Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum


    Ou l'histoire d'un grand secret ... 

 

 

Avertissement : Ce forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs. Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires, provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer la discorde.  Les membres qui ne respecteront pas ces règles minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur récidive, leurs messages seront supprimés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Messages du Web master

 

   J'ai conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut dorénavant faire avec...

 

   L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.

      J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...

 

       Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...  

Jean-Pierre Garcia               

 

        "Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret"   est de nouveau disponible

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   Ce livre de 424 pages couleurs est composé de nombreuses illustrations, photos et synoptiques qui accompagnent l'aventure... L'ouvrage comblera les initiés mais aussi ceux qui souhaitent découvrir l'affaire simplement en découvrant les plus belles surprises de ces dernières années. Pour commander, rien de plus simple. Remplissez le bon et envoyez-le à l'adresse indiquée. Paiement possible par Paypal ou par chèque français...   L'ouvrage est également disponible à la boutique  Aux Portes de Rennes

  Patrick Pourtal, Webmaster du site  "Rennes-Le-Château - Le dossier" me proposa en juillet 2008 de répondre à ses questions suite à la sortie du livre "Le Secret dans l'Art". C'est avec un grand plaisir que je me suis mis à ma plume. Vous trouverez mes réponses ici : http://www.rennes-le-chateau.org/rlctoday/int-jpg.asp

Je remercie également André Douzet pour avoir publier une page critique sur "Le Secret dans l'Art"
Vous pouvez la découvrir ici :
http://www.societe-perillos.com/som_garcia.html

 

Site partenaire

   Les Editions ARQA éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art, aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …

 
Nouveautés à lire ...          

Pour voir le clip d'annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=qItG4rZc8KQ

 

 

Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :

BON DE SOUSCRIPTION

 

Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.

TEMPLIERS - Recherches d’authenticité

par George H. Kiess

 

    1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.  Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir ses conquêtes. Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres. Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.

   Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie. Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère. Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort… Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades. Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?

 

               10 ans déjà... 

           C’est avec un immense plaisir que je souhaite longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien… car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
      Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…

 

La suite est ici...  10 ans déjà et plus d'1 million de visiteurs

Jean-Pierre Garcia       

 

        Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...

   du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....

 

Les interviews de Franck Daffos sont ici :

http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904

 



Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA



Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA



Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA

Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
 

Par George H. Kiess
Editions ARQA

Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA

Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA

 
 

Un peu de rêve...

    Par ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ?

 
La Sainte Baume... Un reliquaire bien gênant...
 
   Nous ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...

   Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.

   Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... 


Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013

Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles...

 

Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès...

 
Dernières parutions sur le site...
 

 
Un fait divers tragique ?
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babast



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MessagePosté le: Lun Déc 04, 2006 6:58 pm    Sujet du message: Autopsie G?lis Répondre en citant

Bonjour ? tous. Bonjour Franck.

A propos de l?autopsie on lit ceci :

Examen du cadavre : Le corps est celui d?un homme bien constitu? paraissant vigoureux, quoique ?g?, pr?sentant m?me un tr?s l?ger degr? d?embonpoint. La face, le cr?ne et les mains sont recouverts de sang. Toute la r?gion dorsale depuis le cou j?jusqu'? la r?gion fessi?re est sillonn?e de lividit?s cadav?riques plus accus?es du c?t? droit, occupant ?galement la partie post?rieure des bras o? elles sont aussi plus marqu?es ? droite. La partie sup?rieure de l?avant bras droit, sur une ?tendue de six centim?tres sur sept, la peau pr?sente une coloration plus rouge diff?rente de la teinte vineuse des lividit?s. Cette coloration de la peau semble indiquer qu?une pression se serait exerc?e ? ce niveau, mais la rougeur sous forme de plaque ne laisse pas para?tre l?empreinte de doigts qui auraient press? dans cette r?gion.
Les autres parties du corps, le cr?ne la t?te et l?auriculaire gauche except?s, ne pr?sentent aucune trace de blessures ecchymoses, ?rosions ni violences d?aucune sorte ; la coloration des segments, dans ces r?gions, est normale.


Commen?ons par le commencement : Lividit? ;

Les lividit?s correspondent ? des transsudations de sang ? travers les vaisseaux. Les s?rosit?s imbibent les tissus, elles ont une coloration ros?e. Les lividit?s sont dues ? des ph?nom?nes passifs entra?n?s par la pesanteur. Elles apparaissent progressivement et se situent au niveau des r?gions d?clives, (Position allong?e dans laquelle la t?te est plus basse que le reste du corps.) Les points de contact entre le corps et le support entra?nent des contre-pressions repoussant ces lividit?s.

Exemple : Pour les cadavres retrouv?s sur le dos, les lividit?s si?gent au niveau des lombes et de la partie lat?rale du tronc. Il n'y a pas de lividit?s au niveau des ?paules et des fesses (zones de pression, points de contact).

Autre exemple o? les lividit?s ont fait appara?tre un d?placement du corps? (Autopsie d?un crime qui a eu lieu il y a quelques ann?es, mais scientifiquement prouv?).

