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Ou l'histoire d'un grand secret ...
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Avertissement : Ce
forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs.
Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires,
provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer
la discorde. Les membres qui ne respecteront pas ces règles
minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur
récidive, leurs messages seront supprimés. |
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J'ai
conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à
une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années
d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui
découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt
quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de
s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut
dorénavant faire avec...
L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.
J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...
Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...
Jean-Pierre Garcia
"Le Secret
dans l'Art ou l'Art du Secret" est de nouveau
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Ce livre de 424 pages couleurs
est composé de nombreuses illustrations,
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choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art,
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exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la
Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …
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Nouveautés à lire ...
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Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :
BON DE SOUSCRIPTION
Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.
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TEMPLIERS - Recherches d’authenticité
par George H. Kiess
1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile
et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils
deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.
Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera
ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir
ses conquêtes.
Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques
tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres.
Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs
croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.
Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes
du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie.
Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à
Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus
à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère.
Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de
Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu
des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort…
Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades.
Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?
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10 ans déjà...
C’est avec un immense plaisir que je souhaite
longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du
site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement
provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter
une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se
poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de
protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que
reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien…
car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le
long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une
signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les
tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans
l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui
n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges
longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi
l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce
qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos
chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…
La
suite est ici... 10 ans déjà et plus d'1 million de
visiteurs
Jean-Pierre Garcia |
Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...
du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère
échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres
publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à
dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit
attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de
colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a
priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans
queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses
ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les
rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une
affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère
est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour
qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe
siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....
Les interviews de Franck Daffos sont ici :
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904 |
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Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA |
Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA |
Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA |
Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
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Par George H. Kiess
Editions ARQA |
Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
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Un peu de rêve...
Par
ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui
la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de
feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très
bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ? |
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La Sainte Baume...
Un reliquaire bien gênant...
| Nous
ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet
certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a
été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par
les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...
Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils
tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume
ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par
Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le
Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.
Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette
gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... |
Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013 |
Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles... |
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Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de
l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès... |
Dernières parutions sur le site...
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| Auteur |
Message |
eridup
Inscrit le: 04 Mar 2007
Messages: 4
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 Posté le: Mer Mar 07, 2007 9:13 pm Sujet du message: bergers d'arcadie - graal - carr? sator |
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Bonsoir, je suis nouveau sur les forums et je souhaite partager mes recherches sur des ?l?ments connexes ? l?affaire de Rennes-le-Ch?teau, en particulier sur Poussin. Elles n?abordent ni l?existence du tr?sor ni la descendance du Christ.
1. Le carr? sator serait le graal de Chr?tien de Troyes dans son "Conte du graal". Les premiers mots du Conte sont : "Qui s?me peut r?colte peu [..] Chr?tien s?me, et sa semence, c'est un roman qu'il commence et qu'il s?me en un si bon lieu etc.". Or "sator" veut dire en latin semeur. D'autre part en anglais graal se dit grail. Le mot grail en fran?ais signifie grille ou gril et l'ancien mot pour dire griller ?tait "graailler".
Le graal selon le Conte contient l'hostie servi au vieux roi malade du ch?teau du graal. Un anagramme de sator est "artos" qui en grec veut dire pain. En latin d'?glise arton d?signe le pain sans levain servant ? fabriquer les hosties. Un autre anagramme est "troas" : en latin donne "de Troie" nom de notre auteur.
Le carr? sator est pour Chr?tien le graal ou signature de son oeuvre qui lui permet de passer ? la post?rit? et donc ? une forme d'immortalit?, but de tout artiste.
2. Le tableau de Poussin "les bergers d'Arcadie" comprend 3 bergers et une berg?re ainsi que probablement un autre personnage dans le tombeau soit cinq personnes. Or les 5 mots du carr? sator (SATOR AREPO TENET OPERA ROTAS) ont servi en Cappadoce du IX?me au XI?me si?cle ? d?signer les bergers de l'adoration du Christ enfant pendant la Nativit?.
Si l'on prend les lettres communes du carr? et de l'?pitaphe du tombeau ET IN ARCADIA EGO ("arcadia" peut se lire aussi "arca dia" tombeau divin ou arche divine) on obtient l'anagramme "AA AETERNO" : AA ?ternellement.
