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Ou l'histoire d'un grand secret ...
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Avertissement : Ce
forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs.
Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires,
provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer
la discorde. Les membres qui ne respecteront pas ces règles
minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur
récidive, leurs messages seront supprimés. |
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J'ai
conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à
une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années
d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui
découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt
quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de
s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut
dorénavant faire avec...
L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.
J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...
Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...
Jean-Pierre Garcia
"Le Secret
dans l'Art ou l'Art du Secret" est de nouveau
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est composé de nombreuses illustrations,
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exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la
Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …
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Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :
BON DE SOUSCRIPTION
Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.
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TEMPLIERS - Recherches d’authenticité
par George H. Kiess
1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile
et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils
deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.
Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera
ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir
ses conquêtes.
Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques
tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres.
Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs
croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.
Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes
du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie.
Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à
Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus
à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère.
Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de
Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu
des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort…
Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades.
Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?
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10 ans déjà...
C’est avec un immense plaisir que je souhaite
longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du
site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement
provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter
une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se
poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de
protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que
reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien…
car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le
long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une
signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les
tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans
l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui
n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges
longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi
l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce
qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos
chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…
La
suite est ici... 10 ans déjà et plus d'1 million de
visiteurs
Jean-Pierre Garcia |
Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...
du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère
échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres
publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à
dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit
attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de
colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a
priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans
queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses
ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les
rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une
affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère
est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour
qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe
siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....
Les interviews de Franck Daffos sont ici :
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904 |
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Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA |
Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA |
Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA |
Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
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Par George H. Kiess
Editions ARQA |
Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
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Un peu de rêve...
Par
ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui
la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de
feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très
bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ? |
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La Sainte Baume...
Un reliquaire bien gênant...
| Nous
ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet
certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a
été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par
les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...
Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils
tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume
ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par
Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le
Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.
Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette
gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... |
Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013 |
Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles... |
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Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de
l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès... |
Dernières parutions sur le site...
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| Auteur |
Message |
Michel Rzepecki
Inscrit le: 24 Déc 2007
Messages: 28
Localisation: Aude
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 Posté le: Mer Jan 30, 2008 6:00 pm Sujet du message: Les trois d |
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Bonjour Monsieur Pous, (et ? tous)
Comme vous m'y avez invit? dans un message priv?, et voyant que vous "tendez la perche"  , je ferai donc part de mon sentiment sur ces trois d?s et ce qu'ils pourraient aussi vouloir dire.
345 (lire trois, quatre, cinq) est li? ? l'?querre. 345, 543, 435, comme vous le voulez.
Personne n'ignore que le compas et l'?querre sont des symboles de la Franc-ma?onnerie, h?riti?re, entre-autres, d'anciennes corporations de ma?ons op?ratifs. 345 a rapport ? l'?querre.
Je ne sais si B?ranger Sauni?re en faisait partie, mais la pr?sentation l'ann?e pass?e, par Monsieur Antoine Captier, d'une ?charpe ma?onnique du grade de Rose-croix lui appartenant, peut aller dans ce sens. Quand ? Giscard, beaucoup d'?l?ments semblent le montrer.
Tout le monde sait que le compas et l'?querre servent ? tracer diff?rentes formes g?om?triques : cercle, carr?, rectangle, polygones r?guliers, etc. L'?querre se rapporte ? l'angle droit et ? toute construction g?om?trique en d?coulant (notamment le carr? ou le cube). On comprend facilement leur utilisation sur papier pour faire les plans. Par contre sur le terrain, on con?oit leur impr?cision. C'est l? que 345 (ordre de lecture naturel) intervient. Autrefois, cela constituait un v?ritable "secret de m?tier".