La lividit? est caus?e par l'effusion hors des vaisseaux du sang qui s'accumule dans les parties les plus basses du corps dans les heures qui suivent la mort. Il y produit des taches qui vont du gris bleu?tre au violac?. Dans son rapport, le m?decin mentionne deux zones de lividit?: le visage, le cou, les bras, la poitrine et l'abdomen, d'une part, et "une l?g?re lividit? qui dispara?t ? la pression sur la face post?rieure des bras et des jambes", d'autre part. Cette double lividit? pr?sente une grande importance l?gale. Les zones de lividit? secondaires se forment quand on bouge un corps pendant que s'installe la lividit? cadav?rique, processus qui dure g?n?ralement quatre heures apr?s le moment de la mort. Par exemple, si un corps repose sur le ventre pendant trois heures apr?s la mort et qu'ensuite il soit mis sur le dos, une zone de lividit? secondaire peut appara?tre sur le dos pendant l'heure qui suit. On aurait pu envisager cette possibilit? quand ils remarqu?rent cette double lividit?. On sait maintenant que la personne est morte vers 22 h 30 le samedi soir. Son corps a ?t? retourn? et plac? sur le brancard par ... [des pompes fun?bres] huit heures apr?s la mort, soit quatre heures apr?s la fin du processus d'installation de la lividit? cadav?rique. En cons?quence, la l?g?re lividit? remarqu?e sur son dos n'a pu se produire qu'imm?diatement apr?s la mort, quand le corps est rest? un temps sur le dos avant qu'on le place ? plat ventre sur le lit.

Que peut-on retenir de tout ceci?

Il est prouv? que les lividit?s apparaissent de suite apr?s l'arr?t des fonctions vitales, (mort), car le sang ne circule plus dans le corps...elles s'installent jusqu'? 4 ? 5 heures apr?s la mort...On sait que si l'on exerce une pression ? quelque endroit du cadavre, cela laissera une marque...Il est dit dans l'autopsie : "Toute la r?gion dorsale depuis le cou j?jusqu'? la r?gion fessi?re est sillonn?e de lividit?s cadav?riques plus accus?es du c?t? droit, occupant ?galement la partie post?rieure des bras o? elles sont aussi plus marqu?es ? droite." La partie sup?rieure de l?avant bras droit, sur une ?tendue de six centim?tres sur sept, la peau pr?sente une coloration plus rouge diff?rente de la teinte vineuse des lividit?s. Cette coloration de la peau semble indiquer qu?une pression se serait exerc?e ? ce niveau, mais la rougeur sous forme de plaque ne laisse pas para?tre l?empreinte de doigts qui auraient press? dans cette r?gion.". Ce qui signifie que l'abb? s'est ?croul? sur son c?t? droit, comme lorsque dans votre lit, vous dormez "sur le c?t?", et qu'il avait les deux bras allong?s devant lui, certainement au niveau du visage...(dommage que je n'ai pas de photo bien repr?sentative de la sc?ne pour que vous vous imaginiez bien la position)...Comme ces marques sont accus?es, cela prouve que l'abb? est rest? quelques temps dans cette position, et qu'il ?tait d?j? mort...(ses fonctions vitales avaient cess?es)...

Ensuite, essayez de mesurer l'int?rieur de votre main lorsque vous avez le poing serr?...pour ma part, cela fait 10cms(l) sur 9cms(L)...L'avant-bras de l'abb? porte une marque de six sur sept, une main pas tr?s forte, petite, qui a certainement due ?tre faite lorsque le(s) meurtrier(s) a saisi cette partie du corps pour mettre le cur? sur le dos...et c'est l? que les autres lividit?s sont apparues, mais moins prononc?es, car moins longtemps accus?es, elles...

Conclusion :

Cela tente ? prouver que l?abb?, m?me si il a surv?cu quelque temps, est rest? plusieurs minutes dans la position ? sur le c?t? ?, qu?il est mort, et que ce n?est qu?apr?s encore quelques minutes (certainement le temps d?aller voir ? la fen?tre et de fouiller dans ses papiers), que son corps f?t mis sur le dos, simplement par la saisie de l?avant bras droit, d?une main, en tirant vers soit le corps qui tout naturellement s?est vu couch? sur ses deux ?paules?l??paule gauche ayant tout doucement descendue vers le sol..

Vous me direz, et les sabots ? Dans un pr?cedent message vous dites ceci :

G?lis ? pr?sent par terre agonisait.
B?renger le mit dans la position du gisant pour lui donner l'extr?me-onction. Pour ne pas qu'il s'?touffe en buvant son sang qui ruisselait abondamment du c?t? gauche de sa t?te, il pla?a les sabots de la victime sous son ?paule droite, lui maintenant ainsi sa t?te en arri?re du bon c?t?: vous trouverez ce d?tail que personne n'a relev? dans le rapport des gendarmes Vial et Blanqu? arriv?s les premiers sur place. Pour que l'extr?me-onction soit valable, il fallait en effet absolument que G?lis ait au moins un souffle de vie ...


Personnellement, et comme expliqu? avant, je crois fortement que l?abb? ?tait d?j? mort lorsque l?on a touch? ? son corps?Peut-?tre que le ou les personnes pr?sentes le croyant encore vivant, lui on plac? ses sabots sous son ?paule afin de sur?lever le corps et emp?ch? le sang de rentrer dans la bouche de l?abb?, et ainsi de s??touffer avec?Il y avait du sang sur la face, comme expliqu? dans le rapport, mais l?endroit o? les saignements furent tr?s abondant, est situe sur le cr?ne, et plus particuli?rement a l?arri?re?donc m?me si le sang a coul? sur le visage de l?abb?, je ne crois pas qu?il aurait pu s??touffer avec?

