Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum


    Ou l'histoire d'un grand secret ... 

 

 

Avertissement : Ce forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs. Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires, provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer la discorde.  Les membres qui ne respecteront pas ces règles minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur récidive, leurs messages seront supprimés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Messages du Web master

 

   J'ai conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut dorénavant faire avec...

 

   L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.

      J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...

 

       Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...  

Jean-Pierre Garcia               

 

        "Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret"   est de nouveau disponible

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   Ce livre de 424 pages couleurs est composé de nombreuses illustrations, photos et synoptiques qui accompagnent l'aventure... L'ouvrage comblera les initiés mais aussi ceux qui souhaitent découvrir l'affaire simplement en découvrant les plus belles surprises de ces dernières années. Pour commander, rien de plus simple. Remplissez le bon et envoyez-le à l'adresse indiquée. Paiement possible par Paypal ou par chèque français...   L'ouvrage est également disponible à la boutique  Aux Portes de Rennes

  Patrick Pourtal, Webmaster du site  "Rennes-Le-Château - Le dossier" me proposa en juillet 2008 de répondre à ses questions suite à la sortie du livre "Le Secret dans l'Art". C'est avec un grand plaisir que je me suis mis à ma plume. Vous trouverez mes réponses ici : http://www.rennes-le-chateau.org/rlctoday/int-jpg.asp

Je remercie également André Douzet pour avoir publier une page critique sur "Le Secret dans l'Art"
Vous pouvez la découvrir ici :
http://www.societe-perillos.com/som_garcia.html

 

Site partenaire

   Les Editions ARQA éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art, aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …

 
Nouveautés à lire ...          

Pour voir le clip d'annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=qItG4rZc8KQ

 

 

Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :

BON DE SOUSCRIPTION

 

Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.

TEMPLIERS - Recherches d’authenticité

par George H. Kiess

 

    1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.  Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir ses conquêtes. Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres. Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.

   Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie. Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère. Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort… Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades. Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?

 

               10 ans déjà... 

           C’est avec un immense plaisir que je souhaite longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien… car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
      Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…

 

La suite est ici...  10 ans déjà et plus d'1 million de visiteurs

Jean-Pierre Garcia       

 

        Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...

   du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....

 

Les interviews de Franck Daffos sont ici :

http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904

 



Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA



Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA



Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA

Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
 

Par George H. Kiess
Editions ARQA

Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA

Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA

 
 

Un peu de rêve...

    Par ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ?

 
La Sainte Baume... Un reliquaire bien gênant...
 
   Nous ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...

   Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.

   Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... 


Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013

Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles...

 

Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès...

 
Dernières parutions sur le site...
 

 
Un fait divers tragique ?
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babast



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MessagePosté le: Jeu Nov 23, 2006 7:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour ? tous,bonjour Franck.

C'est a peu pr?s mes conclusions,je parle de ce qui a du se passer ce soir l?...

Quand vous dites que le corps a ?t? amen? dans la position du gisant,pensez vous qu'il y ait eu "d?placement du corps?".
Au fait,Alfred ?tait-il gaucher ou droitier,car de mon c?t?,j'en ai conclu que la personne qui ?tait derri?re l'abb? devait ?tre gauch?re,car les premi?res blesures sur la t?te,avec les pincettes,sont du c?t? gauche du cr?ne,en haut,ce qui signifie bien que la personne derri?re ?tait gauch?re,sinon les coups auraient ?t? port?s ? droite,logique...? moins que l'abb? n'ai tourn? la t?te vers le dessus de son ?paule gauche pour voir ce que faisait la personne derri?re lui...c'est probable ?galement,mes alors les coups se seraient trouv?s plus au niveau de la tempe...

C'est vrai qu'a force de lire et relire sur les sites qui parlent de cette affaire on s'y perd un peu...c'est pour cela qu'il est tr?s instructif d'avoir ce magazine,P?gase,a port?e de main...
Les tueurs ce soir l?,on quand m?me fait preuve de beaucoup de sang froid,et d'une pr?sence d'esprit incroyable...comme dirait le juge Raymond Jean.
Je continus de chercher,car il y a certaines choses,m?mes anodines,qui me turlupine...lol.

Bien ? vous tous,et ? bientot.
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Ven Nov 24, 2006 12:16 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir babast,

j'avoue totalement ignorer si Alfred Sauni?re ?tait gaucher ou droitier,
par contre ce que je sais avec certitude c'est que le crime n'?tait pas pr?m?dit? puisque celui (ou ceux) qui l'ont perp?tr? n'avaient pas amen? d'armes puisqu'ils l'ont commis avec les "armes" trouv?es sur place et plus particuli?rement dans la chemin?e: des pincettes et une hachette.

Le motif du meurtre ne pouvait ?tre le vol
? la seule raison qu'on ?tait tard dans la soir?e et que G?lis ?tait donc sur place. Un cambrioleur se serait assur? qu'il n'y avait personne.