Bas? sur le th?or?me de Pythagore, il repr?sente le triangle rectangle avec 3 pour un c?t?, 4 pour le deuxi?me, 5 pour l'hypot?nuse. L'angle droit se forme entre les c?t?s de mesure 3 et 4. Certaines ?querres scolaires sont bas?es sur ce principe. Sur le terrain, 345 permet de faire des angles droits d'une excellente pr?cision. De petits ma?ons (entrepreneurs de ma?onnerie...) utilisent toujours le "truc" et on l'utilise aussi dans l'agriculture pour aligner les plantations. Certes nos appareils optiques modernes sont bien plus pr?cis.
Voici une mani?re de proc?der. Sur une corde suffisamment longue, faites un noeud ? une distance de l'ext?mit? de mani?re ? mat?rialiser une mesure ?talon que vous allez reporter sur la corde, ? la suite, en faisant ? chaque report un noeud pour marquer le point. Faites au total 12 noeuds ? ?gale distance les uns des autres. Vous avez donc sur la corde 12 segments cons?cutifs se terminant chacun par un noeud. Dites ? un ami de tenir le troisi?me noeud, ? un autre le septi?me (3+4) noeud et, quant ? vous, vous joignez l'extr?mit? de d?part de la corde avec le 12?me noeud. La corde bien tendue, vous voil? avec un triangle rectangle 3-4-5 d?pla?able mat?rialisant sur le terrain un angle droit o? se trouve votre premier ami...
Cordialement
MR |
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BURDIGALA
Inscrit le: 11 Avr 2007
Messages: 47
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| Posté le: Mer Jan 30, 2008 8:00 pm Sujet du message: |
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>> Bonsoir Michel,
> Heu...? , Au del? de tes s?rieuses explications tr?s int?ressantes , il y a encore un pil?t de secrets ? trouver pour bien conna?tre 345, notamment avec les d?velopp?s de tous les autres nombres ? 3 chiffres que l'on rencontre, ici ou l?, dans de telle circonstance et dans les tr?s vieux ouvrages...
> 345 par exemple peut se d?composer de cette mani?re :
... 345 + 354 + 435 + 453 + 543 + 534 = 2664 : 6 => 444
... et 345 , c'est donc aussi 444 , ce qui nous ouvre d'autres horizons de compr?hension...
> Amicalement . |
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Lucain
Inscrit le: 28 Juin 2007
Messages: 237
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| Posté le: Jeu Jan 31, 2008 8:44 pm Sujet du message: Re: Les trois d |
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| Michel Rzepecki a écrit: | C'est l? que 345 (ordre de lecture naturel) intervient. Autrefois, cela constituait un v?ritable "secret de m?tier".
Bas? sur le th?or?me de Pythagore, il repr?sente le triangle rectangle avec 3 pour un c?t?, 4 pour le deuxi?me, 5 pour l'hypot?nuse. L'angle droit se forme entre les c?t?s de mesure 3 et 4. Certaines ?querres scolaires sont bas?es sur ce principe. Sur le terrain, 345 permet de faire des angles droits d'une excellente pr?cision. De petits ma?ons (entrepreneurs de ma?onnerie...) utilisent toujours le "truc" et on l'utilise aussi dans l'agriculture pour aligner les plantations. Certes nos appareils optiques modernes sont bien plus pr?cis.
Voici une mani?re de proc?der. Sur une corde suffisamment longue, faites un noeud ? une distance de l'ext?mit? de mani?re ? mat?rialiser une mesure ?talon que vous allez reporter sur la corde, ? la suite, en faisant ? chaque report un noeud pour marquer le point. Faites au total 12 noeuds ? ?gale distance les uns des autres. Vous avez donc sur la corde 12 segments cons?cutifs se terminant chacun par un noeud. Dites ? un ami de tenir le troisi?me noeud, ? un autre le septi?me (3+4) noeud et, quant ? vous, vous joignez l'extr?mit? de d?part de la corde avec le 12?me noeud. La corde bien tendue, vous voil? avec un triangle rectangle 3-4-5 d?pla?able mat?rialisant sur le terrain un angle droit o? se trouve votre premier ami...
