Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum


    Ou l'histoire d'un grand secret ... 

 

 

Avertissement : Ce forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs. Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires, provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer la discorde.  Les membres qui ne respecteront pas ces règles minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur récidive, leurs messages seront supprimés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Messages du Web master

 

   J'ai conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut dorénavant faire avec...

 

   L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.

      J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...

 

       Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...  

Jean-Pierre Garcia               

 

        "Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret"   est de nouveau disponible

Commandez-le ...

   Ce livre de 424 pages couleurs est composé de nombreuses illustrations, photos et synoptiques qui accompagnent l'aventure... L'ouvrage comblera les initiés mais aussi ceux qui souhaitent découvrir l'affaire simplement en découvrant les plus belles surprises de ces dernières années. Pour commander, rien de plus simple. Remplissez le bon et envoyez-le à l'adresse indiquée. Paiement possible par Paypal ou par chèque français...   L'ouvrage est également disponible à la boutique  Aux Portes de Rennes

  Patrick Pourtal, Webmaster du site  "Rennes-Le-Château - Le dossier" me proposa en juillet 2008 de répondre à ses questions suite à la sortie du livre "Le Secret dans l'Art". C'est avec un grand plaisir que je me suis mis à ma plume. Vous trouverez mes réponses ici : http://www.rennes-le-chateau.org/rlctoday/int-jpg.asp

Je remercie également André Douzet pour avoir publier une page critique sur "Le Secret dans l'Art"
Vous pouvez la découvrir ici :
http://www.societe-perillos.com/som_garcia.html

 

Site partenaire

   Les Editions ARQA éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art, aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …

 
Nouveautés à lire ...          

Pour voir le clip d'annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=qItG4rZc8KQ

 

 

Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :

BON DE SOUSCRIPTION

 

Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.

TEMPLIERS - Recherches d’authenticité

par George H. Kiess

 

    1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.  Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir ses conquêtes. Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres. Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.

   Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie. Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère. Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort… Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades. Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?

 

               10 ans déjà... 

           C’est avec un immense plaisir que je souhaite longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien… car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
      Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…

 

La suite est ici...  10 ans déjà et plus d'1 million de visiteurs

Jean-Pierre Garcia       

 

        Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...

   du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....

 

Les interviews de Franck Daffos sont ici :

http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904

 



Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA



Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA



Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA

Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
 

Par George H. Kiess
Editions ARQA

Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA

Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA

 
 

Un peu de rêve...

    Par ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ?

 
La Sainte Baume... Un reliquaire bien gênant...
 
   Nous ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...

   Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.

   Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... 


Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013

Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles...

 

Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès...

 
Dernières parutions sur le site...
 

 
Octonovo ...
Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10  Suivante
 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum -> Autres livres
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Lun Mai 26, 2008 12:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

anniversaire1 anniversaire1 anniversaire1 En marge de la s?l?ction officielle au Festival de Cannes: anniversaire1 anniversaire1 anniversaire1



------------------------------------


D'apr?s le documentaire "Fahrenheit 8/9" (Octo/Novo)





Jour J - 2 ...
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
williams quenoy



Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 217
Localisation: BORDEAUX

MessagePosté le: Lun Mai 26, 2008 3:25 pm    Sujet du message: RE Répondre en citant

Mr Daffos .

Excellente AFFICHE . J'attends avec impatience le film Laughing

Pour le message de phil?mon , on dirait bien Alfred .

Williams QUENOY .
_________________
Toujours dire merci ? ceux que l'on rencontre en montant les escaliers , car on pourrait les revoirs en les descendants .
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
babast



Inscrit le: 25 Oct 2006
Messages: 680
Localisation: Nord,Flandres

MessagePosté le: Lun Mai 26, 2008 6:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bien vu le coup de l'affiche ... lol ... Very Happy
J'?sp?re que certains vont s-y casser les dents ... Very Happy

Amiti?s.
_________________
Credendo Vides
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Mar Mai 27, 2008 12:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Re-Phil?mon,

ainsi c'est "B?renger", l'homme au grand courage
qui s'enfuit plus vide que son ombre lorsqu'il me voit (RLC, ao?t 2007), qui a ?crit:

Citation:
Un homme gentil bien comme y faut,poli,pas violent du tout,honn?te et une case vide mais un casier bien rempli

Bien rempli oui et bien class? voil?

Alfred


Tout le monde sait ? pr?sent qui se cache derri?re le pseudo du d?rang?.
Alors comme il sait de quoi il parle, juste quelques petits commentaires:

1 / pour "la case vide", c'est totalement exact s'il parle bien de celle qui aurait d? recevoir les droits d'auteur du "Secret d?rob?". Nous sommes bien d'accord !

2 / pour "le casier bien rempli", s'il parle aussi de tout ce que j'ai encore en r?serve sur lui et ses magouilles t?l?phon?es, nous sommes encore bien d'accord !

3 / pour le "bien rempli et bien class?", s'il tente grossi?rement de faire des allusions ? mon casier judiciaire, je peux te rassurer, il est totalement vierge ! Par contre je ne l'encourage pas ? se lancer sur ce chapitre car c'est fou les choses que l'on peut apprendre sur certains dans certaines gendarmeries ... L'alin?a 2 rentrerait alors imm?diatement en vigueur.

4 / "poli": je ne le suis pas vraiment, surtout avec certains trous du c ...

5 / "honn?te": c'est ? mes amis d'en juger. Lui ne le peut qu'? contrario. Chaque jour qui passe nous le prouve davantage.

6 / "pas violent du tout": il aura la r?ponse quand j'irai sonner chez Ludmila, mani?re de lui r?gler un reliquat de droits d'auteur de chez E-mule. Chaque jour qui passe nous rapproche de cette ?ch?ance ...


philemon a écrit:
Et merde, pour ta super production !

Merci. Mais j'ai d?cid?
de r?habiliter l'art du pamphlet ! En 4 actes et coup de gr?ce ? la clef :

1 / les plagiats
2 / les erreurs
3 / les mensonges
4 / la fausse comptabilit? prouv?e

Il ne suffit pas d'affirmer
en 3 mots qu'un livre est mauvais et qu'un auteur est un imposteur: il faut le d?montrer. C'est ce que je vais faire !

Alors les lecteurs jugeront
si les ?ditions ODS doivent "arr?t? de nous faire croire ? des vessis et des lanternes on a plus 10 ans" ... Laughing

Amiti?s,
Franck.
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
babast



Inscrit le: 25 Oct 2006
Messages: 680
Localisation: Nord,Flandres

MessagePosté le: Mar Mai 27, 2008 1:45 am    Sujet du message: Répondre en citant

Franck DAFFOS a écrit:

6 / "pas violent du tout": il aura la r?ponse quand j'irai sonner chez Ludmila, mani?re de lui r?gler un reliquat de droits d'auteur de chez E-mule. Chaque jour qui passe nous rapproche de cette ?ch?ance ...


Arf, comme j'aimerai ?tre l? ce jour pr?cis ... dommage ... Sad Franck, si tu pouvais nous filmer la sc?ne, se serait chouette ... lol ... Very Happy

Amiti?s.
_________________
Credendo Vides
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Mer Mai 28, 2008 12:21 am    Sujet du message: Répondre en citant












Dans quelques heures ...



Shocked - T'as vu la nouvelle affiche du film ? Daffos en Mickael Moore, cela le grossit non ?
Laughing - Forc?ment, Octo l'a tellement gav? ...
Shocked - En tout cas, Octobush il est superbe !
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Mer Mai 28, 2008 12:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant









EN GUISE DE LEVER DE RIDEAU :



Fin mai 2005, aux ?ditions ODS, paraissait mon premier livre :
? Rennes-le-Ch?teau : le secret d?rob? ?, qui balayait sans appel la pens?e unique instaur?e sur cette affaire par des d?cennies d?auteurs en mal d?imagination, la plupart juste bons ? copier les erreurs de certains de leurs pr?d?cesseurs qui avaient fait de l?abb? Sauni?re le pivot incontournable de cette affaire. En moins de temps qu?il ne faut pour l??crire, je me vis propuls? au panth?on des auteurs les plus d?cri?s dans cette affaire. Un d?cha?nement sur Internet, auquel je me fis un devoir de r?pondre pour arriver finalement, ? force d?argumentation et de t?nacit?, ? convaincre la plupart de mes d?tracteurs. Aucun m?rite de ma part puisque je me suis toujours bien amus?.