Voila ce que, personnellement, je pense que l?autopsie peut nous r?v?ler,(une partie, tout au moins, car je vais m?attarder ,d?ici quelque temps, plus sur les blessures au cr?ne) ?Je n?ai bien sur, pas sorti cela de mon chapeau?lol. Comme je vous l?ai d?j? expliqu?, je m?int?resse a cette affaire depuis un moment, et j?ai cherch? et lu pas mal d?articles avant de tirer ces conclusions?Je ne suis pas m?decin-l?giste, mais je me suis beaucoup int?ress? aux termes m?dico-l?gaux, ? la pratique des autopsies, et conclusions qu?elles apportaient ?

Voila, c?est un peu long ? lire, mais j?esp?re que vous le ferait avec plaisir?Et ne croyez surtout pas que j?assai de contre dire toutes vos id?es, loin de l??j?essai simplement d?apporter ma contribution ? l?affaire.

Bien ? vous. Amiti?s.
_________________
Credendo Vides
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P.SILVAIN



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MessagePosté le: Lun Déc 04, 2006 11:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci, j'attends la suite avec int?r?t
SVP pas de couleur rouge Merci
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Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Mar Déc 05, 2006 1:28 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir babast,

grand merci pour votre excellent expos?
qui, si vous aviez sous les yeux un ?nonc? pr?cis du rituel de l'Extr?me-Onction pr?conis? par les textes canoniques de l'?poque, vous confirmerait pas ? pas que G?lis DANS SON AGONIE a bien r??u ce sacrement.

Je vais donc essayer de faire un peu court dans ma r?ponse et vous expliquer comment ? mon sens les choses se sont pass?es.

Il faut savoir d'abord qu'il est imp?ratif que le moribond soit encore vivant
pour l'administartion de ce sacrement: l'officiant doit s'en assurer et se faire confirmer par lui qu'il comprend que l'on va lui administrer l'Extr?me-Onction.
C'est pour lui permettre ce souffle de vie et obtenir de lui cet aquiescement que ses sabots furent plac?s sous son ?paule.

Ensuite la c?r?monie peut commencer:
l'onction des 5 sens est d'abord faite par le pr?tre:

1 / les 2 yeux (ou les paupi?res),
2 / les 2 oreilles sur l'oricule inf?rieure
3 / les 2 narines
4 / la bouche avec une seule onction sur les l?vres ferm?es,
5 / les 2 mains: l? c'est important !
Si c'est un la?que: sur la paume, et si c'est un pr?tre sur l'ext?rieur des mains. Relisez le rapport des gendarmes: la position des mains du cadavre de G?lis correspond parfaitement ? cette obligation sacerdotale.

Ensuite l'officiant doit pratiquer l'onction sur:

6 / les pieds et plus sp?cialement au dessous ou sur leur plante. On comprend pourquoi G?lis a ?t? d?chauss?.

7 / les reins, mais uniquement chez les hommes, et encore ? deux endroits bien pr?cis: de chaque c?t? dans le grand os sur lequel s'emboite le f?mur ! Cette onction est assez particuli?re et longue puisqu'elle oblige ? positionner le corps sur le c?t? (cela ne vous rappelle rien dans vos explications ?) l'officiant doit donc maintenir le corps sur le c?t? le plus accessible en le maintenant par une de ses mains au niveau du poignet ou du bras (tiens ! cela ne vous rappelle rien non plus ?) de son autre main, il doit commencer (th?oriquement) par le c?t? droit ? faire le signe de la croix de son pouce et il doit prolonger ce signe sans discontinuer de l'autre c?t? du dos du moribond de mani?re ? ce que cette croix ne soit achev?e qu'avec la seconde onction.

Bien entendu durant tout ce rituel parfaitement codifi?,
le pr?tre doit r?citer et r?p?ter ? chaque onction cette formule que nous devons au Concile de Trente:

"Per istam sanctam unctionem et suam piisimam misericordiam indulgeat tibi Dominus quidquid per .... (au choix: visum, auditum, odoratum, gustum et locutionem, gressum, lumborum delectationem"

Tout ceci n'est en fait qu'une partie du sacrement de l'Extr?me-Onction tel qu'il devait ?tre absolument pratiqu? en cette fin du 19?me si?cle sous peine d'?tre frapp? de nullit?. Je voulais juste vous en montrer la complexit?.

Il y a autre chose d'extr?mement important lors d'une telle c?r?monie,
et pr?cis?ment dans le cas de G?lis, c'est ce d?tail qui nous prouve ABSOLUMENT qu'un pr?tre ?tait sur les lieux. Mais vous me permettrez, je l'esp?re, de conserver cet atout-ma?tre pour plus tard.

Maintenant parlons de l'officiant si vous le voulez bien,
et de quelque chose de gravissime: le dogme th?ologique et les texte canoniques imposent ? un pr?tre s'il est pr?sent lors de l'agonie d'un moribond ET QUELQUES SOIENT LES CIRCONSTANCES de tout faire pour arriver ? lui administrer l'Extr?me-Onction: EN FAIT, LE SALUT ETERNEL DE L'OFFICIANT LUI-MEME EN DEPEND ! A ce titre m?me un pr?tre excommuni? peut dans des circonstances dramatiques donner ce dernier sacrement: il sera valide.
Les textes sont tr?s clairs ? ce sujet (De Ext.-Unct. 18): ils consid?rent m?me qu'un pasteur qui attend trop pour donner l'Extr?me-Onction p?che tr?s gravement !

