en vie sur la face de toute la terre.
7.4
Car, encore sept jours, et je ferai pleuvoir sur la terre quarante jours et quarante nuits, et j'exterminerai de la face de la terre tous les ?tres que j'ai faits.
7.5
No? ex?cuta tout ce que l'?ternel lui avait ordonn?.
7.6
No? avait six cents ans, lorsque le d?luge d'eaux fut sur la terre.
7.7
Et No? entra dans l'arche avec ses fils, sa femme et les femmes de ses fils, pour ?chapper aux eaux du d?luge.
7.8
D'entre les animaux purs et les animaux qui ne sont pas purs, les oiseaux et tout ce qui se meut sur la terre,
7.9
il entra dans l'arche aupr?s de No?, deux ? deux, un m?le et une femelle, comme Dieu l'avait ordonn? ? No?.
7.10
Sept jours apr?s, les eaux du d?luge furent sur la terre.
7.11
L'an six cent de la vie de No?, le second mois, le dix-septi?me jour du mois, en ce jour-l? toutes les sources du grand ab?me jaillirent, et les ?cluses des cieux s'ouvrirent.
7.12
La pluie tomba sur la terre quarante jours et quarante nuits.
7.13
Ce m?me jour entr?rent dans l'arche No?, Sem, Cham et Japhet, fils de No?, la femme de No? et les trois femmes de ses fils avec eux:
7.14
eux, et tous les animaux selon leur esp?ce, tout le b?tail selon son esp?ce, tous les reptiles qui rampent sur la terre selon leur esp?ce, tous les oiseaux selon leur esp?ce, tous les petits oiseaux, tout ce qui a des ailes.
7.15
Ils entr?rent dans l'arche aupr?s de No?, deux ? deux, de toute chair ayant souffle de vie.
7.16
Il en entra, m?le et femelle, de toute chair, comme Dieu l'avait ordonn? ? No?. Puis l'?ternel ferma la porte sur lui.
7.17
Le d?luge fut quarante jours sur la terre. Les eaux cr?rent et soulev?rent l'arche, et elle s'?leva au-dessus de la terre.
7.18
Les eaux grossirent et s'accrurent beaucoup sur la terre, et l'arche flotta sur la surface des eaux.
7.19
Les eaux grossirent de plus en plus, et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes.
7.20
Les eaux s'?lev?rent de quinze coud?es au-dessus des montagnes, qui furent couvertes.
7.21
Tout ce qui se mouvait sur la terre p?rit, tant les oiseaux que le b?tail et les animaux, tout ce qui rampait sur la terre, et tous les hommes.
7.22
Tout ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui ?tait sur la terre s?che, mourut.
7.23
Tous les ?tres qui ?taient sur la face de la terre furent extermin?s, depuis l'homme jusqu'au b?tail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel: ils furent extermin?s de la terre. Il ne resta que No?, et ce qui ?tait avec lui dans l'arche.
7.24
Les eaux furent grosses sur la terre pendant cent cinquante jours.

Gen?se 8
8.1
Dieu se souvint de No?, de tous les animaux et de tout le b?tail qui ?taient avec lui dans l'arche; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s'apais?rent.
8.2
Les sources de l'ab?me et les ?cluses des cieux furent ferm?es, et la pluie ne tomba plus du ciel.
8.3
Les eaux se retir?rent de dessus la terre, s'en allant et s'?loignant, et les eaux diminu?rent au bout de cent cinquante jours.
8.4
Le septi?me mois, le dix-septi?me jour du mois, l'arche s'arr?ta sur les montagnes d'Ararat.
8.5
Les eaux all?rent en diminuant jusqu'au dixi?me mois. Le dixi?me mois, le premier jour du mois, apparurent les sommets des montagnes.
8.6
Au bout de quarante jours, No? ouvrit la fen?tre qu'il avait faite ? l'arche.
8.7
Il l?cha le corbeau, qui sortit, partant et revenant, jusqu'? ce que les eaux eussent s?ch? sur la terre.
8.8
Il l?cha aussi la colombe, pour voir si les eaux avaient diminu? ? la surface de la terre.
8.9
Mais la colombe ne trouva aucun lieu pour poser la plante de son pied, et elle revint ? lui dans l'arche, car il y avait des eaux ? la surface de toute la terre. Il avan?a la main, la prit, et la fit rentrer aupr?s de lui dans l'arche.

8.7 il lacha le corbeau. ?a ne vous rappelle rien!!!
Bonne recherche !!!
daniel
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