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Ou l'histoire d'un grand secret ...
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Avertissement : Ce
forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs.
Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires,
provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer
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minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur
récidive, leurs messages seront supprimés. |
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J'ai
conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à
une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années
d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui
découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt
quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de
s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut
dorénavant faire avec...
L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.
J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...
Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...
Jean-Pierre Garcia
"Le Secret
dans l'Art ou l'Art du Secret" est de nouveau
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Ce livre de 424 pages couleurs
est composé de nombreuses illustrations,
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éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un
choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art,
aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages
exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la
Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …
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Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :
BON DE SOUSCRIPTION
Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.
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TEMPLIERS - Recherches d’authenticité
par George H. Kiess
1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile
et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils
deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.
Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera
ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir
ses conquêtes.
Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques
tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres.
Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs
croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.
Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes
du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie.
Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à
Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus
à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère.
Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de
Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu
des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort…
Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades.
Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?
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10 ans déjà...
C’est avec un immense plaisir que je souhaite
longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du
site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement
provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter
une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se
poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de
protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que
reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien…
car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le
long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une
signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les
tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans
l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui
n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges
longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi
l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce
qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos
chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…
La
suite est ici... 10 ans déjà et plus d'1 million de
visiteurs
Jean-Pierre Garcia |
Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...
du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère
échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres
publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à
dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit
attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de
colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a
priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans
queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses
ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les
rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une
affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère
est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour
qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe
siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....
Les interviews de Franck Daffos sont ici :
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904 |
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Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA |
Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA |
Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA |
Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
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Par George H. Kiess
Editions ARQA |
Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
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Un peu de rêve...
Par
ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui
la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de
feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très
bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ? |
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La Sainte Baume...
Un reliquaire bien gênant...
| Nous
ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet
certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a
été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par
les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...
Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils
tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume
ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par
Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le
Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.
Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette
gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... |
Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013 |
Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles... |
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Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de
l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès... |
Dernières parutions sur le site...
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| Auteur |
Message |
philemon
Inscrit le: 23 Nov 2006
Messages: 468
Localisation: Hainaut
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 Posté le: Lun Mai 18, 2009 5:10 pm Sujet du message: |
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Salut,
Ce n'est pas ta pr?sentation qui est tarte (au contraire, je trouve) mais ta titraille : La danse des cavaliers !!!
Pour illustrer ma remarque sur le proc?d? de (d?)codage donn?e sur le site, voici le mien, mais j'essaie de comprendre comment le codeur a agit, je n'essaie pas d'exliquer o? de Cherisey a fait des erreurs :
Contrairement ? ce qu'affirme Pierre Plantard dans Blancassall (voir post de la semaine derni?re, topic "Berg?re..."), on n'a pas pu ? partir du codage des parchemins arriver ? la st?le... selon Pierre Plantard, le message, c'est la phrase Berg?re... en tenant compte du v?ritable procesus de codage on peut penser que la r?ponse, c'est la st?le... puisque selon toute vraisemblance,le processus s'est pass? comme suit :
1 - Le cr?ateur souhaite laisser un message, pour des raisons qui lui sont propres il d?cide de faire passer son message par une st?le fictive, il poss?de cela :
L'acte de d?c?s de la marquise de Blanchefort.
Il ?crit une ?pitaphe qui respecte plus ou moins l'acte de d?c?s et lui permet plus ou moins de passer son message, pour se faire il doit ajouter quelques lettres dans le texte de la st?le, il arrive ? cela :
De ce texte de treize ligne pr?cise Blancassall, il tire cette anagramme :
Tir? de Blancassall, cette anagramme, et c'est voulu, comportera 128 lettres (2 x 64). A priori c'est cette ponctuation qui est la bonne.
Pour terminer son codage, il d?cide d'utiliser une technique fort ? la mode, la cryptographie du cavalier, il choisit ce type de parcours :
C'est le circuit que r?alisait un automate tr?s c?l?bre au XIX i?me si?cle, le Turc.
Pour obtenir un deuxi?me ?chiquier, il le fait pivoter sur son axe horizontal inf?rieur.
Il d?cide du choix d'une case de d?part, il choisit celle qui sur l'?chiquier poss?de le num?ro 22 (? mon avis, pour des raisons de signature du codage), pour l'indiquer, volontairement il commettra trois erreurs dans son codage :
A partir de cette case, et en suivant le chemin indiqu? plus haut, il commence ? ?crire l'anagramme de la st?le :
Il sort la liste des lettres des deux ?chiquiers, donc 128 lettres, et obtient :
Il va d?cider de chiffrer cette liste de lettres avec un mot de passe de 128 lettres ?galement (qui de fait rend ind?chiffrable le message), ce mot de passe sera le texte de la st?le + PS PRAECUM, lu ? l'envers, pour cela il utilisera le syst?me Jangada ("position value" en anglais, ou g?matrie) :
Il obtient cette nouvelle liste :
Qu'il d?cide de coder un nouvelle fois avec un mot : MORTEPEE, mot qu'il tentera d'expliquer en utilisant les lettres qu'il a du ajouter et d'autres qu'il remarque en les "miniaturisant" ou les d?calant, et il obtient cette liste :
Liste qu'il d?cide d'ins?rer, plus ou moins r?guli?rement, dans un texte de l'Evangile, et il obtient ceci :
Notons qu'il a divis? la liste de 128 lettres en deux listes de 64 et qu'avant d'ins?rer ces lettres dans le texte de l'Evangile (? peu pr?s une lettre de la liste toutes les 6 lettres du texte), il ajoute deux mots AD GENESARETH.
M?me si le processus et long et laborieux, il n'a rien de bien compliqu? ! On s'?tonne donc que des gens comme de S?de, Henri de Lens, Franck Marie, Lincoln, Chaumeil (par ordre d'apparition ? l'?cran) ne nous l'ait expliqu? ! Plutot que de s'embarquer, tous, dans des explications foireuses sur un ?ventuel d?codage qu'ils auraient r?ussi (ou cr??) puisque :
Les impossibilit?s mat?rielles de d?codage :
1 - On ne poss?de pas le texte original de l'Evangile, donc on ne peut pas sortir les 140 lettres ajout?es d'une mani?re certaine.
