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Ou l'histoire d'un grand secret ...
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Avertissement : Ce
forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs.
Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires,
provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer
la discorde. Les membres qui ne respecteront pas ces règles
minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur
récidive, leurs messages seront supprimés. |
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J'ai
conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à
une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années
d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui
découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt
quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de
s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut
dorénavant faire avec...
L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.
J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...
Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...
Jean-Pierre Garcia
"Le Secret
dans l'Art ou l'Art du Secret" est de nouveau
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est composé de nombreuses illustrations,
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exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la
Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …
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BON DE SOUSCRIPTION
Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.
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TEMPLIERS - Recherches d’authenticité
par George H. Kiess
1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile
et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils
deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.
Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera
ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir
ses conquêtes.
Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques
tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres.
Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs
croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.
Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes
du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie.
Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à
Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus
à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère.
Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de
Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu
des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort…
Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades.
Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?
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10 ans déjà...
C’est avec un immense plaisir que je souhaite
longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du
site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement
provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter
une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se
poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de
protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que
reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien…
car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le
long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une
signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les
tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans
l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui
n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges
longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi
l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce
qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos
chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…
La
suite est ici... 10 ans déjà et plus d'1 million de
visiteurs
Jean-Pierre Garcia |
Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...
du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère
échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres
publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à
dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit
attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de
colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a
priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans
queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses
ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les
rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une
affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère
est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour
qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe
siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....
Les interviews de Franck Daffos sont ici :
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904 |
Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA |
Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA |
Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA |
Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
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Par George H. Kiess
Editions ARQA |
Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
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Un peu de rêve...
Par
ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui
la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de
feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très
bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ? |
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La Sainte Baume...
Un reliquaire bien gênant...
Nous
ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet
certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a
été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par
les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...
Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils
tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume
ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par
Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le
Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.
Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette
gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... |
Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013 |
Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles... |
Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de
l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès... |
Dernières parutions sur le site...
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Auteur |
Message |
aurore
Inscrit le: 01 Aoû 2008 Messages: 357 Localisation: franche-comt
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Posté le: Jeu Sep 03, 2009 3:00 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous,
Jc
Citation: | Moralit? : Aurore, si tu trouves l'entr?e de la cache, je te sugg?re de prendre 2 ou 3 souvenirs, puis de proposer sur ce forum une "soit disante" balade de courtoisie.
Il y aura du monde ? ne pas en douter ... et l?, tu nous mettrais devant le fait accompli : mesdames, messieurs, l'entr?e est l? !
|
PFFF, t'as vraiment rien compris ? mes messages.... et tu "moralises" , m'enfin, merci au passage pour tout ce
petit rappel historique....
Aurore _________________ l'?nigme vit aussi du voeu d'?tre perc?e ! |
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Andr? P
Inscrit le: 25 Aoû 2009 Messages: 22
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Posté le: Jeu Sep 03, 2009 7:39 pm Sujet du message: |
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Aurore a raison, t'a rien compris.
Quand aux paysans , ils ne savaient pas lire et donc ?crire effectivement, mais ils savaient compter.
Vous faites pas de souci, certains se sont bien d?brouill?s pour profiter de leur d?couverte.
Quant au tr?sor de Rennes, verras bien celui qui le d?couvrira, si il en existe un.
MPierre
Il est vrai que les fossiles de dinausaures sont l?gion aux alentours d'Esp?raza, de l? a imaginer des reptiliens sous terre!!!
Andr |
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MPierre Invité
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Posté le: Jeu Sep 03, 2009 11:41 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous
Andr?, je n'ai toujours pas situer notre rencontre et vous n'avez pas repondu ? mon mail.
Pour ce qui est des reptiliens, ce sera ? verifier en meme temps que le reste quand Aurore et jc trouverons les cl?f des portes.
Pour le moment c'est une hypoth?se pas plus mauvaise que d'inventer Marie Madeleine. Mais apr?s avoir inventer la vierge Marie, pourquoi pas.
La vierge Marie a ?t? inventer par Constantin au concile de Nic? en 325 de l'?re 0, elle est tout bonnement la d?esse Astarth?
que les catholiques ont int?gr?s dans l'histoire en contrepartie de l'autorisation du culte catholique. Astarh? etant la d?esse de Mithra ( culte des arm?es romaine), en m?me temps Constantin s'arrogeait le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel.
petit apart?