De plus, il n'y a eu aucune effraction, c'est donc que G?lis a ouvert ? son ou ? ses visiteurs.
Comme il ?tait d'un naturel extr?mement m?fiant, s'il leur a ouvert ? la nuit tomb?e, c'est qu'il les connaissait. Le ou les assassins ne peuvent donc ?tre que des proches... Et les proches amis d'un pr?tre de campagne sont la plupart du temps ses coll?gues.
Curieusement, le juge Raymond Jean prendra bien garde ? n'interroger aucun des autres pr?tres de la r?gion, pas m?me ceux qui ?taient de son doyenn?, c'est ? dire de la circonscription religieuse ?quivalant ? peu pr?s au canton. On sait pourtant que tous les pr?tres d'un m?me doy?nn? ont pour obligation de se retrouver une ou deux fois par mois pour ainsi briser l'isolement qu'induit leur sacerdoce dans des villages recul?s.
Cette attention du juge Jean ? ne jamais interroger un pr?tre du voisinage est tout simplement incroyable dans le cadre d'une enqu?te criminelle: on n'a jamais vu un enqu?teur d?daigner ? ce point le milieu professionnel de la victime.

Autre fait troublant:
? aucun moment le juge Jean ne fera une quelconque demande de renseignement concernant l'abb? G?lis aupr?s de l'ev?ch? de Carcassonne. Curieux enqu?teur donc qui va jusqu'? ignorer le t?moignage de l'employeur de la victime !

On pourrait aussi parler des carnets de comptes de la victime. Le juge Jean en a eu communication (c'est facile de le prouver) mais intentionnellement il ne les incorpore pas dans les pi?ces ? conviction de l'enqu?te. Ils sont pourtant relativement ?difiants quant aux pratiques financi?res de son auteur...

Tout semble avoir ?t? fait par le juge
pour lisser le personnage de G?lis et le rendre insignifiant, transparent, pour le d?humaniser en quelque sorte: ainsi plus besoin d'interroger une certaine partie de son entourage... L'?pisode de la hachette retrouv?e mais sans dire o? puis reincorpor?e dans l'?nqu?te tr?s tard rentre tout ? fait dans ce sc?nario voulu de rupture avec une certaine partie de son entourage: avouer la direction par rapport ? la sortie du village o? elle avait ?t? retrouv?e aurait eu pour cons?quence de segmenter obligatoirement le champ d'investigation de l'enqu?te, et cela, tout porte ? croire que le juge Jean ne voulait absolument pas le faire !

Tout ceci et bien d'autres petites choses,
comme de remplacer le nom Epico Ang?lina par l'inexplicable (et pour cause !) "Viva Ang?lina" pour ne pas que les gendarmes se mettent ? rechercher une Mlle Ang?lina Epico dans les relations de quelqu'un qui voyagerait souvent hors du Raz?s, puisqu'on savait que le papier ? cigarettes "le Tsar" sur le quel fut retrouv?e l'inscription n'?tait pas en vente dans la r?gion...

Tr?s peu de gens voyageaient ? l'?poque, surtout dans les proches relations de G?lis, vraiment tr?s peu oui, sauf ... les fr?res Sauni?re !!!

Quand on ?tudie bien toutes les pi?ces du dossier,
on est pris d'une sorte de malaise pas vraiment explicable puisque on a parfois l'impression que le juge Jean a accumul? toutes les maladresses ou les oublis qui vont faire que cette enqu?te n'aboutira jamais.

Mais ?taient-ce bien des maladresses ou des oublis ???
Ce qui est s?r, c'est que si il avait voulu distraire les gendarmes de la piste des v?ritables assassins il ne s'y serait pas pris autrement !
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babast



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MessagePosté le: Ven Nov 24, 2006 4:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

Effectivement tout cela est bizarre...

Dans mon mail,je vous parlais d'une phrase qui pourrait ?tre bien innocente,mais qiu sait...

T?moignage de Thalhan Alphonse,?l?ve ecclesiastique demeurant ? Coustaussa :
Aujourd'hui 1er 9bre et vers 9hr30 du matin,j'aper?ois du jardin lorsque passant devant la maison de M le cut?,mon p?re m'a fait remarquer qu'il devait ?tre malade puisque la porte ?tait encore ferm?e et qu'on ne l'avait pas vu partir pour Cassaignes o? il devait dire la messe.Le croyant simplement indispos?,comme cela lui arriva il y a trois ans ? pareil jour...,j'ai dis ? mon p?re de ne pas s'inquieter,et que s'il ?tait malade,nous le saurions...

C'est vrai qu'il serait pr?somptueux d'extrapoler sur cette phrase,mais en tout cas,moi,ca m'a fait TILT tout de suite...Serait-ce une co?ncidence???Etait-ce LE jour ?tablie pour une r?union quelconque,une date anniverssaire,l'heure du bilan???Vu les circonstances de cette affaire,je ne crois pas que tout cela soit si innocent que cela parait...Bizarre bizarre... confus5 confus5 confus5

Je pensais que le papier ? cigarette ?tait un leurre,tout compte fait,que les enqu?teurs l'avait mis dans le dossier pour brouiller les pistes??? confus8 Les f?res Sauni?res fumaient-ils??? B?ranger,je crois,non? Et,comme je le pense,si B?ranger fumait,et sachant que l'abb? G?lis ne supporter pas la fum?e,je ne le vois pas allumer une cigarette tout en sachant que cela incommodera son ami...

