Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum


    Ou l'histoire d'un grand secret ... 

 

 

Avertissement : Ce forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs. Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires, provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer la discorde.  Les membres qui ne respecteront pas ces règles minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur récidive, leurs messages seront supprimés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Messages du Web master

 

   J'ai conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut dorénavant faire avec...

 

   L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.

      J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...

 

       Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...  

Jean-Pierre Garcia               

 

        "Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret"   est de nouveau disponible

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   Ce livre de 424 pages couleurs est composé de nombreuses illustrations, photos et synoptiques qui accompagnent l'aventure... L'ouvrage comblera les initiés mais aussi ceux qui souhaitent découvrir l'affaire simplement en découvrant les plus belles surprises de ces dernières années. Pour commander, rien de plus simple. Remplissez le bon et envoyez-le à l'adresse indiquée. Paiement possible par Paypal ou par chèque français...   L'ouvrage est également disponible à la boutique  Aux Portes de Rennes

  Patrick Pourtal, Webmaster du site  "Rennes-Le-Château - Le dossier" me proposa en juillet 2008 de répondre à ses questions suite à la sortie du livre "Le Secret dans l'Art". C'est avec un grand plaisir que je me suis mis à ma plume. Vous trouverez mes réponses ici : http://www.rennes-le-chateau.org/rlctoday/int-jpg.asp

Je remercie également André Douzet pour avoir publier une page critique sur "Le Secret dans l'Art"
Vous pouvez la découvrir ici :
http://www.societe-perillos.com/som_garcia.html

 

Site partenaire

   Les Editions ARQA éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art, aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …

 
Nouveautés à lire ...          

Pour voir le clip d'annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=qItG4rZc8KQ

 

 

Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :

BON DE SOUSCRIPTION

 

Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.

TEMPLIERS - Recherches d’authenticité

par George H. Kiess

 

    1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.  Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir ses conquêtes. Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres. Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.

   Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie. Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère. Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort… Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades. Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?

 

               10 ans déjà... 

           C’est avec un immense plaisir que je souhaite longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien… car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
      Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…

 

La suite est ici...  10 ans déjà et plus d'1 million de visiteurs

Jean-Pierre Garcia       

 

        Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...

   du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....

 

Les interviews de Franck Daffos sont ici :

http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904

 



Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA



Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA



Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA

Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
 

Par George H. Kiess
Editions ARQA

Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA

Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA

 
 

Un peu de rêve...

    Par ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ?

 
La Sainte Baume... Un reliquaire bien gênant...
 
   Nous ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...

   Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.

   Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... 


Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013

Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles...

 

Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès...

 
Dernières parutions sur le site...
 

 
Sanctuarium De

 
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babast



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MessagePosté le: Lun Juil 23, 2007 7:56 pm    Sujet du message: Sanctuarium De Répondre en citant

Bonjour ? tous.

Je voudrai revenir sur ce "Sanctuarium De?" de NdM, dont Franck nous a parl?. Je ne vois pas en quoi, comme Franck le dit, cette expression est une abb?ration, un non-sens...

J"ai cherch? pendant un moment la d?finition de ce mot :

- Lieu dans lequel on c?l?bre un culte [Religion] (Internaute Encyclop?die).

- ?difice religieux, lieu saint en g?n?ral.
Partie de l'?glise situ?e autour de l'autel, o? s'accomplissent les c?r?monies liturgiques. (Answers.com)

Dictionnaire Bible :