Entre-temps, et paradoxalement, j?avais, pour avoir r?v?l? son incomp?tence,
?vit? les torpilles hypocrites de mon ?diteur de l??poque, M. Philippe Miecret, un des plus hauts salaires du groupe banque Soci?t? G?n?rale en France, qui sous le pseudo de Philippe Marlin, r?vait de reconnaissance pour sa retraite en tentant de s?acheter Rennes et ses myst?res, cumulant les librairies Empreinte (RLC puis RLB), le site Internet RLC.com, une soci?t? d??dition (l?ODS) et une association fant?me, l?ARTBS, charg?e de promouvoir la ? gloire ? de ses marionnettes?

Ces marionnettes, tout le monde les conna?t ? pr?sent :
certaines existaient avant son arriv?e ? Rennes-le-Ch?teau, tel Patrick Mensior, auteur aigri d?un rat? m?morable qu?il a depuis reni?, ? L?extraordinaire secrets des pr?tres de RLC ?, ouvrage paru ? compte d?auteur fin 2001, dont il tente toujours d?sesp?r?ment de fourguer sur E-bay les exemplaires invendus qui s?entassent encore au fonds de son garage. D?autres marionnettes ont ?t? enti?rement fabriqu?es tels le transformiste ? Ludmila ?, authentique psychopathe en mal d?emploi, piteusement bunk?ris? derri?re un pseudo mensonger (puisqu?il est un homme), que Philippe Miecret/Marlin emploie ? l?animation du forum de son site, o? la coul?e verte de son ?gotisme d?mentiel d?gouline sur les chercheurs de bonne volont? qui, de guerre lasse et faute de mat?riel respiratoire ad?quat, se rar?fient comme les b?n?fices de la Soci?t? G?n?rale. ? Ludmila ? est-il le J?r?me Kerviel priv? du site de Philippe Miecret/Marlin, lui-m?me Inspecteur G?n?ral de cette banque, et dont certains avancent (rapport officiel entre les mains) qu?il ?tait dans ses attributions professionnelles de parer aux d?rapages d?un trader que la presse qualifie de fou ? Si c??tait le cas, ce que je ne saurais dire, son parcours, au priv? comme au professionnel, s??crirait avec les m?mes similitudes.

On sait ce qu?? bien vite donn? l?association Mensior-Ludmila ? mon encontre :
en panne d?arguments, an?mique et exsangue d?id?es, bien que pourtant hyper prot?g?e par le gourou Miecret / Marlin sur son site o? je suis blaklist? et donc sans possibilit? de me d?fendre, elle n?a pas h?sit? ? aller jusqu?? fabriquer un faux grossier pour tenter de me discr?diter. La fausse date 1816 sur un tableau de RLB fait date dans la recherche castelr??nne : une premi?re en mati?re d?ignominie, surtout apr?s les esquives lamentables et r?p?t?es de M. Patrick Mensior pendant plusieurs mois pour tenter de r?futer l??vidence.

Mensior et Ludmila grill?s, virtuellement l?ch?s par leur ?minence occulte,
m?me s?ils ne l?ont pas encore compris, il fallait d?urgence recruter du sang neuf pour emp?cher de r?ver en rond les aficionados de l??nigme de Rennes-le-Ch?teau, r?gion o? pourtant M. Miecret/Marlin a investi des centaines de milliers d?Euros, et dont les myst?res sont paradoxalement ? la base de son commerce de librairie. La rel?ve couvait sous la cendre, et depuis un moment d?j?. Elle a pour vrai nom Laurent BUCHHOLTZER, et pour pseudo ? Octonovo ??

M. Miecret/Marlin me pr?senta M. Octonovo
juste avant ma premi?re conf?rence ? RLC en ao?t 2005 pour un d?ner en commun. Il prit place en face de moi, l?air entendu et le sourire en coin : ? 3 questions allaient suffire ? lan?a-t-il ? la cantonade en s?asseyant. L?entretien fut court, tr?s court : il posa ses questions, je r?pondis. D?contenanc? par la logique sans appel de mes r?ponses, vex? par les sourires sous cape de nos voisins de table, sans un mot, sans me saluer, il se leva brusquement, prit ses couverts et alla manger ? une autre table ? Ce soir l?, personne ne l?entendit plus, mais j?avais pu juger de ses ?tonnantes lacunes concernant l??nigme de Rennes.

Il devait ?tre beaucoup plus loquace lors de notre deuxi?me rencontre,
? l?occasion d?une autre de mes conf?rences organis?e par Philippe Miecret/Marlin, cette fois ? Paris en avril 2006. Visiblement, il s?y ?tait pr?par?. Son arriv?e avait ?t? orchestr?e au petit poil : il jouait (? ce jour je n?ai toujours pas compris ? quel titre) les ? guest stars ? : ? son arriv?e avec deux heures de retard (alors qu?il ne pouvait ?tre retenu par aucune obligation, ni familiale, et encore moins professionnelle), M. Miecret/Marlin interrompait les d?bats pour annoncer l?arriv?e du ? messie ? et lui faisait prendre place ? ? ma droite ! La conf?rence reprenait, et Octonovo faisait ostensiblement mine de s?ennuyer ?D?s que j?eus termin?, on (Philippe Miecret/Marlin) s?empressa de lui donner la parole. S?en suivit une longue diatribe ? mon encontre au sujet de choses que j?aurais ?crites sur Alfred Sauni?re. Malheureusement, je n?avais jamais rien avanc? de tout cela, mais Octonovo, sur les rails d?un r?quisitoire pr?par? de longue date n?en avait cure. Fin de la conf?rence sous les regards atterr?s par cette attitude d?un certain nombre de spectateurs. Bien entendu, une vid?o de tout ceci existe.

A peu de temps de l?, mon ? cher ? ?diteur de l??poque me contactait au sujet d?Octonovo :
il avait son manuscrit sous les yeux et en paraissait pour le moins bien peu satisfait : ? une daube ? m?assurait-il. Avec force d?tours, il me demandait en fait de me pencher ? son chevet pour tenter de redresser un flop annonc?. L?aventure tourna court : apr?s un bref ?change de mails, Octonovo refusait toute intrusion de ma part. Dommage pour lui, j?aurais pu lui expliquer certaines choses qui lui auraient ?vit? le discr?dit ? venir ?

Je n?ai plus jamais eu de contact avec M. Octonovo.
Pourtant ce dernier, voulant tr?s certainement faire all?geance ? un M. Miecret/Marlin qu?il pensait alors peu enthousiaste ? le publier, mais avec qui de notori?t? publique mes relations s??taient (tr?s) tendues, se permettait en quelques phrases, courant juillet 2007, sur un forum sur lequel il savait qu?il m??tait impossible de r?pondre, d?affirmer le plus grand mal quant ? mon deuxi?me livre : ? Le puzzle reconstitu? ? (?ditions P?gase). Attitude tout ? fait respectable en soi, si ce n?est qu?au jour o? M. Octonovo se permit cette lapidation qu?il voulait d?finitive, mon livre ?tait encore chez l?imprimeur, et PERSONNE, mis ? part mon ?diteur Michel Vallet ne pouvait l?avoir lu.

On comprend donc qu?il me tardait que M. Octonovo prenne la plume,
lui qui n?avait pratiquement jamais rien ?crit ou publi? , pour que je puisse tenter de comprendre par quel prodige ce surhomme pouvait commenter un livre qu?il n?avait jamais lu ! C?est chose faite ? pr?sent, avec son livre : ? Une affaire paradoxale ? r?cemment paru aux ?ditions ODS de M. Philippe Miecret/Marlin. Et ? la diff?rence de M. Octonovo, on ne pourra m?accuser de parler d?un livre que je n?ai pas lu : ce qui suit va le prouver !

Voici donc ma r?ponse, sous forme d?une pi?ce tragi-comique en 4 actes (les plagiats, les erreurs, les mensonges, la comptabilit? truqu?e) & un final grandiose.

Mais place au spectacle, voici venir les trois coups !



ACTE 1 / QUELQUES PLAGIATS :

________________________________________________________________________________________________________


Il n?est pas dans mon but de dresser ici un inventaire exhaustif des plagiats commis par M. Octonovo, mais juste de d?montrer comment il peut ?tre facile de s?arroger une (petite) r?putation de chercheur ? peu de frais. A ce sujet, l?image qui me vient imm?diatement ? l?esprit est celle de quelqu?un qui, sur l?un de nos march?s de plein vent, se servirait ? sa convenance sur chaque ?tal et partirait sans payer ?