J'ai bien lu le Epico Angelina,transform? en Viva Angelina,mais j'avoue en perdre mon latin,qui n'est pas brillant dailleurs...lol.

Si vraiment,ce paquet de feuilles ? cigarettes existe,et qu'il a ?t? plac? l? volontairement,c'est plus pour laisser un message a ceux qui le comprendront...un peu comme une menace...mais c'est mon avis...[/i]

Voila Franck,pour l'instant,mais ca on le sait depuis le d?but,tout cela est bien trouble...Je continue de me pencher sur l'autopsie confus6 voir siquelque chose qui me fera TILT ?galement...nous verrons bien.

Bien ? vous tous.
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babast



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MessagePosté le: Ven Nov 24, 2006 8:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Juste une remarque a propos de epico en espagnol,cela veut dire epique...?a n'a peut ?tre aucun sens,mais bon,c'est toujours utile de le savoir...

Bien ? vous tous.
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Ven Nov 24, 2006 11:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

babast a écrit:
T?moignage de Thalhan Alphonse,?l?ve ecclesiastique demeurant ? Coustaussa :
Aujourd'hui 1er 9bre et vers 9hr30 du matin,j'aper?ois du jardin lorsque passant devant la maison de M le cut?,mon p?re m'a fait remarquer qu'il devait ?tre malade puisque la porte ?tait encore ferm?e et qu'on ne l'avait pas vu partir pour Cassaignes o? il devait dire la messe.Le croyant simplement indispos?,comme cela lui arriva il y a trois ans ? pareil jour...,j'ai dis ? mon p?re de ne pas s'inquieter,et que s'il ?tait malade,nous le saurions...

Bonsoir Babast,

Il y a deux ans, le 17 janvier 2005,
nous nous ?tions, avec Pierre Jarnac, longuement entretenu avec Jacques Rivi?re (*) qui suivait la piste de ce s?minariste ? l'Ev?ch? de Carcassonne et dont il pensait qu'il avait pu ?tre m?l? ? quelque chose... Malheureusement, nous n'avons jamais pu reprendre cette discussion et je ne sais donc o? elle avait pu le mener.

babast a écrit:
Je pensais que le papier ? cigarette ?tait un leurre,tout compte fait,que les enqu?teurs l'avait mis dans le dossier pour brouiller les pistes??? confus8 Les f?res Sauni?res fumaient-ils??? B?ranger,je crois,non? Et,comme je le pense,si B?ranger fumait,et sachant que l'abb? G?lis ne supporter pas la fum?e,je ne le vois pas allumer une cigarette tout en sachant que cela incommodera son ami...

Pas du tout ! Les gendarmes arriv?s en premier sur place ont bien retrouv? un etui ? papiers ? cigarettes,
avec sur un des feuillets trempant dans le sang de G?lis la mention "Epico Ang?lina". Rien n'interdit de penser que l'ancien propri?taire du papier ? cigarettes ait pu se servir un jour d'un feuillet comme aide m?moire et y ?crire quelque chose. Peut-?tre Mlle Ang?lina Epico a-t-elle vraiment exist?e et aurait pu mener les enqu?teurs jusqu'? l'assassin ?
Alfred Sauni?re, apr?s s'?tre d?froqu? en 1894, cumulait pas mal de vices: les femmes, l'alcool ? outrance (il en devenait violent) et le tabac. Certains t?moignages indiscutables que j'ai recueilli de la part d'enfants ou de petits enfants de ceux qui l'ont connu font ?tat d'une d?t?rioration catastrophique de sa sant? mentale ? la fin de sa vie.

babast a écrit:
J'ai bien lu le Epico Angelina,transform? en Viva Angelina,mais j'avoue en perdre mon latin,qui n'est pas brillant dailleurs...lol.

C'est le juge Raymond Jean qui a transform? l'inscription
"Epico Ang?lina" en "Viva Ang?lina"...Dans la perspective ou Ang?lina Epico ait vraiment exist?e, ce trait de g?nie allait lui permettre de lancer toutes les gendarmeries de France non sur elle mais sur une fausse piste ? la recherche d'une Ang?lina soit disant pensionnaire d'une maison close...

babast a écrit:
Si vraiment,ce paquet de feuilles ? cigarettes existe,et qu'il a ?t? plac? l? volontairement,c'est plus pour laisser un message a ceux qui le comprendront...un peu comme une menace...mais c'est mon avis...

Son existence ne fait aucun doute,
mais je pense plut?t qu'il a ?t? tomb? par le ou les assassins lors de l'empoignade avec G?lis. C'est tellement anonyme un paquet de feuilles de cigarettes qu'on ne pense pas ? le r?cup?rer ...
Sans se souvenir que quelque temps auparavant, voulant noter un nom, on avait pris ce qu'on avait sous la main: un de ses feuillets....