2 - On partira d'une liste totalement incoh?rente VCN... que l'on codera, certe avec un mot de passe de huit lettres que l'on pourrait ?ventuellement casser, si la solution n'?tait une autre liste de lettres incoh?rentes JRI...
3 - En supposant (m?me si c'est impossible) que l'on ait d?couvert la liste JRI, le choix du mot de passe de 128 lettres rend de nouveau impossible toute possibilit? de cassage du code, d'autant qu'on arrive encore ? une suite de lettres incoh?rentes (XNL) !
Le reste du d?codage, m?me s'il est tir? par les cheveux, est possible dans des conditions normales (c ? d, sans connaitre la r?ponse !)
Merci de votre attention,
Philemon.
_________________
RLC, c'est plus fort que toi ! |
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philemon
Inscrit le: 23 Nov 2006
Messages: 468
Localisation: Hainaut
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| Posté le: Lun Mai 18, 2009 5:13 pm Sujet du message: |
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Bonjour D?d? et les autres,
Juste quelques r?flexions... sur les 6 ?chiquiers dont parlait D?d?, plus haut.
La liste qui commence par BS... donn?e par Andr? ne me semble pas pertinente, parceque si de S?de peut jouer sur les trois premi?res lettres (ou les trois derni?res), en choississant le nombre de lettres des trois membres de phrases, il est prisonier des trois derniers ?chiquiers et ne peut choisir toutes les lettres.
Remarquons d'abord que les trois derniers ?chiquiers ne sont que le reflet des trois premiers, en pr?sentant les six damiers de cette mani?re, de S?de montre la parfaite sym?trie du syst?me... ce qui ? l'?poque ne devait pas ?tre ?vident pour tout le monde.
Si le chemin du cavalier est sym?trique par rapport ? un axe, les lettres, elles, sont plac?es normalement d'une mani?re identique sur deux ?chiquiers... voil? pourquoi, on retrouve le "A" de "AIE..." dans le coin sup?rieur gauche.
Pour avoir longtemps cherch? des relations dans ces ?chiquiers, je peux garantir qu'il est, ? partir du moment o? l'on a choisi la case de d?part, impossible de trouver autre chose que la phrase berg?re ! Il est trop compliqu? d'imaginer que le cr?ateur ait pu ajouter un autre code, d'autres significations.
Si de S?de a voulu signifier quelque chose, c'est uniquement dans ces choix de c?sure, le reste ce n'est pas lui qui a choisi !
Il y a trois membres de phrases ?crits dans trois ?chiquiers, donc trois d?parts et trois fins :
Si le premier d?part du premier ?chiquier est (forc?ment) le B de la case F6, remarquons que les deux autres d?parts sont voisins C1 et D1...
Si la derni?re case est (forc?ment) la case H5 (celle de sortie), remarquons que les deux autres fins des membres de phrases choisis par de S?de sont sur la m?me ligne la 7, au niveau B7 et E7, et que les deux touchent les deux autres cases de d?part... C1 et D1 !
Remarquons aussi que des cases d'arriv?e (le S de Pous... et le T de gardent) d?pendent directement les cases de d?part (le S de sin et le L de la), elles doivent se trouver ? un saut de cavalier, si de S?de a voulu indiquer quelque chose ce ne peut ?tre qu'au niveau des cases de c?sure... S et T. Or ces deux cases pr?sentent une particularit?, minime mais je la donne : Si l'on fait comme Plantard le fait avec le texte de la st?le, c'est ? dire que l'on ?crive la phrase Berg?re "normalement" dans les cases des ?chiquiers (B dans A1, E dans A2, R dans A3...), il ya six lettres communes dans le premier ?chiquier... les choix de de S?de font s'arr?ter les membres de phrase pr?cis?ment sur les deux premi?res cases o? l'on trouve la m?me lettre, commune aux deux listes de lettres !
Cela m'am?ne ? deux r?flexions :
1 - Cela rappelle une ?tude de Pierre Plantard sur la case 22.
Plantard dans un num?ro de vaincre divise ?galement l'?chiquier en trois parties... pr?textant un chemin initiatique des membres du Prieur?, il explique que le parcours du cavalier est donc divis? en trois parties : 22 cases, puis 21 deux fois, on arrive aux soixante quatre cases de l'?chiquier.
Peut ?tre que les recherches sur les six ?chiquiers sont faites pour essayer de mettre en relation ces deux fois "trois erreurs de lettres"... mais, j'avoue ne pas avoir de ? l'heure actuelle de pistes s?rieuses.
Pour rester dans ce domaine de l'explication de Pierre Plantard, assez vaseuse, mais qui poss?de un peu les m?mes caract?ristiques que ces six ?chiquiers et leur tron?ons de phrase, Plantard, donc au sujet du Temple Rond, fait un renvoi concernant un certain Fr?re Dubosc, et ce fr?re Dubosc aurait construit un puits de 28 m?tres...
2 - Cela me rappelle ?galement la coincidence troublante (voir plus haut dans les forums) entre la comparaison de la liste XNL et la phrase Berg?re, j'y avais d?couvert une presque parfaite indication pour d?couvrir la signature du concepteur, MORTEPEE a ainsi 7 lettres communes (m?me place dans l'ordre de la liste), les deux arr?ts de de S?de sont faits avec les deux m?me listes compar?es...
Les lettres des premiers ?chiquiers : S,L,S,T
Les lettres des suivants : E, E, V, I
Un mot form? avec ces 8 lettres ne pourrait absolument pas ?tre significatif, il serait d? au hasard.
On peut bien s?r imaginer que de S?de ait remarqu? que quatre lettres proches signifiaient quelque chose, et les a ensuite distingu?es par son d?coupage, mais il est hors de question de penser que cela puisse ?tre autre chose qu'une intuition de G?rard, m?me si il existe un mot compos? avec ces lettres (certainement d'ailleurs), ce n'est que le fruit du hasard ! Il ?tait impossible pour le cr?ateur de pr?voir la disposition des lettres sur les deux ?chiquiers en m?me temps. D?j? pour un seul... on l'a vu pour MORTEPEE.