Le sacrifice du taureau continu m?me encore de nos jours au travers des corridas, les humains ne comprennent pas grand chose ils leurs faut encore leurs sacrifice sur l'autel des corridas et des ferias, on peut se demander ce qu'une race intra ou extra terrestre peut penser en voyant ces petits bonhommes courir apres une vache ou un taureau, courrir apr?s un ballon pourquoi pas , mais apr?s des animaux pour voir un matador couper la queues, les couilles et les oreilles, c'est d?bilisant. il faudarit peut ?tre faire de m?me ? ces individus.
dans tous les autels d?di? ? la vierge, on rencontre 3 types de marquage,
1) un A entrelac? d'un M en ?criture souvent gothique.
2) 2 traits verticaux s?par? par 4 traits obliques ? environ 45?
3) alpha Omega, entrelac? plutot rare, je n'en ai vu qu'un jusqu'a maintenant
si l'on crois savoir que la 2'i?me representation signifie les 2 colonnes du temple et les 4 traits oblique l'equerre et le compas, donc un balisage ma?onnique, que peut donc signifier le premier marquage, j'ai pens? ? Astarth? de Mithra, pourquoi remplacer les statues de la vierge m?re des dieux (astarth? etait m?re des dieux, la vierge ne peut pas l'?tre elle a enfant?e JC, il parait!!!) par la vierge de lourdes.
oui quand on gratte un peu le vernis de la religion, elle n'est pas plus catholique que l'histoire de France avec un petit f un petit h, et un r encore plus petit.
il faudra bien qu'un jour on comprenne pourquoi l'inquisition a ?t? cr?e pour h?radiquer le catharisme.
? bient?t
Michel |
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jc269
Inscrit le: 22 Sep 2008 Messages: 54 Localisation: Lyon
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Posté le: Ven Sep 04, 2009 8:35 am Sujet du message: |
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aurore a écrit: | Bonjour ? tous,
Jc
Citation: | Moralit? : Aurore, si tu trouves l'entr?e de la cache, je te sugg?re de prendre 2 ou 3 souvenirs, puis de proposer sur ce forum une "soit disante" balade de courtoisie.
Il y aura du monde ? ne pas en douter ... et l?, tu nous mettrais devant le fait accompli : mesdames, messieurs, l'entr?e est l? !
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PFFF, t'as vraiment rien compris ? mes messages.... et tu "moralises" , m'enfin, merci au passage pour tout ce
petit rappel historique....
Aurore |
C'?tait bien s?r ironique !!!
Je reconnais que faire des mails trop courts et trop r?sumer peut pr?ter ? confusion ... je m'en excuse.
Je ne peux rivaliser avec les riches interventions d'Aurore (par exemple) ...
Pour parcourir ce forum en long, en large et en travers, je vous prie de croire que j'en ai bien saisi l'esprit.
Amiti?s ? tous.
Jc |
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Renaud
Inscrit le: 26 Aoû 2008 Messages: 339
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Posté le: Ven Sep 04, 2009 11:24 am Sujet du message: |
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Ta mise au point ?tait n?cessaire puisqu'elle ?vite peut ?tre une ?ni?me prise de bec qui, si tu avais ?t? susceptible ce que tu n'es manifestement pas aurait pu ?tre mal pris. Il est fort possible que le "tu n'as rien compris" puisse ?tre mal re?u de ta part. C'est le probl?me de ces conversations tapuscrite dont le ton est absent ( et c'est bien pour ce la que l'on a invent? les ).
Je pense qu'il en va de m?me pour Aurore, tout cela r?sulte donc d'une mauvaise interpr?tation de vos propos
Pour revenir au sujet, pour bcp ( y compris moi), il s'agit d'une grotte mais n'y a t-il pas d'autres possibilit?s. Une crypte sous l"?glise de RLB par exemple ( il s'agit bien s?r d'un exemple). Ou alors au fond du lac de Barrenc. Ce mot signifie d'ailleurs aven. Peut ?tre a t-il ?t? par la suite inond?. Il me semble d'ailleurs que l'alimentation permanente en eau de ce "lac" est assez myst?rieuse. |
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jc269
Inscrit le: 22 Sep 2008 Messages: 54 Localisation: Lyon
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Posté le: Ven Sep 04, 2009 2:18 pm Sujet du message: |
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Andr? P a écrit: | Aurore a raison, t'a rien compris.
Quand aux paysans , ils ne savaient pas lire et donc ?crire effectivement, mais ils savaient compter.
Vous faites pas de souci, certains se sont bien d?brouill?s pour profiter de leur d?couverte.
Andr? |
... ah mais justement, je suis un fervent partisan du bon sens paysan !
Je ne confond pas l'analphab?tisme et l'imb?cilit?.