Quelques exemples donc :


________________________________________________________________________________________________________

" En effet, bien que les apocryphes de RLC lui pr?tent g?n?reusement pr?s d'un mill?naire d'existence, le Prieur? de Sion, association r?gie, tout comme les amicales de p?cheurs ? la ligne ou de joueurs de p?tanque par la loi de 1901 (...)"
G?rard de S?de - RLC, Le dossier les impostures - Robert Laffont 1988 - page 128.



" Ainsi le Prieur? de Sion, le fameux loup qui s'est invit? dans l'affaire de RLC, loin d'?tre une soci?t? secr?te s?culaire, s'av?re ?tre une association de loi 1901 comme n'importe quelle amicale de p?cheurs ? la ligne."
Octonovo - RLC, Une affaire paradoxale, ODS, 2008 - page 52.


________________________________________________________________________________________________________


? Somm? de justifier l?emploi de sommes ?normes dont l?Ev?ch? a ?tabli l?existence, le cur? gonfle ses d?penses d?investissement de fa?on parfaitement extravagante. ?
G?rard de S?de, Le vrai dossier de l??nigme de Rennes, r?ponse ? M. Descadeillas, page 20, les ?ditions de l?octogone, 1975.



? En revanche, concernant les sommes allou?es au domaine, l?abb? triche en les augmentant manifestement. ?
Octonovo - RLC, Une affaire paradoxale, ODS, 2008 - page 116


________________________________________________________________________________________________________


Le chercheur Christian Doumergue
semble bien avoir ?t? une importante source d?inspiration occulte pour M. Octonovo? Mais nous verrons dans un acte suivant (? Les mensonges ? ?) qu?il ne fut pas le seul. Pour preuves :


? Dans les premiers relev?s de travaux de l?abb? Sauni?re, la tour Magdala appara?t sous le nom de ? ? tour du midi. Par la suite la tour est baptis?e ? tour de l?horloge. ?
Christian Doumergue ? L?Affaire de RLC (Tome 2), Arqa ?ditions, mars 2006, page 128.

(Analyse pr?sent?e par ce chercheur pour la premi?re fois, avec les documents in?dits du fonds Corbu-Captier en illustration de son travail de recherche).

2 ans plus tard :

? La tour Magdala devait au d?but s?appeler ? tour de l?horloge ? ou ? tour du midi ?, preuve que la d?nomination de ces r?alisations put conna?tre des changements. ?
Octonovo - RLC, Une affaire paradoxale, ODS, 2008 - page 107.




En 2006, Christian Doumergue
pr?sentait ? la page 65 de ? L?Affaire de RLC (Tome 1) ?, une photographie signalant la ? pi?ce secr?te ? am?nag?e par l?abb? Sauni?re dans l??glise de RLC.

En 2008, EXACTEMENT LA MEME PHOTO figure dans le livre de M. Octonovo, ? Une affaire paradoxale ? page 148, sans signaler le moins du monde, pourquoi se g?ner, que deux ans auparavant, ce m?me document, ? l?identique, avait d?j? ?t? publi? une premi?re fois et surtout comment? avec un appareil critique fort abondant, r?alis? ? partir de documents totalement in?dits et provenant du fonds Corbu-Captier, par le chercheur Christian Doumergue ?
Si l?historique de cette photo peut pr?ter ? discussion : elle serait de M. Octonovo lui-m?me, et aurait transit?e par l?architecte belge Paul J. Saussez (? qui nous devons de remarquables travaux sur la crypte des seigneurs de l??glise de Rennes-le-Ch?teau), la moindre des biens?ances aurait ?t? de signaler cette ant?riorit? de publication, d?autant plus que M. Octonovo ?appuie sans conteste sur les explications de M. Doumergue.





Pages 136, 137 et 138 de son livre ? Une affaire paradoxale ?,
M. Octonovo, signale et s?approprie sans (bien entendu !) citer ses sources, les connexions entre l?affaire de Rennes-le-Ch?teau et certaines figures embl?matiques de l?Esot?risme et de la Tradition ayant eues des relations confirm?es (mais par d?autres que M. Octonovo), avec le village ou sa proche r?gion, tels Jules Doinel, Prosper Estieu, ou D?odat Roch?.

Christian Doumergue, toujours lui, fut le premier chercheur
authentique ? avoir mis en ?vidence ces connexions historiques, dans son livre ? L?Affaire de RLC ?, ? partir de tr?s nombreux documents d?archives totalement in?dits provenant notamment des Archives d?partementales de l?Aude et du fonds Corbu-Captier - (Voir notamment dans son ouvrage les documents hors texte, num?rot?s : 44, 45, 46, 47, 48, 49, 52, 53, 54, 57, 60, 61, 62, 63, entre autres !) Inutile d?ajouter que M. Doumergue, une fois de plus, n?est jamais cit? par M. Octonovo pour ce travail in?dit !


________________________________________________________________________________________________________



Moi-m?me enfin, dans ? Le Secret D?rob? ? (Mai 2005) note n?1 page 15, ? propos d?un certain don de la Comtesse de Chambord ? l?abb? Sauni?re dont j?avais explicit? aussi bien son v?ritable montant, puis ensuite sur diff?rends supports, sa provenance par l?interm?diaire de l?abb? Lasserre d?Alet, le m?decin personnel de la Comtesse de Chambord ?tant le Dr Carri?re, originaire de Limoux et cousin de l?abb? Lasserre ...
? Une majorit? de chercheurs pense ? tort que ce don fut de 3000 F, se basant pour cela sur un brouillon laborieusement r?dig? pour le proc?s par le chanoine Huguet, qui tentait de redresser la comptabilit? de son client en vue de sa pr?sentation ? l?Ev?ch? . Mais sur les carnets de Sauni?re, conserv?s par ses h?ritiers directs Claire Corbu et Antoine Captier, appara?t nettement, et ?crit de sa propre main, le v?ritable montant du don, ? savoir 1000 F. L??tude graphologique des deux documents ne laisse planer aucun doute. ?
Et je n??tais certes pas le premier puisque le probl?me avait d?j? ?t? soulev? par claire Corbu et Antoine Captier en 1985 dans leur livre ? L?h?ritage de l?abb? Sauni?re ? (?ditions B?lisane)?


Laurent Octonovo, ? Une affaire paradoxale ? (3 ans apr?s), note 90 page 75 :

? La m?prise concernant le don de la comtesses de Chambord provient du proc?s auquel B?renger Sauni?re aura ? faire face en 1910. Somm? de pr?ciser ses revenus, il d?clare un don de 3000 francs alors qu?en r?alit? il avait ?t? de 1000 francs. ?







Acte 2 (Les erreurs ) : Samedi 31 mai ...
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
gwennyd



Inscrit le: 23 Mar 2008
Messages: 4

MessagePosté le: Mer Mai 28, 2008 1:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J' ADORE Cool Cool Cool

C'EST VRAIMENT TR?S BIEN VU ET TR?S REPR?SENTATIF DE CE QU'EST PARFOIS LE MONDE DE L'EDITION, AVEC LA FABRICATION DE PR?TENDUS " AUTEURS ".

VIVEMENT LA SUITE !!!

CORDIALEMENT.
GWENNYD Cool
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
williams quenoy



Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 217
Localisation: BORDEAUX

MessagePosté le: Mer Mai 28, 2008 8:31 pm    Sujet du message: RE Répondre en citant

Mr Daffos .

Vous m'en boucher un coin . Je vais r?fl?chir ? deux fois avant d'?crire un livre sur cette affaire .

Par contre , je suis emmerder , car Laurent et un pote ... Je me demande comment je vais faire .

Dommage qu'il ne veuille pas r?pondre ? votre d?monstration .

En tout les cas bravo pour cette intervention et surtout l'affiche de cin?ma Laughing Laughing

Williams Quenoy .
_________________
Toujours dire merci ? ceux que l'on rencontre en montant les escaliers , car on pourrait les revoirs en les descendants .
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Ven Mai 30, 2008 1:35 am    Sujet du message: Re: RE Répondre en citant

williams quenoy a écrit:

Par contre , je suis emmerder , car Laurent et un pote ... Je me demande comment je vais faire .

D'autres,
victimes de ses plagiats ou de ses attaques personnelles, croyaient aussi ?tre ses potes,

Alors surtout,
ne lui tournez pas le dos !