En tout cas, c'?tait une piste ? suivre,
et certainement bien meilleure que celle d'une tr?s hypoth?tique pensionnaire de maison close col?re17 !
Alors pourquoi le juge Jean n'en a-t-il pas voulu ?

____________________________________

(*) Jacques Rivi?re est le co-auteur, avec G. Tapa et C. Boumendil du "Fabuleux tr?sor de RLC ! Le secret de l'abb? G?lis, la piste corse" Editions B?lisane. 1996.
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babast



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MessagePosté le: Dim Nov 26, 2006 8:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour ? tous,bonjour Franck.

Pour ce qui est du corps dans la position du gisant,j'ai trouv? d'autres explications,qui sont,bien sur,vraies,r?elles,mais qui n'engage que moi bien s?r...

Lorsque l'on "prend soin" du corps,comme pour l'abb?,cela peut ?tre un signe de tendresse,d'amour,ou une demande de pardon envers sa victime...et cela peut ?tre aussi consiid?r? comme un signe de regret.(de la part du tueur bien s?r).

Sinon,le fait de toucher au corps peut signifier que le tueur n'en est pas ? son premier crime,cela peut ?tre signe d'experiences pr?c?dentes...
Comme je l'ai dis dans un autre post,vos conclusions recoupent les miennes,m?me si il y a quelques divergences,car chacun ? droit ? son propre point de vue...lol.

Bien ? vous Franck. anniversaire1
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Lun Nov 27, 2006 2:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour M. babast,

vous savez, j'ai ?t? ?lev? par des pr?tres depuis ma plus tendre enfance,
et ma famille compte quelques pr?tres: ? ce sujet si vous faites quelques rapides recherches, vous ne serez pas sans trouver un abb? Daffos qui fut cur? de Villarzel-Cabard?s dans l'Aude au d?but des ann?es 1900. Ce petit village est proche de Caunes-Minervois et donc de N-D du Cros. Cet abb? Daffos connut Sauni?re (il est mentionn? dans ses carnets de comptabilit?) et Boudet. N'en d?plaise donc ? mes fid?les d?tracteurs qui eux sont des tous petits nouveaux dans cette ?nigme, une partie de ma famille connut les principaux protagonistes de cette affaire d?s la fin du 19?me si?cle...

Je tiens de tous ces pr?tres d'abord une "tournure d'esprit" tout ? fait ?ccl?siastique
puisqu'ils ont tent? (du moins ceux qui m'ont ?duqu?) de m'inculper (comme disait Coluche) les principes de la religion, et ensuite une biblioth?que sur les pratiques ?ccl?siastiques en cette fin du 19?me si?cle qu'aurait mieux fait de consulter tous ceux qui ont ?crit sur le meutre de G?lis sans ?tre capable, faute de connaissances, de le replacer dans les us et pratiques religieuses de cette ?poque...

Pour r?sumer, et fort de ces notions
de droit canon, de liturgie, de pastorale, de philosophie chr?tienne et de th?ologie,

- J'AFFIRME pouvoir prouver SANS AUCUNE CONTESTATION POSSIBLE
qu'au moins un pr?tre ?tait sur les lieux au moment du crime de l'abb? G?lis,

- J'AFFIRME savoir pourquoi et ? la recherche de quoi
son presbyt?re fut fouill? m?thodiquement quoique dans l'urgence d?s son agression commise et alors qu'il ?tait encore vivant,

- En vertu de quoi J'AFFIRME que le juge Jean savait PARFAITEMENT ? quoi s'en tenir
au sujet, si ce n'est de l'identit? pr?cise mais au moins de la fonction de pr?tre du ou des assassins, et qu'il avait pour mission de ne pas les retrouver, c'est la raison pour laquelle il a bien pris garde de n'interroger AUCUN PR?TRE DU DOYENNE dont d?pendait G?lis qui, au vu des ?l?ments dont il disposait en d?but de l'enqu?te, AURAIENT DE SUITE COMPRIS ce qui c'?tait pass? dans le presbyt?re de Coustaussa cette nuit-l?. On comprend donc, que pour pouvoir diligenter une enqu?te qu'il avait en fait POUR MISSION DE SABOTER, il ait eu absolument besoin de s'adjoindre les services complaisants comme gr?ffier d'un huissier tr?s proche de l'Ev?que de Carcassonne...

Peut-?tre ne le savez-vous pas, M. babast,
mais je devais faire l'?t? dernier une conf?rence ? RLC justement sur le meurtre de G?lis. Suite au diff?rent avant l'?t? avec mon ?diteur qui est un des organisateurs des ces conf?rences, j'ai refus? de la faire.
Dommage quand m?me car j'aurais ce soir-l? expliqu? le r?sultat de mon enqu?te ? ce sujet en 3 points.

1/ J'aurais prouv? qu'au moins un pr?tre ?tait cette nuit l? sur place,

2/ J'aurais ensuite sem? le doute, gr?ce ? un brouillon de lettre inconnu de tous de B?renger Sauni?re, sur la culpabilit? de son fr?re Alfred dans cet assassinat,

3/ J'aurais enfin enfon?? le clou d'abord gr?ce ? une r?v?lation in?dite concernant Alfred Sauni?re qui ne laisse plus planer beaucoup de doutes quant ? sa culpabilit?, et ensuite gr?ce ? certaines r?v?lations concernant certaines relations ? l'?poque du juge d'instruction Raymond Jean ...