AA en alchimie symbolise l'amalgame des contraires pr?liminaires ? la Pierre philosophale. Mais aussi Aa sont les Assembl?es des Amis, congr?gations secr?tes de J?suites. Or la carri?re de Poussin ? ?t? lanc? en 1623 par sa victoire ? un concours lanc? par les J?suites pour la r?alisation de tableaux de la vie d'Ignace de Loyola. De m?me, la premi?re mention de ET IN ARCADIA... appara?t dans un tableau du Guerchin, dont le protecteur ?tait le pape Gr?goire XV grand admirateur des J?suites et qui fit canoniser Ignace de Loyola en 1622.
3. ARCA a plusieurs sens. En latin, entre autre "arche" (de No?, d'alliance) et "tombeau". C?est aussi une ville antique de Cappadoce que l?on retrouve ici.
Dans certains textes du Zohar, le d?luge est la m?taphore de la corruption universelle et de la d?r?liction int?rieure. Le fid?le peut y ?chapper en se r?fugiant dans l'arche identifi?e avec le Zohar lui-m?me qui procure ? une communaut? d'?lus une connaissance salvifique au milieu du chaos (R. Goetschel, "la kabbale", puf). Proust dans "Les Plaisirs et les jours" ?crit :
" Je fus souvent malade, et pendant de longs jours je dus rester dans l'"arche". Je compris alors que No? ne put si bien voir le monde que de l'arche, malgr? qu'elle f?t close et qu'il fit nuit sur la terre". Le tombeau des Bergers d'Arcadie serait l'arche d'o? le cinqui?me personnage hypoth?tique voit le monde par nos propres yeux. Encore une fois, tant qu'il y aura des spectateurs pour ses ?uvres, l'artiste se survivra ? lui-m?me dans une forme d?immortalit?.
Qu'en pensez-vous ?  |
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P.SILVAIN
Inscrit le: 27 Oct 2006
Messages: 268
Localisation: Aiguille creuse
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| Posté le: Mer Mar 07, 2007 10:04 pm Sujet du message: |
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Bonjour,
Je trouve vos recherches tr?s interessantes, mais tr?s denses, donc difficiles ? comprendre . Je les relirai et ?tudierai avec plaisir
Merci |
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Alain Doumont
Inscrit le: 23 Oct 2006
Messages: 174
Localisation: Chaudfontaine - Belgique
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| Posté le: Jeu Mar 08, 2007 8:31 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous,
Bonjour Monsieur eridup
Petites r?flexions suite ? votre post : 
Chr?tien de Troyes, po?te champenois, raconte lui-m?me dans son prologue qu?i fut mand? ? la cour du comte de Flandre, Philippe d?Alsace qui lui en remis en personne l?argument, sous la forme d?un manuscrit, probablement originaire de l?abbaye de Glastonbury, intitul? ? le conte du Graal ?. Chr?tien de Troyes fut appel? vraisemblablement par Thierry d?Alsace, qui avait rapport? en 1160 la moiti? du Saint-Sang ? Bruges, mais arriva apr?s la mort de celui-ci (+1168). Il ?crivit son ?uvre ? Gand et ? Bruges entre 1169 et sa mort survenue quelques ann?es plus tard. Son roman est rest? inachev? vers le 9.000?me vers.
Les romans de chr?tien de Troyes font partie d?une tentative occidentale de codification de la tradition Celtique. Chr?tien de Troyes a eu un pr?curseur dans ce domaine, Geoffroy de Monmouth, ?v?que Gallois familier de l?abbaye de Glastonbury qui a ?crit l? ? Historia Regum Britanniae ? vers 1135 et dont le livre VII est compos? par les fameuses Proph?ties de Merlin qui ont domin? l?histoire m?di?vale.
Chr?tien de Troyes est charg? de r?v?l? un nouveau Symbole, le Graal (du Gaulois Gradalis = vase) qui n?est autre que le symbole de l??re future, celle du Verseau, celle du Jugement dernier. Mais c?est un symbole double, il y a le Graal et la lance qui saigne, ce sont les gouttes de sang issues de la sainte lance qui tombe dans le graal qui auraient mis fin aux souffrances du roi ? mehaign? ?. Donc le Graal est ins?parable de la sainte lance. Cette codification est par essence intemporelle.
Malheureusement, l?Eglise de la Foi pr?tend rectifier la morale celtique et modifier le sens originel du Graal. Perceval ?tant jug? trop pa?en, elle introduit Galaad (nom h?breu d?une r?gion de Palestine relevant des tribus de Gad, Manass? et Ruben)). Cette ?poque, pour d?sactualiser la qu?te du Graal, la situe dans le Pass?, 450 ans apr?s la Passion du Christ. Le principal promoteur de cette rectification est Robert de Boron, une foule de romans s?y rattachent comme celui de Joseph d?Arimathie.