On peut donc dire que si B?renger Sauni?re ?tait sur place,
et m?me ?tant spectateur ou complice du meurtre, il avait l'obligation formelle, sous peine de se mettre en ?tat de p?ch? mortel, d'extr?me-onctier G?lis. Or nous savons avec certitude par son parcours qu'il a toujours ?t? ? ce niveau un bon pr?tre: m?me suspendu ? divinis, il continuait ? dire la messe dans sa chapelle priv?e contre la villa B?thanie ... Nous pouvons donc ?tre assur? qu'il a bien extr?me-onci? G?lis ...

Ou du moins qu'il a tent? !!!
Car l? un immense probl?me se pose, et je crois, ? la lueur de votre expos?, que je viens de comprendre ce qu'il s'est vraiment pass? et les cons?quences officieuses automatiquement induites ...

Car pour que l'Extr?me-Onction soit valide, il faut absolument que le moribond reste en vie !!!! En cas de d?c?s pendant l'administration du sacrement, l'officiant doit IMMEDIATEMENT s'arr?ter, et le sacrement est automatiquement frapp? de nullit?.
Et j'ai bien peur, ? vous lire, que ce soit exactement ce qui se soit pass? pour G?lis ! Et l?, les textes canoniques sont extr?mement clairs: l'officiant (qui a engag? son salut ?ternel dans cette affaire) doit se retourner au plus vite vers l'Ordinaire du lieu (l'Ev?ch?) pour que ce dernier proc?de ? la validation du sacrement interrompu par la mort du moribond.

J'avoue n'avoir jamais r?fl?chi ? cet aspect du probl?me, pourtant je sens bien, sans pouvoir h?las tout r?v?ler, que cela explique tr?s clairement certaines "petites choses" dont nous avons connaissance sans pouvoir jusqu'? aujourd'hui les expliquer...

Employons donc le conditionnel.
Si G?lis est mort (ce qui est probablement le cas) avant la fin de l'administration des derniers sacrements, B?renger Sauni?re est oblig? (pour son propre salut) d'en pr?venir l'Ev?ch? au plus t?t. Il doit normalement voir au minimum un Chanoine (habilit? ? pouvoir confesser un pr?tre) ou un Vicaire G?n?ral qui pourra au su de ce qui s'est pass? lancer la "proc?dure" canonique de validation de cet Extr?me-Onction interrompue (souvenons-nous du cas de la propre Extr?me-Onction de B. Sauni?re par l'abb? Rivi?re quelques ann?es plus tard). Un rapide survol des textes m'a permis de constater que ce n'?tait pas chose commune, surtout qu'il y a eu mort, et qui plus est assassinat, d'un pr?tre !

On peut donc logiquement penser que devant la gravit? des faits, Mgr Billard lui-m?me fut de suite mis au courant.
Cela impliquerait donc qu'il connaissait les v?ritables meurtriers d?s le tout d?but de l'enqu?te. Il a donc pu froidement intervenir et tenter de fl?chir l'enqu?te afin de l'orienter hors de port?e des fr?res Sauni?re, pour ne pas que l'on remonte jusqu'? un certain d?p?t sous N-D de Marceille, et donc jusqu'? lui.
Ceci explique le choix curieux du gr?ffier, qui n'est autre qu'un huissier bien proche de Mgr, par un juge d'instruction, Raymond Jean, lui aussi tr?s proche de l'?v?que, qui dans l'urgence du d?but de l'enqu?te fera tout pour saborder les premi?res constatations (irr?prochables) des gendarmes et de l'OPJ de Couiza arriv? sur les lieux bien avant lui, allant jusqu'a transformer intentionnellement la seule vraie piste de ce meurtre: un nom EPICO ou VICO Ang?lina crayonn? sur un papier ? cigarettes en VIVA ANGELINA afin d'envoyer toutes les gendarmeries de France sur une fausse piste.

Mais tout ceci bien entendu n'est ? consid?rer que comme le mauvais sc?nario d'un bien vilain roman noir.
Quoique ....

Merci ? vous babast pour votre brillant expos?,
et bien cordialement ? tous,
Franck Daffos.
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babast



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MessagePosté le: Mar Déc 05, 2006 3:27 am    Sujet du message: Autopsie G?lis Répondre en citant

Bonsoir Franck.

A mon tour de vous remercier pour vos explicatioons sur l'extr?me-onction...J'en avais lu qu'une toute petite partie trouv?e sur le net, et maintenant,j'en sais plus...mer?i.

Je dois bien avouer que cette histoire de sabots me d?rangais...mais je pense que NOS DEUX EXPOSES se rejoignent, et se compl?tent ? merveille...D'apr?s ce que vous expliqu? sur l'extr?me-onction, cela devait prendre quelques minutes, je ne sais pas combien exactement, et comme je l'explique, les lividit?s apparaissent ? l'arr?t des fonctions vitales, ? la mort du sujet...Je pense donc que l'abb? a rendu son dernier souffle peu avant que la personne pr?sente ne lui prenne l'avant bras pour extr?me-onctier les reins...

Comme dit plus haut, je ne suis pas m?decin l?giste, mais j'ai cherch? pendant pas mal de temps, lu des dizaines d'articles, visit? des dizaines de sites, lu des dizaines de rapports d'autopsie, des dizaines de conclusions, pour en arriver ? ces conclusons la...mais je suis persuad? que m?me si je me suis un peu fourvoy?, ca ne doit pas ?tre de beaucoup...vraiment pas...lol.

M?me si l'id?e de la pr?sence de Berenger sur les lieux me rebute encore un peu, je pense qu'aux vues des derni?res explications, celle-ci me parait moins improbable maintenant...

Je vais continuer ? plancher sur ce rapport d'autopsie, (non,non, je n'ai pas l'esprit maccabre...lol), et essay? d'en tirer un maximum de conclusions v?rifiables, et fiables bien entendu..

