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Ou l'histoire d'un grand secret ...
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Avertissement : Ce
forum est dédié à tous les curieux, les passionnés et les chercheurs.
Sont donc exclus les sujets d'ordre privé, incohérents, diffamatoires,
provocateurs, politiques ou grossiers, n'ayant pour but que d'agresser ou de semer
la discorde. Les membres qui ne respecteront pas ces règles
minimum de courtoisie seront avertis puis immédiatement exclus sur
récidive, leurs messages seront supprimés. |
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J'ai
conçu cet ouvrage comme j'aurais souhaité le trouver sur une étagère, il y a de nombreuses années, à
une époque où l'affaire m'était encore inconnue. Son élaboration résulte de plusieurs années
d'investigation et son écriture s'imposa comme la fin d'une étape. J'espère ainsi ravir ceux qui
découvrent, ceux qui veulent connaître le vertige, mais aussi les pointus en leur montrant du doigt
quelques preuves inédites en image d'une réalité que l'on ne peut plus nier. Nul besoin après ceci de
s'acharner à convaincre sur l'existence d'un secret historique essentiel. Le fait est là et il faut
dorénavant faire avec...
L'objectif n'est pas seulement de proposer une fresque sur 2000 ans d'Histoire et 50 ans de recherches, mais c'est aussi l'occasion de présenter une superbe découverte qui fut l'étincelle de ce projet. Je remercie à ce propos, Jean Brunelin, qui sut préserver le suspens jusqu'à la sortie du livre en mai 2008.
J'ai aussi voulu un livre abordable pour tous ceux qui souhaitent comprendre et partager ma passion. Car, si depuis l'année 2005 l'affaire a su reprendre une assise historique solide grâce à Franck Daffos, sa complexité a rendu l'histoire de plus en plus hermétique. La découverte exceptionnelle méritait d'être couchée sur papier couleur. Il fallait imprimer cet héritage pour éviter toute dérive d'interprétation et remettre dans son vrai contexte le message. Surtout, cette surprise permet au public de prendre conscience de ce patrimoine que nous devons maintenant protéger...
Je souhaite enfin que ces quelques pages, prolongation du site RLC Archive, aident à la poursuite du rêve et qu'elles participent à cet immense projet qui est la mise à jour de notre passé souterrain et de ses secrets...
Jean-Pierre Garcia
"Le Secret
dans l'Art ou l'Art du Secret" est de nouveau
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exploreront des Terrae incognitae jusqu’aux confins de la
Poésie, de l’Écriture et de la Tradition, …
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Pour participer à la souscription vous pouvez retournez le bon ci-dessous :
BON DE SOUSCRIPTION
Les 1000 premiers exemplaires seront numérotés et signés par l’auteur.
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TEMPLIERS - Recherches d’authenticité
par George H. Kiess
1099. Les croisés prennent Jérusalem. Un épouvantable massacre, à la fois inutile
et à jamais impardonnable. Deux à trois décennies plus tard, un groupe d’hommes prononce le vœu de ne plus retourner en Occident. Ils
deviendront Guerriers ou Moines. On les appellera les pauvres frères de la Milice du Temple de Salomon.
Les Guerriers : Le champenois, Hugo Pagani, charismatique et décideur. Il sera
ambassadeur en Europe de l’Ouest pour la cause palestinienne, pour le roi de Jérusalem qui a un besoin impératif de soldats pour maintenir
ses conquêtes.
Les Moines : des « chercheurs », savants, polyglottes, érudits ; des scientifiques
tournés vers les origines des connaissances et la découverte des religions… La leur entre autres.
Les Katholikos de Rome ; religion ou parti politique ? Pertinente question. L’origine de leurs
croyances depuis les Romains qui persécutaient les Christiques, les apôtres d’un Dieu dont le « Christ », Jésus, était leur prophète.
Ces persécuteurs romains toujours présents, leur vrai visage. Le secret des hommes
du Temple qui découvrent ces vérités, et qui doivent se taire au risque de leur vie.
Les Maîtres successifs de l’Ordre du Temple. Étaient-ils dix ou onze pour arriver jusqu’à
Gérard de Ridefort, le Grand-Maître qui a trahi ? Et le troisième Maître des Templiers qui un jour donna sa démission et ne fut plus
à la tête de l’Ordre, ce « Grand-Maître » qui revint en Europe pour entrer dans un monastère.
Cet autre Maître de l’Ordre qui donna également sa démission, mais resta au service du roi de
Jérusalem. Le Grand Maître Bertrand de Blancaforti, capturé ; puis, libéré sur négociation, en payant rançon. Fini l’ésotérisme farfelu
des 9 chevaliers… pendant neuf ans… 1118, création de l’Ordre… La vérité sur le Maître félon Gérard de Ridefort…
Les secrets des « frères initiés ». Les raisons véritables de ces croisades.