Il ne faut donc pas m?langer les diff?rentes versions, elles v?hiculent des messages diff?rents. 
Je n?ai pas connaissance du rapport que vous faites avec le roman et le carr? Sator, il faut dire que ce carr? magique est ancien, il appara?t dans les premiers temps du Christianisme, on en a retrouv?s dans les ruines de Pompe? dans une loge de tailleur de pierre. Il a servi ? fabriquer les premiers symboles chr?tiens. Les coptes nommaient les cinq clous de la croix du Christ de chacun des cinq noms du carr? et comme vous le pr?cisez, les byzantins en ont fait les noms des bergers t?moins de la Nativit?, les inscriptions retrouv?es dateraient du IXe si?cle environ. Le Moyen Age a utilis? la carr? Sator comme amulette protectrice ou parfois dans le pavement de certains ?difices religieux comme l??glise de Pieve Tersagni pr?s de Cr?mone. Les carr?s Sator retrouv?s en France datent eux du XIV?me et du XV?me si?cle. Ce sont ceux de Loches, Beaulieu-mez-Loches, Chinon, Jarnac, Tarascon, le Puy-en-Velay. Ils sont parfois incomplets comme celui de Stenay.
La traduction que vous en donnez ? Le semeur? ? est seulement un moyen mn?motechnique de le retenir car il n?y a pas de traduction satisfaisante d?une phrase. Il faut chercher un sens plus profond et plus magique qui a ?t? d?couvert en 1926 par un professeur Allemand, les vingt-cinq lettres du carr? sator peuvent ?tre dispos?es en forme de croix autour d?une lettre centrale, N en formant deux fois le mot PaterNoster A O, il s?agit donc d?un pantacle chr?tien renfermant la Croix, le Pater, la pri?re par excellence du chr?tien et le rappel de celui qui est l?Alpha et l?Om?ga.
Voila monsieur eridup mes premi?res r?flexions suite ? votre post.
Concernant vos recherches je n?ai pas encore d?avis mais toutes nouvelles recherches sont les bienvenues sur ce forum.
Amicalement,
Alain  |
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eridup
Inscrit le: 04 Mar 2007
Messages: 4
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| Posté le: Jeu Mar 08, 2007 11:01 pm Sujet du message: |
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Bonsoir M. Alain
Je trouve vos certitudes hasardeuses. Jamais dans le Conte du Graal de Chr?tien, vraiment jamais le graal n'est identifi? que ce soit ? un vase ou autre chose. Il faut lire le texte en vieux fran?ais et non les traductions. "Le graal est "une tr?s sainte chose". "La nature du graal n'est pas plus explicitement d?finie" (Philppe Walter, "Chr?tien de Troyes' pufp. 111).
D'autre part l'origine chr?tienne du Carr? SATOR, appuy? par F?lix Grosser (de Chemnitz), inventeur du PATERNOSTER AO, est remise en cause par le p?re j?suite G. de Jerphanion ("La voix des monuments", ?ditions d'art et d'histoire, 1938). En effet il n'y a pas d'attestation de la pr?sence de chr?tiens avant 79, date de la destruction de Pomp?i o? a ?t? retrouv? le premier carr? sator connu. De plus leurs inscriptions se faisaient en grec, et non en latin et ? cette ?poque la croix n'?tait pas un symbole accept?. Le p?re j?suite penche plut?t pour une origine juive. La communaut? h?breue ?tait nombreuse ? Pomp?i et leurs inscriptions ?taient en latin. La magie juive utilisait des carr?s magiques de 5 bas? sur le terme Elohim. Les 4 T sur les c?t? du carr? Sator repr?senteraient les marques de protection faites au front mentionn?es dans Ezechiel. Le carr? SATOR ?tait ? l'origine un carr? ROTAS. Ce sont les chr?tiens qui l'ont invers? en empruntant beaucoup ? la magie juive.
Le sens des mots du carr? sator peut ?tre lu comme une phrase d'inspiration litt?raire. En effet Sator veut dire aussi "auteur".