Apr?s avoir cherch? par tout les bouts, ce que pouvaient signifier ces six ?chiquiers, seul l'aspect graphique me semble ? retenir... mais vraiment sans conviction... aspect graphique et p?dagogique, je crois que cette pr?sentation claire fait comprendre au lecteur ce qu'est exactement un circuit du cavalier ferm? : un circuit qui au fur et ? mesure de son avanc?e passera sur toutes les cases de l'?chiquier et que son dernier saut arrivera ? un saut de son point de d?part.
D'abord le premier ?chiquier (et le quatri?me, donc) o? l'on d?couvre une ?toile de David entour?e par un "cercle", de S?de voulait-il illustrer "le Temple Rond" ? C'est bien un membre de phrase de 28 lettres qui permet de remarquer l'?toile et le "cercle", comme ce Temple selon Plantard poss?de un puits de 28 m...
Le deuxi?me (et le cinqui?me) met en ?vidence, deux colonnes vides de lettres , puis une colonne avec une seule lettre et puis une autre colonne avec deux lettres S et E, dans le deuxi?me et M et V dans le cinqui?me, E et M sont les lettres au milieu de l'?toile. A noter que dans le circuit du Turc, c'est du centre de l'?toile que part le circuit.
Le troisi?me (et le sixi?me) font apparaitre un croissant compos? de 8 groupes de deux lettres, une fl?che de trois lettres esseul?es semble indiquer la sortie.
D'une part on a dans le premier ?chiquier, un bloc de quatre lettres de cases vides : E3, F3, E2, F2, arr?ter la premi?re partie de la phrase au "S" de Poussin permet de pr?server le deuxi?me tableau, si l'on veut par exemple avoir un bloc de 16 cases vides... deux colonnes A et B de huit lettres, comme le bloc du troisi?me ?chiquier 16 lettres de cases vides en plein centre de l'?chiquier... Ce d?coupage particulier fait bien apparaitre ?galement l'?toile de David.
On remarque que 64 - (4 + 16 + 16) = 28, nombre de lettres du premier membre de phrase sur le premier ?chiquier... veut-il ne laisser qu'une lettre sur la colonne C et deux sur la colonne D : S-E ?
Je redonne maintenant les raisons qui me font croire que le grand parchemin et le texte de l'?pitaphe ont ?t? compos?s en m?me temps :
Je me base pour cela sur le deuxi?me mot de passe : MORTEPEE (dans les d?cryptages divers et vari?s, MORTEPEE est souvent en premi?re position, c'est parce que les d?crypteurs ne donnent pas la mani?re de coder, mais celle de d?coder).
MORTEPEE, du point de vue du codage n'a aucun int?r?t... "?p?e" est le plus mauvais mot de la langue fran?aise pouvant ?tre utiliser dans un codage... donc, on suppose que c'est pour une autre raison qu'il a ?t? rajout? : certains avancent que c'est le nombre ?lev? de "Z" (14) dans la liste interm?diaire (JRI...) qui a fait que l'on a rajout? un autre mot de passe... pour retrouver une ligne plus "normale ! Cela n'a rien de convaincant !
J'ai toujours cru que MORTEPEE, n'ayant qu'une valeur de codage relative, servait ? signer le code. Plantard le sous entend dans la pr?face de la VLC : "L?on sait que l?abb? Boudet est mort ? Axat, mais ce que l?on ignore c?est qu?? son chevet se trouvait l?abb? Sauni?re... Cette r?conciliation devant la Mort, face ? I?Ep?e de la Justice...il (Sauni?re) connaissait le secret de l?abb? Henri Boudet, celui-ci le lui avait confi? dans ses derniers instants."
Pourquoi parler, avec emphase, de la Mort et de l'Ep?e, au moment o? PP indique que l'abb? Boudet avoue ? l'abb? Sauni?re son secret... c'est une mani?re pour Plantard de dire comment et o? a ?t? sign? l'?nigme...
Bref, MORTEPEE est compos? de lettres que l'on suppose volontairement alt?r?es sur le texte de l'?pitaphe : O, T, R d'une part, qui ont ?t? chang?es et M, E, P, E, E qui elles n'ont pas ?t? chang?es, mais simplement "remarqu?es"... plus petites ou d?cal? pour le "M".C'est totalement diff?rent : Les premiers changements sont n?cessaires pour r?ussir l'anagramme, les seconds changements n'interviennent que dans la composition du mot clef.
G?rard de S?de sait qu'il y a trois erreurs de lettres dans le d?codage, il le signale sur un tableau donn? dans "Le tr?sor maudit", et sans doute sait-il que cela est volontaire... du moins veut-il nous le faire croire ! Pourquoi pr?ciserait-il "pour ?garer les chercheurs" s'il croyait ? une b?vue du codeur. Les premiers commentateurs expliquaient ces erreurs en arguant de l'alphabet utilis? par de S?de (avec un W)... mais, le fait est que ces trois erreurs furent volontaires et que de S?de (donc Plantard) le savait. Comme ils utilisaient le code de Vigen?re pour arriver ? la solution, ils ne pouvaient comprendre comment les "erreurs" avaient ?t? commises... (inversion des facteurs, avec le syst?me Jangada). Ils connaissaient ces erreurs, c'est donc qu'ils l'avaient appris d'une source ant?rieure, mais surtout, si elles ?taient volontaires, c'est qu'elles devaient servir ? quelque chose...
Il y a donc trois fautes de fran?ais sur la st?le (pour m?moire O,T,R) et trois erreurs de codage sur le GP (O,H,X) ...
Si les trois erreurs sur la st?le servent d'abord ? ce que l'anagramme soit possible et ? ?galement ? "?crire" la signature, ? quoi peuvent servir les trois que l'on trouve sur le GP ?
Personnellement, je penche pour l'indication de la case "22" ou F6, case de d?marrage de la phrase berg?re, trois lettres sont le nombre minimum de lettres qu'il faut pour situer exactement une case, les lettres X et R indiquent la ligne 6, et la lettre P, la colonne F.
Salut,
Philemon
_________________
RLC, c'est plus fort que toi ! |
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Lucain
Inscrit le: 28 Juin 2007
Messages: 237
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| Posté le: Lun Mai 18, 2009 7:37 pm Sujet du message: |
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Tr?s convaincant, Phil?mon. Comme d'habitude.