Laughing
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Ven Mai 30, 2008 3:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant












Acte 2: "les erreurs" ... jour J - 1




Shocked - Am?ne les pop-corns, il parait que l'acte 2 est beaucoup plus long que l'acte 1 !
Laughing - Normal, comme il ne savait plus quoi plagier, Octo a ?t? oblig? de faire du texte ...
Shocked - Du texte ? A?e ! A?e ! A?e ! D'o? l'acte 2 ...
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Sam Mai 31, 2008 1:02 am    Sujet du message: Répondre en citant









ACTE 2 / LES ERREURS :


? C?est une erreur de croire n?cessairement faux ce que l?on ne comprend pas. ?
Mohandas Karamchand Gandhi


______________________________________


Voici donc un petit floril?ge de quelques erreurs ? octonovesques ? ; les citer toutes aurait certainement indispos? le lecteur de par leur trop grand nombre. Il m?a donc fallu faire des choix.


_______________________________________



Page 16, 2e paragraphe
Octonovo raconte ? la belle histoire ? de l?abb? Sauni?re, mais il la raconte mal, en commettant des erreurs de chronologie.

"?il est nomm? cur? du village du Clat. Sa vive intelligence ayant trouv? un autre admirateur que son p?re en la personne de son ?v?que, Monseigneur Billard, il b?n?ficie alors, gr?ce ? lui, d?une nomination prestigieuse comme professeur au s?minaire de Narbonne. Mais son temp?rament ?tant toujours aussi imp?tueux, il ne peut conserver ce poste et se retrouve nomm? cur? du village de Rennes-le-Ch?teau."

Faux ! Sauni?re est d?j? en poste ? Rennes-le-Ch?teau
lorsqu?il est nomm? professeur au s?minaire de Narbonne, ? la suite de sa suspension, fin 1885, caus?e par un pr?che antir?publicain. Il y reste jusqu?en ?t? 1886 et revient ? Rennes-le-Ch?teau ensuite. Voir ABC de RLC page 203.

De m?me, Octonovo r?percute les erreurs bien connues
de ? la belle histoire ? sans prendre la peine de les rectifier : Alexandrine Marrot au lieu d?Alexandrine Marre (page 18), ou les deux piliers wisigothiques de l?autel (page 19), un seul ?tant en r?alit? ? dit ? wisigothique et l?autre en pierre brute. Et encore (page 19) l??trange manuscrit, dit ? sot p?cheur ?, ?crit de sa propre main. Cependant l?auteur tient des propos plus mod?r?s ? ce sujet en annexe 3 (p. 191 ? 192), allant jusqu?? qualifier le cryptogramme d?apocryphe.


_______________________________________


Page 28, 2e paragraphe
"8 millions de francs-or, l??quivalent de 150 millions d?euros actuels"

Il faut atteindre l?annexe 6 (p. 204 et suivantes) pour comprendre
le raisonnement d?Octonovo autorisant une telle conversion. Habituellement, on calcule la valeur du franc-or selon son titre en or, justement, qui est l??quivalent de 0,2903225 grammes d?or fin pour une pi?ce d?1 F. Le cours de l?or ?tant aujourd?hui (cours du 19 mai 2008, source : Banque de France) fix? ? 18 000 ? le lingot d?1 kg, 1 franc-or vaut donc selon ce proc?d? 5,28 ?. Octonovo base son calcul en r?alit? non pas sur l??volution du cours du franc-or mais sur l??volution du co?t de la vie. Sur le si?cle ?coul? l?inflation est, en moyenne, d?environ 9 % par an, ce qui ?quivaut ? doubler les prix tous les 8 ans. Cela va se v?rifier avec le cours de l?or : 10 000 ? le kg en 2002 au lancement de l?euro, aujourd?hui 1,8 fois plus, probablement 2 fois plus au moins en 2010. Avec cette m?thode effectivement, et en tenant compte du passage de l?ancien au nouveau franc, puis du franc ? l?euro, ce qui valait 1 F en 1900 vaut un peu plus de 18 ? aujourd?hui. C?est le pouvoir d?achat de 8 millions de francs-or en 1900 qui ?quivaut au pouvoir d?achat de 150 millions d?euros en 2008.


_______________________________________


Page 59, note (69) de bas de page
"Sous la c?te 4?L7K 50490" (cote du Serpent Rouge ? la BNF)

La cote v?ritable du Serpent Rouge
est 4?LK7 50490 (je poss?de une photocopie de l?exemplaire de la BNF) A remarquer que l?ABC de RLC, page 644, donne lui la bonne cote.


_______________________________________


Page 80, note (101) de bas de page
"Certains ont pris ces n?gociations pour preuve que l?abb? (Sauni?re) aurait pu avoir des p?riodes difficiles et de dettes. De 1894 ? sa mort il n?aura en r?alit? aucun souci mais avait visiblement gard? le sens de la valeur des choses."

J?invite fermement M. Octonovo ? se pencher un peu plus
sur les papiers du fonds Corbu-Captier : une telle affirmation gratuite semblerait d?montrer qu?il ne l?a jamais fait. Il y trouverait alors la preuve que, faute d?argent, les travaux de la tour Magdala furent interrompus en 1903, l?obligeant ? fermer momentan?ment le chantier, assez longtemps au moins pour laisser le temps ? Sauni?re de se procurer de l?argent frais. Il aurait aussi vu dans sa correspondance que sur la fin de sa vie, le cur? de RLC r?vait d?ornementer son domaine d?un kiosque d?agr?ment. Il va, par courrier, obstin?ment en n?gocier les devis pendant des mois, pour tenter d?en faire baisser un prix que finalement il ne pourra jamais d?bourser? Pour clore le chapitre financier de Sauni?re, et sa magnificence lin?aire institu?e par M. Octonovo d?un seul trait de plume (et d?un seul !), je ne manquerai pas de rappeler les d?boires d?un marchand de meubles de Carcassonne, sis grand rue, c'est-?-dire pas loin de l?imprimerie Pomi?s qui ?dita en 1886 le livre de l?abb? Boudet, et qui, ? la mort de Sauni?re en 1917, attendait toujours l?important solde du r?glement de la biblioth?que sur mesures livr?e dans la tour Magdala plus de 10 ans auparavant ? La maison Noubel s?est ?puis?e en lettres de relances : certaines sont encore consultables, et ont ?t? adress?es ? Marie bien des ann?es apr?s la mort de Sauni?re. Dans les ann?es 1970, alors que la maison Noubel existait encore, leur descendant racontait encore que chaque fois qu?il passait avec son p?re ? Couiza, ce dernier ne manquait de lui dire en lui montrant Rennes sur son piton : ? L? haut, il y a un dr?le de cur? qui s?est meubl? pour pas cher ! ?

Tous ceux qui ont connu Marie D?narnaud
savent qu?apr?s la mort du cur? elle se retrouva dans une situation financi?re d?sesp?r?e de par les nombreuses dettes laiss?es en suspend. Elle faisait ce qu?elle pouvait pour contenter les cr?anciers, et faute de liquidit?s leur proposait de venir se servir et d?emporter ce qu?ils voulaient dans le domaine. Nous en avons confirmation avec un certain Augustin Denarnaud (un homonyme), d?Alet, qui emporta ce qu?il voulut en r?glement d?une ancienne dette de ferronnerie : une de ses lettres de relance, dat?e du 26 janvier 1920 (donc bien apr?s la mort de Sauni?re), fut publi?e par les Corbu-Captier ? la page 25 de ? L?h?ritage de l?abb? Sauni?re ? (B?lisane, 1985) ainsi que la r?ponse de mademoiselle Marie : ? Si toute fois quelque chose devait vous faire plaisir, venez je vous donnerai ce que vous voudrez. J?ai des meubles, du linge, du vin, des liqueurs, de tout, sauf de l?argent ? ?. C?est tout simplement ainsi que le domaine fut en partie pill?.

Au d?but des ann?es 1970,
ceux qui eurent le bonheur de fr?quenter le domaine ne sont pas sans se souvenir ?galement des sympathiques algarades entre Descadeillas, qui soutenait (avec raison) que Sauni?re avait laiss? des dettes (voir la page 10 de sa Notice sur RLC et l?abb? Sauni?re du 09 d?cembre 1962), et Buthion, qui rageait d?entendre pour lui pareilles inepties ?


