Rennes-Le-Ch?teau Archive Index du Forum


    Ou l'histoire d'un grand secret ... 

 

 

Avertissement : Ce forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs. Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires, provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer la discorde.  Les membres qui ne respecteront pas ces règles minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur récidive, leurs messages seront supprimés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Messages du Web master

 

   J'ai conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut dorénavant faire avec...

 

   L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.

      J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...

 

       Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...  

Jean-Pierre Garcia               

 

        "Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret"   est de nouveau disponible

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   Ce livre de 424 pages couleurs est composé de nombreuses illustrations, photos et synoptiques qui accompagnent l'aventure... L'ouvrage comblera les initiés mais aussi ceux qui souhaitent découvrir l'affaire simplement en découvrant les plus belles surprises de ces dernières années. Pour commander, rien de plus simple. Remplissez le bon et envoyez-le à l'adresse indiquée. Paiement possible par Paypal ou par chèque français...   L'ouvrage est également disponible à la boutique  Aux Portes de Rennes

  Patrick Pourtal, Webmaster du site  "Rennes-Le-Château - Le dossier" me proposa en juillet 2008 de répondre à ses questions suite à la sortie du livre "Le Secret dans l'Art". C'est avec un grand plaisir que je me suis mis à ma plume. Vous trouverez mes réponses ici : http://www.rennes-le-chateau.org/rlctoday/int-jpg.asp

Je remercie également André Douzet pour avoir publier une page critique sur "Le Secret dans l'Art"
Vous pouvez la découvrir ici :
http://www.societe-perillos.com/som_garcia.html

 

Site partenaire

   Les Editions ARQA éditions d’art et de bibliophilie, vous invitent à acquérir un choix d’ouvrages en tirage limité réservé aux amateurs d’art, aux chercheurs éclairés, aux curieux impénitents. Ces ouvrages exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …

 
Nouveautés à lire ...          

Pour voir le clip d'annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=qItG4rZc8KQ

 

 

Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :

BON DE SOUSCRIPTION

 

Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.

TEMPLIERS - Recherches d’authenticité

par George H. Kiess

 

    1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.  Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir ses conquêtes. Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres. Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.

   Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie. Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère. Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort… Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades. Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?

 

               10 ans déjà... 

           C’est avec un immense plaisir que je souhaite longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien… car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
      Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…

 

La suite est ici...  10 ans déjà et plus d'1 million de visiteurs

Jean-Pierre Garcia       

 

        Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...

   du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....

 

Les interviews de Franck Daffos sont ici :

http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904

 



Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA



Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA



Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA

Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
 

Par George H. Kiess
Editions ARQA

Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA

Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA

 
 

Un peu de rêve...

    Par ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ?

 
La Sainte Baume... Un reliquaire bien gênant...
 
   Nous ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...

   Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.

   Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... 


Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013

Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles...

 

Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès...

 
Dernières parutions sur le site...
 

 
Autres V?rit?s qui f?chent les Faussaires de l'Histoire

 
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Askalah



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MessagePosté le: Jeu Oct 27, 2011 10:39 am    Sujet du message: Autres V?rit?s qui f?chent les Faussaires de l'Histoire Répondre en citant



<< Nous sommes des ?tres lumineux et libres. L'homme qui voit, per?oit l'?lasticit? de ce monde flottant, et passe au travers sans ?mousser son pouvoir, celui qui voit, aime, et c'est tout. >>


CYCLES - HISTOIRE DU MONDE - RESURGENCE DE LA V?RIT?

Faisant tomber le rideau opaque d'une l'histoire officielle fabriqu?e par les forces de l'obscurantisme cherchant ? nous maintenir dans l'ignorance, cl? de leur pouvoir exerc? sur nos esprits, la V?rit? d?passe l'entendement. En bref, l'histoire du monde en g?n?ral et de l'Humanit? en particulier, est assise sur LE MENSONGE et la mise en place d'une machination mont?e sur des si?cles ? grands renforts de moyens. Oui, on nous ment ?hont?ment depuis des lustres. Tout est faux !!!

La v?rit? tient en peu de choses :

- La nature cyclique des ?v?nements, le temps n'?tant pas lin?aire mais circulaire - spirale montante puis descendante et remontant ensuite pour redescendre de plus belle, etc... C'est pourquoi l'abb? Jacques-Henri Boudet cita une certaine phrase de l'?ccl?siaste, et alors que sa tombe ? Axat n'?tait pas encore peinturlur?e, le texte qui y ?tait ?crit se r?f?rait bel et bien ? l'Eccl?siaste qui explique en une tr?s belle phrase que : ce qui a ?t?, est et sera ? nouveau.

- En ce sens, au moins TROIS grandes civilisations, mises sous le boisseau par nos manipulateurs, nous ont pr?c?d?es : les Hyperbor?ens, les L?muriens ou Muriens, et les Atlantes. Toutes ces civilisations disparurent dans le chaos et la d?cadence une fois leur apog?e atteinte. Et c'est pr?cis?ment ce qui est en train de survenir au moment m?me o? j'?cris ces lignes. C'est l? la teneur m?me du fameux troisi?me message de Fatima qui ne nous a pas ?t? divulgu? par le Vatican malgr? l'ordre express exprim? par "la Vierge", qui de fait, n'a jamais apparue puisqu'il ?tait question du Soleil qui "dansait" dans le ciel.