- Dans le langage courant, nous attachons au mot sanctuaire la notion
d'un ?difice dans lequel se trouve un local sp?cialement consacr? ?
la divinit?.
Quand on parle des sanctuaires d'Isra?l, il faut prendre
le mot dans un sens plus ?tendu: tout lieu sacr?, couvert ou non
couvert, ferm? ou non ferm?, o? Dieu (un dieu) ?tait cens?
particuli?rement ?tre pr?sent et o? on lui apportait sacrifices et
offrandes.
1.
En Isra?l, les sanctuaires ?taient nombreux et consacr?s ? l'?ternel;
ils ?taient tous envisag?s comme l?gitimes avant la r?forme de Josias
(621), inspir?e par le Deut?ronome. La multiplicit? des sanctuaires
est express?ment autoris?e par la loi ancienne (Ex 20:24,26,
qui donne des instructions sur la mani?re de construire un autel et
dit ? ce propos: ?Partout o? je rappellerai mon nom?, c-?-d, partout
o? j'aurai donn? un signe ?vident de ma pr?sence, je ?viendrai ? toi
et je te b?nirai?, c-?-d, j'accepterai tes offrandes et j'exaucerai
tes pri?res).

Aussi, sans parler du temps des patriarches et de
l'?poque mosa?que, l'histoire mentionne-t-elle des actes de culte
accomplis dans les lieux les plus divers. (dictionnaire de la bible), mais voici le lien de la page ICI

Lexilogos :
- 1?
En g?n?ral, lieu ferm? et consacr? par la religion.

- 2?
Chez les Juifs, le lieu le plus saint du temple, o? reposait l'arche et qui se nommait autrement le saint des saints.

- 3?
Chez les pa?ens, il s'est dit, dans un sens analogue, du lieu le plus saint du temple. La pythie rendait des oracles dans le fond du sanctuaire.

- 4?
Chez les chr?tiens, l'endroit de l'?glise o? est le ma?tre autel, et qui est ordinairement entour? d'une balustrade. Un beau sanctuaire. (Lexilogos lettr?)

- Endroit le plus saint d'une ?glise. (Dico-Latin)

- Partie de l'?glise, situ?e autour de l'autel, o? s'accomplissent les c?r?monies liturgiques. (Autres)

Non pas que je veuille r?futer quoi que ce soit, et en plus je ne m'y connais pas ?norm?ment en religion, je voudrais simplement savoir pourquoi on ne peut citer un "Sanctuaire de Dieu" ? ? ?

Bien ? vous tous.
_________________
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F.POUS



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MessagePosté le: Lun Juil 23, 2007 9:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Babast,

Le probl?me c'est que tu ne parles QUE du mot "sanctuaire" dans tes d?finitions.
A NDM ce sont LES DEUX mots qu'il faut associer: SANCTUARIUM et DEI !

Je ne suis pas assez sp?cialiste en religion mais en tout cas je n'ai jamais vu ? ce jour une telle inscription dans une ?glise.
M?me si, bien entendu, je suis tr?s loin d'avoir fait le tour de toutes les ?glises de France!

Partant du principe qu'un sanctuaire est g?n?ralement li? ? une relique, parler d'une relique de Dieu est pour le moins surprenant. A part (osons le dire!) Les Tables de la Loi qui ont un rapport direct avec Dieu, pour le reste il n'y a pas foule...

Bien ? toi.
Fran?ois
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babast



Inscrit le: 25 Oct 2006
Messages: 680
Localisation: Nord,Flandres

MessagePosté le: Lun Juil 23, 2007 9:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il me semblait bien avoir compris ?a mardi...mais une des d?initions dit : En Isra?l, les sanctuaires ?taient nombreux et consacr?s ? l'?ternel;...

Bon, on va me r?pondre que c'?tait en Isra?l...mais c'est en lisant ?a que je me suis pos? la question...Sanctuarium est peut-?tre li? a la Vierge Noire, tout compte fait...mais la basilique en elle m?me reste un lieu ou l'on trouve Dieu...comme tout lieu semblables...Pourquoi devrait on associ? obligatoirement Sanctuarium ? De? ? ? ? C'est surtout que cette allusion lors de la visite m'avait interppel?e...et que j'essaie depuis de comprendre pourquoi il y a cette phrase en ce lieu...D?s qu'il y a du myst?re...