Les aspects réalistes et historiques de l’existence des Templiers sur un peu moins de deux siècles.… Savions-nous tout cela ?
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10 ans déjà...
C’est avec un immense plaisir que je souhaite
longue vie à ces deux nouveaux ouvrages de Franck Daffos. Voici maintenant 10 ans que le destin nous a rapprochés suite à l’ouverture du
site RLC Archive le 5 mai 2004, et depuis, le vent continue de souffler. Je m’en souviens encore… Surpris par ce site Web légèrement
provocateur et par son contenu sans cesse orienté vers de nouvelles pistes, Franck avait pris son téléphone pour me recommander d’y ajouter
une référence qui manquait. L’échange dura en réalité plus de trois heures… C’était le début d’une aventure et d’une amitié qui se
poursuit aujourd’hui plus que jamais. Ce fut aussi la naissance du forum que je décidai d’ouvrir pour faire face à une vague de
protestations, de censures, et d’attaque gratuites contre l'auteur. Où sont-ils aujourd’hui tous ces incrédules arcs boutés sur leur conviction ? Que
reste-t-il de toutes ces thèses destinées à nous faire croire que l’histoire de Rennes est une ridicule affaire de trafic de messe ? Rien…
car une fois de plus le temps est seul juge… Finalement parmi les innombrables ouvrages publiés, seuls certains continuent d’abreuver le
long fleuve tranquille des deux Rennes. Ce fut aussi, lors d’une nouvelle rencontre à ND de Marceille en 2006, la découverte d'une
signature, celle de Mathieu Frédeau sur le tableau de Saint Antoine, un indice qui allait nous replonger dans de nouvelles pistes dont les
tableaux jumelés de Rennes-les-Bains. Ce fut enfin le temps d’un premier bilan et la sortie d’un livre qui synthétise : « Le Secret dans
l’Art ou l’Art du Secret ». Depuis, Franck a voulu prendre du recul, sans doute pour se reposer à propos d’une malheureuse affaire qui
n’aurait jamais dû voir le jour, mais on ne quitte pas Rennes comme cela… Il y a encore tant à dire et à raconter... Car nos échanges
longs et savoureux démontrent une chose : notre passion reste intacte et déterminée.
Ces deux ouvrages « Le secret dérobé » et « Le puzzle reconstitué » ne sont pas de simples rééditions. Ils sont aussi
l’occasion pour l’auteur de renforcer certains messages et d’apporter des documents inédits. Ils sont aussi un magnifique tremplin pour ce
qui va suivre l’année prochaine. Car même si nos recherches se sont éloignées en apparence ces dernières années, cette nouvelle étape prouve que nos
chemins n’ont jamais été aussi proches et convergents…
La
suite est ici... 10 ans déjà et plus d'1 million de
visiteurs
Jean-Pierre Garcia |
Il y a 45 ans naissait quasiment de rien...
du vent des Corbières et des oubliettes de l’Histoire, un mystère
échevelé de « curé aux milliards » que l’intelligentsia actuelle, bien embarrassée, considère être aujourd’hui un « mythe »…
Autrement dit après un demi-siècle de recherches biographiques et historiques, géographiques et archivistiques et plus de 450 livres
publiés sur « l’Affaire de Rennes-le-Château », celle-ci se résumerait, en quelque sorte, à une escroquerie intellectuelle, un conte à
dormir debout, un piège nébuleux aussi hasardeux qu’improbable dans lequel tomberaient tous les chercheurs qui, tels des papillons de nuit
attirés par une lumière incandescente située au loin, dans un Razès enchanté par Gérard de Sède, et n’aurait comme seul recours que de
colporter la légende de Rennes. Il suffit de le croire. Mais, pour croire le contraire, il est nécessaire surtout de se pencher, sans a
priori aucun, sur les pièces incontournables du dossier pour comprendre à quel point les tenants d’un mystère sans corps, mais aussi sans
queue ni tête, se retrouvent très rapidement démunis devant leurs propres contradictions. Depuis plus de dix ans, Franck Daffos avec ses
ouvrages : le Secret dérobé et le Puzzle reconstitué, et ses conférences à Rennes-le-Château, démonte avec courage et abnégation tous les
rouages de cette « machine infernale », comme aurait dit Cocteau, et démontre à qui veut l’entendre que l’affaire de Rennes est bien une
affaire sérieuse - concernant des ecclésiastiques. Autrement dit un « secret de prêtres »… Franck Daffos démontre encore que le mystère
est loin d’être inexistant - bien au contraire - et qu’il suffit de se donner la peine de reconstituer patiemment le puzzle, pour
qu’apparaisse enfin l’image cohérente et parfaitement réaliste d’une énigme ancestrale qui prend principalement sa source dans le XVIIe
siècle des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin et du surintendant des finances de Louis XIV, un certain… Nicolas Fouquet....