Cordialement
MR |
Merci Michel d'expliciter si bien une partie de ce que je sugg?rais il y a quelques mois...
http://www.rennes-le-chateau-archive.com/forums/viewtopic.php?p=4112&highlight=#4112
Savez-vous comment on d?nommait cette corde, h?rit?e des Anciens ? Tout simplement la CORDE DES DRUIDES...! Voil? qui devrait susciter un peu d'attention je crois.
On avance...
Bien amicalement,
Lucain |
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Simple Curieux
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 350
Localisation: GOURDON, 46
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| Posté le: Ven Fév 01, 2008 8:37 am Sujet du message: |
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Bonjour ? tous.
Mon activit? professionnelle ne me permet pas de consacrer assez de temps ? notre affaire.
Mais je profite de ces quelques minutes pour vous saluer.
Pour ceux qui ne l'auraient pas saisi: il est tr?s utile de relire les messages de Lucain depuis son inscription.
C'est une opinion personnelle et ceci est vrai pour d'autres auteurs, bien s?r.
Mais je profite de ce message de Lucain pour le signaler.
Amiti?s.
_________________
Simple Curieux (Jacques MAZIERES)
http://pagesperso-orange.fr/etude-rlc/index.html |
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Christian Attard
Inscrit le: 20 Mar 2007
Messages: 543
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Mer Fév 20, 2008 5:28 pm Sujet du message: |
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Les archives municipales de la ville de Toulouse viennent enfin de rendre disponible le Fond Giscard et c?est une aubaine pour tous les passionn?s du travail des ma?tres statuaires toulousains.
Apr?s avoir montr? pattes blanches, et s??tre arm? de patience, on finit par tenir en mains les vieux registres recouverts du papier de nos cahiers d?autrefois.
Au fil des pages s??gr?nent les commandes.
Les ?tablissements sp?cialis?s dans les d?corations religieuses eurent essentiellement des pr?tres comme premiers interlocuteurs et j?ai eu la joie de retrouver les chemins de croix d?nich?s avec peine par Fran?ois ou moi-m?me.
Enfin, j?ai pu en conna?tre les commanditaires et la date de leur commande. Ils ?taient bien tous contemporains ? un ou deux ans pr?s de celui de Rennes.
Le chemin de croix qui nous concerne est qualifi? de ? Roman ? mais la maison Giscard en vendait ?galement des ? gothiques ?. Il est d?sormais plus ais? de savoir o? d?autres chemins similaires se trouvent et j?ai pu en noter bon nombre afin de mieux les comparer. A ce propos je vous invite ? aller voir les deux pages de mises en comparaison du CDC de Rennes avec ceux d?autres ?glises sur mon site : www.reinedumidi.com
Les ?tablissements pouvait livrer les stations soit peintes en blanc soit plus ou moins richement orn?es en "polychromie" selon le treme de l'?poque.
Cependant la commande du chemin de croix de Rennes-le-Ch?teau ne figure pas dans les registres que l?on a bien voulu mettre ? ma disposition. A suivre donc ...
Seules deux commandes dat?es du 10 et 25 janvier 1891 sont pr?sentes dans les registres que j?ai eu le temps de consulter : elles concernent la chaire de style roman, conforme au mod?le 78-79 de l?album et un bas relief avec statue pour le frontispice de la porte d?entr?e lui aussi not? comme conforme au mod?le.
L?on peut aussi retrouver les paiements et leur modalit?s pour Sauni?re : tr?s variables, esp?ces, factures ? effets, mandat poste?.
Ce n?est qu?un d?but sur de passionnantes recherches permises par cette mise ? disponibilit? des archives municipales.
J'esp?re ne pas avoir ?t? "inutilement" trop long !
Amicalement,
Christian |
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P.MERLE
Inscrit le: 19 Jan 2007
Messages: 518
Localisation: r?gion toulousaine
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| Posté le: Jeu Fév 21, 2008 12:32 am Sujet du message: |
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Bonjour .
Une station XIV que nous connaissons, en finition "grand luxe", dans une ?glise du Gers .