_______________________________________


Page 85, note (109) de bas de page
? Ah ! Si seulement mon ?diteur avait le pouvoir de multiplier mes droits d?auteur par 12 ! ?

C?est beau de r?ver, quand m?me !
Mais non, M. Octonovo, votre ?diteur a seulement le pouvoir de diviser vos droits d?auteur? A suivre donc, sourire en coin?


_______________________________________


Page 88,
? La construction de ce domaine ? RLC, village isol? en haut d?une colline fut le fruit d?un effort obstin? mais aussi le fruit d?un ?chec. Avant de se lancer dans cette r?alisation, l?abb? eut des contacts pour acqu?rir des biens dans d?autres communes, en particulier avec M. Royer de Bizanet. Ce n?est qu?apr?s l??chec de ces n?gociations que Sauni?re se d?cida ? r?aliser son projet ? Rennes-le-Ch?teau. ?

Confirmation ?blouissante que M. Octonovo ne s?est jamais pench?
dans les papiers de l?abb? du fonds Corbu-Captier, ce qui pourrait expliquer les ?tonnantes retenues concernant le travail de M. Octonovo ?mises par Antoine Captier dans la pr?face r?dig?e pour son ouvrage : il n?et en effet pas tr?s courant de voir un pr?facier prendre autant de r?serves. Tr?s dommage en effet cette non consultation ! M. Octonovo y aurait d?couvert que Sauni?re avait commenc? ? acheter des terrains sur le haut du village d?s le milieu des ann?es 1890, c'est-?-dire alors m?me que la restauration de l??glise ?tait en cours, ce qui prouve bien que le domaine et l??glise ?taient li?s et faisaient partie d?un seul et m?me projet initial.

1899 est l?ann?e ou Sauni?re voit arriver beaucoup d?argent :
il ne sait comment faire appara?tre ces sommes dans sa comptabilit? truqu?e, ce qui l?am?ne ? ? d?clarer ? pendant 18 mois de suite, ? partir de janvier 1899, des rentr?es mensuelles absolument identiques de 1100 Frs. Ces fausses ?critures ne suffiront pas ? masquer l?afflux financier, puisque plusieurs mois de suite encore, il va ? d?clarer ? des sommes arrondies beaucoup plus importantes. C?est cet argent qui va servir ? constituer la fameuse rente de 20 000 Frs. Mais on peut penser qu?avant de confier ce surplus financier ? un organisme bancaire, Sauni?re avait imagin? faire quelque placement immobilier destin? ? d?abord augmenter son patrimoine puis ensuite lui procurer des rentr?es financi?res r?guli?res sous forme de loyers. On a compris ensuite qu?il abandonna cette id?e au profit de placements bancaires plus s?rs? Mais en aucun cas, le domaine ne fut construit qu?en d?sespoir de cause : l?acharnement que mit Sauni?re ? acqu?rir, l?un apr?s l?autre, tous les terrains du haut du village d?s le milieu des ann?es 1890 prouve incontestablement le contraire.


_______________________________________


Page 104, ? propos de la construction du domaine de Sauni?re ...
? ? l??v?ch? n?avait saisi son pr?tre d?aucune demande en la mati?re et, selon le droit canonique, ses comptes pour de telles r?alisations au b?n?fice du dioc?se auraient d? ?tre tenus par le conseil de Fabrique ce qui n?est pas le cas. ?

M. Octonovo devrait bien se garder de se r?f?rer au droit canonique
qu?? l??vidence il ne conna?t pas : cela lui ?viterait d?affirmer p?remptoirement de telles ?normit?s ! Il aurait mieux fait de consulter, par exemple, le tr?s instructif Abr?g? de Th?ologie dogmatique et morale de l?abb? Berthier, pav? de plus de 800 pages et 3750 articles, que fournissait l?Ev?ch? de Carcassonne ? tous les pr?tres du dioc?se pour qu?ils y trouvent les r?ponses ? tous les probl?mes qu?ils pouvaient rencontrer durant leur minist?re. Mon exemplaire date de 1892 et appartenait au cur? d?Axat. Au sujet des conseils de Fabrique, son article 2610 stipule clairement:

? Nos Fabriques d?aujourd?hui en France sont un empi?tement de la puissance civile sur les droits de l?Eglise. ?

L?article 2630 le pr?cise davantage, si besoin encore ?tait :

? La loi civile r?gle aussi l?existence, la formation, l?administration des fabriques des paroisses ; et bien que cette r?glementation soit anti-canonique, il faut que les pr?tres la connaissent afin d??viter la nullit? de certains actes administratifs ?.

Il est vrai que concernant tout ce qui touche
? la Th?ologie, au Droit Canon, et au langage eccl?siastique, M. Octonovo n?est pas ? une litote pr?s : il n?est que de lire la savoureuse et simpliste d?finition qu?il donne de l?Ordinaire d?un dioc?se dans sa note 154 de sa page 113 ...

D?autre part, le propre d?un auteur comp?tent
est de remettre les ?v?nements de l??poque dans leur contexte historique : M. Octonovo aurait donc d? se souvenir (mais l?a-t-il seulement compris ?) que nous ?tions alors en pleine tourmente anti-cl?ricale, et que l?Eglise ne pensait, depuis les ann?es 1880 et le spectre programm? des futures lois de S?paration, qu?? se prot?ger d?une in?luctable spoliation annonc?e de tous ses biens. La seule solution ?tait alors de mettre tous les biens cl?ricaux au nom de pr?te-noms. Une lettre du 20 janvier 1883 du RP Vannier, sup?rieur des Lazaristes de N-D de Marceille, adress?e au Sup?rieur G?n?ral de sa Congr?gation ? Paris, que j?ai publi? dans mon livre ? Le puzzle reconstitu? ? (P?gase, 2007) aux pages 118 ? 121, le prouve sans contestation possible quant ? l??ventuelle implantation ? Limoux d?une maison des Filles de la Charit? :

? Si votre r?ponse est pour l?acceptation, M. le Cur? de Limoux se mettra en devoir d?acqu?rir le local pour l?installation des s?urs. Comme tout doit ?tre pour la Congr?gation, il d?sirerait savoir le meilleur moyen ? prendre par ces temps f?cheux pour mettre cette propri?t? ? l?abri de toute surprise. Peut-?tre pourrait-il l?acqu?rir au nom de deux ou plusieurs Filles de la Charit? qui seraient d?sign?es? ?

On ne pouvait ?tre plus clair !
D?j? en 1883, le sport national chez les gens d?Eglise ?tait de mettre leurs biens ? l?abri des convoitises d?un Etat qu?ils pensaient f?lon. Nous voyons donc que dans ce contexte, une douzaine d?ann?es plus tard, le fait de vouloir mettre au nom de l?abb? Sauni?re une future maison de retraite pour pr?tres destin?e ? ?tre construite dans son village semble pour le moins une pr?caution ?l?mentaire. On peut taxer l?Ev?que de Carcassonne, Mgr Billard, de bien des d?fauts, mais certes pas celui d?avoir ?t? stupide, or il l?aurait assur?ment ?t? s?il avait, comme l?annonce si sottement M. Octonovo, ? officialis? ? la future maison de retraite pr?vue ? Rennes-le-Ch?teau en chargeant le conseil de fabrique (d?ob?dience la?que !) de ce village d?en assurer la responsabilit? : c??tait ? coup s?r la condamner ? br?ve ?ch?ance ? une spoliation certaine. Je rappelle de plus que les ex?crables relations entre Mgr Billard et l?Etat ont ?t? soulign?es par tous les chroniqueurs de l??poque (son traitement concordataire ?piscopal fut m?me ? un moment amput?), ce qui nous assure, sans aucune crainte d??tre contredit, que Mgr Billard ne fut jamais un Ev?que collaborationniste ?


_______________________________________


Page 91, premier tableau
? Celui-ci (l?abb? Sauni?re) avait adopt? un proc?d? comptable qui ne laisse pas appara?tre le total de ses revenus mensuels, mais seulement le solde disponible.
Selon cet exemple, l?abb? a gagn? 60 francs et en a d?pens? 35, donn?es qui n?apparaissent pas directement ?