Les interviews de Franck Daffos sont ici :
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2891
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2892
http://www.editions-arqa.com/editions-arqa/spip.php?article2904 |
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Par Franck Daffos et Didier Héricart de Thury
Editions ARQA |
Ombres et lumières sur Rennes-le-Château...
Editions ARQA |
Le Prieuré de Sion
par Doumergue et Garnier
Editions ARQA |
Le Secret Dévoilé
par Christian Doumergue
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Par George H. Kiess
Editions ARQA |
Le secret dérobé
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
Le puzzle reconstitué
Par Franck Daffos
Editions ARQA |
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Un peu de rêve...
Par
ces temps de fond de crise, alors que nous entrons dans l’hiver, il ne faut pas hésiter à se laisser emporter par quelques rêves… Pour qui
la respecte, Rennes sait offrir cette magie qui lui est propre… Au détour d’un chemin, à un endroit très particulier, sous un épais lit de
feuilles et de débris, un soupirail fait de deux énormes dalles jointives et placées horizontalement, nous prouvent que Boudet était très
bien informé… Mais est-il encore besoin de le prouver ? |
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La Sainte Baume...
Un reliquaire bien gênant...
| Nous
ne verrons malheureusement plus la face cachée du reliquaire de la Sainte Baume qui permit de rebondir sur l'affaire de Rennes. Objet
certainement de nombreuses interrogations des pèlerins et surtout de quelques chercheurs un peu trop curieux, la précieuse orfèvrerie a
été définitivement retournée. Elle ne présente dorénavant que son côté conforme aux Evangiles... On y découvre Marie-Madeleine portée par
les anges et priant aux pieds de Jésus. Tout est rentré dans l'ordre... Preuve aussi que le reliquaire dérange...
Les moines dominicains, gardiens de la grotte sacrée, seraient-ils
tombés sur une description du sulfureux reliquaire ? C'est bien possible... Le fait est que depuis 2013, les visiteurs de la Sainte Baume
ne peuvent plus admirer le merveilleux message laissé par
Thomas Joseph Armand Caillat en 1889. L'orfèvre lyonnais très apprécié et spécialisé dans l’art religieux, obtint d’ailleurs le
Grand Prix d’Orfèvrerie le 22 juin 1890 et figura à l'Exposition Universelle de Paris de 1889.
Heureusement il nous reste les photos qui attestent de cette
gravure plutôt décalée avec la version biblique officielle... |
Le reliquaire de la Sainte Baume, retourné à partir de 2013 |
Détail du reliquaire visible depuis 2013... et conforme aux Evangiles... |
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Détail du reliquaire - Cette face a été occultée à partir de
l'année 2013
On y découvrait un corps embaumé et auprès de lui, la Vierge Marie en prière, accompagnée
du petit groupe dont Marie-Madeleine, dans la barque qui s'échoua selon la légende,
à Saintes-Maries-de-la-Mer... non loin du Razès... |
Dernières parutions sur le site...
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| Auteur |
Message |
F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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 Posté le: Jeu Oct 26, 2006 10:23 am Sujet du message: Le Saint Antoine de ND de Marceille - Son histoire |
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Parmi les nombreuses interrogations que soul?ve le tableau de Saint-Antoine, il en est une qui me semble ?tre la principale:
Si, comme on le dit, c'est bien Fran?ois Fouquet qui voulait laisser une indication pr?cise sur la cache, ? son fr?re Nicolas dans le cas o? ce dernier sortirait un jour de prison, l'indication devait ?tre d'une GRANDE ?vidence pour Nicolas Fouquet!
Car TROIS CENT ANS plus tard (!!) nous cherchons encore ce que pouvait "dire" cette toile!
Nicolas Fouquet, lui, l'aurait-il compris tout de suite?
Que pouvait donc repr?senter cette toile de fa?on si ?vidente ? ses yeux qu'elle le mette sur la piste de la cache du tr?sor?
En agrandissant au maximum la fameuse gravure de 1850 que Franck Daffos a mis ? jour dans son livre, il ne fait d?sormais pratiquement plus aucun doute qu'une cr?ature volante agressive (diabolique?) figurait dans le haut droit du tableau.
J'ai la chance de poss?der une plaquette sur NDM avec ladite gravure d'une nettet? remarquable.