Mais voyez-vous M. babast, je vais ?tre oblig? de garder ces r?v?lations
pour mon livre ? venir puisque mon ami Pierre Jarnac, qui se trouve ?tre le co-auteur et le futur ?diteur de ce livre, me reproche souvent ( bien gentiment je vous rassure) d'?tre trop bavard sur les forums et de me faire piller quelques petites d?couvertes...

Il en est ainsi de mes trouvailles concernant la mise en place du trafic (av?r?) des messes par B?renger Sauni?re
? partir de la fin des ann?es 1890. J'avais tout simplement d?couvert et expliqu? sur un forum il y a de cela plus d'un an, en me rem?morant mon long v?cu d'enfant puis d'adolescent au sein d'une Congr?gation religieuse, qu'il n'avait pu que se baser sur des Anuaires Eccl?siastiques (r?pertoriant donc toutes les adresses de sites religieux) pour d?marcher par courrier des intentions de messes sur toute la France. C'?tait la raison pour laquelle ses envois ob?issaient au d?but strictement ? l'odre alphab?tique des d?partements... Or je sais depuis plusieurs semaines par une indiscr?tion qu'un "chercheur" dont le livre se fait attendre s'est appropri? cette d?couverte (qu'il a en fait repiqu?e sur ce forum) et s'appr?te ? la publier dans son livre...

J'en avais d?j? bien assez avec tel autre qui, sous faux pseudo f?minin
sur le site de moins en moins de r?f?rence de mon ancien ?diteur, et au pr?texte d'une amiti? trahie (sic !) alors que nous ne nous sommes jamais rencontr?s, passe son temps ? tenter de me calomnier en me traitant de mystagogue et de faussaire de l'Histoire alors que la seule fois o? il (elle) a voulu publier un texte sur une de ses soit-disant d?couvertes sur le fameux tableau de N-D de Marceille, 70% de ses r?f?rences et de sa documentation venaient en fait tout droit de mes ?tudes et de mon livre Laughing Laughing Laughing !

Vous comprendrez donc que je veuille ?tre ? pr?sent moins prolixe dans certaines de mes explications...

Tr?s cordialement,
Franck Daffos.
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babast



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MessagePosté le: Mar Nov 28, 2006 4:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Franck.

Je comprends tr?s bien votre d?marche quant au fait de taire un peu vos sources concernant cette affaire...je patienterai le temps que votre livre soit publi?...pas de pb de ce c?t? l?...lol.

Vous dites :

En vertu de quoi J'AFFIRME que le juge Jean savait PARFAITEMENT ? quoi s'en tenir
au sujet, si ce n'est de l'identit? pr?cise mais au moins de la fonction de pr?tre du ou des assassins, et qu'il avait pour mission de ne pas les retrouver, c'est la raison pour laquelle il a bien pris garde de n'interroger AUCUN PR?TRE DU DOYENNE dont d?pendait G?lis qui, au vu des ?l?ments dont il disposait en d?but de l'enqu?te, AURAIENT DE SUITE COMPRIS ce qui c'?tait pass? dans le presbyt?re de Coustaussa cette nuit-l?. On comprend donc, que pour pouvoir diligenter une enqu?te qu'il avait en fait POUR MISSION DE SABOTER, il ait eu absolument besoin de s'adjoindre les services complaisants comme gr?ffier d'un huissier tr?s proche de l'Ev?que de Carcassonne...
...et par qui exactement pensez vous qu'il f?t diligent? pour saboter cette enqu?te...cet ev?que de Carcassonne justement??? Ou quelqu'un de plus haut plac????

Bien ? vous.
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Mar Nov 28, 2006 11:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

babast a écrit:
...et par qui exactement pensez vous qu'il f?t diligent? pour saboter cette enqu?te...cet ev?que de Carcassonne justement??? Ou quelqu'un de plus haut plac? ???

Bonjour babast,

je sens que je vais faire hurler en r?pondant ? votre question...
Pour comprendre qui ne voulait absolument pas que l'enqu?te remonte jusqu'? lui si les assassins ?taient retrouv?s, il suffit de savoir qui les employait ? cette ?poque et qui par sa fonction (tr?s importante) avait les moyens de faire pression sur un juge d'instruction ....

Alfred Sauni?re ?tait d?froqu? depuis 1894 et donc sans aucune ressources financi?res,
pourtant des t?moignages (incontestables) que j'ai receuillis de descendants de personnes de la r?gion qui l'ont connu affirment qu'? une certaine ?poque il ?tait plus riche que son fr?re B?renger.
C'?tait un personnage excessif, alcoolique au dernier degr?, en proie souvent ? des crises de violence: j'ai d'ailleurs ? son sujet des anecdotes plus qu'incroyables (notament la veille de sa mort !) et pourtant incontestables, mais que je ne publierai jamais.