Au contraire ! L?abb? utilise une comptabilit? mensuelle,
tout ? fait courante pour l??poque, dite ? en partie double ?, o? les recettes apparaissent en d?bit (partie gauche) et les d?penses en cr?dit (partie droite), o? le solde du mois pr?c?dent est tr?s logiquement report? en haut de la colonne d?bit, o? appara?t en bas de la m?me colonne un solde interm?diaire apr?s ajout des recettes, report? en colonne cr?dit, et un solde final apr?s soustraction des d?penses (ce que l?on nomme aujourd?hui ? soldes interm?diaires de gestion ?). Vraiment pas besoin de faire appel ? l?informatique pour comprendre que si le solde du mois pr?c?dent est de 1000 F, le solde interm?diaire de 1060 F, et le solde final de 1025 F, l?abb? a 60 F de recettes et 35 F de d?penses. ? l??poque, un ?colier l?aurait saisi ! ? noter que d?bit et cr?dit paraissent invers?s par rapport ? ce que nous avons l?habitude de voir sur nos relev?s bancaires, o? les recettes (ch?ques re?us par exemple) sont en cr?dit, et les d?penses (ch?ques ?mis) en d?bit. En r?alit?, lorsque notre banque nous envoie un relev?, c?est un extrait de sa comptabilit? ? elle qu?elle nous envoie, o? lorsque nous encaissons un ch?que cela constitue pour elle une sortie de son actif en direction du n?tre, donc un cr?dit, c?est pourquoi le relev? est invers? par rapport ? une comptabilit? personnelle telle que nous pourrions la tenir selon la m?thode adopt?e par l?abb?.
(J?ai demand? toutes ces explications ? un comptable !)


_______________________________________


Page 115, note (157) de bas de page, ? propos de la correspondance entre le chanoine Huguet et l?abb? Sauni?re
? Les derni?res lettres ?chang?es au sujet de l?affaire datent d?avril 1916 apr?s une interruption de deux ans entre ao?t 1913 et juillet 1915. ?

H?las pour M. Octonovo, la derni?re lettre du chanoine Huguet
? son client Sauni?re date tragiquement du 22 janvier 1917, c'est-?-dire du jour m?me du d?c?s du cur? de Rennes-le-Ch?teau. Et il y est bien question des d?marches de Huguet ? Rome, donc de l?affaire, puisqu?il se vante m?me dans cette missive ? d?avoir r?ussi ? affoler la clique Cantegril (pr?sident du tribunal de l?Officialit? de Carcassonne) en les mettant en face d?un dilemme que j?avais d?pos? au Concile ? ? Pour une fois, pour retrouver cette lettre, Octonovo n?aurait pas eu besoin d?aller consulter le fonds Corbu-Captier, o? tout laisse ? penser qu?il n?est jamais all?, il lui suffisait de consulter la compilation des ? 100 lettres de la correspondance du chanoine Huguet reproduites d?apr?s les originaux, mises en ordre et comment?es par Pierre Jarnac ?, Collection ? Couleur Ocre ?, P?gase 2003.


_______________________________________


Page 116, ? propos des comptes de Sauni?re :
? Cela pose une question, tant qu?? tricher, pourquoi avoir avou? le montant correspondant aux revenus per?us ? ?

Visiblement encore, et je le redis, mais cela me stup?fait
? chaque fois que quelqu?un qui veut se poser en unique sp?cialiste de Sauni?re comme M. Octonovo, n?ait fait aucune recherche dans ? les papiers de l?abb? ? du fonds Corbu-Captier : il y aurait d?couvert un certain carnet des messes effectivement re?ues qui prouve de fa?on irr?futable que l?Ev?ch? de Carcassonne fut avant 1899, en propre ou ? travers des proches ou institutions d?pendant directement de lui, comme Gustave Cantegril (1837-1919) (qui ironie du sort dirigera ensuite le tribunal de l?Officialit? charg? de juger Sauni?re), le principal pourvoyeur d?intentions de messes pour le cur? de Rennes-le-Ch?teau. Il est donc facile d?en conclure que l?Ev?ch? de Carcassonne, sans ?tre r?ellement partie prenante, ?tait quand m?me au fait (sinon il n?aurait pas particip? !) du montant des flux financiers n?cessaires ? de tels projets, ce qui imposait ? Sauni?re de bien respecter dans ses d?clarations les sommes effectivement engag?es : il n?avait, sur ce point, aucune marge de man?uvre.


_______________________________________


Page 130, ? propos du Chemin de Croix de l??glise de RLC :
? ? celui-ci ?tait en r?alit? un produit semi industriel command? sur catalogue aux Ets Giscard et que plusieurs dizaines d?autres exemplaires ont ?t? retrouv?s depuis dans de tranquilles ?glises de campagne. ?

Une fois de plus, ? Sa Grandeur Monsieur Je Sais Tout ? a perdu l?occasion de se taire
en nous infligeant son inculture notoire des sujets qu?il veut traiter. Car pour juger de la possibilit? que le Chemin de Croix de RLC soit unique et ?ventuellement donc porteur d?un message, il faut comparer ce qui est comparable. Et on voit bien qu?? ce sujet, le nouveau poulain de M. Miecret/Marlin ne s?est jamais pr?occup? de la production Giscard : il saurait sinon en effet que ce statuaire toulousain proposait ? ses clients, concernant les Chemins de Croix, le choix entre une trentaine de cadres diff?rents et 5 ou 6 moulages de fonds. Pour le fonds qui nous int?resse, celui utilis? pour RLC, il faut m?me savoir qu?il existait en fait sous deux variantes quasiment semblables. Ensuite venait le choix de la finition : 4 options ?tant propos?es ? l??poque:

1. le bas de gamme : d?cor simple avec teinte unique du fonds, naturel, flanelle ou ivoire
2. d?cor ? demi riche ? avec l?g?re coloration du fonds
3. d?cor ? riche ? : personnages et fonds sont en polychromie
4. d?cor ? extra riche ? polychromie et plus de personnages. C?est celui de RLC.

Chaque client avait ainsi la possibilit? de composer sa commande
? partir de centaines de choix possibles ? Pour m?moire, et pour l??dification de ceux qui ayant lu Octonovo n?auraient rien appris (et pour cause !) voici un extrait du catalogue des Ets Giscard, datant de l??poque de la commande de l?ornementation de l??glise de RLC : ils sauront ainsi que la cadre choisi pour le Chemin de Croix de Rennes ?tait un cadre ? roman ? de r?f?rence 52.



Je pourrais aussi donner la r?f?rence exacte du fonds,
et ?galement publier une ancienne photo du registre de fabrication de chez Giscard (cela viendra en son temps), mais j?avoue commencer ? un peu fatiguer d??tre ensuite pill? par des profiteurs sans scrupules qui s?accaparent mes modestes d?couvertes : on en aura un exemple flagrant dans l?acte suivant, ? Les mensonges ? ?

Pour juger du Chemin de Croix de Rennes,
il faut donc trouver EXACTEMENT le m?me : m?me cadre, un 52 ? roman ? simple lobe (car il en existe aussi des trilob?s), avec exactement le m?me fonds, et le tout en finition extra riche. En plus de 30 ans de recherches en France, sur des milliers d??glises visit?es, et pour une centaine de ? Giscard ? retrouv?s, je ne connais que 5 Chemins de Croix qui correspondent ? ces crit?res, dont deux parfaitement semblables avec, cerise sur le g?teau, l?absolue contemporan?it? de l?un d'eux par rapport ? celui de Rennes-le-Ch?teau. La comparaison est alors vraiment ?difiante et fort instructive? Voici en prime la photo de la premi?re station de 3 Chemins de Croix identiques (m?me cadre, m?me fonds) que celui de Rennes :

1. le premier ?tait aussi un de finition ? extra riche ? ? la base, h?las, exemple de dommage collat?ral du Concile Vatican 2 qui pr?nait moins de luxe pour l?Eglise, il fut enti?rement badigeonn? de blanc par un cur? du lieu bien mal inspir? dans les ann?es 1960 :




2. Le second est aussi un ? extra riche ?, mais avec un fonds guilloch?. C??tait encore une des possibilit?s de chez Giscard.




3. Le troisi?me, une merveille, est le fr?re jumeau de celui de Rennes-le-Ch?teau ? mais avec quelques petites diff?rences. L?heureux ?lu qui pourra les comparer ? loisir s?apercevra avec un peu de patience que certaines ont ?t? cr??es intentionnellement ? l?atelier chez Giscard (preuves ? l?appui), et que d?autres sont en fait des rajouts peints.