Et c'est pr?cis?ment ce point qui me d?range dans cette histoire, car les paysans du coin, toutes ?poques confondues, connaissent parfaitement leurs "territoires" (que ce soit pour chasser, p?cher, ?lever ou cultiver).
Et je ne crois pas 1 seconde que le "man?ge" des religieux allemands qui ont transf?r? le tr?sor de la cache n?1 ? NDM de Marceille soit pass? inaper?u.
Idem pour les escapades de Boudet et de Sauni?res.
L'humain est d'une nature curieuse, toutes conditions sociales confondues. Et je serai bien ?tonn? qu'il n'y ai eu personne pour suivre l'un de nos comp?res et pour profiter de leur d?couverte !
C'est une chose que de ramener "une tuile de 80kg d'or du temple de salomon" (je fais vite l?), cela en est une autre que de vendre ? la sauvette quelques statuettes en or pour arrondir ses fins de mois ...
Mais on retombe vite dans le pb quand ? la fa?on d'?couler ce type de tr?sor sans se faire accuser de vol ...
Le faire fondre est effectivement une solution pour effacer l'origine de cet or ... mais cela ne r?sout pas le pb de la revente de cet or, et encore moins des ?ventuelles pierres pr?cieuses ! Pas facile d'?couler le Youkounkoun !
A ce propos, j'ignore si de nos jours on peut revendre ? un bijoutier un petit lingot d'or "maison" sans se faire inqui?ter.
Je pense qu'il a y une d?claration obligatoire avec carte d'identit? ? l'appui, ce qui exclu toutes possibilit?s l?gale de revendre notre tuile de Salomon en petits morceaux en parcourant tous les bijoutier de France et de Navarre ... |
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Andr? P
Inscrit le: 25 Aoû 2009 Messages: 22
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Posté le: Ven Sep 04, 2009 7:23 pm Sujet du message: |
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JC269
J'?tais volontairement provoquant.
Loin de l? de vous juger.
Je ne pense pas que Sauni?res est ramen? de l'or de ses recherches sur le terrain, le p?t aux roses aurait alors ?t? vite connu du village.
Vous parlez de tr?sor mais rien n'indique qu'il sagisse du tr?sor de Salomon avec statuettes et pierres pr?cieuses.
MPierre
Mon message il y a quelque jour par Mp a du mal paser.Nous nous sommes vu cet ?t? en ao?t ? Joucou pr?s de l'ancien cimeti?re. Vous m'avez fait part de vos recherches sur photos. Peut-?tre que les photos que vous avez prises sur les ?difices religieux des alentours ont r?v?l? quelque surprises?
Au plaisir
Andr |
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MPierre Invité
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Posté le: Ven Sep 04, 2009 10:48 pm Sujet du message: |
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bonjour ? tous
oui maitenant je vous remets parfaitement, vous etiez en train de vous raffraichir a l'ombre de ce paysage enjoleur qu'est votre r?gion. Je trouve toujours extremement bizarre que la commune est enti?rement detruit le vieux cimeti?re, ni avait t'il pas dans cette antre des tombes ? perp?tuit? comme on en trouve dans tous les villages, bons sens paysans. et pourquoi avoir laiss? ce petit menhir en plein milieu.
en tout cas votre ?glise et tr?s interessante au point de vue iconographie et symbolisme. y a t'il eu des templiers dans ce village. pourriez vous nous raconter l'histoire de Joucou.
ce village est forcement en relation avec notre ?nigme, du fait de sa prox?mit? avec le chateau d'Ables, tr?s belle ruine.
? bient?t
Michel |
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Andr? P
Inscrit le: 25 Aoû 2009 Messages: 22
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Posté le: Sam Sep 05, 2009 5:11 pm Sujet du message: |
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Bojour,
J'ai copi? ceci sur un site relatif ? Joucou. Je ne suis pas originaire de joucou. Comme indiqu? ci-dessous, les inondations ont du faire abandonner le vieux cimeti?re. Quant aux concessions dans ces villages, elles "existent sans exister", n?cessit? fait loi, et quand le besoin s'en faisait sentir les vieilles tombes dont le village avait perdu la m?moire reservaient. Cimeti?res trop exigus, o? des centaines de personnes sont ent?rr?es les unes sur les autres. Et m?me lors d'?pid?mies l'on devait enterrer en dehors de ceux-ci pour "parer" au plus press?. Aujourd'hui, de nouveaux cimeti?res ont ?t? construits. et les gens font faire des caveaux. Cela poserait probl?me si il y avait la population de 1800.