OPERA : peine et travail, ROTAS : rouleaux dans le sens volumen, TENET : habite, occupe, AREPO : nom propre (th?se d?fendue par R.G. Colligwood) :
"La peine (que l'on s'est donn?) habite les rouleaux - Arepo, l'auteur".
Or dans l'introduction du Conte on peut lire : "Chr?tien n'aura pas perdu sa peine, puisqu'il emploie toute sa peine ? mettre en vers sur l'ordre du comte..."
Sur l'?tymologie du mot graal notons Emmanu?me Baumgartner (www.ac-amiens.fr/pedagogie/lettres/lycee/conte_graal.htm) : "le Graal, non commun plut?t rare ? cette date, prosa?que (claie ? ?goutter les fromages, notamment)". Une claie est justement une grille.
Bonsoir |
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P.SILVAIN
Inscrit le: 27 Oct 2006
Messages: 268
Localisation: Aiguille creuse
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| Posté le: Ven Mar 09, 2007 12:23 am Sujet du message: |
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| eridup a écrit: | Bonsoir M. Alain
Sur l'?tymologie du mot graal notons Emmanu?me Baumgartner (www.ac-amiens.fr/pedagogie/lettres/lycee/conte_graal.htm) : "le Graal, non commun plut?t rare ? cette date, prosa?que (claie ? ?goutter les fromages, notamment)". Une claie est justement une grille.
Bonsoir |
Bonsoir ? tous
Cela me fait penser ? l'?trange dispsition des doigts de Marie, sur le bas relief de l'?glise de RLC, en forme de grille...
PS |
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Fran?ois
Inscrit le: 10 Jan 2007
Messages: 56
Localisation: Normandie - Paris
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| Posté le: Ven Mar 09, 2007 11:05 am Sujet du message: |
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| eridup a écrit: | | ...De plus leurs inscriptions se faisaient en grec, et non en latin et ? cette ?poque la croix n'?tait pas un symbole accept?. Le p?re j?suite penche plut?t pour une origine juive. La communaut? h?breue ?tait nombreuse ? Pomp?i et leurs inscriptions ?taient en latin. La magie juive utilisait des carr?s magiques de 5 bas? sur le terme Elohim. Les 4 T sur les c?t? du carr? Sator repr?senteraient les marques de protection faites au front mentionn?es dans Ezechiel. Le carr? SATOR ?tait ? l'origine un carr? ROTAS. Ce sont les chr?tiens qui l'ont invers? en empruntant beaucoup ? la magie juive... |
Bonjour et merci pour toutes ces pr?cisions.
L'avant-dernier num?ro du "monde de la bible" consacre justement tout un article pour d?velopper une th?se voisine.
http://www.mondedelabible.com/article/index.jsp?docId=2284853
De m?moire il s'agit d'un autel d'airain et de serpent.
Pour les coins j'ai vu OT.
Cordialement, |
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Alain Doumont
Inscrit le: 23 Oct 2006
Messages: 174
Localisation: Chaudfontaine - Belgique
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| Posté le: Ven Mar 09, 2007 1:46 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous,
Bonjour Monsieur eridup
Je suis ?tonn? que vous parliez de ? certitudes hasardeuses ? concernant mon post alors que je vous signalais qu?il s?agissait de ? r?flexions ?. En histoire, il n?y a jamais de certitudes, souvent des interpr?tations ou des convictions. Je sais que le Graal n?est pas identifi? ? un vase dans le roman et ne me parlez pas du texte original que j?ai consult?, en effet, une des plus anciennes versions du roman se trouve en Belgique ? Mons.
Mon propos ?tait de vous signaler que si vous ?tudiez l?histoire de l?Eglise, elle n?a jamais form? un tout homog?ne. Elle est le r?sultat d?une lutte continuelle entre deux interpr?tations, il y a d?une part l?Eglise dite de la ? Connaissance ? et d?autre part l?Eglise dite de la ? Foi ?. Pour r?sumer, ces deux factions n?ont pas arr?t? de se combattre au cours de l?Histoire, notamment pour installer leurs Papes. Mais afin de conserver le pouvoir Temporel sur la chr?tient?, l?Eglise s?est bien gard?e de r?v?ler cette lutte, quoique?
Pour le roman de Perceval le Gallois, il a ?t? initi? par la partie Eglise de la Connaissance.
Ce que je voulais vous signaler, c?est qu?il ne fallait pas le comparer, par exemple, avec la version de Robert de Boron qui lui d?fend les arguments de l?Eglise de la Foi.