De quand date cette plaquette je n'en sais rien. Au moins de 1962 puisqu'? la fin on peut lire:
Cum permissu Ordinarii
Carcassi die 23 f?bruarii 1962
Mgr G. Boyer, Vic. G?n.
Je laisse aux sp?cialistes le soin de traduire.
Je pr?sume que F.Daffos conna?t d?j? cette plaquette qui reprend visiblement des extraits des pr?c?dents opuscules de Gasq.
Il y figure ?galement la toile telle que nous la connaissons aujourd'hui mais avec des reliefs bien visibles de la grotte sur la partie DROITE l? o?, de nos jours, r?gne une p?nombre totale sur la toile...
Dernière édition par F.POUS le Mar Avr 17, 2007 8:21 am; édité 1 fois |
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Luiggi
Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 14 Oct 2006
Messages: 256
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| Posté le: Jeu Oct 26, 2006 11:18 am Sujet du message: |
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Bonjour,
Ravi de te retrouver sur ce forum (Je pense que l'on peux maintenant se tutoyer compte-tenu des nombreux mails d?j? ?chang?s). Comme je te le disais, je suis aussi assez convaincu par la pr?sence ? l'origine d'une sorte de chauve souris diabolique dans le coin haut droit du tableau. D'autant que la chauve souris est un animal que l'on voit souvent dans les Saint Antoine classiques. Mais un myst?re demeure effectivement. Que pouvait craindre Gasq pour l'avoir compl?tement occult? ? Quelle ?tait l'indication qui pouvait ?tre ?vidente pour les fid?les ou les hommes d'?glise de l'?poque ?
En tout cas, un autre exemple de chauve souris diabolique :twisted: en peinture ou gravure nous aiderait peut-?tre ...
A suivre ...
Pour ce qui est d'int?grer une image dans les messages, l'int?gration directe n'est ?videmment pas possible pour des raisons d'encombrement de la base de donn?e messagerie. La m?thode est simple : il suffit de poser l'image sur un serveur public et de mettre le lien URL (http:// ...), puis d'entourer par les balises Img
 Le webmaster |
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ddd
Inscrit le: 23 Oct 2006
Messages: 21
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| Posté le: Jeu Oct 26, 2006 11:43 am Sujet du message: |
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| F.POUS a écrit: | Parmi les nombreuses interrogations que soul?ve le tableau de Saint-Antoine, il en est une qui me semble ?tre la principale:
Si, comme on le dit, c'est bien Fran?ois Fouquet qui voulait laisser une indication pr?cise sur la cache, ? son fr?re Nicolas dans le cas o? ce dernier sortirait un jour de prison, l'indication devait ?tre d'une GRANDE ?vidence pour Nicolas Fouquet!
Car TROIS CENT ANS plus tard (!!) nous cherchons encore ce que pouvait "dire" cette toile!
Nicolas Fouquet, lui, l'aurait-il compris tout de suite?
Que pouvait donc repr?senter cette toile de fa?on si ?vidente ? ses yeux qu'elle le mette sur la piste de la cache du tr?sor?
En agrandissant au maximum la fameuse gravure de 1850 que Franck Daffos a mis ? jour dans son livre, il ne fait d?sormais pratiquement plus aucun doute qu'une cr?ature volante agressive (diabolique?) figurait dans le haut droit du tableau.
J'ai la chance de poss?der une plaquette sur NDM avec ladite gravure d'une nettet? remarquable.
De quand date cette plaquette je n'en sais rien. Au moins de 1962 puisqu'? la fin on peut lire:
Cum permissu Ordinarii
Carcassi die 23 f?bruarii 1962
Mgr G. Boyer, Vic. G?n.
Je laisse aux sp?cialistes le soin de traduire.
La couverture de cette plaquette est le smiley ci-contre ? gauche qui accompagne mon nom.
Je pr?sume que F.Daffos conna?t d?j? cette plaquette qui reprend visiblement des extraits des pr?c?dents opuscules de Gasq.
Il y figure ?galement la toile telle que nous la connaissons aujourd'hui mais avec des reliefs bien visibles de la grotte sur la partie DROITE l? o?, de nos jours, r?gne une p?nombre totale sur la toile... |
D'autant plus que Nicolas Fouquet ?tant emprisonn? ? vie je vois pas ce qu'il lui faisait penser qu'il pourrait en ?tre autrement...
et chose improbable s'il sortait, il ne manquerait pas d'?tre surveill? donc d'?veiller les soupcons en cas de nouvelles richesses
non ? |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Jeu Oct 26, 2006 10:39 pm Sujet du message: |
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? ddd:
Tout ? fait! Et il me semble avoir lu que l'Ev?que de Narbonne ?tait, lui aussi, "sous surveillance". Pas facile pour lui non plus de laisser d'?ventuels indices. Sans doute pour cette raison qu'il a eu l'id?e du tableau en se diasnt que peut-?tre si un jour sortait de prison...