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Christian Attard
Inscrit le: 20 Mar 2007
Messages: 543
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Jeu Fév 21, 2008 12:44 pm Sujet du message: |
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Bonjour Patrick,
Merci pour ton message mais cette station est une de nos "connaissances", je retrouve ces peintures ternies par les fum?es et statues et d?cors d'arri?re-plan.
Je crois que j'ai montr? cette vue (en moins bonne) sur un autre sujet consacr? ? l'?glise de Rennes,
Amicalement,
Christian
Je reprends la suite de mes petites d?couvertes aux archives municipales :
Le 20 novembre 1896
Notre abb? Sauni?re passe la commande suivante aux ?tablissements Giscard :
Un St joseph avec enfant
Une Ste Vierge avec enfant
Un St Antoine de Padoue avec enfant sur le livre
Une Marie-Madeleine
Un Antoine Ermite
Une Ste Germaine aux deux agneaux
Un St Roch
Il est not? :
Statues, chemins de croix, bas reliefs se reporter pour l?ex?cution ? la ? ? ? (suit un mot illisible pour moi, mais qui est peut-?tre une r?f?rence au contrat pass? entre Giscard et Sauni?re)
Terre cuite Polychrome
Le tout pour 2500 Frs
Je bute sur ce foutu mot apr?s ?ex?cution ? la ? que je n?arrive pas ? comprendre.
Rien de bien nouveau ici qui n?ait ?t? dit dans le contrat montr? sur le site.
Le 28 janvier 1897
Un b?nitier form? par 4 anges, signe de croix,
Coquille support?e par un diable largeur 0.80 hauteur 2.50 on peut donner d?avantage de profondeur ne pas d?passer 60 cts
D?cor? extra-riche avec yeux ?mail
8 socles pour pots de fleurs ? 6 f 00 pi?ce
Au haut de la croix qui doit surmonter l?ensemble une banderole sur laquelle sera inscrit ces paroles : ? par ce signe tu le vaincras ?
Le tout pour 300 frs 00
Cela est bien surprenant rien n?est indiqu? faisant mention d?un traitement sp?cial except? les dimensions et les yeux ?mail
Le 10 mars 1897
Et l? c'est une surprise car je ne crois pas que quelqu'un ait d?j? ?voqu? cela !!
Une Ste B?reng?re culot compris 0m90
Un bon pasteur culot compris 0m90
? ? ? ? du sacr? c?ur
rayons dor?s statues yeux en ?mail, d?cor blanc, chairs peintes
Au prix de 200 Frs
Voil? pour l?instant mais le fond Giscard continue quotidiennement ? ?tre class? et r?pertori?. Il deviendra doucement accessible aux curieux et chercheurs, il est bien dommage que d?autres statuaires n?aient pu sauver leurs archives, Monna par exemple.
Je pr?cise que la s?curit? de ces archives est parfaite, nul n'y acc?de sans d?cliner son identit?, pi?ces justificatives ? l'appui. Ceci dit pour certains malfaisants aux ?mes basses.
Amicalement,
Christian
[/b] |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Jeu Fév 21, 2008 11:03 pm Sujet du message: |
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| P.MERLE a écrit: | Bonjour .
Une station XIV que nous connaissons, en finition "grand luxe", dans une ?glise du Gers .
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Bonsoir Patrick,
d?sol? de te couper un peu l'?lan,
mais cette station n'est pas identique ? celle de RLC. Si tu l'?tudies bien, tu remarqueras qu'elle poss?de un cadre diff?rent, de plus avec la d?coupe int?rieure sup?rieure trilob?. Celle de RLC n'a qu'un lobe. tu pourras ais?ment le v?rifier avec sa photo qui se trouve sur ce site.
Pour pouvoir comprendre comment a ?t? agenc? le CdC de RLC,
il faut donc absolument, pour comparaison, en retrouver un ayant le m?me fonds ( station 1 au griffon) dans exactement le m?me cadre.