Bien ? vous tous.
_________________
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Christian Attard



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MessagePosté le: Lun Juil 23, 2007 11:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

je reporte ici cette fin de message post? sur le sujet Rennes les bains:

".../... Le temple privil?gi? a vu une foule, plus consid?rable que jamais, s'agenouiller et prier dans l'enceinte sacr?e.../..."
Boudet ne peut utiliser qu?? dessein le terme si peu appropri? de "temple" pour une ?glise. ( Il vient d??voquer les enfants de St Vincent et ne se place donc plus dans l?antiquit?).

Sur la station XII de Rennes le Ch?teau, St Jean tient entre ses mains un livre clos, scell? symbolisant ainsi un texte dit herm?tique.
Cela peut faire penser ? l'apocalypse , bien sur.
St Jean l?aigle de Patmos, l?aigle qui seul regarde le soleil en face (voir orientation du sanctuaire), St Jean le saint patron des imprimeurs... L?aigle au lutrin plac? face au c?ur de Notre Dame de Marceille.
St Jean dont l?apocalypse en AP XI ? XIX dit :
? Le Temple sanctuaire de Dieu s'est ouvert et on a vu l'arche de son alliance.. ?
Notez les mots ? TEMPLE ? - ? SANCTUAIRE DE DIEU ? et ? ARCHE - ALLIANCE ?
Vous ne pensez pas que c'est plus qu'une co?ncidence ?
Les pr?tres de ND de Marceille ont insist? sur cette notion de "Sanctuaire de Dieu", plac? au-dessus de lui deux pochoirs parfaitement identiques de l'arche d'alliance et un temps (vers 1900) au-dessus du coeur une ?toile de David avec ? l'int?rieur une croix (symboles de l'ancien et du nouveau testament).
c'est beaucoup !
Trop peut-?tre aussi ???
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Roger



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MessagePosté le: Mar Juil 24, 2007 11:51 am    Sujet du message: Répondre en citant