Bien ? vous tous, et bien ? vous Franck.
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P.SILVAIN



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MessagePosté le: Mar Déc 05, 2006 1:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est passionnant
Et vous apportez la preuve que la recherche fait des pas de geants en collaborant...
Amiti?s ? tous deux
PS
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philemon



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MessagePosté le: Mar Déc 05, 2006 5:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

Je m?associe aux remarques de P.Sylvain : Passionnant et l?abus du rouge nuit ? la sant? oculaire?
Je signale (peut-?tre) une premi?re mondiale : l?utilisation du ??lol??, cher aux internautes, dans un rapport d?autopsie.
S?rieusement, le but de mon post, ce n?est qu?une question, je n?ai absolument pas d?id?e sur le sujet :
Pourquoi, si on veut faire croire ? un crime de rodeur, ne pas prendre l?argent ?
Si jusqu?? pr?sent ceux qui reliaient le crime ? l?affaire RLC y voyaient comme ??un message??, laisser l?argent pouvait faire partie de l?avertissement?
Mais dans le cas d?un accident? m?me si l?on peut admettre que B?renger ait d?abord pens? ? l??me de G?lis, il serait ?tonant que ni lui, ni Alfred n?ait pens? ? se prot?ger de l?enqu?te qui suivrait in?vitablement, en renvoyant le crime vers un ?ventuel rodeur, et prendre l?argent le plus visible (selon certains, il y en avait partout) me semble la chose la plus naturelle (!).
Voil?, c?est une question qui ne remets pas en cause le sc?nario propos? plus haut, mais qui demande une pr?cision.
En tout cas, merci ? vous deux de votre d?bat transparent.

Duquesnois.
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babast



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MessagePosté le: Mar Déc 05, 2006 6:43 pm    Sujet du message: Extr?me-onction Répondre en citant

Bonjour ? tous.

Mer?i P.Sylvain et Phil?mon pour vos remarques,c'est tr?s sympa...

Dites moi Franck,pour cette pratique de l'extr?me-onction, pour la faire dans les r?gles de l'art,il aurait fallu qu'un des cur?s ait sur lui de l'huile b?nite,concacr?e...je crois ne pas me tromper en disant cela,nest-ce pas?
Vous allez me dire,un abb? a toujours chez lui de cette huile,mais bon...au cas ou non,comment "B?renger" aurait-il fait pour pratiquer cette acte comme il se doit??? Mais bon,comme d?j? l'abb? est mort avant la fin de l'acte.................

PS : Hier apr?s avoir lus les explications sur l'extr?me-onction,de suite il m'est venue en t?te un extrait de film que j'ai vu il y ? longtemps,et o? l'on voyait justement l'onction sur les yeux,les oreilles la bouche,je ne me souviens plus pour les narines et les reins,mais je revois l'onction sur les pieds...mais ils ?taient nus!!! Ne me demandez pas de citer le film,je ne m'en rappele plus,c'?tait il y a une paire d'ann?es,mais j'ai bien souvenir de la sc?ne,et l'homme avait les pieds nus...Je ne sais pas si c'est obligatoire de les avoir nus,mais cela me parait sens?...

Bien ? vous tous.
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Mer Déc 06, 2006 11:24 pm    Sujet du message: Re: Extr?me-onction Répondre en citant

babast a écrit:

Dites moi Franck,pour cette pratique de l'extr?me-onction, pour la faire dans les r?gles de l'art,il aurait fallu qu'un des cur?s ait sur lui de l'huile b?nite,concacr?e...je crois ne pas me tromper en disant cela,nest-ce pas?
Vous allez me dire,un abb? a toujours chez lui de cette huile,mais bon...au cas ou non,comment "B?renger" aurait-il fait pour pratiquer cette acte comme il se doit??? Mais bon,comme d?j? l'abb? est mort avant la fin de l'acte.................

Bonsoir babast,

sinc?rement, vous m'en bouchez un coin puisque vous m'obligez col?re17 ? me d?voiler
beaucoup plus que ce que je ne le voulais sur ce forum ! Car je voulais conserver tout ce qui va suivre, r?sultat d'une r?cente d?couverte dont seul Pierre Jarnac ?tait au courant, pour notre prochain livre.

Effectivement, l'huile consacr?e est la clef de vo?te de ma d?monstration quant ? la pr?sence d'un pr?tre lors du meurtre de l'abb? G?lis.

Mais pour comprendre o? je veux en venir, jettons un petit coup d'oeil sur les textes r?gissant la pastorale canonique de cette fin du 19?me si?cle. Jusqu'? pr?sent, et pour les besoins de ma cause, je ne m'?tais tenu ? r?v?ler ? tous que ce qui avait trait ? la "forme" sous laquelle tout offiiciant ?tait absolument tenu de se conformer. Mais tout trait? sur l'Extr?me-Onction comporte aussi un chapitre tout aussi important qui lui traite de la "mati?re"...

Citations (*) choisies et explications:

"On d?finit l'Extr?me-Onction comme un Sacrement qui, par le minist?re du pr?tre, l'onction de l'huile b?nite et la pri?re prescrite, donne au malade la sant? de l'?me et quelque fois celle du corps."
Donc sans huile b?nite, pas d'Extr?me-Onction possible !