Mais Alfred ?tait libre comme le vent et pouvait donc circuler ? sa guise:
je pense qu'il a fait beaucoup de voyages pour Mgr Billard qui avait besoin de commissionnaire pour transporter les pi?cs antiques pr?l?v?es dans la crypte de N-D de Marceille jusqu'? leurs acheteurs. Certaines r?flexions r?centes me font penser qu'il en fit m?me beaucoup plus que son fr?re B?renger qui lui-m?me en fit beaucoup moins que ce que je croyais ? l'?poque o? j'ai ?crit "Le secret d?rob?"... C'est d'ailleurs ce qui expliquerait entre autres le fameux portrait photographique d'Alfred fait ? Paris (c'est donc qu'il y est bien all?) et que G?rard de S?de a publi? dans "L'or de Rennes" en 1967 en croyant que c'?tait celui de B?renger et en le pr?sentant comme une preuve de son voyage ? St-Sulpice ? Paris.
Je pense ? pr?sent que B?renger, qui ?tait r?mun?r? de fa?on occulte par Billard gr?ce ? des intentions de messes venant uniquement du dioc?se et qui vont lui donner l'id?e ensuite, lorsque son employeur sera alit? ? Prouille et que la cache de NDdM aura ?t? vid?e, d'en instituer un v?ritable trafic sur toute la France en se servant des adresses trouv?es sur des Annuaires Eccl?siastiques , a en fait utilis? son fr?re Alfred comme sous-traitant...

B?renger aurait donc fait beaucoup moins de voyages que ce que je pensais.
Le malheur c'est qu'au d?but (1893) il avait ?t? oblig? de mettre G?lis dans la confidence pour qu'il le remplace s'il y avait une urgence dans sa paroisse lors d'une de ses absences.
Et je pense (supputaion de ma part) que depuis G?lis le faisait chanter: c'est ce qui explique les fortes sommes (mais dont un certain ?l?ment me font penser qu'elles furent beaucoup plus importantes !): 1000 ou 1200 Frs qu'il recevait annuellement de fa?on occulte et dont il est fait ?tat dans l'enqu?te.

Alfred Sauni?re tirait tous ses revenus de cette "activit?",
et avec ses maitresses et son train de vie, il avait toujours besoin de plus d'argent. On peut donc penser que la nuit du meutre ? Coustaussa ne fut de sa part en fait qu'un raid d'intimidation qui a mal tourn?. G?lis devenait peut-?tre trop gourmand et mena?ait de tout r?v?ler, Alfred ne pouvait se permettre de perdre une telle source de revenus. Peut-?tre durant la discussion avec B?renger devant le feu, G?lis a-t-il eu des mots ou des menaces qui ont fait p?ter un plomb ? Alfred ?
On connait malheureusement la suite...

Il ne fallait donc absolument pas que l'enqu?te remonte aux fr?res Sauni?re,
elle serait ipso facto remont?e jusqu'? Monseigneur... On ne se doute absolument pas de nos jours de l'importance et de le puissance que pouvait d?tenir un ?v?que dans un d?partement ? cette ?poque: il avait certainement plus de pouvoirs qu'un pr?fet de nos jours. La meilleure preuve que le haut Clerg? empi?tait bien souvent sur les pr?rogatives de l'Etat c'est qu'on en a ?t? r?duit aux fameuses lois Combes de s?paration de l'Eglise et de l'Etat en 1905...

Mgr Billard avait donc certainement quelques moyens de "raisonner" le juge Jean
et de lui faire orienter l'enqu?te dans le bon sens, ne serait-ce peut-?tre qu'au titre de l'amiti? puisque qu'il semble av?r? que les deux hommes se connaissaient bien... En tout cas, ce qui est s?r, c'est que malgr? l'?chec de cette enqu?te, le juge Raymond Jean gravit ensuite certains paliers et fit une fort belle carri?re dans l'Aude et plus particuli?rement dans le Limouxin.

Il est bien entendu que tout cela n'est que pure d?duction de ma part:
autant j'ai la preuve qu'un pr?tre se trouvait bien sur place lors de l'assassinat de G?lis autant je n'en ai aucune quant ? l'implication de Mgr Billard dans le sabotage de l'enqu?te du juge Jean... Mais tout cela parait tellement ?vident quand on prend la peine de se remettre dans le contexte de l'?poque et que l'on y r?fl?chit... Prenez tout cela comme une appr?ciation personnelle qui n'engage bien entendu que moi.

Bien ? vous,
Franck.
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babast



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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2006 4:32 am    Sujet du message: Meurtre G?lis Répondre en citant

Bonjour Franck.

Je vous cite :

Alfred Sauni?re tirait tous ses revenus de cette "activit?",
et avec ses maitresses et son train de vie, il avait toujours besoin de plus d'argent. On peut donc penser que la nuit du meutre ? Coustaussa ne fut de sa part en fait qu'un raid d'intimidation qui a mal tourn?. G?lis devenait peut-?tre trop gourmand et mena?ait de tout r?v?ler, Alfred ne pouvait se permettre de perdre une telle source de revenus. Peut-?tre durant la discussion avec B?renger devant le feu, G?lis a-t-il eu des mots ou des menaces qui ont fait p?ter un plomb ? Alfred ?
On connait malheureusement la suite...