Mais en effet son fr?re Nicolas avait visiblement bien peu de chances de sortir.
? Luiggi:
Merci pour la manipulation pour l'insertion d'images.
Et...pas de probl?mes pour se tutoyer bien s?r!  |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Jeu Oct 26, 2006 10:42 pm Sujet du message: |
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? ddd:
Je re-?cris ma phrase car il y a eu quelques mots qui se sont ?vapor?s au passage!
"Tout ? fait! Et il me semble avoir lu que l'Ev?que de Narbonne ?tait, lui aussi, "sous surveillance". Pas facile pour lui non plus de laisser d'?ventuels indices. Sans doute pour cette raison qu'il a eu l'id?e du tableau en se disant que peut-?tre si un jour SON FRERE sortait de prison...
Mais en effet Nicolas Fouquet avait visiblement bien peu de chances de sortir. " |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Sam Oct 28, 2006 5:23 pm Sujet du message: |
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Pour en revenir ? la th?se de F.Daffos (et de JP.Garcia) le coin droit du tableau aurait eu un rapport avec le clocher de l'?glise de NDM. On parlait m?me d'un possible dessin de cloche.
Pour ce qui est du dessin d'une cloche je pense qu'on peut d?sormais admettre qu'il y ait peu de chance que ce soit le cas.
Un dessin "en rapport avec le clocher"?
Si l'on part sur l'hypoth?se (vraissemblable selon moi) d'une cr?ature diabolique volante, quel peut donc ?tre le rapport avec un clocher?
Je pensais au d?part ? une chauve-souris (J.P Garcia semblerait aussi de cet avis). Ce serait assez logique en effet vu le nombre de fois o? T?niers Le Jeune en a peint sur ses toiles de St-Antoine. Je m'?tais dit que, peut-?tre, les chauve-souris logeaient dans les clochers? Mais apparemment les chauve-souris recherchent plut?t les coins TRES calmes (les grottes en particulier). Et les clochers sont loins d'?tre des lieux calmes !
Donc, si rapport il y avait avec le clocher, je me demande bien lequel il pouvait ?tre... |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Dim Oct 29, 2006 11:38 pm Sujet du message: |
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| F. Pous a écrit: | Pour en revenir ? la th?se de F.Daffos (et de JP.Garcia) le coin droit du tableau aurait eu un rapport avec le clocher de l'?glise de NDM. On parlait m?me d'un possible dessin de cloche.
Pour ce qui est du dessin d'une cloche je pense qu'on peut d?sormais admettre qu'il y ait peu de chance que ce soit le cas. |
Bonsoir M. Pous,
tout ? fait d'accord avec vous, et je pense que l'on peut d?finitivement mettre l'hypoth?se d'une cloche sur le tableau ? la trappe. Ce n'?tait qu'une supposition, mais j'avoue que je me suis bien "plant?".
Avec mes excuses donc !
| F. Pous a écrit: | | Donc, si rapport il y avait avec le clocher, je me demande bien lequel il pouvait ?tre... |
L? par contre, la r?ponse est dans mon livre, et c 'est la bonne: c'est par l'?scalier ? vis qui m?ne au clocher que l'on acc?de ? la chaire, tout simplement !
Bien ? vous, et encore merci pour vos tr?s pertinentes remarques,
Franck Daffos. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Lun Oct 30, 2006 10:06 am Sujet du message: |
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| Citation: | | L? par contre, la r?ponse est dans mon livre, et c 'est la bonne: c'est par l'?scalier ? vis qui m?ne au clocher que l'on acc?de ? la chaire, tout simplement ! |
(alt+q)
Merci M.Daffos pour votre aimable r?ponse.
J'avais bien not? votre d?monstration en ce qui concerne "l'escalier ? vis qui m?ne ? la chaire" dans votre excellent ouvrage.
En fait je voulais dire:
Le rapport entre le clocher et... LE DESSIN en haut ? droite du tableau.
Je veux dire: LE DESSIN EN LUI-MEME.
Ce dessin qui, une fois agrandi au maximum, est interpr?t? diff?remment selon les personnes qui l'observent.
On m'a m?me dit: "il y a deux ?tres vivants en un seul" ou "l'un attaque l'autre".
Un animal, une personne.
Si c'?tait le cas, ne pourrait-ce pas, tout simplement, ?tre une image pour ?voquer une personne pr?cise?
Par exemple: un NOM pr?cis?
Imaginons une personne d?sign?e par ce dessin que Nicolas Fouquet aurait identifi? du premier coup?