Venons-en au ? vase ? litigieux. Pour vous expliquer cela je vais vous parler de la d?marche de Franck Daffos pour r?soudre l?Enigme de RLC-RLB, non seulement, il recherche les textes originaux, pas les textes qui ont ?t? ?crit apr?s avec des notes de bas de page se r?f?rent ? des auteurs pr?c?dents mais il se rend sur place, il va visiter tous les endroits concern?s par cette ?nigme. Cette d?marche est ? mon sens la seule qui puisse permettre de se faire une id?e de ce qu?on cherche et si on a eu une bonne intuition, de d?couvrir ce que personne n?avait encore d?couvert.
Dans notre cas, je vous invite ? oublier un instant ce que les philologues disent et ? visiter la ville de Bruges, endroit o? a ?t? r?dig? le Perceval le Gallois. Certains ?difices religieux recelant les ?l?ments dont je vous ai fait part dans mes r?flexions.
Pour le carr? Sator je ne conteste pas une origine grecque, juive ou ?gyptienne (chaque nouvelle civilisation se nourrissant des civilisations pr?c?dentes) mais le fait est l? on en a retrouv? un exemplaire en latin dans les ruines de Pompe?. Le reste est un combat de philologues. Ce qui m?int?resse c?est l?usage qu?on en fait dans la chr?tient?. Quand vous dites qu?il n?y a pas d?attestation de pr?sence de chr?tien avant 79, c?est une supposition gratuite? on n?a pas non plus retrouv? l?acte de naissance du Christ?
Pour l??tymologie du mot Graal avec ? claie ou grille ? j?en serais vraiment ?tonn? car c?est l?attribut de Saint Laurent, ce qui aurait pu porter ? confusion ? l??poque.
Comme je vous l?ai signal?, je n?ai pas encore d?avis sur le r?sultat de vos recherches sur le tableau de Nicolas Poussin que vous pr?sentez, chacun ?tant libre de s?exprimer sur ce forum.
Amicalement,
Alain |
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eridup
Inscrit le: 04 Mar 2007
Messages: 4
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| Posté le: Ven Mar 09, 2007 8:57 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous,
Bonjour M. Alain,
Si je parle de certitudes, c'est que j'ai d? ?tre abus? par la forme affirmative de vos d?clarations :
| Citation: | | Chr?tien de Troyes est charg? de r?v?l? un nouveau Symbole, le Graal (du Gaulois Gradalis = vase) qui n?est autre que le symbole de l??re future, celle du Verseau, celle du Jugement dernier... Il faut chercher un sens plus profond et plus magique qui a ?t? d?couvert en 1926 par un professeur Allemand, les vingt-cinq lettres du carr? sator peuvent ?tre dispos?es en forme de croix autour d?une lettre centrale, N en formant deux fois le mot PaterNoster A O, il s?agit donc d?un pantacle chr?tien renfermant la Croix, le Pater |
Le graal est un mythe litt?raire invent? par un romancier. Si vous retirez la dimension philologique que reste-t-il ?
Vous d?tes que si le graal ?tait une grille, il y aurait eu confusion avec saint Laurent. Justement ! Il y a un carr? SATOR grav? ? la chapelle Saint Laurent ? Rochemaure en Ard?che avec la signature "Giro...Umbert...me fecit". Une l?gende espagnole raconte aussi que le saint aurait envoy? le graal ? Huesca, sa ville natale. Celui-ci serait pass? ? San Juan de la Pena puis finalement ? Valence. Gril et grille associ?s puisqu'en fran?ais m?di?val grail d?signait et l'un et l'autre.
Au sujet de Glastonbury Georges Bertin ?crit ([url]http://www.er.uqam.ca/nobel/religio/no14/bertin.html [/url] :
"La r?f?rence indo-europ?enne renvoie l'origine du graal ? la racine KERT- soit tordre, tresser... Curieusement cette id?e de claie qui figure dans la l?gende de la cath?drale d'osier de l'abbaye de Glastonbury, refuge suppos? du graal, est aussi celle du lien, de l'attache (cratis) et l'on voit bien en quoi le graal est le lien qui unit les chevaliers d'Arthur dans leur Qu?te".
Excusez cette citation...