Le film 2012 de Roland Emmerich (descendant de la famille de la visionnaire Catherine Emmerich), expose une ?ventuelle v?rit? que "les grands de ce monde" s'efforce de taire au grand jour. Cependant, deux ans plus tard, les signes sont bien l?, tout est vrai, et aucune des religions du Livre n'a assez de courage pour pr?parer leurs brebis ? cette V?rit?, la Loi de la Vie, de l'Univers.

- Qu'en est-il donc de l'importance r?elle du fameux secret de Rennes le Ch?teau que les "?minences Grises" - connaisseuses des vices humains au nombre desquels la cupidit? n'est pas le moindre - ont savamment orchestr?, app?tant les chercheurs du monde entier par la belle carotte du tr?sor mat?riel, suscitant des vocations d'auteurs d'ouvrages, mais surtout, pour les Initi?s, ceux qui savent comment fonctionne l'esprit humain, favorisant la formation d'un gigantesque ?gr?gore dans le monde astral. Et quand un ?gr?gore d'une telle ampleur est op?rationnel, alors... les avatars requis se manifestent dans le monde physique. Je vous en prie, s'il vous plait, faites juste l'effort de v?rifier ce que je vous explique, ensuite seulement une opinion se dessinera.

NOUS SOMMES TENUS DANS L'IGNORANCE PAR UNE CLIQUE DE CONJUR?S QUI NOUS TIENNENT EN LAISSE !

Jusqu'au temps des Druides celto-gaulois, la coll?giale d'?rudits POURVOYAIT ? ses fr?res et soeurs humains, ensuite tout a d?rap? d?s l'instant o? le mot POURVOIR fut remplac? par POUVOIR, depuis nous sommes les esclaves d'une oligarchie romano-h?bra?que par les dogmes des trois RELIGIONS - racine latine : ligare signifiant lier, attacher- monoth?istes, le TRAVAIL - mot ? nouveau de racine latine : tripulum signifiant INSTRUMENT DE TORTURE- et surtout L'ARGENT : l'excr?ment des Fils de B?lial. Voil? pourquoi nous en sommes l?, et voil? pourquoi le Jugement arrive ! MARANATHA sur ceux aux poches pleines mais au coeur sec plein de haine : puisse le Pouvoir de l'Amour remplacer l'amour du pouvoir.

Pourtant, la cl? finale de l'affaire se r?sume en l'intervention salvatrice d'un couple divin - la DYADE - r?guli?rement incarn?e aux ?poques cycliques majeures de l'Histoire Plan?taire. Ce couple, vous le retrouvez sous tant de noms, selon la r?gion, le peuple, et la langue utilis?e.

Il conviendait aussi de s'int?resser aux profonds travaux de D?odat Roch? (lui aussi syst?matiquement ?cart?) et de son p?re Paul Roch?, maire du village d'Arques ? son ?poque. De l? vous ne pourriez manquer de rebondir sur Zarathoustra, Zoroastre, Man?s. Enfin, pourquoi ne pas chercher ce qui est relatif ? la r?incarnation de nos ?mes immortelles durant des milliers de vie difficiles, s?par?es de l'Esprit Divin, sous contr?le des Archontes, et de la n?cessit? de transmuter la Mati?re afin de briser les cha?nes de cette prison qu'est ce bas-monde physique ?

Et pour ceux qui ont l'esprit matheux, ces excellents sites vous livreront de belles cl?s de compr?hension :
http://roger-guasco-atelier.net
http://pagesperso-orange.fr/jean-paul.barriere/univers/code2.htm

Du fait, cette fin de cycle actuelle est unique dans les annales de l'Univers, ici dans l'Aude se trouve un sanctuaire ant?diluvien tr?s convoit?, ? l'int?rieur d'un p?rim?tre sacr? qui ne correspond pas forc?ment avec l'image que l'on s'en fait de prime abord : c'est le fameux ch?teau invisible du Roi-P?cheur. Quand il sera de nouveau op?rationnel, alors la r?gion elle-m?me sera une Arche de Survie. D'ailleurs, il n'est qu'? constater l'ensoleillement estival ayant perdur? sur la r?gion cet automne 2011... La Loi Universelle Divine est simple et logique : elle s'exprime par le langage universel des Math?matiques et de la G?om?trie Sacr?e et TOUT FINIT OU TOUT A COMMENCE, ET OU D'OU TOUT RECOMMENCERA...

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Quelques r?v?lations relatives ? la famille de Chefdebien

Extrait g?n?alogique :

Marguerite de Chefdebien-Zagarriga, fille de Hubert de Chefdebien-Zagarriga mari? avec Anne Fabre. Liens directs : Marguerite de Chavialle mari?e avec Jean Pigot, enfants : Catherine Pigot mari?e avec Charles de Sartiges , Seigneur de Fondonnet, enfants : Marie de Sartiges et Adam Pigot.

Extrait du livre "L'Ordre de Malte depuis la R?volution Fran?aise" : <<... le chevalier de Chefdebien se retira ? l'?tranger. D'apr?s ses ordres, le g?n?ral Pigot qui, depuis quelques jours avait pris le...>>

Les origines de la Maison de Chefdebien, seraient dit-on, ? trouver en Bretagne, sous le nom primitif de Penmad (en langue celtique). De l?, elle se serait install?e en Poitou o? elle poss?dait vers la fin du XV? si?cle la seigneurie de Pampar? et la baronnie de Chavenay. Une branche, rest?e en Poitou, s??teignit en la personne de Marie-Ren?e de Chefdebien qui ?pousa un g?n?ral des finances de Bretagne. Cependant, la branche a?n?e des CAPDEBON est fix?e en Languedoc, notamment dans le secteur de Montlaur - Lagrasse, puis poss?da la baronnie de Puisserguier, et le vicomt? d?Armissan (dioc?se de Narbonne). Elle a h?rit? par mariage (1790), des noms et armes des Zagarriga (Cagarriga) d?Espagne ?tablis en Roussillon. A noter que la grande famille des Chefdebien fut particuli?rement active au sein des loges ma?onniques des XVIII? et XIX? si?cles.