C'est aussi ce que je pense,mais je r?fute,pour l'instant,l'id?e de la pr?sense des fr?res Sauni?res ce soir l?..

Vous supputez daonc laissez moi le faire ? mon tour...lol.
Et si ces personnes ont ?t? envoy?es par l'ev?ch?,le cl?rg?,le diocaise,je ne sais...on peut supposer qu'elles sont tr?s croyante ,tr?s pratiquante,tr?s au fait des us et coutumes de l'Eglise...mais travaillant dans l'ombre...on peut alors supposer qu'une de ces personnes ai pratiqu? l'extr?me onction??? OU un ?quivalant??? Non?
Vous allez me dire,seul un pr?tre peut le faire,ok,mais d?j? un pr?tre ne tue pas...lol...

Ca fait un peu roman policier,ok,mais je supputes,comme pr?cis? plus haut...

Moi l'id?e de deux personnes travaillant pour "l'?glise",venant secouer le pr?tre,mais o?,?a d?g?n?re,je ne trouve pas ?a totalement d?nu? de sens...

Voila ce qui est dit ? propos de l'extr?me onction :

C'est le nom donn? autrefois au sacrement des malades.
Il est propos? aux personnes qui, en raison de la maladie ou de l'?ge, sentent leurs forces diminuer. La c?l?bration de ce sacrement consiste en une onction d'huile sur le front et en l'imposition des mains.
Par ce sacrement, le chr?tien re?oit la force du Christ et l'assurance que celui-ci l'accompagne dans ses souffrances

et plus pr?cis?ment :

Qu?est-ce que le sacrement d?Extr?me-onction ?

L?Extr?me-onction est le sacrement institu? pour le soulagement spirituel et m?me corporel des malades en danger de mort.

Quels effets produit le sacrement d?Extr?me-onction ?

Le sacrement d?Extr?me-onction produit les effets suivants :

1 il augmente la gr?ce sanctifiante ;

2 il efface les p?ch?s v?niels et m?me les p?ch?s mortels que le malade repentant ne pourrait plus confesser ;

3 il enl?ve cette faiblesse et cette langueur pour le bien qui restent m?me apr?s avoir obtenu le pardon des p?ch?s ;

4 il donne la force de supporter le mal avec patience, de r?sister aux tentations et de mourir saintement ;

5 il aide ? recouvrer la sant? du corps, si c?est utile au salut de l??me.

A quel moment doit-on recevoir l?Extr?me-onction ?

On doit recevoir l?Extr?me-onction quand la maladie est dangereuse et que le malade a re?u, si c?est possible, les sacrements de P?nitence et d?Eucharistie ; m?me il est bon de la recevoir quand on est encore en pleine connaissance et qu?on garde quelque espoir de vie.

Pourquoi est-il bon de recevoir l?Extr?me-onction quand on est en pleine connaissance et avec quelque espoir de vie ?

Il est bon de recevoir l?Extr?me-onction quand on est encore en pleine connaissance et avec quelque espoir de vie, parce que, en la recevant avec de meilleures dispositions on peut en retirer plus de fruits, et encore parce que si, pour le bien de l??me, ce sacrement rend la sant? du corps, c?est en secondant les forces de la nature et qu?il ne faut donc pas attendre que tout espoir soit perdu.

Avec quelles dispositions doit-on recevoir l?Extr?me-onction ?

Les principales dispositions pour recevoir l?Extr?me-onction sont :

?tre en ?tat de gr?ce,

avoir confiance dans l?efficacit? du sacrement et ? la mis?ricorde divine,

et se r?signer ? la volont? de Dieu.

Quels sentiments doit ?prouver le malade ? la vue du pr?tre ?
A la vue du pr?tre, le malade doit ?prouver des sentiments de reconnaissance envers Dieu pour le lui avoir envoy? ; il doit le recevoir volontiers et demander de lui-m?me, s?il le peut, les secours de la religion.

Bien sur j'ai trouv? cela sur le net,n'?tant pas sp?cialiste de la question...lol...

Ne croyez pas que j'essaie de "d?molir' vos id?es,loin de l?...mais j'ai toujours un doute quant ? B?eanger Sauni?res...?a me fait tout dr?le de penser qu'il aurait pu ?tre l?,et qu'il n'ai pas empech? son fr?re de commetre un acte si horrible...surtout le sachant d?jant? au plus au point...