Parfois les choses les plus simples sont celles auxquelles on pense le moins...
[/quote] |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Lun Oct 30, 2006 12:23 pm Sujet du message: |
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Bonjour M. Pous,
J'avais, ? l'?poque de la r?daction de mon livre ? l'automne 2003, ?mis la m?me hypoth?se que vous, ? savoir que le tableau St-Antoine/St-Augustin devait avoir dans son coin haut et droit (dont on sait assur?ment gr?ce ? la gravure de MM. Certain et R?gnier qu'il a ?t? recouvert par Gasc apr?s 1850) quelque chose en rapport avec le clocher puisque c'?tait son escalier qui menait ? la chaire.
Je m'?tais donc tout naturellement dirig? vers la cloche maitresse du sanctuaire ? l'?poque, offerte de plus en 1667, donc du temps de Mgr Fran?ois Fouquet, et baptis?e du nom fort ? propos d' "Augustinus", c'est ? dire l'Augustine ! Il m'avait donc sembl? ? l'?poque, et je d?veloppe cette id?e dans mon livre ? la page 133 que L'Augustine ne pouvait qu'?tre li?e et donc son compl?ment au fameux tableau St-Augustin de la nef...
Je reconnais que je me suis bien plant?  .
Par contre j'ai quand m?me ?t? plus pertinent pour la suite de cette page, puisque j'avais ?mis l'hypoth?se que le personnage du tableau ne pouvait que tenir entre ses mains un coeur enflamm?, puisqu'il ne pouvait qu'?tre St-Augustin. La d?couverte r?cente d'un original de cette gravure qu'il a ?t? possible de bien agrandir le confirme: vous en trouverez la d?monstartion sur ce site.
Ensuite je dis ? la page suivante:
"Reste donc l'?nigme du coin bas et gauche de la toile, au pied de St-Augustin. Quelle pouvait donc bien ?tre la signification de cette pierre qui semble avoir ?t? retouch?e ou rajout?e dans la composition de ce tableau ?"
Je rappelle que c'est sur cette m?me pierre, que l'ami J-P Garcia a d?couvert cet ?t? la fameuse signature quasi invisible de Mathieu Fr?deau...
Pour en revenir aux vis?es de ce tableau dans sa mouture de St-Augustin, il est clair qu'il ?tait destin? ? laisser un message ? Nicolas Fouquet. Il est facile ? pr?sent de nos jours que l'histoire est ?crite d'affirmer que Niocolas Fouquet ne sortirait jamais de prison, mais ? l'?poque, ce n'?tait pas si ?vident puisque quelques signes provenant de Sa Majest? laissent ? croire ? une certaine ?poque que son ?largissement de la geole ?tait envisageable:
- il avait ?t? arr?t? le 05 septembre 1661, et tous ses biens confisqu?s, au motif qu'il dilapidait les finances publiques ? son profit, pourtant quelques ann?es ensuite, le Roi lui-m?me r?tablit son ?pouse dans ses pr?rogatives et fait m?me rendre beaucoup d'argent, ce qui semble prouver que l'accusation n'?tait peut-?tre pas aussi fond?e qu'on a voulu le faire croire.
Mme de Foucquet , ?xil?e ? Limoges, rach?tera m?me une partie des domaines de son ?poux. Nous avons ainsi trace de son rachat aux cr?anciers de son mari le 19 mars 1673 de la Vicomt? de Melun avec les terres de Vaux pour 1 250 000 livres (somme colossale ? l'?poque).
Quant au ch?teau lui-m?me, il ne fut pas confisqu?, les "cr?anciers" (seul son mobilier et tous ses tr?sors (tapisseries) furent dispers?s par ventes judiciaires entre 1665 et 1666) lui abandonn?rent cette m?me ann?e 1673 ainsi que Belle-Ile, ? charge pour elle de remebourser dans un d?lai de 6 ans. C'est donc qu'on savait qu'elle pouvait payer...
- Enfin, chose tr?s ?tonnante, les fils de Nicolas Fouquet tiennent leur rang ? la Cour : l'a?n?, Louis-Nicolas s'?tablit m?me au ch?teau de Vaux-le-Vicomte, par? du tr?s officiel titre de Comte de Vaux.
Alors pour en revenir au tableau de NDdM, il faudrait une analyse pouss?e et certainement radiographique pour qu'il consente ? nous livrer tous ces secrets. H?las, il est dans le domaine priv? puisqu'appartenant ? l'Ev?ch? de Carcassonne via une "association dioc?saine", et l'on peut compter sur ces gens-l? pour surtout ne rien faire de peur de faire resurgir certains vieux d?mons de leur pass? quelque peu cahotique...
