Ou l'histoire d'un grand Secret...

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Unification d'indices 2/2 - Rennes-le-Château Archive

Les indices fondateurs           2/2
Jouons avec les transparences

Rennes‑Le‑Château ou l'histoire d'un grand secret

 

 

 

   L'énigme des deux Rennes a pendant très longtemps été absorbée par un ensemble d'indices fondateurs a priori hétérogènes, car ayant des origines et des histoires différentes. Certains éléments comme la stèle, la dalle de Blanchefort, la carte de Boudet ou le Grand parchemin possèdent une représentation graphique précise et ont toujours été examinés séparément. Pourtant, de façon intuitive, des ressemblances dans la forme et le fond existent. Le propos de cette étude est de tenter une comparaison graphique de ces indices pris deux à deux. L'objectif final, peut‑être illusoire, est de prouver que ceux‑ci ont une racine commune et donc une cohérence. Bien sûr, je laisse le lecteur seul juge, et même si ces essais ne sont pas parfaits, il reste que ceci représente des débuts de démonstrations très prometteurs.

 

   Ces travaux ne tendent pas à conforter une quelconque thèse, ou à amener une vérité. Qui pourrait l'affirmer ? Pourtant, les résultats sont suffisamment intéressants pour devoir être versés au dossier des curiosités déjà bien épais. Ils sont également des points de départ à d'autres découvertes.

 

   Ces propriétés remarquables que je fis dans l'année 2007 ne furent jamais publiées, sans doute à cause d'une actualité castel‑rennaise toujours en effervescence. Voici donc cette étude  que je suis heureux de dévoiler ici.

 

 

Le travail livré ici est le résultat de nombreuses heures de recherche.
C'est pourquoi toutes ces études sont protégées
  Copyright © RLC Archive

 

Sommaire

 

     Les indices fondateurs ‑ Unification et méthodes

     Les indices fondateurs ‑ Jouons avec les transparences 

 

Jouons avec les transparences

   À ce stade nous avons pour chaque indice des repères fiables et cohérents. On peut donc maintenant procéder à des comparaisons par le simple jeu des transparences. Prenons les indices deux par deux et examinons toutes les combinaisons.

 

La stèle et la dalle

   Ce premier exercice consiste à superposer la stèle et la dalle par transparence afin de faire apparaître des similitudes. En partant du principe que stèle et dalle ont un même rapport doré, il est naturel de faire superposer les Rectangles d'Or. Pour cela, il suffit de redimensionner l'une des deux images (sans modifier le rapport qui doit rester doré) et de faire coïncider les bords extérieurs.

Que remarquons‑nous ?

   Le sigle PS de la dalle vient se poser sur la croix de la stèle. Le P et le S entourent la croix. Le trait d'union est exactement sur la croix. Il est également aligné avec les deux textes verticaux de la dalle.

   La flèche verticale de la dalle est posée exactement sur le E à la 6ème ligne de la stèle. Nous verrons son importance plus loin.

   Le Δ de la dalle est centré verticalement avec le M à droite de la stèle et avec le X en bas.

   Le texte de la stèle est aligné sur le X du texte vertical gauche de la dalle.

   Enfin chaque ligne horizontale de la dalle est posée sur une ligne de la stèle.

 

   Une autre superposition tout aussi intéressante est possible et montre jusqu'à quel point ces deux pierres sont reliées. Si l'on glisse la dalle vers le bas de façon à placer le trait d'union du PS juste sous la croix de la stèle...

Que remarquons‑nous ?

   Le Δ de la dalle est centré et juste au‑dessous du M excentré de la stèle.

   La flèche verticale de la dalle est posée exactement sous le E à la 7ème ligne de la stèle, ce qui aligne avec celle‑ci le texte vertical de la dalle.

   Les trois lignes REDDIS REGIS, CELLIS ARCIS et PREA‑CUM sont exactement à la même hauteur que les lignes de la stèle.

 

La stèle et la carte de Boudet

   Le second exercice consiste à superposer la stèle et la carte par transparence. En partant du même principe que stèle et carte s'inscrivent dans un rectangle doré, il est naturel de les superposer.

   Pour cela il suffit de redimensionner la stèle sans modifier sa proportion et de faire coïncider les bords.

   Le cadrage est facile à réaliser. Il suffit de trouver la bonne échelle de la stèle pour faire correspondre son rectangle doré avec celui de la carte.

Que remarquons‑nous ?

   Le Méridien 0 de la carte (en rouge) borde exactement plusieurs lettres droites du texte de la stèle. Il traverse également le I de CATIN

   Le titre "RENNES CELTIQUE." est parfaitement aligné et de même longueur que la première phrase
 
CT GIT NOBLe   M

   La latitude Boudet (en vert) est posée très exactement sur les caractères de la 6ème ligne

Coïncidences, ou jeux graphiques ? Continuons...

 

  Il est très important pour ces exercices de respecter le Rectangle d'Or de la carte. Le même procédé appliqué sur les bords papier donnera  des résultats évidemment différents...

 

Complétons l'exercice

   Si l'on glisse la stèle vers le haut de façon à faire coïncider sa croix avec le repère typographique, nous avons aussi les propriétés suivantes.
(La croix doit être centrée sur le trait interne)

   Le Rectangle d'Or de la carte est calé exactement sur la base du triangle haut de la stèle

   La 1ère ligne de la stèle est exactement sous le titre de la carte.