Il faut que M. Octonovo n?ait fait absolument aucune recherche ni v?rification
pour oser publier, dans sa note 184 de cette m?me page, que le Chemin de Croix identique "le plus proche de Rennes-le-Ch?teau est celui de Mouthoumet"

Un peu de s?rieux M. Octonovo !
Avant que d?affirmer, rendez-vous sur place et v?rifiez ! Ayez un minimum de respect pour vos ?ventuels lecteurs ! Celui de Mouthoumet, s?il est bien de Giscard, n?a rien ? voir avec celui de RLC : c?est d?abord un cadre gothique de plus petite dimension : 0m80 au lieu de 1m26 de hauteur, ensuite c?est un bas de gamme : command? le 26 d?cembre 1889 (il est donc ant?rieur de 7 ans) par le cur? du lieu l?abb? Germa, il n?a co?t? que 300 frs, c?est ? dire exactement moiti? moins que celui de Sauni?re. On voit donc qu?aucune comparaison ne peut ?tre possible : affirmer le contraire est vouloir sciemment tromper ceux qui vous lisent.

Puisque M. Octonovo soutient fermement
que la d?coration fournie par le statuaire Giscard est semi industrielle et se commande sur son catalogue (? part le rond de bosse au dessus du confessionnal qui est une commande sp?ciale, nous sommes d?accord), je lui serai tr?s fortement gr? de pouvoir nous pr?senter une reproduction de la statue St-Antoine Ermite de RLC telle quelle dans l?un de ses catalogues ant?rieurs ? 1896, ou m?me encore mieux, exactement la m?me statue dans une autre tranquille ?glise de campagne ?


A pr?sent cette d?claration stupide, puisque manifestement bas?e sur rien :
? Enfin, de notori?t? publique, ce chemin de croix a ?t? repeint ? plusieurs reprises par des faussaires, tout particuli?rement les d?tails qui servaient ? cette d?monstration. ?

Les d?tails en question sont principalement
la lune sur la station 14 et les carreaux ?cossais sur un habit de la station 8. Par les faussaires en question, Octonovo vise sans courage l?ancien propri?taire du domaine, Henri Buthion. H?las, des photographies ant?rieures ? son arriv?e ? RLC, celles justement publi?es dans L?or de Rennes de de S?de en 1967, prises en 1964-65, prouvent le contraire . De d?pit, les amis de M. Octonovo ont ensuite accus? No?l Corbu, le pr?d?cesseur de Buthion au domaine. Encore h?las pour eux, j?ai publi? sur ce m?me forum de M. Garcia des photos d?autres stations Giscard pr?sentant les m?mes particularit?s, et provenant d?autres endroits de France o? ne s?est jamais rendu No?l Corbu, r?futant ainsi compl?tement ces accusations gratuites mont?es par les pseudo ? d?bunkers ? de notre ?nigme ? la solde de M. Miecret/Marlin.

Qu?Octonovo veuille bien prendre garde ? ce que raconte la ? notori?t? publique ? : suite ? des ?crits aussi l?gers, elle pourrait bien rapporter ? l'avenir qu?il n?est qu?un imposteur et un ?ne pr?tentieux ?


_______________________________________


? Pour preuve ? la page 204, indice INSEE
"Selon ce proc?d?, le franc-or 1900 vaudrait 2,79 ? en 2005? Le salaire d?un ouvrier ? l??poque est de 40 francs-or par mois, soit 279 ? actuels"

40 x 2,79 = 279 ? Z?ro en calcul, ?l?ve Octonovo !
J?avoue bien aimer cette erreur grossi?re, tellement elle d?montre avec quel soin l?auteur et l??diteur ont attentivement relu le manuscrit ? Au vu du nombre de notes renvoyant aux publications de l?ODS, il est pourtant clair que M. Philippe Miecret/Marlin s?est ? occup? ? du manuscrit, mais pour d?fendre ses propres int?r?ts, et non ceux de son auteur.


_______________________________________


Page 222, annexe 8 :
A propos de ces chers pr?tres du Raz?s de l??poque de Sauni?re,
une derni?re bourde de M. Octonovo (ce n?est h?las pas la derni?re de son livre !) pour la route, qui m?a bien fait rire, et qui d?montre ? quel point le sujet a ?t? survol?, et encore ? tr?s haute altitude :
Le titre donn? est ? lui seul un monument d?anthologie de la recherche castelr??nne et restera tr?s certainement dans les annales :
? LES LETTRES DU VIEUX ?

Le seul probl?me, c?est que l?auteur
de ces fameuse lettres n?est pas un vieux, mais que son patronyme familial est tout simplement Le Vieux, et qu?il est cur? de son ?tat ! On sent bien quand m?me que M. Octonovo a un doute, puisque dans sa page 155 o? il en parle, il alterne en h?sitant les Le Vieux ou du Vieux, au cas o? ? Visiblement, il ne sait de qui il parle. Concernant l?abb? Le Vieux pourtant, la r?ponse est connue depuis 1985 : page 246 de ? L?h?ritage de l?abb? Sauni?re ? de Corbu & Captier (?ditions B?lisane), et dans l?ABC de RLC (Arqa ?ditions, 2008) en sa page 165. Il suffisait de demander...


Mais suis je b?te ?
A en croire M. Octonovo lui-m?me, ? part M. Mensior (pourtant un faussaire, ce qui n?a pas l?air de le g?ner !), il n?y a n?a jamais eu aucun auteur s?rieux sur cette ?nigme, alors forc?ment !

On a les r?f?rences que l?on peut, et quand on part d'aussi bas que M. Octonovo, on peut comprendre qu?on ne puisse les puiser que chez les m?diocres, les menteurs et les faussaires.









Acte 3 ( les mensonges ) : mardi 03 juin ...




Shocked - Je viens de comprendre ce qu'?tait une pi?ce tragi-comique !
Laughing - Comique pour nous qui lisons, mais tragique pour Octonovo ...
Shocked - D'autant plus que nous n'en sommes qu'au deuxi?me acte !
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
F.POUS



Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse

MessagePosté le: Sam Mai 31, 2008 12:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Il faut que M. Octonovo n?ait fait absolument aucune recherche ni v?rification
pour oser publier, dans sa note 184 de cette m?me page, que le Chemin de Croix identique "le plus proche de Rennes-le-Ch?teau est celui de Mouthoumet"


C'est une erreur d'autant plus grossi?re que si c'?tait pour parler d'un simple chemin de croix Giscard, il n'avait qu'? citer celui de Couiza bien plus "proche" que celui de Mouthoumet!
Couiza, Mouthoumet, Esp?raza... tous sont ou ?taient diff?rents de celui de RLC, m?me si certains s'en rapprochaient un peu plus par leurs sc?nes.

Citation:
...je lui serai tr?s fortement gr? de pouvoir nous pr?senter une reproduction de la statue St-Antoine Ermite de RLC telle quelle dans l?un de ses catalogues ant?rieurs ? 1896, ou m?me encore mieux, exactement la m?me statue dans une autre tranquille ?glise de campagne ?


Oui. Si Octonovo peut nous montrer une statue identique, ?a m'int?resse car ?a fait DES ANNEES que j'en cherche une!

Cordialement,
F.POUS
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur
philemon



Inscrit le: 23 Nov 2006
Messages: 468
Localisation: Hainaut

MessagePosté le: Lun Juin 02, 2008 5:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,



Dans un article paru dans la revue de PM, Andr? Goudonet s'interroge sur le fait que c'est peut ?tre Mgr Billard qui aurait envoy? l'abb? Sauni?re ? Rennes… dans son article il parle d'un "Personnat", une promotion eccl?siastique, qu'il aurait demand?e pour Sauni?re.

http://www.renneslechateau.com/francais/mensior1.htm



"Des ann?es plus tard, le m?me ?v?que adresse aux instances administratives une demande d’agr?ment en vue de gratifier l’abb? Sauni?re d’un Personnat. Cette d?marche intervient un peu plus de deux ans apr?s qu'il se soit rendu ? Rennes-le-Ch?teau pour une visite pastorale, le 6 juin 1897, jour de la Pentec?te…" (AG)



Reproduction pomp?e sur l'article de Good.

Ensuite Andr? se demande les raisons qui auraient pu pousser Mgr a une telle mansu?tude, selon les derni?res recherches, Billard n'avait pour Sauni?re qu'un regard d?daigneux… Je rappelle que Jean Jourde ? l'?poque de l'article n'avait pas fait son apparition dans l'affaire.