"LA MATIERE: c'est l'huile d'olive, b?nie par l'ev?que. une autre esp?ce d'huile ne serait pas une mati?re valide. Il est necessaire aussi ? la validit? que l'huile soit b?nie par l'Ev?que ou un pr?tre d?l?gu? ? cette fin par le Pape.
Plusieurs d?cisions du St Office ont d?clar? qu'il n'est pas permis, m?me dans la necessit? extr?me, d'administrer ce sacrement avec de l'huile b?nite par un pr?tre sans d?l?gation du Saint Si?ge. Bien plus, l'huile doit ?tre b?nite en vue de l'Extr?me-Onction.

On ne peut donc pas utiliser n'importe quelle huile b?nite mais uniquement celle consacr?e par l'Ev?que ? cet effet. Et chose importante, il y a totale impossibilit? pour un pr?tre, m?me en cas de tr?s grande urgence, qu'il puisse b?nir pour ce faire n'importe quelle huile.


On sait en effet que l'Ev?que b?nit plusieurs sortes d'huiles saintes le Jeudi Saint ? savoir:
- "l'huile des infirmes", qui est la mati?re de l'Extr?me-Onction et qui sert aussi pour l'onction ext?rieure des cloches,
- "l'huile des cat?chum?nes ...
- "le Saint Chr?me" qui sert de mati?re ? la confirmation, au bapt?me, ? l'onction int?rieure des cloches, ? la cons?cration des calices, pat?nes,autels, etc...
C'est une obligation grave pour le pr?tre de renouveler les saintes huiles chaque ann?e..."

Ainsi donc nous voil? assur? que chaque pr?tre de campagne conserve pr?cieusement sa ration annuelle d'huile consacr?e...

Je suis persuad? que certains commencent ? comprendre o? je veux en venir.

1 / Nous sommes assur?s que le crime de G?lis n'a pas ?t? pr?m?dit?,
puisque les assassins sont venus sans armes et ont tu? avec des outils (pincettes et hachette) trouv?s sur place.

2 / La fort pertinente ?tude de notre ami babast sur l'autopsie de la victime et mes explications
nous prouvent que G?lis fut extr?me-oncti?. C'est donc obligatoirement qu'au moins un pr?tre ?tait pr?sent !
Pourtant comme le crime n'?tait pas pr?m?dit?, il est impossible que ce pr?tre soit venu avec sa petite fiole perso d'huile consacr?e...
Or l'Extr?me-Onction a bien eu lieu.... C'est donc qu'on a trouv? sur place de l'huile consacr?e, forc?ment puisque G?lis ?tait un pr?tre: il en avait chez lui !!!

3 / G?lis a donc re?u les onctions
des derniers sacrements avec sa propre huile.

Revenons en arri?re dans mes explications si vous le voulez bien:
G?lis est mourant ?tendu au sol. Au moins un de ses assassins est un pr?tre: il sait qu'il a l'obligation de tout faire pour lui administrer le plus rapidement possible l'Extr?me-Onction: son propre salut en d?pend !

Il lui faut donc imp?rativement trouver l'huile consacr?e que G?lis a obligatoirement dans sa cure, c'est la raison pour laquelle le presbyt?re a ?t? enti?rement fouill? et que m?me la serrure d'un sac de voyage dans la chambre a ?t? forc?e.

Tous les pr?tres ont dans leur cure ce genre de sac tout pr?t en cas d'urgence,

et contenant la petite fiole d'huile consacr?e, un crucifix, un cierge et les v?tements sacerdotaux d'urgence (?tole etc...): Ainsi lorsqu'ils sont appel? pour aider un agonisant, ils ne perdent pas de temps, attrapent le sac et hop ! Il faut savoir que les derniers sacrements se font au domicile du mourant , dans un h?pital ou ailleurs, mais jamais ? la cure.

Bien cordialement ? tous,
Franck Daffos
(qui r?le un peu de s'?tre tant d?voil? (**) confus9 ! Non je plaisante, eu ?gard ? l'excellent niveau de ce forum, c'?tait la moindre des choses, et puis je n'ai pas encore tout lach? Wink ...)


___________________________________________________

(*) Toujours les m?mes sources: "Abr?g? de Th?ologie dogmatique et morale" par l'abb? J. Berthier M.S. La Salette par Corps, 1892.

(**) J'esp?re que je ne vais pas me faire encore spolier de cette petite d?couverte, comme lorsque j'avais, sur un autre forum, expliqu? comment B?renger Sauni?re n'avait pu que se servir d'Annuaires Eccl?siastiques pour d?marcher des intentions de messes dans toute la France ? la fin des ann?es 1890 col?re21 ...
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babast



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MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 4:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Franck.

D?sol? que vouus ayez du vous "d?voil?" ainsi...Je savais que ma question serait pertinente,mais comme vous dites,vous n'avez pas encore abbatus tout vos atouts,et c'est tant mieux...C'est simplement que je me suis souvenu de ce passage d'un film ou un pr?tre extr?me-oncti? un mourant,et qu'il avait dans une main,une fiole d'huile,et qu'il impr?gnait le pouce de son autre main,pour ainsi appliquer l'huile sur le moribond...c'est tout b?te. confus2

Je continue de plancher............