Mais pourquoi Madeleine B. ajoute-t-elle/il deux lettres ? la phrase "Berg?re..." ?
Lucain |
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philemon
Inscrit le: 23 Nov 2006
Messages: 468
Localisation: Hainaut
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| Posté le: Mar Mai 19, 2009 10:17 am Sujet du message: |
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Salut,
Pas d'id?e bien arr?t?e, mais c'est tout l'int?r?t de retourner aux sources (j'ai donn? la phrase berg?re comme elle apparait sur le document de la BN et non comme elle est recopi?e g?n?ralement...)
Il y a d'autres diff?rences entre le Blancassall original et celui g?n?ralement diffus?... coquilles ou infos ?
Merci pour le compliment,
Tchao
Philemon
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RLC, c'est plus fort que toi ! |
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Good07
Inscrit le: 25 Jan 2007
Messages: 174
Localisation: Ard?che
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| Posté le: Mar Mai 26, 2009 6:01 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous.
D?sol? de vous r?pondre si tardivement, mais un petit s?jour ? l'h?pital a retard? cette r?ponse. Ils n'ont pas internet dans leur piaule et impossible de choper un r?seau non s?curis?. 
Jean Pierre ? ?crit:
| Citation: | Ton Post est tr?s pertinent. Tout d'abord il faut savoir qu'en page 200, la premi?re liste de lettres comporte de nombreuses erreurs. Par exemple il manque un Y dans la premi?re ligne (la s?quence est ROVYMYYDLT et non ROVYMYDLT), un M est a remplacer par un N, un X par un I ... Il y a 127 lettres et non 128...
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Merci pour la pertinence, effectivement, j'ai tous de suite ?t? attir? par les ?chiquiers au nombre de 6 et je n'ai pas regard? pr?cis?ment les suites de lettres donn?es ? la page pr?c?dente faisant ainsi l'impasse sur les erreurs et la ponctuation.
En fait, sur la premi?re s?rie de lettres tir?es du GP, sur la premi?re ligne il manque un Y. Nous avons :
VCVSJQROVYMYD
alors que l'on devrait avoir:
VCVSJQROVYMYYD
Je ne compte pas les fautes, VCV au lieu de VCP etc...
Pour le deuxi?me groupe de lettre il manque exactement 8 lettres cons?cutives ? la quatri?me ligne: SRXAIADH.
Curieux non ? pourquoi justement 8 lettres comme la clef MORTEPEE ?
Et de plus comme tu le fais remarqu?, pourquoi ces signes de ponctuation dans le relev? des lettres ?
Voici ces deux suites de lettres telle qu'elles apparaissent dans le livre:
V C V S J Q R O V Y M Y D L T, P O H R B O X, T,
O D J L B K M J F Q U E P A J Y N P P B F E I E
L R G H I X R Y B T T C V X G D L U C C V M I E J
H P N P G S H Q J H G M L F T S, V J L Z Q M T, O
X A N P E M U P H K O R P X H V J C M C A T, L
V Q X G G N D T.
Puis la suite apr?s d?chiffrement:
X N L S P A N N A S I T T I A T E X R R P B T E,
U C A E E N I R X T G E EN D E L O R S I A A O,
E L E F S D Q, R P E D C U P G X A I E M U I D O,
C E J D N M E G M C O C E E P D H A, T M O A E,
S E B I C E L E R N E E A I E E D L V E V U L D C.
Pourquoi comme le dit Jean Pierre avoir mis des signes de ponctuation ? Peut-?tre la sagacit? de Philemon apportera t'elle une r?ponse ? cette ?nigme.
Au sujet de la double s?rie de trois ?chiquiers, j'avais bien vu que les trois premiers ?taient ind?pendant des trois autre. Je dirais m?me que les trois ?chiquiers du bas repr?sentent les trois ?chiquiers du haut mais invers?s.
Pour Philemon:
Comme d'habitude, tu manies ces ?chiquiers avec maestria et ton don d'observation est toujours aussi aiguis?. En fait toi et moi poursuivons toujours le m?me but, trouver l'auteur de ce fameux casse t?te. Il est bien vrai poiur l'instant que Plantard ne peux pas ?tre ?cart? compl?tement m?me si nous avons une intime conviction (mais pas de preuve) qu'il n'en soit pas l'auteur. Mais je ne doute pas qu'un jour on pourra faire la lumi?re sur ces parchemins. Pour moi une personne signe toujours son oeuvre, mais la signature est quelquefois subtile et nous ?chappe compl?tement. Merci dans tous les cas pour cette belle ?tude, la v?rit? n'est peut-?tre pas si loin...
Au sujet du d?cryptement du GP:
Pour Jean Pierre:
IL FAUT APPELER UN CHAT...UN CHAT.
Dans la partie de ton site r?serv? au d?chiffrement du GP, tu dis qu'apr?s avoir relev? les lettres de celui-ci il faut chiffrer en Vigen?re avec la clef constitu?e par l'?pitaphe de la tombe de la marquise mais invers?. Ce qui est juste et faux en m?me temps. Ne trouves tu pas bizarre de parler de chiffrement Vigen?re alors qu'on est en train de d?chiffrer un texte d?j? chiffrer ?
Alors l? je vais donner une petite explication.
Il faut savoir que le chiffre dit de Vigen?re comporte deux variantes d'utilisation de cette fameuse table carr? :
- La variante de Beaufort
- La variante Allemande
Seule la premi?re pr?sente un int?r?t pour notre cryptogramme.
En 1857, l'Amiral anglais Sir Francis Beaufort imagina d'inverser l'ordre des op?rations; d'o? la variante de Beaufort dans laquelle on chiffre en partant de la lettre-clef lue en bordure pour trouver la lettre ? chiffrer ? l'int?rieur du tableau et tourner ? angle droit afin de lire la lettre cryptographique sur l'autre bord. C'est exactement le d?chiffrement Vigen?re et le d?chiffrement Beaufort se fait comme un chiffrement Vigen?re
Donc le GP a ?t? chiffrer a l'aide du syst?me Beaufort et on le d?chiffre avec le m?me syst?me CQFD.