Comme celui-ci par exemple, exactement m?me fonds et cadre:
Bien entendu, j'ai les exactement les m?mes en polychromie en r?serve 
provenant des 4 coins de la France... Mais il faut savoir que ces CdC sont extr?mement rares, puisque beaucoup moins d'une dizaine sont r?pertori?s.
Amiti?s,
Franck. |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Jeu Fév 21, 2008 11:37 pm Sujet du message: |
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| Christian Attard a écrit: |
Je reprends la suite de mes petites d?couvertes aux archives municipales :
Le 20 novembre 1896
Notre abb? Sauni?re passe la commande suivante aux ?tablissements Giscard :
Un St joseph avec enfant
Une Ste Vierge avec enfant
Un St Antoine de Padoue avec enfant sur le livre
Une Marie-Madeleine
Un Antoine Ermite
Une Ste Germaine aux deux agneaux
Un St Roch
Il est not? :
Statues, chemins de croix, bas reliefs se reporter pour l?ex?cution ? la ? ? ? (suit un mot illisible pour moi, mais qui est peut-?tre une r?f?rence au contrat pass? entre Giscard et Sauni?re)
Terre cuite Polychrome
Le tout pour 2500 Frs
Je bute sur ce foutu mot apr?s ?ex?cution ? la ? que je n?arrive pas ? comprendre.
Rien de bien nouveau ici qui n?ait ?t? dit dans le contrat montr? sur le site. |
Bonjour Christian,
voil? je pense la page du cahier
de planing de fabrication de l'atelier de chez Giscard que tu cites en r?f?rence:
le mot que tu ne comprends pas
est tout simplement le nom d'une femme qui travaillait ? l'atelier et qui supervisait les commandes sp?ciales: Mme Pralier, ou Pradier ? (faudrait que je retrouve mes notes).
M. Giscard indique tout simplement
qu'il ne faut pas attaquer la fabrication du CdC, des statues et des bas-reliefs destin?s ? l'abb? Sauni?re(s) sans que cette personne ne soit au courant et n'indique les modifications ? apporter par rapport aux mod?les standard.
le texte se lit donc ainsi: "Statues, Chemin de Croix, bas-reliefs, se reporter pour l?ex?cution ? la Pralier..." sous-entendu qui indiquera les modifications ? effectuer.
C'est donc la preuve que des modifications bien pr?cises avaient ?t? demand?es !
Bien amicalement,
Franck. |
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Christian Attard
Inscrit le: 20 Mar 2007
Messages: 543
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Ven Fév 22, 2008 8:36 am Sujet du message: |
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Je n?ai pas envisag? l?hypoth?se d?un nom propre, pensant que Bernard Giscard surtout ? cette ?poque ne parlerait pas ainsi d?une de ses collaboratrices et que en comparaison le mot ne porte pas de P majuscules identifiables par ailleurs.
On note sur cette photo (je n?ai pas volontairement diffus? les miennes sans accord sp?cifique des archives municipales, sachant le sort des images sur Internet, et ensuite n?importe o?) que le mot n??tait pas suivi d?un point. Point et majuscule surajout?s ensuite pour commencer Terre-cuite polychrom?.
Mais Mme Pralier n?est pas impossible.
Fort heureusement les chemins de croix vendus sont mentionn?s dans les registres avec leur style (roman ou gothique).
Je n?ai malheureusement ni le temps, ni les finances n?cessaires ? des recherches syst?matiques sur le terrain mais continuerai dans la mesure de mes possibilit?s ? vous tenir inform? ? au fur et ? mesure - et b?n?volement de mes re-d?couvertes post-Daffosiennes.
Mais o? est pass?e Ste B?reng?re ? 
Amicalement,
Christian |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Ven Fév 22, 2008 9:05 am Sujet du message: |
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Bonjour Christian,
ne crois-tu pas que depuis plus de 35 ans
que nous nous passionnons pour cette affaire, ?tant moi-m?me de Toulouse, nous n'avons jamais eu l'id?e d'aller visiter M. Giscard (qui entre nous chassait avec des amis ? moi) ?