Bien amicalement.
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F.POUS



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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2006 10:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
2/ J'aurais ensuite sem? le doute, gr?ce ? un brouillon de lettre inconnu de tous de B?renger Sauni?re, sur la culpabilit? de son fr?re Alfred dans cet assassinat


Faites attention que les descendants de la famille Sauni?re, si il y en a encore, ne vous ?coutent pas!
Ils pourraient vous attaquer de vous entendre dire cela! Mr. Green
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2006 8:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

F.POUS a écrit:
Citation:
2/ J'aurais ensuite sem? le doute, gr?ce ? un brouillon de lettre inconnu de tous de B?renger Sauni?re, sur la culpabilit? de son fr?re Alfred dans cet assassinat


Faites attention que les descendants de la famille Sauni?re, si il y en a encore, ne vous ?coutent pas!
Ils pourraient vous attaquer de vous entendre dire cela! Mr. Green

Bonsoir M. Pous,

il y a effectivement des descendants de la famille Sauni?re.
Ils n'ont pas daign? se manifester lors du changement de s?pulture de l'abb?, alors qu'il avait toujours souhait? reposer parmi ses ouailles dans le petit cimeti?re paroissial de RLC, allant m?me jusqu'? acqu?rir ? cet effet une concession ? perp?tuit? en 1900 si mes souvenirs sont bons...

Le brouillon de lettre dont j'ai parl? existe, alors ? De plus je pense ?tre tr?s charitable en ne publiant pas tout ce que j'ai appris sur Alfred, sinon ...


Dernière édition par Franck DAFFOS le Mer Nov 29, 2006 9:22 pm; édité 1 fois
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2006 9:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

babast a écrit:
Voila ce qui est dit ? propos de l'extr?me onction :
...Bien s?r j'ai trouv? cela sur le net,

Bonsoir babast,

votre d?marche est extr?mement louable et rel?ve d'un v?ritable travail de chercheur.
Malheureusement vous ne trouverez pas sur le Net les d?tails qui d?montrent qu'un pr?tre ?tait obligatoirement sur place la nuit de l'assassinat de G?lis...

Il vous faut aller en biblioth?que
et y exhumer les bouquins de th?ologie, de droit canon et de surtout de pastorale (entendez par l?, tout ce qui concernait les moyens ? utiliser par les pasteurs spirituels pour leur minist?re) de la fin du 19?me si?cle. Vous vous y apercevrez bien vite que le sacrement de l'Extr?me-Onction dont vous avez trouv? la relation sur Internet n'est qu'une p?le plaisanterie eu ?gard du rituel parfaitement codifi? que l'Eglise imposait alors...

Lorsque vous aurez trouv? les textes r?gissant
de fa?on extr?mement rigoureuse ce sacrement ? l'?poque de G?lis, Sauni?re et Boudet, je vous conseille tr?s fortement de vous pr?occuper des petites diff?rences que l'officiant devait imp?rativement pratiquer lorsqu'il avait ? extr?me-onctier un pr?tre !!!

Je ne doute pas alors que vous compreniez pourquoi le corps de G?lis fut retrouv? dans une si particuli?re position ...

Un des meilleurs textes de r?f?rence ? ce sujet
est "le Trait? de l'Extr?me-Onction" de l'abb? J. Berthier M.S. ?dit? en 1892 ? La Salette, Is?re (l? o? eut lieu la fameuse apparition mariale).
Je viens avec stup?faction d'ailleurs de m'apercevoir que mon exemplaire, que j'ai r?cup?r? il ya de longues ann?es, appartenait ? l'abb? Boyer qui fut cur? d'Axat...

Tr?s cordialement,
Franck Daffos.
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babast



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MessagePosté le: Jeu Nov 30, 2006 7:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour franck

Je chercherai ? en savoir plus sur ce que vous me dites...je chercherai dans une biblioth?que ou ailleurs sue le net...

Quant ? cette lettre,cela signifie que Branger aurait vendue (d?nonc?), son propre fr?re??? Ou cette lettre est t-elle anonyme??? Parceque cela aurait pu ?tre tr?s dangereux pour lui,Alfred l'aurai d?nonc? ? son tour...non?
Bien ? vous.
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Franck DAFFOS



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MessagePosté le: Jeu Nov 30, 2006 8:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir babast,

en ce qui concerne l'extr?me-onction,
ne vous inquietez pas m?me si vous ne trouvez pas de trait? de pastorale ou de th?ologie contemporain du meurtre de G?lis: je vous am?nerai bient?t la solution ...

Remarquez qu'? propos de biblioth?que, celle de n'importe quel Institut Catholique ferait l'affaire ! (Je sens que certains vont aller v?rifier ...)

Ce dont je parlais ensuite est un BROUILLON d'une lettre de B?renger
(avec deux "e" svp) Sauni?re o? l'on peut trouver certaines allusions ? des choses terribles et donc inavouables qu'auraient fait son fr?re. Et comme tout le monde savait qu'il s'?tait d?froqu? au milieu des ann?es 1890 et qu'il avait eu maitresse et enfant, je me demande candidement ce qu'il peut bien y avoir de pire pour un pr?tre ...
Remarquez, au su du destinataire pr?vu (mais a-t-elle ?t? envoy?e ?) du BROUILLON de cette lettre, on comprend sans peine qu'il ne lui apprenait pas grand chose ...

Donc B?renger n'a jamais d?nonc? son propre fr?re qui d'ailleurs ?tait mort depuis quelques ann?es d?j? lorsqu'il r?digea ce BROUILLON.
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