Enfin dans tous ces villages les gens d'avant ont partag? la mis?re. Si tr?sor il y a, il faut le chercher ailleurs, visiblement vers Rennes LC.
Andr?
?Le monast?re b?n?dictin de Joucou fut fond? en 873 sous le vocable de St Jacques. Il compta dix-neuf abb?s, de 873 ? 1433. Parmi ses d?pendances connues, on peut citer: Marsa, Rodome, Mazuby, Niort, Galinagues, La Fajeolle, M?rial, Campagna, Fontan?s, Aunat, Bess?de, Le Clat, et parmi les localit?s disparues: Gebets (ruines d??glise), Barrancou (?glise ruin?e avec fresques) Nentilla.
En 1318, le pape Jean XXII unit les biens de Joucou ? la Coll?giale de Saint Paul de Fenouillet. Toutefois le monast?re subsista jusqu?en 1459; la fin de l?abbaye est marqu?e par la nomination de Jean de L?vis (1459) comme administrateur perp?tuel, par une bulle du pape Pie II.
Une ?glise paroissiale ayant ?t? construite dans le village, l?ancienne abbatiale fut abandonn?e et annex?e au presbyt?re; l?ancien jardin de ce presbyt?re, correspondant ? la nef, est rest? communal tandis que l?abside a ?t? vendue ? un particulier.?
Jucundus
"Pour l'abb? Moulis et nombre de ses habitants, l'origine de Joucou d?riverait du latin "jucundus" : agr?able. Mais il est plus probable qu'il provienne de son abbaye b?n?dictine : Saint-Jacques de Joucou (Monasterium Santi Jacobi e Jocundo)
Il est indispensable d'aborder l'histoire de Joucou sans ?voquer son abbaye et l'importance qu'? eu ce monast?re b?n?dictin au sein du Pays de Sault (et m?me plus loin) entre le IX?me et le XV?me siecle. Il est ?vident qu'elle a jou? un r?le pr?pond?rant dans la "p?n?tration" de l'Evangile dans ces contr?es bois?es et montagneuses.H?las, les archives la concernant sont rares et incompl?tes. On ne sait pas quel a ?t? son impact sur la vie ?conomique de cette r?gion, ni m?me combien de moines b?n?dictins ont pu prier sur les rives du R?benty.
L'abbaye aurait ?t? fond?e ? la fin du VIII ou d?but du IX?me si?cle, au moment de la grande expansion monastique dans les pays d'Aude. Les premiers t?moignages ?crits la concernant datent de 873.
Le patrimoine foncier de l'abbaye ?tait consid?rable : de nombreuses ?glises et abbayes y ?taient rattach?es, certaines en Donezan ou Capcir (Sainte-Marie de Formigu?res, Saint-Sauveur des Angles...) ?taient ? des distances g?ographiques importantes. Dans son environnement proche, la plupart des paroisses de la vall?e du R?benty et du "Petit Plateau" (Marsa, G?bets, M?rial, Niort, La Fajole, Mazuby, Galinagues, Aunat, Bessede...) ?taient sous sa tutelle.
En mars 1318, elle fut rattach?e au dioc?se d'Alet et ne d?pend donc plus de Narbonne.
En 1459, le monast?re qui ?tait probablement sur son d?clin fut rattach? ? la Coll?giale de Saint-Paul de Fenouill?des. Depuis 873, 21 abb?s s'y ?taient succ?d?s.
Aujourd'hui, il ne subsiste que les ruines de l'abside de l'?glise abbatiale se prolongeant dans le jardin du presbyt?re. Ses proportions indiquent un vaste ?difice.
Si l'importance de son abbaye a r?gie l'histoire de notre village jusqu'au XV?me si?cle, c'est ensuite son rattachement au Pays de Sault qui va modeler son futur.
Le Pays de Sault : terre cathare ?
Encadr? au sud et ? l'ouest par les ultimes bastions du catharisme, le Pays de Sault n'a biens?r pas ?t? ?pargn? par la terrible onde de choc qui secoua le midi au XIII?me si?cle. Il resta cependant ? l'?cart des principales zones de combat ; c'est pour cela que les parfaits et les chevaliers d?poss?d?s de leurs terres vinrent nombreux s'y r?fugier. Mais Joucou et de nombreux villages avaient pour seigneurs des autorit?s eccl?siastiques (abb? de Joucou, chapitre de St-Paul-de-Fenouillet), ce qui fait que l'adh?sion au catharisme fut un ph?nom?ne minoritaire, voire marginal, dans ces contr?es.