Rite Primitif des Philadelphes : le rite primitif de Narbonne eut la particularit? d'?tre une cr?ation familiale de Fran?ois-Anne de Chefdebien d'Armissan. Il fut vicomte d'Armissan par l'extinction de la branche a?n?e, qualifi? baron de l'Haute, seigneur de Bizanet, de Saint-Amans, du Villar de Fargue, co-seigneur de Narbonne, de Moussan et de Cuxac, capitaine d'infanterie au r?giment de Pi?mont, chevalier de Saint-Louis, chef de division des canonniers gardes-c?tes de Narbonne. Il eut de Gabrielle de Solas sept fils dont deux furent chevaliers de Malte (1) . Six au moins ?taient membres de leur loge des Philadelphes. Selon certaines sources, le rite fut en r?alit? cr?e ? Prague, ville de Rodolphe II, l?empereur Habsbourg alchimiste, d?s 1759. Parmi ses membres, il y avait Marconis de N?gre p?re, qui ?tait d?tenteur de tous les degr?s du Rite Ecossais Ancien Accept? et de ceux de l?ancien Rite de Perfection. Les patentes de constitution furent obtenues le 23 mars 1780, sign?es par deux "sup?rieurs inconnus" : "le chevalier de la lance d'or" et "le chevalier de la cuirasse d'or", le 19 avril la loge et ses 4 chapitres ?tait install?e sous le titre de "tr?s r?v?rende loge de St Jean, premi?re loge des francs and accept?s ma?ons du rite primitif de France" inspir?e par les rites de r?surrection d'Horus, fils d'Isis et d'Osiris de l'Antiquit? Egyptienne. La loge des Philadelphes, quant ? elle, voit le jour en 1779, ? l'initiative du vicomte Fran?ois-Anne de Chefdebien d'Aigrefeuille, consul de Narbonne, et de ses fils, dont cinq sont chevaliers et officiers de l'Ordre de Malte. Volontiers ?sot?rique, profond?ment mystique, cette loge europ?enne avant la lettre accueille d?s l'origine plusieurs personnalit?s ?trang?res: le Dr Giraud, m?decin personnel du roi de Sardaigne; le comte Szapary, chancelier de l'empereur d'Autriche; et Fran?ois Antoine Messmer, inventeur de la doctrine du "magn?tisme universel". Sous l'impulsion de la famille Chefdebien, le rite des Philadelphes conna?t son heure de gloire dans les ann?es 1780, avant de d?cliner et d'?tre absorb? par le grand coll?ge des rites du Grand Orient de France en 1806.


Fran?ois-Marie de Chefdebien - vicomte d'Armissan, baron de Zagarriga (1 avril 1753 - 30 juin 1814) , chevalier de Saint-Jean de J?rusalem, colonel de chasseurs au service de l'ordre de Malte, est le commissaire du roi dans le d?partement de l'Aude en 1790 - fils a?n? de Fran?ois-Anne, il d?veloppa par son intense activit? le rite primitif de Narbonne. Il portait le nom de "Eques a Capite Galeato" (chevalier ? la t?te casqu?e) et on le retrouve si?geant en haute place ? de tr?s nombreux convent ? la veille de la R?volution. Il est ? noter que le vicomte profitait de tous ses contacts et d?placements pour promouvoir son rite et nommer membre d'honneur des personnes haut-plac?es et connues (dont le comte Szapary, chambellan de l'empereur d'Autriche et le comte d'Hautpoul "chevalier de d?votion de l'ordre de Malte". Notons aussi l'abb? d'Al?s de Bermont d'Anduze, correspondant du marquis de Chefdebien, et cr?ateur en 1807 du rite oriental magique asiatique "?chapp? des coll?ges anciens" et Gabriel Marconis de N?gre qui cr?era d?s 1798 son rite des "P?lerins de Memphis".

En 1792, un vol de documents entra?ne la perte des titres, registres et portefeuilles. En 1814, la loge suspend ses activit?s suite ? la mort du vicomte. Aucune patente ne fut d?livr?e ensuite ? l'exception du marquis Charles d'Aigrefeuille (1748-1818), cousin des Chefdebien, ? Montpellier. Il eut deux fils de son mariage avec Eulalie de Zagarriga : Roch de Chefdebien-Cagarriga, (16 ao?t 1794-31 ao?t 1853) et Paul. Fran?ois-Marie de Chefdebien, fils de Roch (18/10/1834-14/021877) d?c?de alors qu'il se rendait ? Bizanet en voiture ? chevaux. Une st?le est encore visible au bord de la route, face au ch?teau Saint-Pierre de Clar...

notons que la famille des Marconis de N?gre ?tait li?e ? celle des N?gre du Clat et apparent?e ? Marie de N?gre d?Ables, ?pouse de Fran?ois d?Hautpoul, seigneur de Rennes le Ch?teau. Hors, un Comte d?Hautpoul, chevalier de d?votion de l?Ordre de Malte, fut initi? au Rite Primitif en 1789 ? la Loge des Philadelphes...