Il y a bien une table de Vigen?re mais c'est un syst?me Beaufort qui est employ?.
Donc tu peux revoir cette partie sur ton site. De plus, le fait de retrouver apr?s d?chiffrement une phrase qui est l'anagramme parfait de l'?pitaphe de la marquise de Negri d'Able n'a rien de magique. Cet anagramme a ?t? cr?? avant d'?tre chiffr? et c'est normal de le retrouver apr?s d?chiffrement. La question qu'il faut par contre se poser c'est pourquoi avoir utilis? un anagramme de cette ?pitaphe. N'importe qu'elle phrase de 128 lettres aurai pu ?tre chiffr?e par ce proc?d? sans probl?me.
Il faut savoir aussi et l? je rejoint Phil?mon qu'il est beaucoup plus dur de d?chiffrer que de chiffrer et que ce qui semble un vrai casse t?te a d?faire n'a pas demander un travail de titan pour ?tre fait. Juste un peut concentration pour son r?alisateur qui lui savait le d?tail des op?rations.
Pour Philemon:
Je pense qu'il n'es pas compl?tement correct de dire que l'auteur du GP c'est inspir? du cryptogramme de la Jangada. Pourquoi ?
Parce que le chiffre donn? dans Jangada n'est pas un chiffre Vigen?re ou Beaufort mais un Gronsfeld
Encore un autre ? Et oui...
Au XVIIe siecle, le comte de Gronsfeld, homme de guerre et diplomate Belge imagina de n'employer que les dix premi?res clefs simples (lignes ou colonnes) du tableau de Vigen?re; ce qui permet de les d?signer par des chiffres-clefs au lieu de lettres-clefs.
Pour faire simple disons que le chiffre de Gronsfeld utilise une clef num?rique et seulement dix alphabets puisqu'on n'utilise que les chiffres de Z?ro ? neuf.
D'ailleurs la clef de la Jangada est 432513.
On peux effectivement voir que l'alphabet utilis? par Jules Verne est un alphabet de 25 lettres sans W comme celui utilis? pour le GP, mais la similitude s'arr?te l?.
Le GP est bien chiffr? ? l'aide d'un carr? de Vigen?re mais son utilisation apporte souvent des erreurs de lecture surtout pour un texte long. On a donc cherch? ? simplifier la proc?dure et on a donc remplac? la table carr? par un s?rie d'addition ou de soustraction suivant que l'on veuille chiffrer ou d?chiffrer.
Donc pur simplifier au maximum et sans table, on peux dire que la lettre D chiffr?e a l'aide de la lettre clef C va donn? comme lettre crypto la lettre F. Pourquoi ?
Et bien D= 4, C=3 on a donc A+C=4+3 => =7-1 =F (Il faut enlever -1 au r?sultat pour un chiffrement Vigen?re)
Je sais que Philemon conna?t tous cela mais c'est pour les autres lecteurs de ce post que je donne le proc?d? rapidement.
Ainsi Henri de Lens en 1977 et Franck Marie en 1978 emploient-ils ce proc?d? plut?t que la table de Vigen?re.
Ce proc?d? revient ? utiliser une r?glette de Saint-Cyr, proc?d? qui ?tait utilis? pour simplifier l'utilisation de la table carr?e.
Le fait d'utiliser un alphabet sans W est un proc?d? courant en cryptographie. Quelquefois le J et le I sont remplac? par la m?me lettre et on enl?ve aussi le K si le texte ? chiffrer et la clef n'en comporte pas.
Disons que l'utilisation des additions et des soustractions peut-?tre utiliser dans tous les cas que j'ai cit? (Vigen?re, Beaufort ou Gronsfeld)mais il n'en reste pas moins que le cryptogramme de la Jangada utilise un chiffre Gronsfeld...
Mais bien s?r, cela n'enl?ve rien au s?rieux de l'?tude de Philemon concernant le GP et les ?chiquiers d'o? le titre plus haut.
D?sol? d'avoir ?t? aussi long mais je pense qu'il faut bien remettre les choses ? leur place.
Amicalement,
Andr
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Good07 (Andr? Goudonnet)
Dernière édition par Good07 le Dim Mai 31, 2009 6:49 pm; édité 3 fois |
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jauclin
Invité
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| Posté le: Mar Mai 26, 2009 8:08 pm Sujet du message: |
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Bonjour Good07 ,
J'ai un peu r?fl?chi au d?coupage en 6 ?chiquiers , et je pense que la suite de lettres : BSLLVE est due au hasard .
En r?fl?chissant en terme de probabilit? , et en partant du texte impos? ??bergere etc ...?? il faut se poser la question :
Quel est le nombre de chance qu'en d?coupant de fa?on r?guli?re le texte ( deux fois 28 , 19 , 17 ) on retrouve des initiales auxquelles on avait l'intention de donner une signification ?
La r?ponse est qu'il y a peu de chance ?
Si le d?coupage semblait erratique , alors il y avait une chance qu'il fut fait pour donner une signification ? ce regroupement de lettres ...
en ce qui concerne AD GENESARETH , j'ai une th?orie ?
Il se trouve que l'on rencontre tr?s peu de fois ce nom cit? dans l'?vangile . Apr?s une courte recherche sur le net , on constate que LUC 5 .1 est tr?s souvent cit? ?.
En effet genesareth se trouve au bout de la premi?re ligne ( I ) de luc V .
Alors cette expression ne serait-elle pas le moyen de faire un lien avec le texte du petit parchemin , c'est ? dire ...Luc V ...I , soit Luc VI ??
Une bonne soir?e .
A plus  |
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Good07
Inscrit le: 25 Jan 2007
Messages: 174
Localisation: Ard?che
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| Posté le: Mar Mai 26, 2009 8:41 pm Sujet du message: |
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Bonsoir Jauclin,
Content de te revoir parmi nous.