Saint Augustin (lui-meme!), dans son sermon "15 bis", nous parle de choses interessantes a propos d'une Basilique... "SERMO HABITVS HIPPONI ZARITO IN BASILICA MARGARITA X KAL+ OCTOB+ V FERIA DE RESPONSORIO PSALMI XXXII {EXVLTATE IVSTO IN DOMINO RECTOS DECET LAVDATIO} in dei laude gaudere et laudi dei uiuendo congruere admonet nos quod modo cantauimus: {exultate iusti in domino, rectos decet laudatio}. si enim rectos decet, prauos non decet. qui autem recti, ipsi etiam iusti sunt, quibus dicitur ut exultent in domino: ipsos enim decet laudatio. qui autem praui, nisi peccatores et iniqui, qui in domino exultare non possunt, quoniam non eos decet laudatio? merito dicitur in alio psalmo: {peccatori autem dicit deus: ut quid tu enarras iustitias meas, et adsumis testamentum meum per os tuum}? quoniam rectos decet laudatio, et utique iustificationes domini et testamentum domini ibi est ubi laus domini, merito et alibi dicitur: {non est speciosa laus in ore peccatoris}. ubi enim non decet, speciosa non est; et ubi speciosa est, ibi decet. qui sint tamen proprie recti uiri, ut quisque agnoscat utrum in ore suo speciosa sit laus dei, quaerentes scripturas inuenimus hoc modo. psalmus quidam dicit: {quam bonus deus Israhel rectis corde}! et sequitur: {mei autem paene commoti sunt pedes, quia zelaui in peccatoribus, pacem peccatorum intuens}. confitetur iste, non quidem auersionem et casum suum, sed tamen periculum. non enim se cecidisse dicit, sed pedes suos nutasse ut caderet. hoc enim ait: {quam bonus deus Israhel rectis corde! mei autem paene commoti sunt pedes}. cum se per hoc quod est {autem} discernit a rectis corde, confitetur se aliquando non fuisse rectum corde, et ideo paene commotos pedes suos. {bonus} ergo, inquit, {deus Israhel rectis corde}. mihi autem aliquando non est uisus bonus, quia non eram rectus corde. non est autem ausus dicere: non est mihi deus uisus bonus, sed tamen hoc dixit. cum enim ait: {bonus deus Israhel rectis corde; mei autem paene commoti sunt pedes}, ostendit quia propterea moti sunt pedes, quia non ei uidebatur bonus. unde autem non ei uisus est bonus deus? {paulo minus effusi sunt gressus mei. paulo minus}, quid est? {paene effusi sunt}. unde? {quia zelaui in peccatoribus, pacem peccatorum intuens}. attendi inquit peccatores non colentes deum, blasphemantes deum, irritantes deum. uidi quod abundent pacem, abundent felicitatem. et uisum est mihi quod non recte iudicet deus, blasphematoribus suis donans felicitatem. hoc ergo cum intueretur, id est, felicitatem malorum, dixit nutasse pedes suos ut non ei uideretur bonus deus. sed quia postea cognouit, sicut in ipso psalmo dicit: {suscepi ut cognoscerem}, et addidit: {hoc labor est ante me}, quare sint iniqui felices, {hoc labor est ante me}, ait, {donec introeam in sanctuarium dei, et intellegam in nouissima eorum}, quia quibus modo iniquis ad tempus datur felicitas, seruatur in nouissimo poena sempiterna. hoc cum cognouisset, factus est rectus corde, et coepit laudare deum in omnibus, et in laboribus piorum, et in ipsis felicitatibus impiorum, attendens deum iustum esse retributorem in nouissimis, nunc uero dare quibusdam temporalem felicitatem quibus seruat in extremo sempiternam infelicitatem, et quosdam pios exercere in praesenti infelicitate quibus rursus seruat aeternam felicitatem; et oportere ut mutentur uices, tamquam diuitis illius qui epulabatur cotidie splendide, et pauperis illius ulcerosi iacentis ad ianuam diuitis, et de micis quae cadebant de mensa diuitis saturari concupiscentis. cum autem mortui essent ambo, ille in poena in inferno esse coepit, ille in sinu Abrahae requieuit. et cum indignum uideretur diuiti, et uellet sibi de modico digito Lazari stillari guttam aquae, uicissim de digito ipsius desiderans guttam, de cuius mensa ille desiderauit micam, audiuit ab Abraham sententiam recti dei: {fili}, inquit, {memento quia percepisti bona in uita tua, Lazarus autem mala, nunc uero hic requiescit, tu autem torqueris}. in haec nouissima intendit aspectum intrans in sanctuarium dei ille, cui non uidebatur bonus deus quia zelauit in peccatoribus pacem peccatorum intuens. et agnoscens iudicium dei uerum et iustum, quod quidem modo agitur, sed occulte, futurum in fine in manifestatione, et tamquam correcto corde ex prauitate propria, admota uelut regula iustitiae dei qua cor tortum corrigeretur, erupit in hanc uocem et ait: {quam bonus deus Israhel rectis corde}! modo intellego bonum, quia factus sum rectus corde. antea uero non mihi uidebatur bonus, quia nutabant pedes mei: {zelaui} enim {in peccatoribus, pacem peccatorum intuens}. si ergo iam tibi uidetur bonus deus et quando malis dat felicitatem, unde solebas murmurare aduersus deum, factus es rectus corde, decet te laudatio: {rectos} enim {decet laudatio}. si autem sis prauus, non te decet laudatio. quare non te decet? non erit perseuerans laus qua laudas deum. laudas enim deum, quando tibi bene est; blasphemas deum, quando tibi male est. etenim tunc tibi placet quando dat felicitatem; displicet autem quando castigat. non es rectus corde, non poteris dicere canticum illud alterius psalmi [... etc... ]"

Le terme "Sanctuarium Dei" est employe tres souvent dans la vulgate, et meme par Martin Luther (qui s'insurge contre les decorations dans les eglises!).
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Christian Attard