Quant ? savoir si sur ce tableau on trouverait quelque chose ayant un rapport direct avec Nicolas Fouquet ? Je ne saurais vous r?pondre... A moins que l'on y discerne un jour quelque ?cureuil dont il avait fait son embl?me, mais ce serait trop beau...
Tr?s cordialement,
Franck Daffos. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Mar Oct 31, 2006 10:52 am Sujet du message: |
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Merci M.Daffos pour cette r?ponse et les renseignements tr?s int?ressants relatifs ? la famille Fouquet.
Concernant le tableau et le motif haut-droit du tableau, l'id?e de l'Augustine ?tait pourtant convaincante...
Je pense qu'il faudrait pouvoir savoir exactement ce que repr?sentait le BAS du visage de la cr?ature volante. Peut-?tre, l?, en saurions-nous davantage sur une ?ventuelle indication ou rep?re mettant sur la piste d'une cache...
Bien ? vous. |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Mer Nov 01, 2006 1:32 am Sujet du message: |
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| F.POUS a écrit: | ? ddd:
Je re-?cris ma phrase car il y a eu quelques mots qui se sont ?vapor?s au passage!
"Tout ? fait! Et il me semble avoir lu que l'Ev?que de Narbonne ?tait, lui aussi, "sous surveillance". Pas facile pour lui non plus de laisser d'?ventuels indices. Sans doute pour cette raison qu'il a eu l'id?e du tableau en se disant que peut-?tre si un jour SON FRERE sortait de prison...
Mais en effet Nicolas Fouquet avait visiblement bien peu de chances de sortir. " |
Bonsoir M. Pous,
il est tr?s facile de r?pondre ? votre interrogation,
car si Mgr Fran?ois Fouquet ?tait bien en un sorte d'exil ? l'autre bout de la France sous la tutelle de Mgr Fran?ois Rouxel de Modavy (futur archev?que de Rouen), il restait en effet archev?que de Narbonne en titre, puisque le droit canon emp?che qu'on le lui reprenne.
Mais son dioc?se ?tait entre d'excellentes mains
puisque sous la gestion d'un Vicaire G?n?ral de poids: Mgr Dagen qui tr?s curieusement et comme par hasard avant d'?tre appell? ? ces fonctions ?tait le secretaire et surtout l'homme de grande confiance de Mgr Nicolas Pavillon au dioc?se d'Alet durant de tr?s nombreuses ann?es.
Rappelons que le Vicaire G?n?ral est le bras droit de l'?v?que
et qu'il "gouverne" en fait la plupart du temps le dioc?se, ce qui le fait acc?der de fait ? la dignit? et au titre de Monseigneur comme un ?v?que en titre. Seule diff?rence: ? cet ?poque un ?v?que ?tait propos? par le Roi et avalis? par le Saint Si?ge qui rendait alors son affectation inali?nable, alors qu'un Vicaire G?n?ral est nomm? par son ?v?que et r?vocable sans pr?avis.
Ce n'est pas pour rien que l'Eglise fut pendant longtemps tax?e d'?tre "l'arm?e de Dieu": elle en avait l'organisation et la rigueur toute militaire. Sa hi?rarchie est complexe mais se doit d'?tre d?crypt?e lorsqu'on veut bien pen?trer les arcanes du secret de Rennes qui depuis le 17?me si?cle n'est qu'une affaire de gens d'Eglise.
Pour ceux qui voudraient se p?n?trer du vocabulaire et de l'organisation eccl?siastique de L'Eglise, je signale un tr?s opportun petit lexique ? cet usage dans la toute derni?re mouture (octobre / d?cembre 2006) de la revue P?gase de Pierre Jarnac.
Pour en revenir ? Mgr Dagen, il ne fait aucun doute qu'en faisant nommer son principal homme de confiance ? la t?te de fait du dioc?se de Narbonne, puisque son ?v?que en titre en ?tait exil?, Mgr Nicolas Pavillon gardait la main sur la ville toute proche de Limoux et donc sur N-D de Marceille...
Quant aux chances de sortie de prison de Nicolas Fouquet, elles ?taient tout ? fait envisageables ? une certaine ?poque, je m'en suis fait l'?ccho dans un autre de mes posts sur ce forum.
Cordialement,
Franck Daffos. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Mer Nov 01, 2006 6:03 pm Sujet du message: |
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Merci M.Daffos pour vos r?ponses toujours richement argument?es.
J'aurais une question "b?te" ? propos de la fameuse gravure de NDM.
Peut-?tre y avez vous d?j? r?pondu et que je l'ai oubli?? Dans ce cas pardonnez-moi de la reposer.