Pour la suite de lettres tu as tout ? fait raison et Philemon arrive aussi ? la m?me conclusion et moi aussi d'ailleurs je n'avais que peu d'espoir d'avoir un r?sultat int?ressant. Non ce qui m'avais surtout int?ress? c'est la r?p?tition de la suite et le d?coupage en 28 19 17, nombres que l'on retrouve souvent dans la VLC et qui semblent particuliers pour notre affaire. La premi?re suite de lettres peut a la rigueur ?tre voulue c'est BS L. Mais pour la suivante c'est s?r que si il avait voulu passer un message il aurait fallu d'autres nombres. Mais 28+19+17=64, on peut arriver au m?me r?sultat avec d'autres nombres et il ne me serai jamais venu a l'id?e de diviser 64 par trois. Mais Boudet ne dit-il pas que les Gaulois avaient une v?n?ration profonde pour le chiffre trois ? Bien s?r on peu aussi ramener ce d?coupage aux id?es de Plantard comme le fait Philemon mais il n'en reste pas moins que ce d?coupage est pour le moins bizarre.
Mais jusqu'? preuve du contraire il y a effectivement une chance pour qu'il soit sans signification, mais 17 semble me dire le contraire...
Id?e int?ressante en tout cas pour "AD GENESARETH" c'est s?rement ? creuser...
Bonne soir?e ? tous
Andr
_________________
Good07 (Andr? Goudonnet) |
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philemon
Inscrit le: 23 Nov 2006
Messages: 468
Localisation: Hainaut
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| Posté le: Mer Mai 27, 2009 11:40 am Sujet du message: |
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Salut ? tous,
Jauclin, je r?ponds ici ? ton post d?pos? sur l'autre topic (Boudet), c'est d'ailleurs plus appropri?.
Je suis tout ? fait d'accord avec toi : on peut penser que rajouter une st?le qui n'existe pas sur un bulletin scientifique fera jaser ! Mais, sans vouloir chipoter, les participants auraient pu "parler" de toute la note de la SESA... des erreurs en pagaille (la date de l'?glise p.e), si la st?le ?tait bien pr?sente dans le cimeti?re, il faut admettre que la description donn?e sur la m?me page est bonne, or on est loin du compte... inscription grossi?rement grav?e, dimensions, cass?e dans son milieu... de quoi jaser aussi !
Egalement, on ne trouve pas dans les archives de la SESA, le dessin original de la st?le, joint avec le texte d'Elie...
Pas de certitudes, mais, ? mon avis cher Jauclin, petit avantage ? la dalle papier...
Pour le reste, je crois que l'on peut aussi, voir comme volontaire les alignements dont tu parles et l'anagramme... cela n'est pas contradictoire.
Les 128 lettres ne sont l? que parce qu'il y a des ?chiquiers... je te retourne ton argument, si le codage du GP est tardif, pourquoi le farceur s'emmerde-t-il avec 128 lettres, il peut les oublier et coder simplement les lettres de la st?le, sans ?chiquiers ! Pourquoi prendrait-il le risque ?
Mais, comme tu le dis, c'est mon avis.
Andr?,
D'accord avec toi pour le nom de la grille (ou de la m?thode) employ?e... Beaufort, Gronfeld... le syst?me n'a pas d'importance.
Ce que je veux dire en utilisant le terme "syst?me Jangada", c'est que ce syst?me existe et a ?t? d?crit dans un livre paru ? l'?poque de Sauni?re et de Boudet et qu'il ?tait ?crit et ?dit? par un lyonnais.
Le syst?me d?crit (et nomm? dans le livre "syst?me Jangada") est exactement celui utilis? par le codeur : on donne une valeur num?rique selon l'ordre alphab?tique, on supprime le "W", on ne supprime pas le "K", on ne confond pas le "I" et le "J"... bref, toutes choses qu'il faut pr?ciser dans le cas des codes Beaufort & C?...
Je m'attache ?galement ? parler de Jangada, et de Verne donc, parce que Franck Marie parle de Verne au sujet du d?codage alors que je ne vois pas le rapport entre le Voyage au Centre de la Terre et notre code... je me suis dit que sans doute, cette mention de Verne devait lui avoir ?t? souffl?e par quelqu'un... comme la solution !
Et comme tu le dis si bien, Franck Marie n'utilise pas de grille Vigen?re pour d?coder... mais un syst?me de num?rotation qui rappelle quelque chose... (je ne connais pas le livre d'Henry de Lens, et ne sais pas s'il parle de Verne)
Les explications donn?es par FM ne peuvent ?tre prises pour argent comptant : Base 7, pour retirer les lettres du GP, comment trouve-t-il la premi?re clef (l'?pitaphe), la premi?re lettre des ?chiquiers... bref, il tente de nous convaincre qu'il a tout trouv? simplement en r?fl?chissant ! Il est pourtant ?vident, qu'il a obtenu des informations d'un tiers... mais, ce tiers ne lui a pas parl? de Vigen?re alors que peut ?tre, il a parl? de Verne...
Salut,
Philemon
P.S : Je regarderais de plus pr?s la partie sur les 6 ?chiquiers, un peu plus tard.
_________________
RLC, c'est plus fort que toi ! |
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brunelin
Inscrit le: 23 Oct 2006
Messages: 1658
Localisation: LANGUEDOC
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| Posté le: Mer Mai 27, 2009 1:38 pm Sujet du message: |
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| Citation: | Je suis tout ? fait d'accord avec toi : on peut penser que rajouter une st?le qui n'existe pas sur un bulletin scientifique fera jaser ! Mais, sans vouloir chipoter, les participants auraient pu "parler" de toute la note de la SESA... des erreurs en pagaille (la date de l'?glise p.e), si la st?le ?tait bien pr?sente dans le cimeti?re, il faut admettre que la description donn?e sur la m?me page est bonne, or on est loin du compte... inscription grossi?rement grav?e, dimensions, cass?e dans son milieu... de quoi jaser aussi !
Egalement, on ne trouve pas dans les archives de la SESA, le dessin original de la st?le, joint avec le texte d'Elie...
Pas de certitudes, mais, ? mon avis cher Jauclin, petit avantage ? la dalle papier... |
je pense que vous allez avoir bientot des r?v?lations sur le comment et le pourquoi le dessin de la st?le a ?t? inclus au buletin de la SESA
un ?minent chercheur semble avoir pas mal de choses en main pour prouver cela...............reste ? savoir quand cela sera publi? ?