Inscrit le: 20 Mar 2007
Messages: 543
Localisation: Toulouse

MessagePosté le: Mar Juil 24, 2007 10:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

A noter ce qui peut-?tre un jeu de mot d?finitif et post-mortem de Boudet qui est enterr? ? Axat. Ce qui semble avoir ?tonn? apr?s sa longue pr?sence ? Rennes.
Ce nom d'axat me fait souvent penser ? la mosqu?e Al Aqsa sous laquelle certains pensent que l'arche peut toujours se cacher !
Dernier clin d'oeil ?rudit ?
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athos



Inscrit le: 17 Avr 2007
Messages: 13

MessagePosté le: Ven Juil 27, 2007 8:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir Christian,

Axat peut faire aussi penser ? AKSOUM o?, selon d'autres sources, l'arche originale est sens?e se trouver!

http://www.infomysteres.com/histoire/histoire42.htm

bonne qu?te ? tous

Pierre
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Christian Attard



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Messages: 543
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MessagePosté le: Ven Juil 27, 2007 9:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Pierre,

Heureux de te lire.
Oui, un britannique Graham Hancock a beaucoup travaill? sur la piste aksoum.
Son livre sur l'arche perdue est tr?s instructif. Il rattache son itin?raire ? un transfert apr?s des oppositions religieuses plut?t qu'? un vol commis par menelik, fils des amours de Salomon et de la Reine de Saba-Makeba. Mais l? ce n'est plus le prieur? de Sion mais l'?glise de zion !
Les templiers semblent avoir laiss? des traces de leur passage dans la r?gion et il est fort probable qu'ils ne soient pas repartis les mains vides !
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Roger



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MessagePosté le: Sam Juil 28, 2007 2:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Etant tres intrigue par le livre de Hancock, je me suis rendu a Axum peu de temps apres la parution du livre. Je n'ai pas pu me rendre a Elephantine Island, par contre, ce qui tres dommage car c'est "le verrou" de sa these.

De ma visite a Axum, j'ai retenu la conviction que l'Arche n'y est pas, mais que suffisemment d'indices concrets peuvent porter a croire qu'elle y fut. Malheureusement, des recherches serieuses ne sont pas envisagees dans un avenir proche, car la region est tres instable et cette legende a des ramifications politiques pour presque tous les partis qui s'opposent dans la region.

Encore une enigme qui mijote sur le feu...
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F.POUS



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MessagePosté le: Lun Oct 08, 2007 3:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Suite ? une discussion priv?e avec l'ami "Simple Curieux" ? propos de l'?nigmatique Sanctuarium Dei de NDM, je lui disais que ces deux mots li?s ensemble ?taient introuvables dans une ?glise, et que, m?me pris s?par?ment ils ne sont pas fr?quents non plus!
Nous ne reviendrons pas sur les nombreux sanctuarium Dei des textes en latin de St-Augustin (nous en avons d?j? parl?), seulement d'inscription SANCTUARIUM plac?e bien en ?vidence dans le choeur d'une ?glise.
A ce jour je n'en ai trouv? qu'une seule. Dans une ?glise de Haute-Garonne. La phrase plac?e bien en vue dans le choeur de l'?glise, tout en haut nous dit ceci (voir photo).
Cette phrase peut, d'apr?s "Simple Curieux", pr?senter des diff?rences de traduction, mais certaines peuvent aussi surprendre.
Je le laisse volontiers r?pondre ? ce message.

Bien cordialement,
F.POUS


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Simple Curieux



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MessagePosté le: Lun Oct 08, 2007 5:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bravo Fran?ois. Encore une trouvaille.

Je suis un latiniste tout a fait moyen.
Et s?rement pas un sp?cialiste des ?critures saintes.
En latin litt?ral, "pavete ad sanctuarium meum" se traduit par "ayez peur de mon sanctuaire".