A t-on eu existence de l'ORIGINAL de cette gravure? Et quelles ?taient ses DIMENSIONS?
Car le tableau de St-Antoine/St-Augustin livre quand m?me beaucoup de d?tails ce qui laisse supposer que cette gravure devait ?tre assez imposante en largeur et en hauteur!
Dans mon opsucule de 1962 la gravure est d'une nettet? et d'une qualit? qui est assez surprenante et qui pose une question:
Comment se fait-il que cette gravure dont vous dites dans votre livre qu'elle date de 1850 soit d'une si grande qualit? de lecture?
Lorsqu'on photographie une oeuvre existante et qu'on la publie dans un ouvrage, son rendu peut-?tre excellent gr?ce aux techniques d'aujourd'hui.
Mais ? l'?poque?
La plaquette en ma possession date (apparemment) de 1962. La gravure n'a pas une seule imperfection! Comment est-ce possible?
Il y a quelque chose qui m'?chappe l?-dedans mais je n'arrive pas ? d?terminer quoi.
Peut-?tre saurez-vous "?clairer" ma lanterne? |
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Franck DAFFOS
Inscrit le: 19 Oct 2006
Messages: 1079
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| Posté le: Mer Nov 01, 2006 7:25 pm Sujet du message: |
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Bonjour M. Pous,
ce que vous avez du mal ? comprendre est tout ? fait normal lorsqu'on ne connait pas un peu les techniques de l'imprimerie.
Je suis loin d'?tre un sp?cialiste, mais j'ai la chance d'avoir boss? dans ce milieu lorsque j'atais ?tudiant pour me faire quelques petites ?trennes et me financer ? l'?poque ma passion de la moto.
Pour r?sumer:
-en 1962, l'imprimerie se faisait par typo, c'?tait les caract?res en plomb et les gravures pour les illustrations,
-ensuite, trs? rapidement est arriv?e ce que l'on appelle l'offset: les caract?res en plomb ?taient remplac?s par des plaques de la dimension de la page sur lesquelles ?taient grav?es ? de tr?s faibles ?paisseurs d'abord par photocomposition quant au montage puis par photogravure ce que l'on avait ? imprimer (caract?res et photos): ?norme gain de temps et tr?s grande flexibilit?..
-et nous sommes maintenant ? l'?re du num?rique et de l'informatique..
Ce qu'il faut savoir, c'est qu'en 1962, la typo ?tait largement capable de reproduire parfaitement des gravures. En fait tout d?pendait de la qualit? de la gravure et donc de la dext?rit? du graveur, et ? ce niveau, la gravure de Certain et R?gnier offre toutes les garanties n?cessaires: Il n'ya donc aucun probl?me pour en trouver des reproductions PARFAITES et avec tous les d?tails, et datant de 1962.
Cordialement,
Franck Daffos. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Mer Nov 01, 2006 7:55 pm Sujet du message: |
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Merci M.Daffos de ces pr?cisions. Bon alors OK pour la qualit? de la gravure.
Je n'ai pas souvenir dans votre livre "Le secret d?rob?" d'un passage o? vous ?voquiez "Certain et R?gnier".
Aurais-je saut? quelques lignes?
Vous avez d?j? cit? ces deux noms dans une r?ponse pr?c?dente o? je les ai d?couvert.
Puis-je en savoir un peu plus?
Dans mon opuscule sur NDM figure donc la fameuse gravure.
Si j'ai bien compris, la gravure ne figurait pas dans les deux premiers opuscules de Gasc? Car il y a l? aussi quelque chose qui s?me le trouble dans mon esprit:
la gravure que vous reproduisez dans "Le Secret D?rob?" provient d'o? exactement?
(si ce n'est pas indiscret bien s?r).
Gr?ce ? vous, petit ? petit les morceaux se recollent dans ma t?te. |
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F.POUS
Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 806
Localisation: Toulouse
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| Posté le: Mer Nov 01, 2006 8:59 pm Sujet du message: |
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| Citation: | | Si j'ai bien compris, la gravure ne figurait pas dans les deux premiers opuscules de Gasc? |
Je veux dire: ce n'est pas parce que Gasc n'a pas parl? de la toile en version "St-Augustin" dans les deux versions de ses ?ditions sur NDM, que la gravure, elle, n'y figurait pas.
Apr?s tout ce que nous savons d?sormais sur Gasc, tout est possible. M?me une gravure en petit format qui n'aurait pas permis de discerner correctement la toile du St-Augustin.
Comme je n'ai jamais s? ? quoi ressemblaient exactement les deux livrets en question...
Mais bon, d'apr?s ce que je comprends, la gravure a ?t? d?couverte bien apr?s. |
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