_________________
"l'abb? BOUDET connait un secret qui pourrait engendrer de grands bouleversements"
courrier du r?v?rend p?re VANNIER |
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jauclin
Invité
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| Posté le: Mer Mai 27, 2009 4:32 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous ,
Salut Philemon ,
Peut ?tre en fait-on un peu de trop avec ces erreurs ?
Pour la date , elle est inscrite sur l'un des murs de l'?glise il me semble , maintenant en effet , elle ne correspond pas ? la date de sa cr?ation ( conclusion h?tive de l'observateur ..)..
En ce qui concerne l'inscription grossi?rement grav?e , on peut s'apercevoir que l'auteur de la repr?sentation de la dalle a utilis? certainement une machine ? ?crire ( ou autre instrument ) pour ??traduire?? ce qu'il a vu ..ce qui fait que cela ne nous para?t pas tr?s ??grossier?? ..
Les dimensions c'est pareil ..devait-il faire les contours de fa?on proportionnel ? Je pense que non ..c'est un sch?ma ..d?s l'instant ou il pr?cise des dimensions , ce n'est pas une obligation ( et pas facile ? r?aliser..) de conserver les proportions ..
idem pour la cassure : quel est l'int?r?t de la repr?senter d?s l'instant ou l'on consid?re que c'est le texte en lui m?me et ses particularit?s que l'on souhaite montrer .
Ces chercheurs de la SESA paraissent assez dilettantes , mais c'est un peu normal , ce ne sont pas des professionnels ; ils ont fait une belle balade ensemble et remarqu? certaines choses ...faut-il en attendre d'eux beaucoup de rigueur ?
Pas de certitude mais ...7-1 au tie Break en faveur de la st?le en pierre ?!
Maintenant je pense qu'il y avait bien une volont? particuli?re de mettre cette repr?sentation dans le bulletin ( st?le existante ou non ) . Je ne saurais l'expliquer , mais je ne serais pas surpris que l'abb? Boudet est derri?re ?
Monsieur Brunelin ,
Un nom ? Une date ? Une interpr?tation ou de nouvelles informations v?rifiables ?
Une bonne soir?e .
A plus |
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jauclin
Invité
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| Posté le: Mer Mai 27, 2009 4:34 pm Sujet du message: |
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Je ne saurais l'expliquer , mais je ne serais pas surpris que l'abb? Boudet soit derri?re ?
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jauclin
Invité
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| Posté le: Mer Mai 27, 2009 5:26 pm Sujet du message: |
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Good07 ,
pour revenir ? Luc V , I ?
Il y est dit que J?sus se trouvait aupr?s de Genesareth .
??Ad?? ?veut dire aussi aupr?s ( Ad patres = Aupr?s des anc?tres )
il n'y a que dans Luc V , I que l'on retrouve cette notion ??aupr?s de G?nesareth?? ..enfin il me semble ..
Je crois que l'id?e du grand parchemin est en partie de nous conduire sur la voie du petit parchemin en utilisant les ?carts de 6 lettres ( VI lettres) et cette r?f?rence ? Luc V,I .
C'est pour ma part une r?f?rence dans le but d'authentifier le grand parchemin , ce qui implicitement montre que le petit parchemin doit ?tre certainement un document important car pris comme r?f?rence : il doit ?tre consid?r? par l'auteur du grand parchemin comme authentique .
bonne soir?e
A plus |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Dim Mai 31, 2009 1:25 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous,
Juste un petit mot en passant
pour dire la satisfaction qui me remplit en lisant les quelques petites derni?res nouveaut?s saupoudr?es dans nos chers forums :
- c?est d?abord de reconna?tre enfin que les abb?s Bigou oncle et neveu, cur?s successifs de RLC, n?ont absolument rien ? voir avec notre ?nigme : exit (d?finitivement !) la fable espagnole d?un exil ? Sabadell lors de la R?volution pour Antoine Bigou (le neveu), o? il aurait mis au courant l?abb? Cauneille, cur? de RLB, qui lui-m?me ensuite aurait ? form? ? l?abb? Cayron ( de St Laurent de la Cabrerisse) qui ? son tour aurait instruit l?abb? Boudet ?
Gr?ces soient rendues au chercheur qui a fait cette d?couverte
dans les archives municipales de Collioure (v?ritable lieu de la mort d?Antoine Bigou) et grand merci ? Jean-Claude de Brou et Jean-Pierre Garcia de s?en ?tre fait l??cho sur leur site respectif !
On sait ? pr?sent que l?abb? Boudet a ?t? pr?par? ? cette ?nigme
par d?autres eccl?siastiques, les chanoines Gaud?ric M?che (1802-1864) et Henri Gasc (1813-1882) en d?autres lieux : N-D du Cros ? Caunes-Minervois (o? il fit son vicariat de 1862 ? 1864) et N-D de Marceille ? Limoux ...
- Un grand bravo ensuite ? notre ami Philemon qui a fait la magistrale, extraordinaire et INCONTESTABLE d?monstration que les codages utilis?s pour arriver ? la fameuse sentence ? Berg?re pas de tentation ? ? proviennent tout simplement d?un roman de Jules Verne, ? La Jangada ?, qui fut publi? en feuilleton dans une revue ? grand tirage ? la fin du 19?me si?cle et donc tr?s facilement accessible ? certains cur?s de l?Aude de cette ?poque ?
- Ajoutez ? cela le d?but de d?monstration de notre ami Simple Curieux (Jacques Mazi?res), qui vient de d?montrer que le GP, la carte de Boudet et les dalles de Blanchefort ont toutes ?t? imagin?es sur un simple cahier d??colier ? carreaux (qu?il aurait pu pr?ciser de 2 cms), ce qui prouve qu?elles ont ?t? cr?es au m?me moment par les m?mes personnes ! Il est un peu dommage qu?il n?ait pas poursuivi son effort et pas compris que la dalle de Coumesourde (pourtant apparue en 1928 !) avait suivi exactement le m?me processus de conception ?