Pourquoi de telles r?f?rences ? PHILADELPHIE ? Parce que Philadelphie est l'un des points de d?part des Christiens Ariens que furent les Cathares, les Goths de la France m?ridionale ? l'arianisme prononc?. Leur Foi condamna les sacrements, l'id?latrie des idoles, la hi?rarchie eccl?siastique et son go?t trop prononc? pour la luxure et les biens mat?riels, ainsi que le droit de propri?t?. Selon les lieux, ils re?urent d'autres noms : publicains, patarins [c.-?-d. chiffonniers, nom d'un mouvement religieux milanais et lombard (vers 1055-75) qui lutta contre la richesse du haut clerg?, dans le sens de la r?forme gr?gorienne], piphles, tisserands, manich?ens, bougres, bons hommes, etc... En Gothie, o? ils occupent de nombreux "hauts lieux", leur contre-?glise fut constitu?e au XII? si?cle dans les r?gions d'Albi, Carcassonne, Toulouse et Agen, n?e de la rencontre :

1) d'une population rest?e fid?le ? l'Arianisme r?pandu, dans la r?gion ainsi qu'en Espagne (o? il s'est alli? ? l'Islam), par les Wisigoths, entre VI? et IX? si?cle.

2) de la doctrine manich?enne encore vivace dans l'empire byzantin o? elle comptait 3 ?v?ch?s bogomiles au XII? si?cle : Bulgarie, Philadelphie, Drugonthie.

Les croisades r?veillent l'Arianisme latent chez les Goths m?ridionaux. En 1167, l'?v?que bulgare Nikitas r?unit un concile cathare ? St-F?lix-de-Caraman et organise l'?glise cathare en cr?ant 6 dioc?ses en France, et 1 patarin en Italie : Desenzano.

Et bien entendu, ce sont des init?s au Rite des Philadelphes, philal?thes - signifiant Amis de la V?rit? - reconnus, qui cr??rent la ville de Philadelphie aux ?tats-Unis d'Am?rique, l'un d'entre-eux du nom de Pigot. L'?crivain initi? Hemingway, mari? en seconde noce ? une Pigot, habita une villa qu'il nomma Pigot's Ark : L'ARCHE DE PIGOT.
Lien : http://www.philly.com/inquirer/magazine/50451177.html (lien aujourd'hui probablement rompu aux bons soins des ?ffaceurs).

Aujourd'hui encore, l'aventure philadelphe n'a pas disparu des m?moires. Plusieurs ob?diences discr?tes entretiennent la filiation, en t?te desquelles la Grande Loge fran?aise de Memphis-Misra?m, fond?e en 1960, ann?e de mon incarnation.


Sources :

- (1) Malte qui d?tient une forte tradition de creuset inititatique puisque Cagliostro y aurait ?t? initi? par
un certain Althotas proche du Grand ma?tre et alchimiste Pinto en 1766.
- Louis de la Roque, Armorial de la Noblesse de Languedoc, g?n?ralit? de Montpellier.
- "Les anciennes familles de France" (Paris, Boivin et Cie, 1933) et de "?tude g?n?alogique" concernant
les familles nobles de l'Aude (de Jean-Marie Blad Lancelin en 1993) pour les ?tats-civils.
- G?rard Galtier - Ma?onnerie ?gyptienne, Rose-Croix et N?o-Chevalerie - ?ditions du Rocher



Affaire Jean Orth :



Un certain jour de cette fin du XIX? si?cle, l'archiduc Jean-N?pomuc?ne Salvador de Habsbourg (fils de la princesse Marguerite des Deux Siciles et de L?opold II, prince imp?rial d'Autriche, prince royal de Boh?me et de Hongrie) - est mis au courant d'une g?n?alogie fortement d?rangeante par l'abb? B?ranger Sauni?re, d?couvreur de documents cach?s pr?c?demment ? la h?te par l'abb? Antoine Bigou, confesseur de la marquise de Hautpoul-Blanchefort, en l'?glise de Rennes le Ch?teau.

De fait, l?archiduc Jean Salvador de Habsbourg (ou son fr?re), utilisant le pseudonyme de M. Guillaume, se rendit assez r?guli?rement ? Axat, du temps o? B?renger Sauni?re ?tait cur? du Clat, pour le rencontrer en compagnie de l?abb? Henri Boudet, cur? de Rennes-les-Bains. Le cur? Rescani?re, d?Axat, ?tant t?moin de leurs conciliabules.

La tr?s puissante famille de Habsbourg ne peut qu'int?resser les vrais chercheurs de v?rit? du fait m?me des diff?rents t?moignages qui signalent ? Rennes le Ch?teau ce personnage important, ? l'accent germanique, identifi? comme appartenant ? cette famille. N'oublions pas qu'? l'?poque, la famille des Habsbourg ?tait encore r?gnante puisqu'elle gouvernait l'Empire Austro-Hongrois. Par ailleurs, oserais-je rappeler que SEULS LES HABSBOURG ONT POUVOIR DE VETO SUR LA NOMINATION DU PAPE DE L'EGLISE ROMAINE ? POURQUOI ???