Bonjour Fran?ois,
Vous parlez d'autel d'airain. Or une manipulation du carr? SATOR, le rangeant suivant l'ordre d'un carr? magique de 5 (compos? de 25 nombres) qui lui ?tait associ? au Moyen ?ge, donne un nouveau carr? avec dans deux colonnes le mot AEREA : "d'airain". Un anagramme de AA AETERNO est AENEA ROTA ou roue d'airain. Chez Virgile dans l'En?ide, la roue d'airain (aerea rota : aenea = aerea) ?crase un serpent et le coupe en deux comme dans une repr?sentation se retrouve dans un caisson de la galerie haute du ch?teau de Dampierre-sur-Boutonne ?tudi? par Fulcanelli dans ses Demeures Philosophales : "Caisson 9 - Coup? par le milieu, un serpent, malgr? le caract?re mortel de sa blessure, croit cependant pouvoir vivre longtemps en cet ?tat". Inscription .DVM.SPIRO.SPERABO. : Tant que je respire, j'esp?re. "Le serpent, image du mercure, exprime, par ses deux tron?ons, les deux parties du m?tal dissous, que l'on fixera plus tard l'une ? l'autre".
D'autres manipulations donnent OSTRA pluriel d'ostrum, le pourpre de la teinture des alchimistes.
Bonjour P.Silvain,
Y-a-t-il une image de ce bas-relief (de Marie "croisant les doigts") sur ce site ou un autre ?
Bonsoir  |
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P.SILVAIN
Inscrit le: 27 Oct 2006
Messages: 268
Localisation: Aiguille creuse
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| Posté le: Ven Mar 09, 2007 10:32 pm Sujet du message: |
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| eridup a écrit: | Bonjour P.Silvain,
Y-a-t-il une image de ce bas-relief (de Marie "croisant les doigts") sur ce site ou un autre ?
Bonsoir |
Ci joint un lien
http://www.renneslechateau.com/photos/0148.htm
Je vais voir si j'ai plus pr?cis
Cordialement
PS
ps: jai ?crit un rebus en 2001 sur ce tableau 
Croix = crois
Larmes = source
Madeleine = Madeleine
Livre = Livre (ouvert = montre)
Claie = Clef
Cr?ne = Tr?sor
Caverne = Caverne
TRADUCTION
Crois, la source de la Madeleine livre la clef du tr?sor de la caverne 
J'obtiens, par le m?me proc?d? , un r?bus semblable avec la statue de Madeleine
Flacon = source
Crois source Madeleine livre tr?sor  |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Sam Mar 10, 2007 11:24 am Sujet du message: |
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Bonjour M. Silvain,
Oui il est vrai que ce secteur de la Source de la Madeleine abonde de rochers aux formes bizarres avec des cavit?s tr?s nombreuses. J'y ?tais encore il y a quelques jours et je suis frapp? par le nombre impressionnant de ce type de rochers dans toute la r?gion de Rennes-les-Bains.
Une cache qui serait en bordure de l'eau, un tr?sor intermittent...c'est toujours ce que j'ai pens?.
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eridup
Inscrit le: 04 Mar 2007
Messages: 4
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| Posté le: Lun Mar 12, 2007 9:32 pm Sujet du message: |
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Bonjour ? tous,
1. Depuis au moins Gr?goire le Grand (532?604), pape en 590, dans ses Hom?lies sur les Evangiles, Marie de Magdala, Marie s?ur de Marthe et de Lazare, et la p?cheresse de chez Simon, sont confondues en une m?me personne. D?j? Jean (11, 1-2) assimile la p?cheresse ? la s?ur de Marthe. Je me demande si les mains aux doigts crois?s ne renvoient pas ? cette identification. En effet ? se croiser les doigts ? peut signifier ? ne rien faire ?. Marthe dirigeait une maison ? B?thanie qui recevait les pauvres. Alors qu?elle se d?menait pour servir J?sus est ses ap?tres, elle lui dit ? Seigneur, cela ne te fait rien que ma s?ur me laisse servir toute seule ? ?. J?sus lui r?pondra que Marie avait choisi la meilleur part. ? Se croiser les doigts ? a un certain rapport avec ? croiser les doigts ? pour conjurer le mauvais sort ou s?attirer les faveurs de la ? Providence ?.
2. La pr?sence de la croix dans le bas-relief me fait penser ? certaines th?ories d?alignements (Lincoln) dans la r?gion de RLC. Est-ce qu?un indice ne se trouverait pas ? l?intersection de deux alignements dont ferait partie la source de la Madeleine ?
Bonsoir |
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chat-man
Inscrit le: 23 Déc 2012
Messages: 1
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