   La latitude de Boudet traverse la 9ème ligne de la stèle "17 janvier".

 

   Rappelons que cette latitude cache un 17 janvier que l'on peut découvrir sur la tombe Jean VIE juste à côté de celle de la famille Boudet.

Continuons...

 

 

La dalle et la carte Boudet

   Le procédé est toujours identique. Superposons la dalle et la carte par transparence. En partant du principe que dalle et carte s'inscrivent dans un Rectangle doré, il est également facile de les superposer.

Que remarquons‑nous ?

   Le titre "Rennes Celtiques." est parfaitement aligné à gauche, sur le texte de la dalle REDDIS CELLIS

   Le Méridien de la carte (en rouge) borde le texte de la dalle à droite REGIS ARCIS

   La latitude Boudet est pointée par la flèche verticale de la dalle.

   Le Méridien Boudet de la carte traverse le premier I de LIXLIXL de la dalle.

   Ces alignements sont étonnants. Coïncidences ? Peut‑être, mais avouez qu'elles font bien les choses...

 

Complétons l'exercice

   Si l'on glisse la dalle vers le haut de façon à faire coïncider le trait de PS avec le repère typographique nous avons aussi les propriétés suivantes.
(Le trait d'union est centré sur le repère interne)

   Le Rectangle d'Or de la carte est calé sur la flèche haute de la stèle

   Le point inutile du titre de la carte est centré sur le delta Δ de la dalle

   La latitude de Boudet (en vert) sur la carte souligne le PREA‑CUM de la dalle.

 

 

   Tout ceci pourrait être à nouveau que de belles coïncidences.

 Continuons...

 

 

Le Grand parchemin et la stèle Blanchefort

  L'un des procédés pour superposer le Grand parchemin et la stèle est de redimensionner cette dernière afin que ses bords coïncident avec le carré du parchemin. Il suffit ensuite de faire glisser la stèle pour poser sa croix sur le repère haut du grand parchemin.

Que remarquons‑nous ?

   Le texte du parchemin qui est inscrit dans un carré commence exactement sous le triangle supérieur de la stèle.

   La verticale du parchemin repérée en violet et passant par la flèche de SION, borde les lettres à droite de la stèle et passe exactement sur le I de CATIN.

Continuons...

 

Le Grand parchemin et la dalle

   Le procédé de superposition est identique que précédemment. La dalle est redimensionnée afin que ses bords coïncident avec le carré du texte. Il suffit ensuite de faire glisser la dalle pour poser le trait d'union de PS sur le repère du grand parchemin.

 Que remarquons‑nous ?

   La flèche verticale de la dalle pointe le haut du carré du grand parchemin.

   Le poulpe en bas est inscrit à partir du bas du carré.

   La flèche haute de la signature du parchemin pointe  le bas du carré.

Coïncidences ?Continuons...

 

Le Grand parchemin et la carte Boudet

   Nous avons jusqu'à présent mis en évidence de nombreuses curiosités sur chaque combinaison. Qu'en est‑il de la dernière ?

   La superposition est effectuée ici en redimensionnant  le Grand parchemin (toujours sans changer les proportions) afin que son carré borde le Rectangle d'Or de la carte, par ses côtés et en haut.
 

Que remarquons‑nous ?

   Le Méridien 0 de la carte Boudet (en rouge) coïncide avec le trait violet du grand parchemin.

 Fait remarquable !!

   Ce résultat était pressenti par les exercices précédents et le résultat mérite réflexion. Car nous avons une coïncidence majeure sur deux indices très différents. 

 

Complétons l'exercice

   Si l'on glisse le Grand parchemin vers le haut (sans modifier les proportions) de façon à caler le repère typographique (trait interne) sur le carré, nous avons alors un autre fait remarquable :

   La latitude Boudet (en vert) vient se caler sur le bas du carré.

   Nous avons alors dans cette configuration un calage aussi bien sur le Méridien 0 que sur la latitude Boudet ce qui représente en soi une très belle coïncidence...

  

   Ceci tendrait à montrer que ces deux documents sont faits pour s'entendre et donc sont intimement liés...

 

Une autre superposition passionnante

   Et pour bien montrer que ce chantier ouvre des pistes particulièrement riches, voici une nouvelle manière de procédé donnant des résultats étonnants.

   Le principe est de superposer carte et parchemin en faisant coïncider les repères haut et bas de chaque document. Il suffit ensuite de mesurer les écarts de chaque verticale pour s'apercevoir qu'une nouvelle propriété apparaît.

Les écarts respectent des divisions  réglées par les puissances de 2

 

En bleu symétrie parchemin et carte

En rouge le Méridien 0

En violet la verticale pointée sur le parchemin

 

Toutes ces verticales sont réparties selon les carrés de 2 par rapport à la carte

 

   Cette série montre à quel point le sujet est complexe et ouvre des axes d'investigation très variés. Le nombre de coïncidences et leurs pertinences ne peuvent être dus au simple fait du hasard. Nous sommes véritablement face à un ensemble d'indices qui veulent nous parler, mais dont nous ne comprenons pas le langage. En réalité, il manque le mode d'emploi et nous ne pouvons que constater des curiosités remarquables.

   Dans la suite de ce thème, nous verrons que toutes ces présentations cumulent une suite fabuleuse de propriétés mathématiques et géométriques dont je donne ici uniquement les bases de départ.