Fait pass? totalement inaper?u, qui ne doit rien du hasard, et qui n'est pas sans lien avec cette affaire : la restitution le 26 mai 2006 du ch?teau de Bran ? Dominique de Habsbourg. Quelle est donc l'importance de ce ch?teau familial ? Voici des ?l?ments de r?ponse :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Bran

http://www.courrierinternational.com/article/2009/07/03/a-bran-vampire-contre-habsbourg

http://www.france24.com/fr/20090207-roumanie-comte-dracula-chateau-carpates-transylvanie-dominic-habsbourg-tourisme-vampire-hollywood

Retour arri?re dans le pass? relatif ? l'Affaire de Rennes le Ch?teau : un fait signal? et v?ridique est la pr?sence d'une HABSBOURG, la propre s?ur du Kaiser, comme sup?rieure du monast?re de Prouille, peu ?loign? de Rennes le Ch?teau. Elle occupa d'ailleurs ce poste durant toute la premi?re guerre mondiale sans ?tre inqui?t?e le moins du monde. Enfin, les archives officielles de cette famille, un temps s?questr?e par l'U.R.S.S. puis restitu?es, n'ont ? ce jour rien apport?...

Mais, revenons ? Jean Salvador de Habsbourg, qui, n? pour r?gner, entame d'abord une carri?re militaire comme officier d'artillerie. En 1889, il r?dige pourtant son testament philosophique et quitte l'Autriche, abandonnant par l? tout r?le politique, et s'installant pour un temps en Suisse. Voici le texte clair et ?loquent de ce testament philosophique :

[color=yellow]<< Je ne dois plus, je ne veux plus, je ne pourrai plus continuer la vie que j'ai men?e jusqu'ici ; je ne veux plus ?tre archiduc ; je ne veux plus ?tre une altesse imp?riale, c'est-?-dire un fant?che pr?tentieux ; je veux ?tre un Homme ne c?l?brant plus que la Conscience ; je ne veux plus d?pendre que de moi-m?me et de moi seul, dans la peine libert? de penser tout haut et d'agir ? ma guise. Naturellement, la 1?re condition de mon existence nouvelle sera de renoncer ? mes apanages, de ne plus vivre dans la f?n?antise pompeuse et dor?e o? se pr?lassent tous mes confr?res de la noblesse. Je ne vivrai donc plus que sur les modestes revenus de ma fortune personnelle, sans co?ter un florin au tr?sor de l'Empire. Dans les formes respectueuses je ferai savoir ? l'empereur que le statut dynastique des Habsbourg n'est plus ma loi, que je cesse d'appartenir ? la famille imp?riale, que par suite, j'abandonne mon rang, mon titre, et toutes mes pr?rogatives pour n'?tre plus qu'un homme ordinaire prenant le nom ordinaire de Jean Orth.>>[/color]

Jean-N?pomuc?ne Salvador de Habsbourg, apr?s avoir pris connaissance de ces documents g?n?alogiques mis ? jour par B?ranger Sauni?re, adopte donc ce pseudonyme de Jean ORTH (anagramme de ROTH = ROUGE ainsi que de THOR), il quitte l'Angleterre ? destination de l'Am?rique du Sud et finit par dispara?tre, dit-on, dans un naufrage : les circonstances de sa pr?tendue mort ainsi que la date et le lieu sont incertaines. Mais le nom de son navire est tr?s int?ressant : la Santa Margarita, soit la Perle de la Couronne, puisque Margarita d?signe l'?toile Alpha de la constellation de la Couronne bor?ale ?galement appel?e la Perle...

Cependant, ma Bien-Aim?e ANA, m'ayant parl? de son "arri?re grand-p?re", exil? europ?en, grand blond aux yeux clairs, n'ayant jamais ?voqu? son pass? et s'?tant mari? au pied du volcan sacr? le Chirripo, dans la jungle costa-ricienne ? une autochtone de souche indienne, je fais le lien avec tout ce que nous avons subi, et commence une investigation qui durera deux ans. Et je d?couvre la trace de Jean Orth au Chili, puis au Mexique, pays fond? par les Habsbourg o? il d? forc?ment trouver des appuis, o? il fonde des brasseries toutes nomm?es LA ESTRELLA c'est ? dire L'?TOILE !

Voici la r?f?rence mexicaine : http://www.oem.com.mx/diariodexalapa/notas/n761962.htm
Lien qui, bien entendu, ayant d? dispara?tre de l'internet, j'ai pris donc soin ici d'en relever le texte que voici :

Journal "le Quotidien de Xalapa" dat? du 8 juillet 2008
Journaliste : Irasema Garc?a
Brasserie l'Etoile : le patrimoine culturel de Xalapa sur le point de dispara?tre

Extrait : << El reconocimiento que obtuvo La Estrella durante la administraci?n del comerciante porte?o qued? patentado en los relatos de dos viajeros europeos. El franc?s Vitold de Szyszlo en 1909 mencion? que la cervecera era dirigida por Juan Orth, cuya capacidad comercial se comparaba con las f?bricas textiles de Xalapa...>>


Une fois au Mexique, Jean Orth participera au d?veloppement de la brasserie du Costa Rica, en tant qu'attach? commercial. Cette brasserie existe toujours de nos jours, et comme par hasard, commercialise une bi?re sous la marque... IMPERIAL ! Et si ce n'est pas suffisant, l'?tiquette sur les bouteilles de bi?re sont frapp?es de l'aigle imp?rial autrichien et de l'?toile ? 5 branches !