Nous avons beaucoup d'autres choses
sur les Ets Giscard qui ne sont pas aux Archives de Toulouse ... Notament certains Chemins de Croix qui sont impossibles ? d?celer gr?ce ? ces m?mes Archives auxquelles il manque h?las une douzaine d'ann?es de sa production et comptabilit?.
Amicalement,
Franck. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Ven Fév 22, 2008 11:07 am Sujet du message: |
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Franck a ?crit:
| Citation: | Nous avons beaucoup d'autres choses
sur les Ets Giscard qui ne sont pas aux Archives de Toulouse ... Notamment certains Chemins de Croix qui sont impossibles ? d?celer gr?ce ? ces m?mes Archives auxquelles il manque h?las une douzaine d'ann?es de sa production et comptabilit?. |
...et ce n'est pas plus mal comme ?a!
Il reste ainsi toujours l'espoir de d?couvrir un beau CdC Giscard au d?tour d'une ?glise.
FP
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BURDIGALA
Inscrit le: 11 Avr 2007
Messages: 47
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| Posté le: Ven Fév 22, 2008 7:57 pm Sujet du message: |
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>> Bonsoir Franck,
> Sous r?serve de v?rification, je te propose : " ...Ex?cution ? la pralin... " qui est une m?thodologie de travail pour l'ex?cution notamment de statues de terre cuite afin de rendre le plus lisse possible la surface des personnages ex?cut?s ( se fait avec un esp?ce de pinceau plat ) et qui permet par la suite ( apr?s s?chage) de les polychromer tr?s uniform?ment brillant.
> D'ailleurs , la premi?re lettre de ce mot " P " semble ?crit de la m?me mani?re " gothique " que le " P " du mot polychrome qui suit ...et les 2 de la main de Sauni?re.
> Le pralin est en fait une esp?ce de " popote secr?te d'Artisan " ? base de m?lange de terre fine, et de colle naturelle probablement v?g?tale. Ce terme de pralin est connu dans d'autres domaines , tel d'ailleurs en patisserie ...pralin d?rive de pralin? et qui recouvre.. glac? ( = terme patissier= lisser de couleur lisse et brillante ) le g?teau pralin?...
> Heu ...? " la bouillie bordelaise " est en fait aussi un pralin...puisqu'on l'utilise en pralinage ( = recouvrir pour prot?ger ou isoler) des racines des arbres, arbustes , etc,... avec les boutures que l'on veut planter dans le jardin... IOI !
> Amiti?s. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Ven Fév 22, 2008 10:41 pm Sujet du message: |
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Mais tout ?a me semble tr?s pertinent M. Burdigala !
Attendons l'avis de Franck sur le sujet.
Quand vous dites "les P des deux mains de Sauni?re", attention il ne s'agit pas ici de l'?criture de Sauni?re.
C'est quelqu'un de la maison Giscard qui a ?crit ?a.
Mais peut-?tre ai-je mal interpr?t? ce que vous avez voulu dire.
Bien cordialement,
F.POUS |
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BURDIGALA
Inscrit le: 11 Avr 2007
Messages: 47
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| Posté le: Ven Fév 22, 2008 11:18 pm Sujet du message: |
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>> Oui F Pous, " erratum for me " il s'agit plut?t du cahier planning d'?x?cution de l'atelier Giscard...car en prime, en marge, il est indiqu? " livr? " ( livr? ? Sauni?re !...)... mais le texte calligraphi? est bien de la m?me main comme Tu peux le voir... et en aucun cas, il ne peut s'agir de celle de la main de Mme Pralier ou Pradier. Qui est'elle donc cette Femme pour que l'on se souvienne encore de son nom ?...Madame " pipi ? " ...
> Heu ? ..., A ce sujet, j'aurais bien aim? voir le m?me texte correspondant ? la statue du Diable, voir de ce fait, sa d?nomination ?crite sur ce cahier ?
> Amiti?s. |
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