Bien ? vous touus.
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ddd



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MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 9:19 am    Sujet du message: Re: Extr?me-onction Répondre en citant

vous dites que le meurtre n'?tait pas pr?m?dit? car l'assassin est venu sans arme ; peux ?tre...
mais il est ?galement possible que ce soit quelqu'un qui venait r?guli?rement voir Gelis et connaissant la pr?sence d'une hachette chez lui donc n'avait pas besoin de venir avec une arme
non ?
en tout cas bravo ? tous les deux pour toutes ces recherches
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 10:56 am    Sujet du message: Re: Extr?me-onction Répondre en citant

ddd a écrit:
vous dites que le meurtre n'?tait pas pr?m?dit? car l'assassin est venu sans arme ; peux ?tre...
mais il est ?galement possible que ce soit quelqu'un qui venait r?guli?rement voir Gelis et connaissant la pr?sence d'une hachette chez lui donc n'avait pas besoin de venir avec une arme
non ?
en tout cas bravo ? tous les deux pour toutes ces recherches

Bonjour,

votre remarque serait fond?e si vous aviez d?j? eu entre les mains une de ces petites hachettes ? ?brancher
que l'on trouvait effectivement ? l'?poque dans beaucoup de chemin?es. Pour bien connaitre ce type d'outil (je vis ? la campagne donc grandes chemin?es), je puis vous assurer que ce n'est vraiment pas l'arme id?ale pour assassiner quelqu'un: il n'y a qu'? voir le nombre de fois qu'il a fallu sauvagement frapper la victime pour arriver ? le faire succomber. Et encore savons-nous par l'autopsie que la mort fut loin d'?tre instantan?e (et loin s'en faut certainement !)

D'autre part, n'oubliez pas que cette m?me autopsie
prouve que G?lis a d'abord sauvagement ?t? frapp? par derri?re ? l'aide des pincettes alors qu'il ?tait assis. Et les coups port?s avec cet instrument ne pouvaient EN AUCUN CAS ?tre mortels: si donc l'assassin avait vraiment pr?m?dit? le meurtre avec ce qu'il savait se trouver chez sa victime, il aurait pris d'entr?e au moins la hachette.

Tout ceci prouve sans aucune contestation possible que le meurtre n'?tait pas pr?m?dit?
et r?sulte d'une fa?on instantan?e d'un "p?tage de plomb". L'assassin, en proie a une pulsion meurtri?re, n'a absolument pas r?fl?chi et a frapp? aveugl?ment avec la premi?re chose qui lui est tomb?e sous la main. S'il n'avait pas perdu la t?te et avait un tant soit peu r?fl?chi, il aurait pu sans probl?me mettre la main par exemple sur ne serait-ce que sur un couteau de table de la victime et ses coups auraient ?t? de suite mortels !

En fait il y a eu b?tise et sauvagerie dans l'ex?cution de ce meurtre !
Et pourtant les enqu?teurs ne sont pas sans signaler l'extr?me sang-froid dont a fait preuve l'assassin: il a ensuite soigneusement ?vit? les flaques de sang, remis un peu d'ordre etc... Tout cela ne peut s'expliquer que par la pr?sence de DEUX personnes au moment du meurtre: un qui "p?te les plombs" et qui tue sauvagement et l'autre qui garde son sang-froid, est capable d'analyser la situation et d?cide de suite (pour son salut eternel) d'extr?me-onctier la victime. Il lui a fallu cependant r?ussir ? calmer instantan?ment le forc?n? qui a tu?: il fallait pour ce faire qu'il ait sur lui un ascendant naturel tout ? fait concevable dans le cadre d'une fratrie...

Vous allez certainement m'objecter que rien ne prouve qu'il y ait eu 2 personnes au moment du meurtre,
mais c'est pourtant assez facile ? prouver lorsqu'on ?tudie bien le dossier, et puis regardez ? quelle vitesse les enqu?teurs se sont pr?cipit?s ? la recherche de 2 "routards", comme on dirait de nos jours, qui ont ?t? signal?s dans le secteur: on peut donc l?gitimement penser qu'ils avaient certains ?l?ments qui leur faisaient penser ? la pr?sence de deux meurtriers non ?

Cordialement,
Franck Daffos.


Dernière édition par Franck DAFFOS le Jeu Déc 07, 2006 11:56 am; édité 1 fois
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ddd



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Messages: 21

MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 11:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

merci pour votre r?ponse Mr Daffos
en effet je ne connais pas ces petites hachettes vous avez donc surement raison sur ce point
par contre ce qui me turlupine c'est que s'il y a deux personnes et que G?lis a mis tr?s longtemps ? mourrir car les outils n'?taient ?videment pas adapt?s pour tuer ; la seconde personne qui elle n'a pas "pet? les plombs" aurait tr?s bien pu arr?ter ce massacre surtout s'il s'agissait d'un pr?tre non ?
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Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 11:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

philemon a écrit:
Bonjour,

Je m?associe aux remarques de P.Sylvain : Passionnant et l?abus du rouge nuit ? la sant? oculaire?
Je signale (peut-?tre) une premi?re mondiale : l?utilisation du ??lol??, cher aux internautes, dans un rapport d?autopsie.
S?rieusement, le but de mon post, ce n?est qu?une question, je n?ai absolument pas d?id?e sur le sujet :
Pourquoi, si on veut faire croire ? un crime de rodeur, ne pas prendre l?argent ?
Si jusqu?? pr?sent ceux qui reliaient le crime ? l?affaire RLC y voyaient comme ??un message??, laisser l?argent pouvait faire partie de l?avertissement?
Mais dans le cas d?un accident? m?me si l?on peut admettre que B?renger ait d?abord pens? ? l??me de G?lis, il serait ?tonant que ni lui, ni Alfred n?ait pens? ? se prot?ger de l?enqu?te qui suivrait in?vitablement, en renvoyant le crime vers un ?ventuel rodeur, et prendre l?argent le plus visible (selon certains, il y en avait partout) me semble la chose la plus naturelle (!).
Voil?, c?est une question qui ne remets pas en cause le sc?nario propos? plus haut, mais qui demande une pr?cision.
En tout cas, merci ? vous deux de votre d?bat transparent.