D?s lors, s'explique l'attention toute particuli?re de"l'Elite Noire" qui s'exer?a sur Ana et moi tout au long des ann?es 1999 - 2005; et voil? pourquoi je fus "d?brief?" par la CIA, le Mossad, les services russes, anglais, et fran?ais... Au sortir de ces manipulations machiav?liques, il fut offert ? Ana de rejoindre "le clan familial" ? la condition imp?rative de rompre notre relation. Elle refusa tout en bloc : promesses de mariage arrang? avec un Bourbond'Espagne, argent, etc... D?s lors, la pression se fit plus forte : menaces de mort, chantages, tentatives d'escroqueries financi?res, vol de mon identit? et utilisation frauduleuse en d'?normes op?rations de blanchiment d'argent en des paradis fiscaux, calomnies et diffamations en tous genres : des mafieux italiens cr??rent quelques 200 sites internet pornographiques dans lesquels mon nom et mon adresse apparurent comme ?tant les coordonn?es du propri?taire de ces sites !!! Le paroxysme fut atteint par le vol de mon entreprise et la mise ? sac de toutes mes activit?s professionnelles ayant pour cons?quences ma mise ? la rue !

LE COSTA RICA = le Coeur du Secret :



Rappatri?s du Costa Rica en France le 18 ao?t 2006 aux bons soins d'une dame, agent "Services fran?ais", l'on nous am?ne Ana, notre fillette et moi, dans la r?gion de Rennes le Ch?teau en septembre 2007, apr?s un passage dans le Bourbonnais, au centre du Cercle des SIONS et un court s?jour au G?ant de Provence. Une fois l?, nous chercherons ? comprendre les ?v?nements pour le moins insolites que nous avons d? endurer ces derni?res ann?es. ? la d?couverte des extraits g?n?alogiques des familles de Lajugie (alias de Lajudie) ex-?v?ques de Narbonne, Navarro de Castelvecchio, et Navarro Navarro, nom de famille de ma Bien-Aim?e ANA, les points de jonction se rencontrent au Costa Rica, l? o? justement existe une Acad?mie de Sciences G?n?alogiques pr?sid?e par Yves de la Goublaye de M?norval. Pourquoi donc le Secret du Raz?s m?nerait-il ? ce petit pays d'Am?rique Centrale ? ?tudions sa g?ographie, le nom donn? ? ses villes, le symbolisme du drapeau national pour y voir plus clair :

Le trac? de ce pays ?voque curieusement un HIPPOCAMPE portant son petit, son coeur ?tant mat?rialis? par sa capitale San Jos? = Saint Joseph.

L'hippocampe est le cheval marin ou dragon des mers tractant le char de Pos?idon, roi d'Atlantide qui n'est nul autre que Enki - Ea pour les Sum?riens alias Ausar (Osiris) pour les ?gyptiens. Il est aussi le synonyme de la "corne du dieu Aton" ?gyptien pour les herm?tistes et il sert ? d?signer ainsi leur "Sel d' Harmonie" pr?sidant ? la r?alisation du Grand OEuvre alchimique.

Au niveau de l'architecture humaine, l'hippocampe est le centre ?motionnel du cerveau : ce passage par les hautes pressions de traumatismes douloureux est donc probablement en liaison avec la "Porte Etroite".

Selon Van Rijckenborgh, il n?est possible d?acc?der ? la Surnature Humaine que par un processus radical de transformation de la conscience, plac? symboliquement sous le signe de la rose, de la croix et du caduc?e (double serpent de Thot-Herm?s). La rose est ici le symbole de l??tincelle de Lumi?re, l??tincelle divine des gnostiques, que Van Rijckenborgh d?signe aussi de mani?re plus actuelle comme "l?At?me-Etincelle d?Esprit" ou At?me Christique; la croix est l?image du corps humain et le caduc?e, la repr?sentation du double syst?me nerveux (axe c?r?bro-spinal et grand sympathique). Quand ce noyau divin devient actif, explique-t-il, quand cette ?tincelle de lumi?re s?enflamme dans le coeur, une force spirituelle nouvelle (l? ?lixir des alchimistes) est lib?r?e; celle-ci d?clenche dans le syst?me corporel (laboratoire) une v?ritable r?action en cha?ne comparable au processus de la fission atomique : c?est le chemin de la transmutation ? la transfiguration, dont l?expos? formait la trame des anciens trait?s herm?tiques d?alchimie et des ?vangiles des chr?tiens primitifs.

Quel est le nom de la capitale du Costa Rica ? San Jos?, soit SAINT JOSEPH. Quelle est la montagne sacr?e de ce pays ? LES TROIS MARIES, volcan Barva ?teint aux 3 sommets, l'un dot? d'une lagune vert ?meraude (phon?tiquement Aimer Aude), couleur reli?e au chakra du Coeur ! Quelle sainte y est particuli?rement honor?e ? SANTA ANA !

Quant au drapeau national, qu'y voyons nous principalement ? les 3 couleurs du Grand Oeuvre alchimique, la repr?sentation symbolique de la montagne des 3 Maries, et les 7 ?toiles de la Grande Ourse.

Pr?tez, s'il vous pla?t, votre attention ? la r?gion centrale du pays d?taillant un parcours initiatique qui conduit de Sainte Marie ?... B?thanie (Bethana, la Maison d'Ana) : voici quelque uns des villages et lieux topographiques sur cette zone tr?s particuli?re nomm?e "Les Saints" d'une mani?re tr?s appropri?e : Sainte Marie, Saint Antoine, Trinit?, Saint Paul, Saint Marc, Saint Joachim, Providence, Saint Thomas, Sainte Rose, etc... Un hasard, bien s?r !!!

Finalement, je serai amen? progressivement ? d?couvrir que ces ?v?nements de nos vies pr?sentes ne sont qu'un "remake" de pr?c?dentes incarnations, ANA n'?tant autre que la descendante d'une certaine Maria de Magdala...
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Il n'est rien de cach? qui ne sera r?v?l?, rien de dissimul? qui ne sera publi?.