Il r?sulte donc de tout cela
que le GP, la carte Boudet, les dalles Blanchefort et Coumesourde ont OBLIGATOIREMENT ?t? cr?es par les m?mes personnes. Comme la St?le de Blanchefort est dat?e avec certitude de 1906 (publication de la SESA) et qu?elle ne peut ?tre d?Antoine Bigou (qui n?a jamais rien eu ? voir avec cette ?nigme), que la dalle de Coumesourde est apparue en 1928 (pr?tendument trouv?e par Cros) et que la carte Boudet a OBLIGATOIREMENT ?t? cr??e pour le livre de l?abb? de 1886, on peut, dans aucun risque de se tromper, avancer comme date certaine de fabrication de tous ces ?l?ments la p?riode entre 1880 et 1928 !
Exit donc d?finitivement la suppos?e mystification de Plantard et Cherisey dans les ann?es 1960 ! Tous ces ?l?ments existaient bien avant leur arriv?e dans la r?gion des 2 Rennes !
En fait tous ces ?l?ments sont bien l??uvre de 3 eccl?siastiques locaux,
? la charni?re des 19?me et 20?me si?cle, ? savoir l?abb? Henri Boudet (1337-1915), cur? de RLB, et deux Lazaristes de N-D de Marceille : les RP L?opold Vannier (1836-1889) et Jean Jourde (1852-1930) ?
Et surtout pas l'abb? B?renger Sauni?re (1852-1917) qui ne fut qu'une erreur de casting dans cette histoire (et donc au courant de rien !), utilis? par les 3 sus-nomm?s pour faire passer leur message (dans son ?glise et le Domaine de RLC), et ensuite largu? comme un kleenex une fois utilis? (apr?s 1906) puisqu'il ne m?ritait pas meilleure consid?ration au vu de ses agissements irresponsables !
Petite pr?cision suppl?mentaire:
le Petit Parchemin est aussi, bien entendu, contemporain et leur ?uvre, puisque bas? sur le Codex Bezae ?tudi? par Jean Jourde lors de son s?minaire ? St Sulpice (1874-1880) durant les cours de Fulcran Vigouroux. Mais le PP se suffit ? lui-m?me, est totalement ind?pendant des autres et ne n?cessite pour le comprendre que le Codex Bezae, qui lui bien entendu n?a jamais ?t? cod?. 
Derni?re pr?cision enfin :
j?ai souvent fait remarquer que la carte du livre de Boudet n??tait surtout pas ? ?tre consid?r?e comme une carte puisque la v?ritable carte au tr?sor de cette ?nigme fut publi?e en 1906 (? son insu !) par la SESA sous la forme de la st?le de Blanchefort. Je signale donc aux esprits chagrins qui voudraient encore, malgr? toutes les ?vidences, voir la patte de l?abb? Antoine Bigou derri?re cette st?le que cette vue de l?esprit est totalement impossible puisque lorsque tout sera r?v?l?, on devra reconna?tre que la st?le de Blanchefort donne un relev? extr?mement pr?cis en METRES, alors que syst?me m?trique est bien post?rieur ? la mort de l?abb? Bigou puisque seulement appliqu? en France apr?s 1840 ?
Merci de votre attention,
et merci ? tous ces VRAIS chercheurs qui me r?jouissent le c?ur !
Franck Daffos. |
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Simple Curieux
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 350
Localisation: GOURDON, 46
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| Posté le: Dim Mai 31, 2009 5:58 pm Sujet du message: |
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Merci Franck.
Je travaille ce week-end (3 jours et 4 nuits cons?cutifs...) et donc je passai prendre les nouvelles en passant au bureau.
Ainsi tu confirmes la th?orie du cahier ? carreaux que j'avais publi?e chez Jean-claude il y a peu.
Pour les carreaux de 2 cm, je l'avais compris et je montrerai pourquoi d?s que j'aurai 5 minutes.
Tu s?mes par moments des ?l?ments nouveaux dans tes messages.
Cette fois c'est qu'il faut continuer avec la "pierre" de Coumesourde.
Et bien merci, je vais m'y remettre.
J'?tais en panne totale et en surcharge de travail.
Voil? de quoi me relancer.
Tu n'aurais pas un truc pour avoir aussi un peu de temps libre ?
_________________
Simple Curieux (Jacques MAZIERES)
http://pagesperso-orange.fr/etude-rlc/index.html |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Lun Juin 01, 2009 12:59 am Sujet du message: |
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| Simple Curieux a écrit: | Merci Franck.
Tu s?mes par moments des ?l?ments nouveaux dans tes messages.
Cette fois c'est qu'il faut continuer avec la "pierre" de Coumesourde.
Et bien merci, je vais m'y remettre. |
Bonsoir Jacques,
je pense simplement que pour bien apr?hender les fondamentaux de cette ?nigme,
il faut dans chaque cat?gorie les ?tudier dans leur globalit? ... Donc quand on parle des dalles, surtout ne pas oublier celle dite de Coumesourde, pourtant apparue 13 ans apr?s la mort de Boudet et 11 ans apr?s celle de Sauni?re ...
Tout comme la derni?re version du tombeau des Pontils d'ailleurs, ce qui n'est peut-?tre pas un hasard ...
| Simple Curieux a écrit: | J'?tais en panne totale et en surcharge de travail.
Voil? de quoi me relancer.
Tu n'aurais pas un truc pour avoir aussi un peu de temps libre ? |
Bien s?r que oui !
Si tu ne veux pas te fatiguer c'est simple: tu prends un pseudo ? la con, et sur les forums tu d?glingues sans aucun argument ni aucune preuve (surtout pas !) tous ceux qui tentent de faire avancer cette ?nigme !
Tu verras, c'est simple, rapide et pas besoin de se torturer l'esprit !
Mais je sais que tu me comprends
car pour avoir tent? de partager tes id?es, tu commences ? d?couvrir la navrante b?tise de certains !
Bienvenue au club !
Amicalement,
Franck.
______________
PS: Bon courage pour ton boulot ! |
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Patrick Pourtal, Webmaster du
site "Rennes-Le-Château -
Le dossier" me proposa en
juillet 2008 de répondre à ses
questions suite à la sortie du
livre "Le Secret dans l'Art".
C'est avec un grand plaisir que
je me suis mis à ma plume. Vous
trouverez mes réponses ici :
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