Duquesnois.

bonjour "philemon" Duquesnois,

et bienvenue sur ce forum. Avant toute chose, je me dois de signaler que Philippe Duquesnois est l'auteur d'un livre bien en dehors des sentiers battus et qui lance des passerelles entre RLC et la d?couverte de l'Am?rique par les Templiers...
"L'Ambition Barbare"
320 pages - 18 euros
paru en novembre 2005 aux Editions Nemo, que vous pouvez commander sur www.islandmargarita.com.

Pour en revenir au meurtre de G?lis,
si vraiment c'?taient les fr?res Sauni?re, ils ont compris je pense, et du moins B?renger, que leur salut ne pouvait venir que de l'Ev?ch?. Du fait, on l'a vu, du d?c?s de G?lis durant l'administration de l'Extr?me-Onction, le sacrement ?tait automatiquement frapp? de nullit?. Les textes canoniques lui imposaient d'en r?f?rer ? l'Ordinaire du lieu: c'?tait pour lui de plus la meilleure solution: sous le sceau de la confession, il ?tait inattaquable et surtout INDENONCIABLE. Il savait pouvoir compter sur la "solidarit? forc?e" de Mgr qui bien ?videmment serait de suite mis au courant... Peut-?tre m?me s'est-il directement confess? ? lui ?

Le meurte ?tait donc une chose
et pouvait peut-?tre aux oreilles "averties" de Mgr Billard (et au su de son r?le pour le moins interlope dans cette affaire) trouver quelque justification eu ?gard ? l'ex?crable r?putation de la victime, mais que ce meurtre soit suivi d'un vol, l? je pense que cela aurait ?t? de la part des fr?res Sauni?re une grossi?re erreur qu'ils ont bien pris garde de ne pas commettre...

C'est ? mon sens la raison pour laquelle ils ont bien pris garde ? ne rien emporter: le crime pouvait peut-?tre s'expliquer pour B?renger, surtout s'il faisait porter le chapeau ? son fr?re Alfred d?froqu? depuis 3 ans, mais le vol en plus aurait ?t? tr?s certainement inqualifiable pour Mgr...

Il est ? remarquer que bien des ann?es plus tard,
B?renger Sauni?re tirera les enseignements de cet extraordinaire "b?n?fice" li? au secret de la confession, c'est ? dire pouvoir r?v?ler un lourd secret en ?tant assur? de sa totale impunit?. C'est la raison pour laquelle, lors de ses d?m?l?es avec le tribunal de l'Officialit? de Mgr de Beaus?jour, il r?pudiera tr?s rapidement son avocat civil Me Mils de Limoux pour lui substituer le chanoine Huguet d'Agen.
Etant chanoine en effet, ce dernier ?tait habilit? ? recevoir la confession d'un pr?tre: on peut penser que si B. Sauni?re avait quelque chose d'horrible ? cacher (le meurte de G?lis), il pouvait s'en confesser ? son avocat (ce qu'il n'a du manquer de faire), lui faisant ainsi des r?v?lations dont ce dernier ne pouvait ABSOLUMENT PAS se pr?valoir officiellement, mais qui expliquent parfaitement ensuite sa ligne de d?fense: gagner toujours plus de temps et privil?gier les attaques sur la forme plut?t que sur le fonds puisqu'il savait que son client ?tait une planche pourrie...

Ceci explique d'ailleurs la fa?on dont s'est comport? (ou plut?t veng?) Huguet vis ? vis de son client qu'il a litt?ralement plum? comme un pigeon au cours de ces tr?s longues ann?es de proc?dures. Ce n'est d'ailleurs que la mort de BS qui mit fin ? cette coupe r?gl?e.

Tr?s cordialement,
Franck Daffos.


Dernière édition par Franck DAFFOS le Jeu Déc 07, 2006 12:37 pm; édité 1 fois
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Franck DAFFOS



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Messages: 1079

MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 12:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ddd a écrit:
merci pour votre r?ponse Mr Daffos
en effet je ne connais pas ces petites hachettes vous avez donc surement raison sur ce point
par contre ce qui me turlupine c'est que s'il y a deux personnes et que G?lis a mis tr?s longtemps ? mourrir car les outils n'?taient ?videment pas adapt?s pour tuer ; la seconde personne qui elle n'a pas "pet? les plombs" aurait tr?s bien pu arr?ter ce massacre surtout s'il s'agissait d'un pr?tre non ?

Le rapport d'autopsie nous apprend
que l'attaque fut bestiale, d'une sauvagerie extr?me et surtout particuli?rement rapide.

Imaginez ce que vous feriez si vous deviez assister ? une telle sc?ne:
c'est d'abord l'incompr?hension puis l'horreur: le temps de r?unir vos esprits c'est d?j? trop tard pour secourir la victime !

M?me si elle ne d?c?de pas de suite,
et si vous ?tes pr?tre vous ?tes h?las habitu? ? c?toyer la mort, vous avez tr?s bien compris que ses instants sont compt?s: seul compte ? pr?sent pour sauver v?tre ?me de l'extr?me-onctier au plus vite et pour cela de trouver l'huile consacr?e de la victime dans les plus brefs d?lais...
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P.SILVAIN



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MessagePosté le: Jeu Déc 07, 2006 1:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tout cela me semble d'une logique inattaquable
Amiti?s
PS
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