Un peu ?tonnant.
J'ai fait quelques br?ves v?rifications: Cette phrase est extraite de l'ancien testament: L?vitique, chapitre 26 verset 2.
On en trouve donc des traductions en fran?ais.
N'?tant pas sp?cialiste je suis all? sur wikipedia qui donne les coordonn?es de deux traductions du d?but du XXe si?cle.
Je les ai consult?es toutes les deux.
Les 2 auteurs ont traduit par "respectez mes sanctuaires".

Je suis donc all? ouvrir le dictionnaire de F?lix Gaffiot, La R?f?rence.
Il donne deux sens ? pavere:
1: ?tre envahi par un sentiment profond
2: avoir peur.
Et pas respecter...c'est le probl?me de la traduction.

Ceci m'a inspir? plusieurs r?flexions:
- pavor en latin a donn? peur en fran?ais.
- pavor derive du m?me mot que le phobos grec (crainte) qui d'ailleurs se prononce fovos.(pavor-fovos, la parent? est ?vidente). Le sens

original de pavere est bien avoir peur.
- le texte grec que j'ai v?rifi? dit phobithesesthe, et exprime bien la notion de craindre et non de respecter.
- les traducteurs ont ?dulcor? le sens du texte, sans doute parce que la crainte ? l'?gard du Seigneur est moins dans l'air du temps et qu'on esp?re s?duire les fid?les plut?t que les motiver par un sentiment plus n?gatif.

De plus ?a fait bien un peu penser ? Terribilis est locus iste, que tout le monde pet voir ? Rennes le Chateau.

Voila ce que ta photo m'inspire.
Il pourrait ?tre int?ressant d'approfondir.
_________________
Simple Curieux (Jacques MAZIERES)
http://pagesperso-orange.fr/etude-rlc/index.html
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Franck DAFFOS



Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079

MessagePosté le: Lun Oct 08, 2007 5:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Fran?ois,

au sujet du "Santuarium Dei" du chancel de N-D de Marceille
dont j'ai parl? dans mon dernier livre, je crois qu'il faut, pour le comprendre, le replacer exactement dans son contexte.

Nous sommes d'abord dans un "sanctuaire marial", donc vou? PRINCIPALEMENT au culte de la Vierge.
Ce sanctuaire a de plus enti?rement ?t? red?cor? pour la f?te du couronnement de sa Vierge Noire accord? par le Saint P?re en septembre 1862.
Tr?s peu de sanctuaires mariaux eurent droit ? cet honneur: Valfleury fut couronn? en 1860, Lourdes en 1876 et La Salette en 1879. Pour tout dire, sur les 1424 p?lerinages de la sainte Vierge existant en France en 1890, 63 seulement avaient re?u l?insigne honneur du Couronnement de leur statue par le Saint-P?re.

Alors il me semble, mais bien entendu je puis me tromper,
que la mention bien visible de ? Sanctuaire de Dieu ? ? l?endroit le plus sacr? de N-D de Marceille est quelque peu anachronique puisque cette ?glise est consacr?e ? la Vierge ? travers l?une de ses repr?sentations, m?me si elle est noire? Je pense donc qu?on a voulu attirer notre attention.

A chacun d?en tirer ses conclusions, mais ce que je sais, c?est que jusqu?? pr?sent, personne n?a pu retrouver la m?me inscription sur le chancel d?un autre sanctuaire marial ?

Quant ? l?inscription que tu nous soumets :
? Pavete ad sanctuarium meum ?, je la traduirais moi par ? Soyez saisis d?effroi ? l?approche de mon sanctuaire ?, ce qui est tout ? fait dans la droite ligne de ce que la Religion pr?conisait il y a un certain temps, lorsqu?elle nous enseignait qu?il fallait craindre Dieu. C??tait en tout cas avant les r?formistes de Vatican 2 (1968) qui se sont mis dans l?id?e de nous faire tutoyer Dieu, ce que pour ma part je n?ai jamais os? faire.

Bien amicalement,
Franck.
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