"En toute hypoth?se, il est possible d'imaginer que deux raisons, diam?tralement oppos?es dans l'esprit, incit?rent Mgr Billard ? proposer son cur? ? cette pr?bende donnant pr?s?ance sur les simples chanoines. Est-ce une marque de reconnaissance et de gratitude offerte par le pr?lat ? son pr?tre pour la restauration compl?te des b?timents et des lieux religieux qu’il a men?e avec brio ? Rennes-le-Ch?teau ? Ou bien, Mgr Billard, alert? par le train de vie men? par B?renger Sauni?re sur sa colline, n’a t-il pas propos? ce Personnat sachant qu'il impliquait n?cessairement le changement d'affectation de son b?n?ficiaire pour une ?glise cath?drale ou coll?giale ? En 1899, les ?glises de l’Aude susceptibles d’accueillir un pr?tre Personnat ne sont pas nombreuses. Sans ?tre exhaustif, on peut citer les cath?drales de Carcassonne et de Narbonne ainsi que les coll?giales de Montr?al et de Castelnaudary. Mais quel que soit le lieu choisi par l’?v?que, l’abb? Sauni?re aurait ?t? entour? de plusieurs religieux (1). Situation nouvelle pour lui qui le dissuaderait sans aucun doute de continuer ses anciennes pratiques exerc?es quand il se trouvait seul et ind?pendant ? Rennes-le-Ch?teau. En agissant ainsi, Mgr Billard alliait l’utile ? l’agr?able." (AG)

Mais la demande de l'?v?ch? est repouss?e :



Idem pour la photo.

"C’est ? cet avis d?favorable, prononc? par M. Henri Sereno, sous-pr?fet ? Limoux, et ent?rin? par son sup?rieur, M. le pr?fet de l’Aude F?lix Regnault, que l’abb? Sauni?re doit d’?tre rest? ? Rennes-le-Ch?teau o? des intentions de messes arrivent toujours plus nombreuses." (AG)

Dans l'article Andr? montre que Sauni?re n'a pas eu connaissance de cette demande.

Or, qu'arrive-t-il ? cette ?poque :

"Fin 1899, avec le titre de Sup?rieur, ce qu’il n’avait s?rement pas demand?,
Jean Jourde revient ? N-D de Marceille ? Limoux. Il reprend les choses en main et stoppe d?finitivement le syst?me des envois de fausses messes g?n?r?s par ses coll?gues Lazaristes aupr?s des cur?s de l’Aude. Ce syst?me n’a plus de raison d’?tre puisque Jourde est de nouveau sur place." (tir? de ce forum - FD)

Le post de Franck continue comme ceci :

"Mais ce que Jourde (et personne) n’avait pr?vu (pr?cis? en note, sauf peut ?tre l'abb? Boudet), c’?tait que l’argent ?tait mont? ? la t?te de Sauni?re, et que ce dernier, quelques mois plus t?t, avait d?cid? de d?tourner le syst?me des intentions de messes ? son profit en en qu?mandant sur toute la France gr?ce ? des Annuaires Eccl?siastiques."

Peut-on imaginer un instant que cette promotion (demande octobre 99), qui ?quivalait ? un d?placement, soit prise parce que l'on savait que Jourde revenait, et qu'ainsi on arr?tait le trafic de messes de Sauni?re, au moins ? Rennes ?

Peut-on penser que la mansu?tude de Mgr soit all? jusqu'? l? ?

Salut,

Philemon
_________________
RLC, c'est plus fort que toi !
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur MSN Messenger
Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Lun Juin 02, 2008 10:55 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Philippe,

Lorsque le 06 juin 1897 Mgr Billard visite l?abb? Sauni?re ? RLC
pour venir b?nir son ?glise fra?chement restaur?e, il n?est pas sans conna?tre le syst?me de financement mis en place par certains Lazaristes de N-D de Marceille, et pour cause puisque l?Ev?ch? a plus que largement particip? ces derni?res ann?es ? ce syst?me, que ce soit en direct ou par le biais de certains de ses proches (Cantegril, vicaire g?n?ral et futur pr?sident du tribunal de l?officialit? qui va ensuite juger Sauni?re, Lasserre, tr?s proche de Mgr puisque copropri?taire avec lui de N-D de Marceille, et b?n?ficier de premier ordre du Chapitre de l?Eglise cath?drale de Carcassonne, c?est ? dire un des plus ?minents eccl?siastiques du dioc?se) ou des institutions sous sa tutelle (le Refuge par ex.).

On peut penser que ce jour l?, Mgr Billard prit de visu la mesure des d?bordements de son cur?:
?glise trop luxuriante, am?nagements connexes (jardins, presbyt?re) n?ayant pas grand chose ? voir avec un lieu de culte, etc. Il comprit alors tous les risques de d?rapage qu?il repr?sentait. Il a alors s?rement pens? que la meilleure fa?on de r?gler par anticipation les probl?mes qui n?allaient pas manquer de se poser du fait de la personnalit? de Sauni?re ?tait de le d?placer avec une promotion.

Mgr Billard, on le sait, savait tendre ses filets.
C?est peut-?tre la raison pour laquelle, 2 ans plus tard, il le proposait pour un Personnat. Et puis, comme tu le soulignes si bien, fin 1899 Jean Jourde rentrait ? N-D de Marceille comme sup?rieur de la petite communaut?. Les Lazaristes ?tant au service exclusif des cur?s de campagne du dioc?se, il n?est pas envisageable que l??v?ch? n?ait pas ?t? mis au courant de cette mutation. Si, comme je le crois, Jourde a bien ?t? ? la base du syst?me permettant le financement de Sauni?re, tout avait quand m?me ?t? fait avec l?accord tacite des autorit?s ?piscopales (d?o? leur participation au syst?me). Il suffisait donc de d?placer Sauni?re, et Jourde, reprenant les choses en main en direct, aurait termin? l??uvre pr?vue avec le successeur de Sauni?re ? RLC.

Mais on a vu que les choses ne se pass?rent pas du tout ainsi ?
Donc tout ce qui pr?c?de n'est que supposition de ma part.

Amiti?s,
Franck.

________________________________

PS: Philippe,

? propos de l'article de Patrick Mensior
dont tu nous fait le lien, une petite remarque: ce dernier a vraiment le "comprenoir" pas tr?s ouvert ! Pour preuve, sans s'en rendre compte, il adresse dans sa note n? 2 ses plus vifs remerciements ? celui qui a vol? les carnets de compta et de correspondance dans les papiers de l'abb? Sauni?re ? RLC ? l'?poque. C'est pas Octonovo, bien entendu, c'est l'autre ... Ou quand un faussaire f?licite un voleur:

"(2) Je tiens tout particuli?rement ? rendre hommage ici aux deux personnes gr?ce auxquelles il est aujourd?hui possible de consulter les carnets de correspondances de l?abb? Sauni?re pour les ann?es 1896 ? 1915 : ? Jean-Pierre Quignard, qui en d?posa un exemplaire aux Archives D?partementales de l?Aude, ? Laurent Buchholtzer, qui les a red?couverts et a eu la g?n?rosit? de les mettre ? disposition de chacun."

Une telle imb?cilit?
?tait bien s?r ? signaler ! C'est Antoine qui va ?tre content ... Je prends en outre une fois de plus M. Mensior en flagrant d?lit de mensonge puisque quand il annonce que M. Buchholtzer (Octonovo) a "red?couvert" les carnets aux archives d?partementales de l'Aude, il sait pertinement que c'est faux puisque ces carnets avaient d?j? ?t? d?couverts par Michel Vallet 3 ans auparavant !!! M. Octonovo l'a d'ailleurs reconnu du bout des l?vres dans son livre apr?s avoir fait croire pendant 4 ans ? la communaut? des chercheurs qu'il avait ?t? le vrai d?couvreur de ces carnets...
Mais nous le savons, M. Mensior n'est pas ? un mensonge pr?s, et nous voyons que M. Octonovo non plus ! Ne cherchons pas plus loin leur communaut? d'int?rets: on comprend pourquoi ils se cirent mutuellement les pompes ...

Mais quand m?me, une imb?cilit? ?norme et un gros mensonge dans la m?me note, c'?tait une performance de Patrick Mensior qui m?ritait d'?tre signal?e. Laughing
Revenir en haut de page Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum -> Autres livres Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10  Suivante
Page 6 sur 10

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum



Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com- Design Copyright © Rennes-Le-Château Archive