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belcombe



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MessagePosté le: Jeu Oct 27, 2011 8:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oh Marie, si tu savait... Embarassed Rolling Eyes
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Askalah



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MessagePosté le: Ven Oct 28, 2011 10:43 am    Sujet du message: oh Marie... Et de Vos Origines... ! Répondre en citant



Le mot Meri signifie "bien-aim?e" en ?gyptien, titre associ? ? Aset - Isis connue comme Meri-Isis, l'un de ses mille noms : http://www.egyptancient.net/isidenames.htm (site en anglais)

En sum?rien, ME : charge, fonction, responsabilit?, d?cret divin et RI : lancer, jeter, porter, mettre en place, enlever, engendrer.

ME-RI : "qui a la responsabilit? de porter", "qui a la responsabilit? d'engendrer".

On a ici l'id?e de m?re. En fait, "meri" signifie tout simplement "m?re" au sens o? nous l'entendons : par d?finition, elle porte et engendre... un enfant. D'ailleurs le mot "m?re" en fran?ais ressemble beaucoup au mot "meri".

?galement, ME (d?cret divin) + RI (porter, engendrer) = "qui porte/engendre par d?cret divin".

On n'appela pas la Vierge Marie de ce nom par hasard puisqu'il s'agit d'un titre donn? ? sa naissance (ou plus tard dans l'officialisation de son sacerdoce), sachant tr?s bien qu'elle serait pr?par?e pour ?tre la M?re d'un Ma?tre, ainsi digne Avatar, h?riti?re d'ASET - ISIS qui porta ant?rieurement ce titre de MERI, ayant donn? naissance ? HERU (HORUS), un ?tre au destin particulier. En fait, MERI est certainement le terme ?gyptien correspondant au sum?rien "GIR", d?signant les pr?tresses accoucheuses du "Kiristi", messager du Ciel, devenu religieusement l'Enfant Christique...

ASET-ISIS est souvent repr?sent?e avec un tr?ne sur la t?te, embl?me de son titre de MERI, ce terme signifiant "qui a la responsabilit? de porter" l'Enfant, car au premier degr? de lecture, cette d?finition s'applique au si?ge : sa fonction est bien de porter celui qui s'y assoit, le tr?ne sur la t?te d'Isis indiquant qu'elle est en charge de porter le Pouvoir et l'Enfant. Nous voyons ici l'extraordinaire influence qu'eurent Sumer et l'Ancienne ?gypte sur la culture juive h?rit?e de ces civilisations plus anciennes.

Pour aller droit au but, ASET-ISIS et MARIE - ? l'image de NIN-ANA ISHTAR m?sopotamienne, d'ASH?RAH de Canaan, de DANA ou DANOU des THUATHA D? DANANN, d'ART?MIS d'?ph?se, de la DIANE Romaine, ou de CYB?LE - ont ?t? toutes deux des personnifications de la SOPHIA des Gnostiques, l'Esprit-Saint des Chr?tiens, c'est ? dire de la D?esse M?re ou l'?ternel F?minin, la Shakti, ou l'Esprit devenu SAIN gr?ce au r?veil et ? l'activation de la KUNDALINI lov?e ? la base de toute les colonnes vert?brales, symbolis?es en Ancienne ?gypte par le Djed : http://www.tantra.fr/yoga/Kundalini.htm

"A Qumr?m, Marie est d'abord un titre honorifique, d?riv? de Myriam, attribu? aux femmes exer?ant des fonctions sacerdotales dans les communaut?s ? vocation spirituelle, comme celle des th?rapeutes de Qumr?m, r?unissant asc?tes et m?decins. Les Mo?se pr?sident les c?r?monies r?serv?es aux hommes, et les Myriam celles o? se retrouvent des femmes, pratique h?rit?e de l'Ancien Testament." "LE GRAAL ET LA LIGNEE ROYALE DU CHRIST" - Laurence Gardner.

La raison pour laquelle les trois femmes qui ?taient associ?es au Sauveur Iesus ?taient appell?es Marie n'est pas d? ? une co?ncidence, mais au fait que c'?tait un titre. En h?breu, le nom ?tait Myriam. Au passage, d?composons ? l'aide du syllabaire sum?rien le nom h?breu "MYRIAM" en ME-RI-AM; ce qui donne :

ME, MI : charge, fonction, responsabilit?, d?cret divin.
RI : lancer, jeter, porter, mettre en place, enlever, engendrer.
AM : seigneur, ma?tre, taureau, force, puissance.

MERIAM : "qui a la charge d'engendrer le ma?tre", "qui a la responsabilit? de porter la force".
Pour en revenir au mot Meri/Mari sum?ro-?gyptien, on peut remarquer que "mari" est en fran?ais le nom de l'?poux dans le cadre du mariage. Sachant que Meri signifie ? bien aim? ? en ?gyptien ceci semble une continuit? logique. Ce qui l'est moins en revanche c'est que l'?pouse ne soit pas qualifi?e du m?me terme, c'est ? dire de marie, f?minin logique de mari en fran?ais.