Apr?s que les derniers cathares eurent rendu les armes et laiss? libres les chateaux seigneriaux vers 1240, le roi Louis IX aurait pu transformer ces ch?teaux en forteresses royales, prolongeant ainsi vers l'ouest la ligne de d?fense de Peyrepertuse et Puilaurens. Il les fit pourtant d?truire. Ce fut le cas de Castelport situ? sur les hauteurs de Joucou, dont il ne reste aujourd'hui que les traces d'une ancienne tour carr?e. Ces destuctions s'expliquaient par un choix strat?gique : apr?s le trait? de Corbeil qui fixa la fronti?re entre la France et l'Aragon dans le Fenouill?des, les chateaux du Pays de Sault ne se trouvaient plus en premi?re ligne. Plut?t que d'y maintenir une garnison co?teuse et inutile, mieux valait les d?truire afin de pr?venir leur r?cup?ration par l'ennemi. A Joucou, les ruines d'un autre ch?teau seigneurial servant d'interm?diaire entre Castelport et Able doivent dater de cette ?poque, il n'en reste qu'un pan de mur.
Paysans du Pays de Sault
Le d?but du XV?me si?cle, coincidant avec le d?clin de l'abbaye de Joucou, vit l'int?gration du Pays de Sault au royaume de France et les communaut?s villageoises s'organis?rent en se dotant d'institutions municipales : syndics et consuls, l'?quivalent de nos conseillers municipaux et maires. Les vilages se rassembl?rent pour commencer ? vraiment former une entit? : le Pays de Sault. Le 21 novembre 1706, les consuls de 14 villages (Belcaire, Roquefeuil, Rodome, Espezel, Belvis, Galinagues, Camurac, M?rial, Escouloubre, Le Bousquet, Campagna, Belfort, Joucou et Niort) ont ?t? rassembl?s. Les Assembl?es du Pays de Sault d?battent des privil?ges de la terre, des usages des bois, et du sel.
Les villages du Pays de Sault connaissent une d?mographie ascendante, leurs habitants vivant de l'agriculture, de l'?levage, de l'exploitation foresti?re...et aussi de l'industrie. En effet le R?benty permit l'implantation de nombreux moulins (? farine, ? scier, forges...) qui ont permis aussi bien aux villageois qu'? des seigneurs ou des abb?s de se nourrir, se v?tir, moudre le grain, scier le bois, d?velopper l'industrie textile.
Les incidents de la p?riode r?volutionnaire ne furent pas absents du Pays de Sault, peut-?tre demeur?rent-ils limit?s et moins sanglants. Les nouvelles venues de Paris arrivaient assourdies et d?cal?es.
Joucou connait 2 fortes innondations au XVIII?me si?cle, par le R?benty et par un torrent qui descend de la montagne de Pradels. Il y a eu du b?tail perdu, des maisons d?truites ainsi que, certainement, une partie de l'abbaye et des morts.
D'hier ? aujourd'hui
Joucou atteint son apog?e d?mographique en 1807 avec 250 habitants.Mais Joucou ne fait pas exception en Pays de Sault : les XIX?me et surtout XX?me si?cles sont marqu?s par le d?peuplement rural, principalement du ? l'exode.
2 crises graves vont secouer le Pays : l'?pid?mie de chol?ra en 1854 et la Premi?re Guerre Mondiale.Et l'exode reprend de plus belle.
Au d?but du si?cle, Joucou ?tait encore environn? d'une campagne riante : des petites parcelles bordaient le R?benty compos?es de jardins potagers et d'arbres fruitiers. Au "bac", sur le versant le plus ? l'ombre, on trouvait des champs de c?r?ales, des patani?res et surtout des prairies de fauche tr?s utilies pour l'?levage bovin. Des vignes occupaient le versant nord (il en existait encore une parcelle dans les ann?es 70). A Joucou, on produisait son vin bien connu sous le nom d' "esquissa bragueta". Dans ses meilleures ann?es il atteignait m?me les 9?. Il est permis de penser que les moines des temps carolingiens ne choisirent pas par hasard cette cuvette pour fonder leur monast?re.
A pr?sent, le village occupe une clairi?re que la for?t encercle peu ? peu. Sans doute se pr?sentait-il ainsi au VIII?me ou IX?me si?cle, lorsque les moines s'install?rent, juste avant les grands d?frichements." |
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MPierre Invité
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Posté le: Sam Sep 05, 2009 11:04 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous
merci andr? de toute ces d?tails, mai ou avez vous decouvert toutes ces pr?cisions, j'aimerais bien pouvoir en dire autant de mon petit village, mais il semble difficile d'avoir des renseignements
? bient?t
Michel |
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