Si l'on se reporte ? la d?finition sum?rienne du mot Meri, d'o? d?coule le mot Marie, il semble que "les responsabilit?s d'engendrer et de porter" (le pouvoir) ait ?t? usurp?es par des pr?tres - hommes intelligents et savants mais misogynes, cupides, et avides de pouvoir - ? un certain moment de l'histoire; ceci ?tant confirm? par le fait que c'est l'homme qui porte symboliquement ce titre aujourd'hui lorsqu'il se marie, et non plus la femme ! En devenant le mari suite ? la c?r?monie du mariage, il devient seul b?n?ficiaire de l'union, l'?pouse prenant un r?le secondaire. Donc, seul l'homme b?n?ficie du pouvoir conf?r? par l'union que symbolise le mariage, dans le sens o? c'est lui seul qui h?rite du titre de mari. Ce qui est le cas puisque c'est bien lui qui l?guera son nom ? sa descendance.

Cependant, la v?rit? est bien qu'? l'origine c'?tait les femmes seules qui portaient ce titre de Meri et qui pouvaient l?gitimement le pr?tendre. Les maris n'existaient pas et seulement la Meri/Marie et l'?poux. C'est exactement l'inverse de l'"?pouse" et du "mari" : encore une fois tout a ?t? invers? !

Le mois de mai est connue comme ?tant le mois de Marie. Et mai est aussi connu comme ?tant le mois de l'union des dieux et des d?esses, c'est ? dire des Maries et de leurs ?poux. En fait, mai est devenu le mois de Marie car il fut ? l'origine le mois de la d?esse M?re, connue par exemple du nom de Maia (d'o? le nom du mois). Ce n'est donc pas un hasard si notre f?te des m?res est c?l?br?e au mois de mai, le mois de Marie, le mois de la M?re.

La tradition pa?enne de l'arbre de mai, d'o? d?coulera l'arbre de No?l, ?tait un rite honorant la f?condit? de la d?esse M?re et de la Nature. Aujourd'hui, cet arbre est ?rig? en l'honneur des maires...! La langue des oiseaux est l? pour nous dire ? qui ?tait destin? la symbolique ? l'origine : aux Maries, aux M?res ou plut?t ? la M?re des m?res, ? la D?esse M?re, connue sous la forme de la Vouivre; aussi retrouve t-on dans l'arbre de mai sa forme serpentine ondulant le long du symbole phallique du tronc. Pourtant, les m?res sont devenues nos maires, qui ont la "responsabilit? de porter le pouvoir" (d?finition de Meri comme on l'a vu) et de sceller l'union civile du mariage...

Le mot "maire" est l'anagramme de "marie". Aussi est-il int?ressant de noter que le mot "maire" commence par "mai", le nom de la d?esse et du mois c?l?br? dans les rites de f?condit? pa?ens. Les rites pa?ens, druidiques, sont d'ailleurs souvent devenus rites franc-ma?onniques ayant d?vi?s de leur nature et de leur premi?res intentions...

Si nous regardons la r?alit? actuelle (le r?ve) avec un miroir, nous aurons sans doute une image assez juste des intentions premi?res et de sa r?alit?. Le culte de la mort, que nous observons dans les m?dias et qui sous-tend la politique, use de symboles qui ?taient autrefois associ?s au culte de la vie. Tout a ?t? transform? et d?vi? pour se parquer dans l'amour du pouvoir plut?t que s'ouvrir au pouvoir de l'Amour. Absolument tout a ?t? invers? dans les institutions ? la base de la soci?t?, ? l'arri?re-plan comme ? l'avant-plan, son reflet. Cependant ceci s'ach?ve, tout va reprendre sa place, car c'est le temps des r?v?lations.

Si nous continuons ? suivre le fil o? nous conduit Marie, nous trouvons Mari, une d?esse importante dans la mythologie des Basques, personnifiant la d?esse M?re, et ceci bien avant la Marie des ?vangiles. Elle n'est connue ? ce jour que d'apr?s les r?cits recueillis au d?but du si?cle par Barandiaran et ses collaborateurs.

Mari est aussi enfin Anbotoko Mari, Anbotoko Dama : la dame d'Anboto, mari?e au dieu Sugaar (?galement connu sous le nom de Sugoi ou Majue), et connue sous plusieurs appellations comme Maya, Lezekoandrea et Loana-gorri. Ceci corrobore le fait que Meri est un titre d'o? d?coule le pr?nom Marie dont l'origine Meri/Mari est le titre que portait la d?esse M?re - ASET ISIS ayant ?t? la personnification holographique en ?gypte. On retrouve Mari comme nom de la D?esse M?re des Basques mais aussi comme nom de l'entique cit? m?sopotamienne, aujourd'hui situ?e en Syrie, d?di?e ? la d?esse ISHTAR - MERI MIKTAL en ?gyptien - personnification d'une facette de la M?re des Dieux, ressurgie des mill?naires plus tard sous la forme d'une princesse du nom de M?RI?M ayant v?cu en l'antique nid d'aigle que fut MAGDALA en ?thiopie :

http://fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/91231
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_l%27%C3%89thiopie
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MessagePosté le: Ven Oct 28, 2011 9:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ma part le th?me ne me f?che pas Razz c'est la prose qui me d?route, il y a l?, rien ? voir avec RLC? Que des ?lucubrations, enfin depuis le temps, que cel? existe comment se fesse que personne d'autre dans ce lieu d'?change ne rel?ve de t?lles inepties, ? moins qu'il n'y est plus de lecteurs ?
Allez Bon we...
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Askalah



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MessagePosté le: Sam Oct 29, 2011 9:18 am    Sujet du message: La critique est facile... L'Art est difficile Répondre en citant

"Ne donnez pas aux chiens ce qui est sacr?."
"Ne jetez pas vos perles aux pourceaux."


Oui, il ne fallait pas l'oublier... Dont Acte !
9-11 = 9-9 : 2005YU55
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